Voila la suite ! Désolé si j'ai mis longtemps, mais j'avais trop de chose à faire, au dépit de l'écriture ! J'espère qu'il vous plaira, ce chapitre ! Merci à :
Malissandre : Voila la suite !!! Et tu m'as même pas tuée, je suis heureuse !!! Je vais pouvoir encore vivre un peu !!!
Yoann : Merci !!! Et vala la suite !!!
Bouboule26 : Vala la suite ( je me répète, je sais !!!) Et puis maintenant j'accepte les rewiews anonymes !!! J'avais même pas remarqué !!!
Et REWIEWS, S.V.P. !
Je !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Dédie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ce !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Chapitre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! À !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Malissandre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! (Et vue qu'elle aime les !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, j'ai mis plein de !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
Tout à J.K. Rowling sauf Elisabeth, Antoine et tout les persos qui ne sont pas dans les livres de « l'auteur par excellence » !!!
6 Le Quidditch et les elfes
Quelques jours plus tard, quand Harry se réveilla, il sut tout de suite que ça allait être une bonne journée. Il secoua Ron pour qu'il se lève, et à sa grande surprise, son ami ne râla pas trop. Ils descendirent dans la grande salle, presque vide. Hermione était là, avec Elisabeth, toutes deux feuilletant des magasines. C'est Hermione qui les remarqua :
- Salut vous deux !
- Mmmmmmm...
- Harry, tu pourrais traduire ce qu'il a dis ?
- Il a dit « bonjour », enfin je crois.
- On a failli monter vous chercher, c'est presque midi !
- Relax ! C'est samedi ! Mince ! J'ai oublié de prevenir McGonagall pour demain !
- Qu'est ce qu'il y a, demain ? Demanda Elisabeth
- Je voudrais organiser la sélection du Gardien des Griffondor ! Je ne vous en ai pas parlé ?
- Non.
- Donc vous êtes les premiers à le savoir ! Je vais voir McGonagall. A tout à l'heure, on se retrouve ici, dans dix minutes.
Harry se leva et se dirigea vers la porte. Il fila vers la salle de son professeur de Métamorphose, elle était assise derrière son bureau. Il frappa :
- Entrez, Potter.
- Bonjour professeur !
- Bonjour. Je peux vous aidez ?
- Oui. C'est pour la sélection du gardien, je voudrais le faire demain. C'est possible ?
- Bien sur. Débrouillez-vous pour réunir tous les autres joueurs et pour les affiches. Vous prévoyez cela à quelle heure ?
- 14H30, si c'est possible.
- Bien. Autre chose ?
- Oui, je voudrai savoir si on pourrai s'entraîner sur le terrain cette après-midi.
- Oui. Allez-y Potter !
L'élève sortis de la salle, ravi. Il fonça chercher Fred, Georges et les autres. Il tomba d'abord sur Katie Bell, Angelina Johnson et Alicia Spinnet, les trois Poursuiveuses :
- Bonjour, cher capitaine ! Plaisanta Katie.
- Bonjour, Poursuiveuse. Lui répondit Harry amusé, d'un ton qui se voulait désinvolte, les nouvelles vont vite, ici !
- On a été prévenu lundi, tout comme toi. Tu voulais nous parler ?
- Oui. C'est pour la sélection du gardien. Elle se fera demain, à 14H30. Rendez-vous sur le terrain une demi-heure avant. Et on s'entraîne cette après-midi. A tout à l'heure !
- C'est ça, à tout à l'heure !
Il se dirigea vers la salle commune :
- C'est bon ! Ron, tu sais au sont tes frères ?
- Oui. Ils arrivent !
- Salut Fred et Georges ! Vous allez bien ?
- Oui. Et toi... Cher Capitaine ? Répondit Georges.
- Très bien, très bien. Au fait, demain c'est la sélection du Gardien, vous devez venir à 14H00, une demi-heure avant les candidats. Et cet après-midi, on s'entraîne sur le stade. C'est O.K. ?
- Oui, ça devrai être bon. Au fait... Harry, tu... Commença Fred
- ... Tu ne voudrai pas goûter ça ? Termina Georges en lui désignant une pâte violette qui bougeait tout seule.
- C'est quoi ? Si c'est une de vos inventions, ce n'est même pas la peine !
- STP !
- Un tout petit bout, alors.
Il prit un morceau de cette mixture. Soudain, il se mit à éternuer fortement. Paniquée, Elisabeth lui demanda :
- Harry, ça va ? Qu'est ce qu'il passe ? Fred, Georges ?
- C'est juste un effet de la Mangetouss ! C'est tout ! Tiens Harry, bois ça.
Fred lui avait tendu une bouteille d'eau. Après cette malheureuse expérience, il se promit de ne plus rien accepter de la part des deux jumeaux, et de ne plus leur faire confiance, mais ça allait être un peu dur ! Ils avaient un don pour persuader les autres ! Il demanda aux filles :
- Y'a pas une de vous deux qui voudrait écrire l'affiche ? J'ai encore un peu de mal à écrire...
Hermione, Elisabeth et Ron éclatèrent de rires. Puis Hermione réussit à prononcer :
- Elisabeth, tu me dois 10 Gallions !
- Pourquoi ? Demanda Harry, qui n'y comprenait plus rien.
- J'avais parié que tu nous le demanderai, et on l'a déjà faite !
Elle lui désigna une affiche décorée aux couleurs des Griffondor, qui était magnifique. Elles avaient même réussi à faire étincelé les lettres.
- Merci ! Et désolé Elisabeth de t'avoir fait perdre de l'argent !
- C'est rien ! Et puis c'est pour une bonne cause ! Si on allait l'accrocher ?
- On y va tout de suite !
Ils partirent donc en direction du panneau d'affichage, Elisabeth portant le papier. Ils l'accrochèrent sur le panneau, grâce à des punaises magiques. Un groupe d'élèves arriva vers eux, attirer par l'affiche. Mais ils étaient chez les Serdaigle, et ils partirent, déçus. Les quatre amis se dirigèrent vers la Grande Salle. Le repas avait déjà commencé. Ils se gavèrent comme si il n'avait rien avalé depuis une semaine. D'un coup, Hermione s'éclaircit la voix et dit :
- Je voudrai savoir qui voudrai m'accompagner en cuisine ?
- Pour faire quoi ? Si c'est pour ta « Sale », c'est sans moi ! S'exclama Harry.
- D'abord, c'est pas « sale », mais « S.A.L.E. » ! S'énerva Hermione. Et toi ? S'adressant à Elisabeth.
- Si tu voulais bien m'expliquer, peut-être, dit elle, plutôt septique.
- C'est une association qui est pour la défense des elfes, et pour qu'ils soient payés. Qu'est ce que tu en dis ?
- Ben... Euh... Si t'y tiens ! Mais il faudrait qu'on change le nom ! dit-elle gentiment mais pas du tout convaincue.
- Et si on allait en cuisine ? Je te montrerai Dobby, un elfe qui se fait payer grâce à nous ! Allez, viens !
Elles se levèrent. Elisabeth fit un petit signe aux garçons, signe qui voulait dire « au secours ! » et elles se dirigèrent vers la cuisine. Durant tout le trajet, Hermione lui parla de ses différents projets, plus abracadabrant les uns que les autres, mais son amie ne voulait pas la vexée, et elles écouta en hochant la tête de temps en temps. Arrivé devant le tableau avec la poire, Hermione essaya plusieurs mots de passe, et finalement, après « Miam » elles purent pénétrer dans la pièce. Les elfes les accueillir avec joie. Hermione présenta Dobby à Elisabeth, puis elle entama son fabuleux discours, qui eu seulement pour effet qu'elles se firent chasser de la cuisine. Hermione entraîna sa camarade vers le dortoir pour essayer de trouver un nouveau nom. Entre l'Aide aux Elfes Maltraités « A.E.M. », l'Association pour la Libération des Elfes « A.L.E. » et Stop à l'Esclavage des Elfes de Maisons « S.E.E.M. », Hermione avait beaucoup d'idée ! Elles ne savaient que choisir. Finalement, Elisabeth la persuada de choisir« A.E.M. », qui lui paraissait le moins ridicule entre tous.
Pendant ce temps, les deux garçons finirent de manger, puis ils partirent faire une petite sieste. En début d'après-midi, ils se levèrent et ils se dirigèrent vers le stade avec le balai d'Harry et le nouveau vif d'or. Ron proposa d'aller chercher les deux filles. Ils firent un petit détour et ils arrivèrent devant la porte du dortoir des filles.
- Y'a quelqu'un ? Demanda Ron.
- Oui ! Y'a nous ! Entrez !
Ils pénétrèrent dans la pièce. Elles étaient assises sur un lit. Elles portaient deux de leurs créations : une jupe aux couleurs des Griffondor, rouge et or, et un haut à manches longues qui avait la couleur d'un arc-en-ciel, avec marqué dessus :
Aide aux Elfes Maltraités,
Une association pour défense les elfes !
Rejoignez nous !
A la vue de ces tenues, les deux garçons éclatèrent de rire :
- C'est quoi ce... Ce machin ?
- Ca ne se voie pas ? Et puis c'est comme ça. On a même cousu notre logo sur nos capes et sur nos robes ! Répondit Hermione, sur la défensive.
- Bon, vous enlevez ça, et vous venez avec nous sur le terrain de Quidditch, si vous voulez, bien sur !
- On ne les enlèvera pas ! Mais on vient.
- C'est soit l'un, soit l'autre !
- Va pour le Quidditch ! Termina Elisabeth.
Elles mirent les deux garçons dehors et elles se changèrent. Ensuite, elles sortirent et ils prirent le chemin du stade. Soudain, Hermione dit :
- J'ai oublié de prendre mon livre ! Je vous rejoins là-bas !
- A toute à l'heure !
Elle s'éloigna. Quand elle fut assez loin, Elisabeth s'écria :
- Elle est folle ! Défendre les Elfes ! C'est totalement idiot ! Ils veulent être traités comme ça !
- On aurai peut-être du te prévenir, mais elle en est devenu invivable, avec ses Elfes ! Tu pourrais essayer de la convaincre, elle t'écoute !
- Je vais essayer, mais je ne garantis rien !
- Ils sont déjà là ! Super ! A plus tard !
Harry se dirigea vers les autres joueurs de l'équipe. Après quelques mots échangés, ils commencèrent à s'entraîner. Les Poursuiveuses se faisaient des passes de plus en plus difficiles, et à part quelques ratées, c'était vraiment bien. Les deux Weasley frappaient les Cognards empruntés à Mme. Bibine aussi fort qu'ils le pouvaient, puis ils visèrent des cibles mouvantes qu'Hermione avait fait apparaître dès qu'elle était revenue. Harry volait dans tous les sens, travaillant son équilibre un peu rouillé et différentes feintes. Puis il prit son Vif d'or et augmenta la vitesse au point d'avoir mal à la tête. Il fit une petite pause pour observer les autres joueurs, et il constata qu'ils manquaient de souplesse et d'équilibre. Il prit les choses en main. Il lâcha le Vif d'or, et chacun à leur tour, chaque joueur devait suivre la petite balle. Exercice qui fut assez éprouvant, et ils finirent tous épuisés, mais ravis. Ensuite, le nouveau Capitaine les réunit pour voir comment ils allaient sélectionner le nouveau Gardien. Pour l'instant, personne n'avait de super idée, et il demanda à chacun de réfléchir pour le lendemain. Ils se séparèrent. Harry rejoigna Ron, Hermione et Elisabeth, qui étaient époustouflés.
- Eh bien, tu ne compte pas les garder vivants longtemps ! Ironisa Ron
- Au moins ils travaillent, et ça ne leur fait pas de mal.
- Je crois que je ne vais pas venir, je ne veux pas d'un dictateur pour Capitaine ! S'esclaffa Elisabeth
- Dictateur ! Et pourquoi pas assassin ? Bon, si ça ne vous dérange pas, je vais aller prendre une douche, parce que je suis assez dégoûtant !
- Je ne vais pas te contredire ! Taquina Elisabeth
- Dis tout de suite que je suis un porc !
- C'est toi qui le dis...
- Bon, c'est pas fini vous deux ! Va te laver, Harry, tu es vraiment dégueu ! Et toi, t'as pas des devoirs, par hasard ?
- Hermione, à part les devoirs, qu'est-ce qui t'intéresse.
- Ca !
Elle avait désigné le balai qu'Harry lui avait confié. Ce dernier fila vers son dortoir pour prendre une douche, il en avait vraiment besoin ! Un groupe de Griffondor et de Serpentard passa. Malefoy et Antoine menaient la petite troupe. Celui-ci les fusilla du regard et ses yeux virent au rouge sang. Les trois amis les ignorèrent et continuèrent leur chemin. Soudain, Ron vacilla et il dut s'appuyer contre un arbre.
- Ron ! Qu'est ce que tu as ?
- Rien, rien, ça va ! J'ai juste un peu mal à la tête.
- Tu es pâle comme... comme la mort ! Et tu as...
- Termine ta phrase, Elisabeth. J'ai quoi ?
- Tu as des boutons verts qui commencent à apparaître, un peu comme... Malefoy.
- Quoi ?!
Sans un mot, elles l'aidèrent à marcher jusqu'à l'infirmerie. Mme Pomfresh les accueillit nerveusement. Trois autres élèves étaient déjà allongés sur des lits, tous très pâles et recouverts de boutons verdâtres.
- Un de plus ! Je crois que c'est une épidémie, et je ne sais pas du tout d'où elle vient, ni comment la soigner. Alors, mademoiselle la Préfète-en-chef, faites attention et prévenez Dumbledore. Je l'aurais bien fait, mais je suis trop occupée avec les malades.
- J'y vais tout de suite. Et merci pour Ron. On pourra le voir quand ?
- Repassez ce soir, vers vingt heures.
- A bientôt.
Elles sortirent de l'infirmerie silencieusement.
- Tu crois qu'il va s'en sortir ?
- Je n'en sais rien, mais je vais aller faire un petit tour à la bibliothèque, on ne sait jamais.
- On devrait d'abord prévenir Harry et Dumbledore.
Sur ces mots, elles marchèrent d'un pas nerveux vers le dortoir des garçons.
- Harry ! Tu es là ?
- Je sors dans deux secondes.
Les deux filles entendaient leur camarade s'approcher de la porte. Il l'ouvrit. Il était propre et plus présentable.
- Alors ? demanda le jeune capitaine, je ressemble moins à un porc ?
- Oui. Dit Elisabeth, tristement.
- Vous avez vu un fantôme ? Qu'est ce qui se passe ? Et où est Ron ?
- Il est malade. Il est pâle et recouvert de boutons verts, comme Malefoy. Et ce n'est pas le seul. Mme. Pomfresh pense à une épidémie. On doit aller prévenir Dumbledore. Tu viens ?
- Hum... Est-ce que quelque chose s'est passée avant ?
- Non, pas que je me souvienne. Répondit Hermione.
- Vous n'avez croisé personne ?...
- Si. Malefoy, Crabbe, Goyle, et d'autres Serpentards.
- Tu oublies Antoine. Et d'ailleurs, il avait un drôle de regard.
Harry eut soudain une idée.
- C'est bien ce que je pensais. Ecouter, vous allez voir Dumbledore, mais ne lui dites rien sur Antoine, je vais écrire une lettre à mon parrain. On se rejoint dans la salle commune.
Il partit sans plus d'explications. Les deux filles haussèrent les épaules et partirent en direction du bureau du directeur. Harry couru jusqu'à la salle commune. Il prit un rouleau de parchemin et il se mit à écrire :
Cher Sirius,
J'espère que tout ce passe bien pour toi. Ici, une épidémie est annoncée. Je voulais savoir si ta proposition tient toujours. J'ai besoin de pouvoir me déplacer tranquillement et discrètement, quelque chose ne tourne pas rond. Notre prochaine sortie à Pré-au-lard est le premier week-end de Novembre, dans deux semaines.
A bientôt,
Harry
Il se leva et il se dirigea vers la volière. Hedwige arriva. Il accrocha la lettre et la laissa s'envoler. Il retourna dans la salle commune. Les deux filles n'étaient pas encore là, mais Antoine venait de descendre du dortoir. Harry s'approcha de lui.
- Pourquoi t'as fait ça ?
- Fait quoi ? Répondit-il innocemment
- Tu sais très bien de quoi je parle.
- Justement non. Tiens, tes chères amies ! Et ton copain, Weasley, il va mieux ? Il s'est écroulé tout à l'heure.
- Tu ne paies rien pour attendre...
- Excuse-moi, si ça ne te dérange pas, j'ai autre chose à faire. A plus tard...
Il sortit de la salle commune, en fixant Elisabeth, qui l'ignora. Les deux filles s'approchèrent d'Harry.
- Alors ? Qu'a dit Dumbledore ?
- Rien de spécial à part qu'on doit faire attention aux personnes qui pourrai être mêlées à cette histoire. Au fait, qu'est-ce qu'il te voulait ? Dit Elisabeth en désignant Antoine
- Pas grand-chose... C'est quelle heure, Hermione ?
- Bientôt dix-sept heures, on voulait aller à la bibliothèque, tu viens avec nous ?
- Non. Je dois réfléchir pour la sélection, demain. A plus !
Il monta dans son dortoir, laissant les filles un peu perplexes.
- Mais qu'est-ce qu'il a ? Il est assez bizarre en ce moment, tu ne trouves pas ? Demanda Elisabeth
- Si. Mais c'est un peu normal. On y va ?
- Oui... Enfin non. Vas-y, on se retrouvera ce soir à table, vers dix-neuf heures.
- Je peux te demander où tu vas ? Vous êtes vraiment tous bizarre en ce moment !
- Non, je ne te dirais rien maintenant, ça attendra ce soir !
Elle monta les marches du dortoir. Hermione haussa les épaules, et alla à la bibliothèque.
Elisabeth était allé dans la chambre d'Antoine. Il n'y avait personne. Elle se mit à fouiller, espérant trouver quelque chose de compromettant. Soudain, elle entendit des pas se rapprocher de la porte. Elle se cacha rapidement dans un placard. Son cœur battait la chamade. Elle ne pouvait pas voir ce que faisait la personne qui venait d'entrer, mais elle faisait assez de bruit. Les bruits de pas se rapprochèrent du placard. Quand il s'ouvrit, les deux personnes furent tout aussi étonnées.
- Qu'est ce que tu fais là ? Demanda Elisabeth.
- A mon avis, la même chose que toi...
- Je ne te croyais pas comme ça, Harry ! Et la sélection de demain ?
- Elle va attendre. On ferait mieux de continuer notre petit boulot, il pourrait revenir.
Ils continuèrent à chercher. Ils ouvraient livre par livre, les secouant, puis ils les remettaient bien en place. Ensuite, ils s'attaquèrent aux différents placards. Ils vidaient tous les tiroirs, toute les étagères et Harry fouina même dans la cage de son hibou. Elisabeth tomba sur une petite bouteille, remplie d'un liquide bleu, qui semblait assez... bizarre.
- Harry ! Regarde ça !
- C'est étrange ! On l'emporte ? Hermione pourrai peut-être nous dire ce que c'est.
- Non ! Imagine qu'Antoine revienne et qu'il s'en rende compte !
- Et qu'est ce qu'il pourrai faire ? Chercher qui a fait ça ? Entre temps on l'aura remis en place, et voila !
- Je ne sais pas... Et si il découvre que c'est nous ? Je ne tiens pas à me faire renvoyer.
- Mais non ! Il ne nous trouvera pas !
- J'espère...
- Bon, tu vas dehors, et tu me préviens si il arrive.
- Pourquoi ?
- Il pourrai arriver d'une seconde à l'autre !
- D'accord. Je sifflerai deux fois si c'est lui, et trois fois si c'est quelqu'un d'autre.
Elle sortit. Harry continua ses fouilles, sans rien trouver. Soudain, il entendit Elisabeth siffler deux fois. Mais il ne pouvait pas sortir. Il se réfugia dans le placard qui contenait la fiole, entre deux robes de sorciers. Antoine rentra dans la pièce. Il s'assit sur son lit, et il enleva son pull. Harry entrouvrit la porte du placard. Il fut abasourdi par ce qu'il aperçut. Antoine portait...
Dès qu'Antoine fut sorti, Harry s'empara de la petite bouteille et il se précipita dehors.
- Il ne t'a pas vu ?
- Non, mais moi j'ai vu... Tiens, prends la fiole.
- Tu as vu quoi ?
- Tout à l'heure. On devrait y aller. On a bien dut rester une heure dans sa chambre. On va voir Ron ?
- On ne peut pas avant ce soir ! Allons à la salle commune. Peut-être qu'Hermione est déjà là-bas ? Harry, tu va bien ? Tu a l'air... Bizarre !
- Si tu aurai vu ce que j'ai vu, tu serai aussi « bizarre » que moi...
- Mais qu'est ce que tu as vu ?
- Mais rien ! Dans la salle commune, je te le dirai
- Si on y allait ? Allez, viens !
- Elisabeth...
- Oui ?
Il prit une grande inspiration et dit :
- Je t'aime.
Elisabeth était submergé par le bonheur, mais un petit quelque chose la gênait. Elle lui répondit :
- Moi aussi. Mais...
- Mais quoi ?
Il la regarda de ses yeux verts. Ses yeux ... Ils rappelaient quelque chose à Elisabeth, quelque chose qu'elle s'était efforcée d'oublier durant ses quelques mois, surtout la veille eu soir, lorsqu'elle parlait avec Hermione. Ce quelque chose lui fit dire :
- Harry, non, on ne peut pas...
- Qu'est ce qui nous en empêche ?
- Mes parents...
- Tes parents ? Tu sais, on n'est pas obligé d'en parler à ton père, et puis, je ne crois pas que ça le dérangera tant que ça...
- C'est là où tu te trompes. Mais ce n'est pas de lui dont je te parlais...
Harry fronça les sourcils et son cœur s'accéléra.
- Tu parlais de ta mère, c'est ça ? Elisabeth, qui est-elle ?
Elle hocha la tête.
- Je ne peux pas le dire, j'ai promis.
- Elisabeth, dis-le moi, je ne dirais rien, je te le promets !
- Tu l'auras voulu, tu ne pourras pas dire que je ne t'aurai pas prévenu...
- Vas- y !
- C'est...
Voilà !!! J'espère que ça vous a plu ! Vous serez qui est-elle dans le prochain chapitre, pas avant ! Et
REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS REWIEWS !!!
Ca motive !!!
