Voila la suite !!!!! J'espère que je ne vous ai pas trop fait attendre !!! Mais ces idiots de profs se sont défoulés sur nous !!! Comme si ils voulaient vous faire attendre un peu plus...
Bon, passons à une partie plus intéressante
Réponse au rewiews :
Yoann : Calme toi !!! Respire un grand coup, voila la suite !!! Et je voudrai savoir comment as-tu penser que c'était Lily ? Je te rappelle qu'ils ont le même age !!! Et même chez les sorciers, il faut neuf mois !!!
Mystikal : Merci beaucoup !!! Et voila enfin la suite !!!
Ange Rogue : Merci c'est trop sympa !!! Et pour sa mère, ça arrive tout de suite après !!!
Marieve : Mais oui je continue !!!
Ryan : Je sais que ça énerve, mais c'est un peu fait pour !!!
Malissandre : Alors à toi maintenant... Merci pour les compliments, tu vas me faire rougir !!! Mais qu'est ce que t'est flémarde !!! Tu sais combien de fois je dois l'écrire par chapitre, moi, Elisabeth ? Et puis ce n'est pas si long à écrire :
E L I S A B E T H !!! Juste neuf lettres !!! Grosse faignante !!! Et comme tu as pu le voir, même en me connaissant, tu sauras rien !!! Ca t'énerve, hein ? Et si Maud (Maud, c'est sans « e ») sait tout, toi c'est faucon, alors... Et y parai qu'une certaine Maya aurait entendu quelques infos sur une certaine fic, je me trompe ? (C'est juste une intuition féminine, aidée par un petit doigt !!! Et confirmer par toi !!!) Je me grouille d'écrire, qu'est ce que tu crois ? Mais ces imbéciles de profs ils nous assomment avec tous leurs devoirs, tu ne trouves pas ? Ben si tu trouves, on a à peu près les même cours !!! Et tu ne pourrai pas, juste une fois, me traduire ce que tu me mets à la fin du rewiew ? Je comprends juste la dernière phrase !!! Parce que moi et l'anglais, comme tu le sais, ça fait plutôt 4 millions !!! Et puis arrête de tomber malade, parce que si je te vois pas, je suis démoralisée et j'écris moins vite !!!!!!! Donc c'est de TA faute (entre autres...) si j'ai mis mon chapitre si tard !!!
Maya : Merci pour tes rewiews, et puis voila la suite !!! (Je sais que je commence un peu à me répéter !!!) Ah oui, contrairement à ce que tu m'avais dit au téléphone, ce n'est pas McGonagall la mère d'Elisabeth !!! (Elle est folle celle là !!!)
J'allais oublier (je vous fais encore attendre, hein ? C'est pas du tout fait exprès !!!) :
JE DEDIE CE CHAPITRE A MAYA (ET A AF) !!! (PS : J'interdit formellement à cette dernière de me tuer !!!)
Après tout mon blabla, je vais enfin vous laissez lire l'histoire elle-même. Vala !!!
(En fait, j'ai plus rien à dire pour vous faire encore un peu patienter, donc je me la ferme et je vous laisse lire !!!)
7 Révélations
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Fin du chapitre précédent :
Harry fronça les sourcils et son cœur s'accéléra.
- Tu parlais de ta mère, c'est ça ? Elisabeth, qui est-elle ?
Elle hocha la tête.
- Je ne peux pas le dire, j'ai promis.
- Elisabeth, dis-le moi, je ne dirais rien, je te le promets !
- Tu l'auras voulu, tu ne pourras pas dire que je ne t'aurai pas prévenu...
- Vas- y !
- C'est...
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- Elisabeth, dis le ! Après, tu te sentiras soulagé d'un grand poids !
Elle prit une grande inspiration, et regarda Harry dans les yeux :
- C'est... Lily.
- Lily... Potter ?
- Oui... (Bravo Yoann !!!)
Harry ne put dire un mot. Comment était-ce possible ? Sa mère et Rogue... ? Un tas de questions se bousculaient dans sa tête. Il commença par la plus simple
- Co... Comment... ?
- Je vais tout t'expliquer. A peu près un an et demi avant ta naissance, Lily a quitté James, pour Severus. Et neuf mois plus tard, je suis née de cet « amour ». Mais Lily s'est rendu compte qu'elle n'aimait pas mon père, que ce n'était que par désespoir, et elle m'a abandonné, me laissant avec mon père, qui l'aimait trop pour dire quoi que se soit, et personne n'a jamais su qu'elle était ma mère. Quand je l'ai appris, j'étais flattée, tu étais quand même mon frère, et aussi dégoûtée qu'elle m'est abandonnée, enfin tu me comprends. Ensuite James et Lily t'on eu, et tu connais la suite... Tu as tout compris ?
- Presque tout. Mais tu devrais être en 6ème année ?
- En fait, quand je suis rentré en 2ème année, je venais d'apprendre toute la vérité sur ma mère, et je ne suivais pas du tout les cours. Du coup, j'ai du refaire ma 2ème année.
- D'accord. Mais pour quoi mes parents se sont séparés ?
- Je n'en sais pas plus que toi, et mon père non plus, enfin je crois ! Tu comprends pourquoi mon père te déteste à ce point ? Lily l'a quand même abandonné, il ne l'a pas très bien vécu, et tu en paies les frais. Tu sais aussi pourquoi tu es venu chez moi, et pourquoi tu ne dois rien dire à personne. Il faut juste que j'en parle à Hermione, sinon elle ne va pas tout comprendre...
- Comprendre quoi ? demanda Harry, l'air amusé
- Quelque chose, espèce de curieux ! Bon, ça va aller ? On devrait descendre...
- Je suis juste un peu étonné, je viens quand même d'apprendre que j'ai une frangine !!! On descend ?
Ils descendirent ensemble, souriants et heureux. Hermione était déjà en bas, elle faisait son devoir de Potions. Quand elle les aperçut, elle eu un petit sourire, qui masquait une petite pointe de jalousie. Ses deux amis s'approchèrent et s'assirent à la table.
- Vous étiez où ? Si ce n'est pas indiscret, bien sur... Tu ne devais pas réfléchir pour la sélection du gardien, toi, par hasard ?
- En fait, je voulais aller fouiller dans la chambre d'Antoine. Je ne t'ai rien dit... Et je vois que j'ai eu raison ! dit Harry
Hermione faisait en effet un drôle d'air.
- Avant que tu nous fasses un de tes grands discours, je continue. Donc je rentre dans sa chambre, et je me dirige vers le premier placard, et devine qui je vois, planquer à l'intérieur ? Elisabeth ! On avait eu la même idée, plutôt fructueuse... Ensuite, elle a monté la garde dehors. Quand il est arrivé, j'ai eu le temps de me cacher dans le placard. Et là...
- Là, il ne veux rien me dire ! ajouta Elisabeth
- Si tu me laissais parler ! Quand il a enlevé son pull, j'ai vu qu'il avait... La marque des Ténèbres ! termina Harry.
Les deux filles étaient consternées. C'est Hermione qui a réagi la première.
- Tu... Tu es sur ?
- Oui, je ne suis pas encore sénile ! Et on a aussi trouvé cette fiole dans son placard. Tu sais ce que c'est ?
Elle observa attentivement le flacon.
- On dirait... Je ne sais pas... C'est très étrange... Harry, passe-moi une fiole vide, dans mon sac... Merci.
Elle versa un peu de la mixture dans son flacon, pour pouvoir l'étudier plus tard à son aise.
- Va vite le remettre ! On le retiendra si il arrive.
Harry fonça vers la chambre d'Antoine, et il remis le flacon à sa place. Quand il arriva dans la salle commune, il était essoufflé.
Elisabeth et Hermione parlaient à voix basse, et cette dernière avait l'air très étonnée.
- Donc, c'est ton demi-frère ?
Harry les interrompit.
- Désolé, Hermione, mais tu te trompes.
Elisabeth et Hermione le dévisagèrent.
- Harry... ? l'interpella Elisabeth, on dirait que tu n'as pas tout compris !
- Mais si ! Laisse moi finir ! Tu n'es pas ma demi-sœur... Mais ma sœur tout court, si ça ne te dérange pas, bien sur.
Le sourire que lui rendit Elisabeth suffit de réponse à Harry.
- Tu as vraiment grand cœur, Harry ! Où plutôt... frérot !
- Elisabeth, même si ce surnom ne me dérange pas, quoique... Je te rappelle que personne à part nous, ne doit être au courant, c'est toi qui nous l'as dit, et si tu m'appelles comme ça, je crains que certains comment à avoir quelques doutes !
Ils piquèrent tous un grand fou rire, se qui attira le regard des autres élèves présents.
- Et pourquoi tu as quoique ? demanda Elisabeth à voix basse
- Si tu es ma sœur, certains vont penser que Rogue est mon père, et tu me comprends, ce n'est pas mon rêve, et lui non plus, je crois !
A ce moment là, un des nombreux coussins qui se trouvait sur les fauteuils, atterri dans la tête d'Harry, et ils continuèrent à rire pendant un bon moment.
- On... On devrait se... Se calmer et... commença Harry, qui ne put finir sa phrase tellement qu'il riait
Après une bonne demi-heure passer à rire, le trio parvint à se calmer.
- On va manger ? J'ai vraiment très faim ! demanda Elisabeth,
Ils partirent donc vers la Grande Salle, où déjà la majorité des élèves étaient en train de manger. Antoine s'était installé chez les Serpentard, ce qui étonna quand même quelques personnes, qui n'avaient pas remarqué qu'il traînait souvent avec Malefoy et ses deux gorilles.
- Qu'est ce qu'il fait là-bas ?
- Et en plus il est avec Malefoy, Crabbe et Goyle !
- C'est une honte !
- Pourquoi le Choixpeau l'a envoyé chez les Griffondors ? Les Serpentards, c'est sa place !
Hermione murmura à ses amis :
- Je sais pourquoi il est chez les Griffondors. Il a du forcé le Choixpeau, pour pouvoir être plus près de toi, Harry ! Et... Je crois que j'ai trouvé ce que renfermait cette fiole...
- Ah oui ? Dis le nous !
- Pas encore, je ne suis pas sur, et il y a des oreilles qui traînent... Et pour le Quidditch, demain, tu prévois ça comment ? ajouta t'elle en haussant la voix
- Je ne sais pas trop... Et pas devant une candidate ! dit-il en désignant Elisabeth, ...même si c'est ma sœur ! ajouta t-il à voix basse.
Il éclata de rire, mais soudain en regardant les frères Weasley, Hermione se rappela que Ron était toujours à l'infirmerie. Du coup, l'ambiance tomba, et ils mangèrent dans le plus grand silence. Quand ils arrivèrent au dessert, Harry demanda :
- On va le voir ? Je n'ai vraiment plus faim...
- Oui, répondit Elisabeth, on y va.
Ils sortirent de la salle, sous les regards étonnés de tout les élèves et professeurs. McGonagall allait dire quelque chose, mais Dumbledore lui murmura quelque chose à l'oreille et elle ne dit rien. Une fois sortis, ils marchèrent vers l'infirmerie, lentement et en silence. Lorsque Mme Pomfresh les vit arriver, elle se montra assez accueillante, se qui était rare chez elle. Hermione regarda les deux autres, qui étaient comme elle, pas du tout rassuré.
- Vous venez voir votre ami, Mr Weasley, c'est ça ? demanda l'infirmière
- Oui, répondit Elisabeth d'une voix chevrotante, on vient voir Ron
- Entrez, mais... je dois vous dire qu'il est dans un état second, et qu'il en vous entendra sûrement pas.
Le trio était abasourdi. Ils commencèrent à rentrer dans la pièce où se trouvait Ron, mais Hermione ne put aller jusque là, elle sortit en courant, en larmes. Elisabeth suivie son amie, laissant Harry seul avec Ron. Ce dernier était allonger, les bras le long du corps, pale comme jamais il ne l'avait été, et parfaitement immobile. Si Mme Pomfresh ne lui avait pas dit qu'il était vivant, Harry aurait presque cru qu'il était... mort. Il n'en pouvait plus de voir son ami comme ça, il se dirigea vers l'infirmière et lui demanda :
- Qu'est ce qu'il a ?
- C'est cette épidémie, il semblerai qu'il... Qu'il soit dans une sorte de... Comment dire, dans une sorte... de coma.
- Et c'est de mieux en mieux... ou de pire en pire ? questionna Harry, d'une voix très faible.
- Pour l'instant c'est plutôt stable, mais ce n'est pas rassurant, je commence à avoir peur pour lui... et les autres malades. Tu devrai partir Harry, tu l'as assez vu. Aller, courage !
Harry était au bord des larmes et de la crise de nerfs, mais il parti sans plus tarder. Les deux filles étaient dehors, Hermione pleurant à chaudes larmes.
- Calme toi Hermione, lui dit Harry, il est encore vivant et il devrait s'en sortir ! Enfin je crois... ajouta t'il a voit basse.
- Comment ça « enfin je crois » ? demanda Elisabeth, septique, qu'est ce que Mme. Pomfresh t'as dit ?
- Je vous le dirai dans la salle commune. Et il faut aussi que j'aille voir McGonagall pour reporter la sélection, et peut-être donner ma démiss...
- Il en est hors de question, Harry, je te l'interdis ! lui hurla Hermione, qui ne pleurai plus, ce n'est pas ce qu'il aurai voulu, j'ai suis sûre ! Alors tu vas la faire cette sélection, et si tu reparle une seule fois de démission, je t'arrache les yeux. Tu as compris j'espère ?
- Oui, oui, dit Harry, calme toi Hermione ! On va se coucher, je suis fatigué. Je sais qu'il n'est pas très tard, mais ça nous ferai du bien à tout les trois.
- Bonne idée.
Ils arrivèrent dans la salle commune, bondée à cette heure. Fred demanda à Harry :
- Vous étiez où ?
Les trois se regardèrent.
- Fred, commença Harry, ton frère ne va vraiment pas bien. Il est à l'infirmerie, tu devrai allez le voir avec Georges et Ginny. Bonne nuit.
Harry, Elisabeth et Hermione montèrent se coucher, laissant Fred légèrement affolé.
- Harry ! dit soudainement Georges, pour demain, c'est annulé ?
- Non, ce n'est pas ce que Ron aurai voulu, alors on la fait cette sélection. A demain !
Il fila sur ces mots. Arrivé dans le dortoir, il éclata en sanglots et il ne put presque pas dormir, l'image de Ron allongé sur son lit, dans le coma, restant gravé devant ses yeux.
Quand il se leva, il repensa à toute la soirée d'hier mais il se força à penser au Quidditch. Il s'habilla en vitesse et il descendit dans la salle commune. Hermione était déjà là, en plein travail, mais pas Elisabeth.
- Oh, salut ! T'en a mis du temps, c'est 10H30 !
- Salut.
- Au fait, tu vas faire comment cette après-midi ?
- Franchement, j'en sais rien. Je compte sur les autres. Et Elisabeth, elle est pas réveiller ? Si jamais elle est prise, il faudra qu'elle se lève plus tôt !
- Mais elle est réveillée, rigola Hermione, elle ne veut pas te voir, elle croit que ça va lui porter malheur !
- Quelle superstitieuse ! Bon, j'ai faim. Tu viens ?
- Oui.
Ils partirent ensemble vers la Grande Salle, où ils prirent un rapide petit déjeuner. Ensuite, de retour dans la salle commune, Harry aperçut Elisabeth, caressant son hibou noir.
- Bonjour Elisa !
Celle-ci sursauta :
- Harry ! Bonjour, tu vas bien ?
- Oui, oui, miss superstitieuse ! Il parait que je porte malheur ?
- Mais... non, j'ai jamais dit ça ! dit-elle, mal à l'aise.
- Mais oui ! Au fait, tu l'as appeler comment ? dit Harry en désignant le hibou.
- Elle ? Voldie, pourquoi ?
Hermione et Harry dévisagèrent Elisabeth, qui ne put contenir son fou rire.
- Je rigole ! Elle s'appelle Ténèbre. Ca lui va bien, non ? Et en parlant de hibou qui s'occupe de celui de Ron ?
- Il est à la volière, il se débrouille tout seul ! Et puis Ron ne s'en n'est encore jamais occupé et encore moins servi depuis le début de l'année, et je ne sais même pas si il a un nom !
- Qu'est ce que tu veux, Ron, c'est Ron ! dit philosophiquement Hermione, assez parler de hibou, passons au scarabée...
- Tu peux traduire, Hermione, s'il te plait, demanda Elisabeth
- Harry, je te laisse lui raconter...
- Tu connais Rita Sketeer, la journaliste ?
- Bien sur ! C'est une garce, elle dit n'importe quoi sur tout le monde ! Mais ça fait un moment qu'elle n'a pas écrit.
- Un scarabée ne peut pas écrire, Elisabeth ! dit Hermione
- Je vais t'expliquer, commença Harry, en fait, l'année dernière, elle a écris plein de vacheries sur moi, Hagrid et Hermione. On se demandait comment elle avait su toutes ses choses. Finalement, Hermione a compris qu'elle était un animagus non déclaré, et qu'elle se transformait en scarabée. Hermione a réussi à la capturer dans un bocal et à lui faire promettre de ne plus écrire pendant un an dès qu'elle l'aura relâché...
- ...Mais je n'avais pas envie de la libérer, poursuivi Hermione et elle est encore dans son bocal, en train de s'amuser avec quelques brindilles.
- Et tu vas en faire quoi ? demanda Elisabeth
- J'en sais rien, peut-être la livrer au ministère ou à Dumbledore. Elle le mérite ! Mais si je trouve pire, je le ferai...
Soudain, Hedwige pénétra par la fenêtre et alla se poser sur l'épaule d'Harry.
- Et bien tu as fait vite !
- C'est qui ? demanda Elisabeth
- Sirius.
- Quoi ? Sirius... Black ?
- Je ne t'ai pas expliqué ? Je vais t'explique. Bon, alors...
Il parti dans un grand récit, qui dura une bonne heure.
- Tu as tout compris j'espère, parce que je ne vais pas tout recommencer ! Hermione, c'est quelle heure ?
- Presque midi, lui répondit-elle en étouffant un bâillement. On va manger ?
- Oui, j'ouvrirai la lettre plus tard.
Le trio partit vers la Grande Salle, pleine à craquer. En s'installant, ils aperçurent Antoine, au bout de la table, seul. Harry dit aux deux autres :
- Asseyez-vous, j'ai deux mots à lui dire...
Mais Hermione l'interrompis :
- Non ! Tu veux lui dire quoi ? Tu n'est pas sensé être entré dans sa chambre, ni savoir ce que tu sais ! On a rien contre lui, alors assis toi et mange.
Harry lui obéit, à contrecœur. Il mangea peu, contrairement à Elisabeth, qui se goinfra plus que jamais.
- Elisabeth ! Tu ne pourra plus voler, ton balai ne pourra pas supporter ton poids, lui dit Hermione
- J'ai faim ! lui répliqua t'elle, ça m'empêche de stresser pour tout à l'heure.
- Eh bien ! ironisa Harry, qu'est ce que ça va être avant un match de Quidditch, les elfes vont avoir beaucoup de travail à cause de toi !
Sur le coup, il ne se rendit pas compte de la gaffe qu'il avait fait en prononçant le mot « elfe ». Hermione fit une drôle de tête, mais au grand soulagement d'Elisabeth et de Harry, elle ne dit rien. Antoine se leva, ce qui produit chez Harry une fureur qu'il ne put contenir, mais les deux filles avaient pressenti cette colère et elles le saisirent, chacune par une manche de sa robe, et il se retint d'écraser la tête du brun. Après qu'Elisabeth eut finie tout les plats qui se trouvait sur la table, ils purent enfin sortirent de la Grande Salle, où ils étaient restés une bonne heure. Harry demanda à Elisabeth :
- Au fait, Elisa, tu voudrai bien nous prêter ton lanceur de Souafle ? Ca serai très pratique pour la sélection.
- Je sais pas... J'aurai quelques avantages, en échange ? Mais oui, je te le prête !
- Je crois que je vais y aller tout de suite, dit Harry, ça ne vous dérange pas ?
- Non, vas –y !
Harry prit le Lanceur de Souafle, son Eclair de feu et son vif d'or. Il se dépêcha d'arriver sur le terrain. Il se sentait bien dans ce lieu ! Il posa tout ce qu'il avait emmené, il enfourcha son balai et décolla dans les airs. Il sentit le vent ébouriffé ces cheveux, et cette sensation de bonheur qu'il ressentait à chaque fois sur un balai était encore plus présente que jamais. IL oublia tout, et même Antoine sorti de son esprit. Il vola pendant un bon moment et il ne se rendit pas compte que les autres joueurs étaient déjà. Fred lui hurla de redescendre, mais Harry ne l'entendait pas. Se fut les éclats de rire de ses camarades qui résonnait sur tout le stade qui le ramena à la réalité. Quand il atterri, il leur dit :
- Excuser moi...
- Tu es devenu sourd ? lui demanda l'un des deux jumeaux
- J'étais concentré, c'est tout ! Est-ce que quelqu'un à l'heure ?
- Oui, lui répondit Angelina Johnson, c'est 14H10.
- Alors, qui à un idée ?
- C'est qui le capitaine ici ? lui rappela Georges
- O.K. ! Je vous propose d'utiliser ce lanceur de Souafles, on prendra celui ou celle qui en rattrapera le plus sur cinq, et après on fera un essai avec nos trois poursuiveuses, pour s'assurer que c'est bien la bonne personne. Vous êtes d'accord ?
- Oui, c'est bien, répondit Alicia Spinnet.
- On ne pourrai pas rajouter un petit quelque chose, demanda innocemment Fred
- C'est-à-dire ? demanda Harry qui était sur ses gardes avec les jumeaux
- Eh bien on aurai pu leurs lancer quelques Cognards, pour voir si il ou elle tient le coup ? répondit Georges
Des éclats de rire fusèrent, et tous acceptèrent cette proposition avec le sourire. Ils s'installèrent sur les gradins. A 14H25 les premiers candidats arrivèrent, et Katie Bell se proposa pour inscrire leurs noms sur une liste. Vers 14H35, tous les prétendants étaient là et le sélection put enfin commencer. Harry demanda à Katie combien y avait-il de personnes à peu près. Elle lui dit qu'il y avait une cinquantaine de postulants. Ils commencèrent par un garçon qui s'appelait Ernie Lenn, qui avait le même âge qu'Harry. Il prit place devant les buts, mais il ne rattrapa aucun Souafle. La sélection se poursuivit, et aucun des vingt premiers ne pouvant prendre la place d'Olivier Dubois. Les autres joueurs de l'équipe commençaient à désespérer. Mais en voyant Elisabeth, Harry reprit le sourire. Elle prit place et l'évaluation commença. Elle rattrapa tout les Souafles sans trop de problème, et toute l'équipe eut un grand sourire après son passage. Soudain, Harry crut qu'il rêvait : Antoine se tenait devant lui et il monta sur son balai, et à la stupéfaction générale, il attrapa tout les Souafles, comme Elisabeth. Une fois que tous les candidats avaient passés cette première épreuve, il ne resta plus qu'une dizaine de personnes. Les poursuiveuses passèrent à l'action, et d'emblée sept des « finalistes » furent éliminer, mais Elisabeth resta en course, ainsi qu'un garçon qui s'appelait Chris Kowling (ne me demandez pas où j'ai été pécher ce nom...) et au grand désarroi d'Harry, Antoine avait aussi résister aux poursuiveuses. Fred et Georges lâchèrent les Cognards sur chaque gardien, et Chris Kowling en reçu un en plein dans l'estomac au bout de deux secondes, il fut donc éliminé et emmené à l'infirmerie par ses amis. Ensuite se fut au tour d'Elisabeth, puis d'Antoine, et les deux étaient tout aussi bon, mais les mouvements d'Antoine était moins souple et se fut donc Elisabeth qui eu le poste de gardien, mais de justesse. Harry se chargea de lui annoncer la nouvelle :
- Elisabeth ! C'est toi qui as été prise !
- Génial ! C'est trop bien !
Elisabeth sauta de joie et elle mis un moment à se calmer. Harry demanda à Angelina :
- C'est quelle heure ?
- Oh ! Bientôt 16 heures.
- Déjà ?
- Oui.
Harry appela tout les joueurs et ils leurs dit :
- On commence l'entraînement le week-end prochain, samedi après-midi, vers 13 heures.
- Harry, s'exclama Fred, on est même pas en Novembre !
- Et alors ? Je veux qu'on gagne la coupe, et on s'entraînera aussi longtemps qu'il le faudra et on commence le week-end prochain, pas de discutions.
- Bien mon général ! lui répondit Georges
- Garde-à-vous, c'est un ordre ! répliqua Harry
Un fou rire général mit fin à la discussion, et chacun parti de son côté. Elisabeth rentra avec Harry et ils rejoignirent Hermione et Ron dans la salle commune, ils n'avaient pas eu le droit de venir à la sélection, parce que Harry avait estimé que les spectateurs auraient pu les déranger, et qu'il ne pouvait pas faire d'exceptions, même pour eux. Ce petit discours lui avait valu quelques remarques désobligeantes de la part d'Elisabeth. Quand ils rentrèrent dans la salle, leur ami travaillait. Elisabeth l' interrompit :
- Alors ça bosse ici ?
- Oh, Elisa ! Ca c'est bien passer, lui demanda Hermione
- En fait, c'est-à-dire que... Je n'ai pas été prise...
- Tu n'as pas été prise ? C'est qui alors ? dit Hermione
- Hermione, je suis désolé de te dire ça, commença Harry, mais c'est Antoine qui a eu le poste de gardien...
Hermione était tellement étonnée qu'elle laissa tomber son livre, et Harry ne put rester sérieux plus longtemps. Il éclata de rire, suivi par Elisabeth. Au bout de quelques instants, le jeune sorcier parvint à articuler :
- On rigole ! Bien qu'Elisa a été prise ! Mais Antoine n'était quand même pas loin derrière elle, pour vous dire la vérité !
- Raconte !
Harry raconta en détails ce qu'il s'était passé. Dès qu'il eu fini sa tirade, Hermione s'exclama :
- C'est normal, Antoine en profite...
- Tu pourrai être plus claire, s'il te plait ? demanda Elisabeth
- Il est bon en Quidditch, c'est une certitude, mais il ne serai jamais aller à la sélection si tu n'avais pas été l'un des joueur. IL voulait tenter une fois de plus d'être plus près de toi ! Après s'être servi de son amitié avec Elisa, il est passé au Quidditch.
- Attend... l'interrompis Harry, et Mal...
Soudain, sans plus d'explication Harry se leva brutalement et il sortit de la Salle Commune, visiblement très en colère. Une fois dehors, il se dirigea vers les cachots, et plus précisément vers la Salle Commune des Serpentards. « Pourquoi n'y ais-je pas pensé plus tôt ? Quel con celui-là ! Se servir d'elle, il va me le payer... » pensa Harry. Il arrivai vers l'entrée des cachots, quand une main se posa sur son épaule, ce qui le fit sursauter.
- Harry, arrête toi.
Il se retourna :
- Qu'est ce que tu fais là, Elisa ?
- Je ne suis pas aussi idiote que ça, j'ai compris, tout comme toi, lui répondit Elisabeth
- Compris quoi ?
- Qu'il s'était servi de moi, et ça ne m'étonne pas. Alors laisse tomber, tu es très énervé et tu vas t'attirer des ennuis, ils ne le méritent pas, ni l'un, ni l'autre. Viens, on retourne dans la Salle Commune.
Elle lui attrapa le bras et l'emmena, presque de force dans la tour des Griffondors. Quand ils pénétrèrent dans la salle, Hermione les dévisaga :
- Ca vous prend souvent à tous les deux de partir comme des malades sans dire pourquoi ? ironisa t-elle
- En fait, c'est à cause de Malefoy et d'Antoine
- Je vais me le faire... murmura Harry
- Quoi ? demanda Hermione
- Je vais me le faire... répéta t'il
- Je vais t'expliquer, dit Elisabeth, si Harry me laisse parler. Tu te souviens du début d'année, après le Poudlard Express, quand on s'est disputé ? Je me suis rapproché d'Antoine, et je suis sorti avec Malefoy.
- Malheureusement oui, je m'en souviens, dit Hermione
- Justement, à mon avis, il s'est servi de moi... Pour Harry.
- JE VAIS ME LE FAIRE ! hurla Harry, comment as t'il oser !
- Harry ! s'exclama Hermione, indignée par son vocabulaire, heureusement que la salle est vide ! Calme toi, de toute manière tu ne peux rien faire ! Et puis tu sais ce qu'on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid...
Voila, c'est fini pour le moment !!!!!!! Et puis... REWIEWS !!!!!!!! Ca motive vraiment !!!!!!!!!! Et je me répète peut-être, si vous n'avez pas eu la suite tout de suite, c'est à cause : des profs et de Malissandre (elle avait qu'a pas être malade !!!!)
Je devrai mettre la suite dans 2 semaines, normalement, et je me grouille !!!
P.S. : Excusez moi pour mes erreurs, comme me l'a fait remarquer Yoann, et j'ai pu replacer le bon chapitre !!!!!!!! Merci Yoann !!!!!!!!!!!!
