Chapitre 17

révélation

Harry était épuisé. Il ne dormait presque plus, il travaillait dur, et n'avait plus beaucoup de temps pour ses amis. Entre ses cours pendant la journée, ses entraînement pour l'équipe de l'école et celle de Griffondor, il n'avait lpus de temps pour rien. Il devait donc se fier sur ses amis pour l'aider. Le professeur Lupin et Mcgonagal avait renoncer à lui donner des devoirs, mais il devait travailler fort en classe pour rattrapper ses retards. Quant au professeur Rogue, il donnait encore plus de devoir à celui-ci, histoire de l'énerver. Harry n'avait plus une journée de libre, même pas le week-end qu'il entre ses entraînements avec Marika et le Quidditch. Il était épuiser, mort de fatigue, mais il tenait le coup gràce au promesses de ses amis, de faire ses devoirs et de l'aider quant il aurait besoin d'aide. Le match de quidditch contre Pouffsoufle était dans une semaine. Pendant son cours de métamorphose, Harry ne tenait plus debout, même plus assis. Pendant que le professeur donnait des explications, Harry tomba de someil, ne pouvant plus y resisté. il sursauta lorsque le professeur Mcgonagal vint poser sa main sur son épaule. -Je sui désoler professeur, excusez moi... marmona Harry honteux de s'être endormi. -Mr Potter, ceci est une salle de classe, mais je vois que vous avez l'air mal en point. Que faitez vous de vos soirée de libre, vous devriez dormir. -Je n'ai pas une seule soirée de libre, le soir, j'ai des entraînement de Quidditch, ainsi que des entraînements personnels, je dois me coucher passer minuit si je veux faire tous mes devoirs, et me lever tôt le lendemain pour les terminer, en plus de mes cauchemards, je dors enviRons cinq heure par nuit. -Vous en faites trop Mr Potter, vous devez avant tout vous reposer, je vous donne l'avant midi, allez dormir un peu. Harry se leva difficilement, essaya de prendre ses affaires mais Ron lui fit signe qu'il allait les prendre en sortant. Reconnaissant, Harry sourit faiblement et sorti de la classe. Patmol le suivait tranquilement en lui lancant des regard inquiet. Harry était épuiser, il ne dormait plus, il était mort de fatigue. Harry avançait tant bien que mal, mais il avançait avec beaucoup de difficulté. Puis, Harry ne pouvait plus résisté. Devant une classe vide, il s'éfondra, épuiser. Patmol s'approcha de lui pour le réveiller, rien à faire, il dormait comme un bébé. Il regarda autour de lui, s'assurant que personne ne les regardait puis repris sa forme humaine. Il pris Harry, qui était mou comme un linge, dans ses bras. -J'espere que personne ne va nous voir. Murmura-t-il en montant les marche jusqu'à la salle des Griffondor. Arrivé devant le tableau, la grosse dame pris un visage apeurer. -Je vien porter Harry dans son dortoir, il s'est endormi et impossible de le réveiller, laiser moi passer, micusis. Le tableau pivota et le laissa entrer, non sans réticence. Il escalada les marche jusqu'au dortoir qui était vide. Il coucha Harry sur son lit, lui enleva ses lunette, le déchaussa et le recouvrit de sa couverture pour reprendre sa forme de chien et se coucher sur ses pied, bien dessider à le surveiller.

Dans son sommeil, Harry était bien. Il savait que cette fois, il na ferait pas de cauchemard mais bien, un rêve et il espérait de tout coeur revoir le magnifique phénix. Il faisait toujours aussi noir dans ses rêves. Puis, il y eu un éclair, et le phénix apparut devant lui. -Tu voulait me voir? L'interogea l'oiseau, je suis là, et j'ai des choses à te dire. Mais vas-y, commence. -Et bien, je m'inquiet pour Marika, elle ne veut pas me parler, elle sourit, mais je le vois bien qu'elle est malheureuse. Même l'arrivé de Rémus, ne lui à pas rendu tout à fait son sourir. Je ne veux pas qu'elle fasse quelque chose qu'elle pourrait regretter. -Elle à besoin d'aide, mais selon elle, tu est la dernière personne à qui elle devrait dire ce qu'elle cahe, oblige la à parler, oblige la à se confier, mais pas le jour, attend que tous soit endomi, va la rejoindre, oblige la à parler, écoute la jusqu'au bout, même si ce qu'elle te dit te dégoute et t'orifie, n'oublie pas que tu peux lui faire confiance. Cependant, elle n'en peut plus, demain, il sera trop tard, elle pourrait commettre l'iréparable, ce qui ne ferais qu'agraver son malheur, va la voir, ce soir. Prend ta cape et la carte, et aussi, il est temps que tu utilise ton cadeaux d'anniversaire, prend la bleu et la verte avec toi, elle vont t'aider à compredre. Maintenant que j'ai répondu, il me reste une chose à te dire. Voldemort est incapable de se servir de la magie. Pourquoi? Il souffre à chaque fois. Quand il utilise la magie, ta cicatrice te fait mal, et par conscéquant, lui fait mal. Vous êtes lier par le sang, un lien fort et puissant, et il veut le rompre. Pour ce, il à besoin d'un sang aussi fort que le tien, ou même encore plus fort. Ne le laisse pas approcher Marika, elle est forte, mais elle ne pourra pas résister longtemps. N'est pas peur pour ta vie, tu est pour l'instant immortel. Marika le sais pourquoi, demande le lui. Garde cette plume avec toi, si jamais tu as besoin de moi, je serais là, tu n'aura qu'a m'appeller. Maintenant, il est temps que tu te réveil. Au revoir. Harry regarda dans sa main. Il y avait une plume rouge, la plume de sa queue, il le lui avait donner.

-Harry! Harry! Harry se reveilla en sursaut. Il y avait un visage pencger sur lui. Il tendit la main pour prendre ses lunettes, les mits sur son nez. Sirius était pencher sur lui l'air inquiet. -Sirius, quest-ce que tu... il n'eut pas le temps se termiener sa phrase, la porte du dortoir s'ouvit et laissa entrer quatre personnes. Le coeur de Harry ne fit qu'un bond. Dean, Seamus, Néville et Ron venait d'entrer dans le doroir pour prendre de ses nouvelles. Quant ils entrèrent, ils s'arrêterent net. Ron ferma la porte derière eux pour qu'ils ne senfuient pas, fermer par un sortilège que seul lui ne pouvait rompre. Néville ouvrit la bouche pour crier, mais Ron fut plus rapide et lui colla la main devant la bouche. Seul un cri aigu et étouffé sorti de sa bouche. Dans la salle, le cri résonna sourd, mais tous l'entendirent. -Ne crier pas, les suplia Sirius avec un air de chien battu. Dean et Seamus était rester pétrifier. Aux parole de Sirius, Dean reprit ses esprit et riposta. -Ne pas crier? Vous êtes le plus grand meurtrier de la planet apres vous- savez-qui et vous nous dites de ne pas crier? Dean ouvrit la bouche, mais Harry fut plus rapide. Il sauta sur ce dernier et lui bloqua la bouche. -Ne crier pas, je vous en suplie, murmura Harry à l'oreille de Dean, je vais tout vous expliquer, il ne vous fera pas plus de mal qu'il ne m'en à fait, je vous en pris, taisez vous. Dean se débatait. Il voyait Sirius avancé vers Seamus qui avait enfin réagit. Sirius étant plus fort que Seamus n'eut aucun mal à l'immobiliser même si le jeune homme se débattait. -Si vous voulez nous écouter sans crier, on va vous lacher. Dit Ron. Mais sinon, nous devRons vous faire oublier ce que vous avez vu ici, nous n'auRons pas le choix. Néville cessa de gigoter mais tremblait fortement. Dean mit quelque seconde à réagir. Quant à Seamus, il ne pouvait simplement pas bouger. -Bien, dit Harry en lachant prudement Dean qui lui lança un regard soupçonneux. -Vas-y raconte, lança-t-il à l'adressedu jeune homme. -Bien, vous vous souvenez de notre troisième année où je faisait l'objet de surveillance constante sous prétexe que Black voulait ma peau? Les trois jeunes Homme aquiecère, perplexe. -Un soir, enchaîna Harry, je me suis retrouver dans la cabane hurlante et Sirius y était... Harry raconta en détail ce qu'il avait vu cette soirée là tout en évitent de parler du retourneur de temps. À la fin de son réçit, les trois garçon était cidérés. -Petigrow est toujours vivant? C'est impossible. -Et pourtant ça l'est. Répliqua Sirius. Jamais au grand jamais je n'aurais fait de mal à Harry, ni à aucun d'entre vous, je me sens tellement coupable de la mort de Lily et James, la moindre des choses est que je protège mon fieul et ses amis. -Son fieul, s'enquit Seamus. Vous êtes sont parrain? -Bien sur! -Maintenant, vous devez garder ceci pour vous, il n'y a que le professeur Dumbledore et Lupin qui soit au courant que Sirius est ici, oh et le professeur Rogue mais... -Quest-ce qui se passe ici? Ouvez cette porte en vitesse Cinq pairs d'yeux se tournèrent vers Sirius qui prix aussitôt sa forme de chien avant de voir Ron ouvrirent doucement la porte. Le préfet devant la porte les reagarda sévèrement. Il ouvrit la bouche mais fut intercepté par Marika qui entrait en furie dans le dortoir, se doutant de ce qui venait se passer dans la salle. -Vous trois, dehors! Dit-elle en désignant Dean, Seamus et Néville. Vous, cous restez là, continua-t-elle en regardant les deux garçons et le chien, et toi, fini-t-elle par dire en regardant le préfet dans les yeux qui avait perdu toute sa colère, tu part, j'ai à leu parler.

Avant même qu'ils puissent répondre, elle les mit dehors et ferma la porte à clé. Pour s'assurer qu'il n'entendrait rien, elle insonorisa la chambre et laissa sa colère prendre le dessus sur sa modération. -Aurais-tu perdu la tête? S'écria-t-elle à l'adresse du chien noir qui sembla se ratatiner sans pourtant comprendre. Je sais que c'est toi Sirius, et si tu veux pouvoir continuer à surveiller Harry en le suivant partout, tu ferais mieux de rester discret. Rogue est déjà au courrant que tu est là, et c'est sous la surveillance de Dumbledore qu'il tient sa langue, mais il à tout de même été capable d'annoncer à ses élève que Rémus était un loup-garou alors prends garde, je vous ai à l'oeil tous les deux. Prenex grade parce que la prochaine fois que je te surprend sous ta forme humaine Sirius, je te jure que la, je ne modèrerai pas ma colère, sous peine de te renvoyer dans ta cachette. Et je te jure, que même si je n'en ai pas envie, je le ferai. Moi aussi je fait ce que je peux pour t'innocenter, mais je ne peux pas enpêcher le ministre de te craindre jusque là, déjà qu'il est emplement idiot et crétin. Maintenant, vous sortez d'ici et vous terminer le peu qu'il reste de la journée, car oui Harry, tu as dormi toute la journée. maintenant, ouste. Marika tourna les talons et sortie en furi du dortoir. Ni Ron et ni Harry n'avait bougé ni parler. La façon dont elle leur avait crier dessus laissa croire qu'elle était vraiment en colère, mais si elle affirmait pouvoir être encore plus en colère, alors ils feraient tout pour ne pas la provoqué. Après quelque minutes de silence, Harry sorit du dortoir pour aller retrouver ses amis qui attendait le verdict. -Alors, quest-ce qu'elle à dit? Questiona un élèves. -Elle devait être vraiment en colère, risqua Fred. On à rien entendu mais toute la salle en a trembler, et je te jure que je n'exagère pas. sous cette remarque, Harru équarquilla les yeux et répondit songeusement. -Pourtant ce n'était si pire que sa, j'ai connu pire, surtout avec mes moldus, quel horreur, ou encore la fois ou... non je ne peux pas en parler c'est vrai.

Harry se mit à rire au éclats. -Ça y est, il est reparti. Murmura Hermione Harry allait mourir de rire. Il repensait à la fois ou Rogue avait vu filer un ordre de Merlin, ou la fois où la carte du maraudeur lui avait lancé des insulte, Harry ne pu s'empêcher de crier: ROGUE EST UN IDIOT! Ayant pour résultat de faire rire tout le monde avant qu'il ne s'éffondre de rire sur un fauteille. Le reste de la soirée se déroula plutôt bien. Sirius/Patmol restait calme au pied de Harry qui était souvent pris d'un irrésistible envie de rire. À 9heure, la salle était vide. Harry, étendu sur son lit, se souvint alors des paroles du phénix dans son rêve. Il lui avait dit de prendre la bleu, et la verte pour comprendre. Il ne se demanda pas de quoi il voulait parler tout en sachant bien que c'était du cadeau que Hermione lui avait fait qu'il parlait. Il pris donc ces deux pierre, prix la cape d'invisibilité et la carte et s'appreta à sortir du dortoir lorsqu'il entendit un gémissement derière lui. Patmol, où plutôt Sirius le regardait. -Harry, murmura-t-il, tu n'a pas le droit de sortir, il est bien trop tard, tu risque de te faire prendre. -Ça te va bien de dire ça Patmol. -Harry, je t'interdit d'y aller, et je ne te laisserai pas sortir.

Sirius s'approcha de la porte mais Harry fut plus rapide. -Essais de m'en empêcher! Rétorqua-t-il un peu sèchement. Tu ne pourra pas me voir ni me retrouver, à demain. Sur ce, il sorti en courant jusqu'au tableau le la grosse dame poursuivi par un énorme chien. Patmol était bien plus rapide que lui et au tout dernier moment, Harry mit la cape et pu évité le chien qui lui sauta dessus. Il acourut au tableau et fit apparaître la carte. C'est à ses moment qu'il vit Sirius s'approcher de la porte. Il se mit à courir rapidement pour s'éloigner du tableau et observa la carte. Il vit Sirius faire les cent pas devant le tableau, devinant que Harry devrait y retourner de toute façon. Mais son attention fu vite dirigé vers le petit point qui se déplaçait rapidement. Petit point au nom de Marika. Harry se précipita à sa rencontre mais lorsqu,il fut tout près et qu'il aurait du la voir, il ne vit que du vide. Harry se dit qu'elle devait elle aussi avoir une cape d'invisibilité. -Marika? Murmura-t-il doucement. À ce moment, il vit le petit point s'arrêter. -Marika, je sais que tu est là. Il observa attentivement la carte pour s'assurer qu'aucun professeur n'était dans les parages puis enleva sa cape, permettant à Marika de l'observer de sous sa cape à elle. Il s'approcha d'elle doucement et tendit un bras pour la toucher. Elle fit un pas en arrière mais Harry s'avança. -Ça ne te sert à rien de fuir, je peux te retrouver où que tu aille dans l'enceinte de Poudlard. Il l'entendit soudainement soupirer puis la vit enlever sa cape. -Vient, lui murmura-t-il, on va sortir et on va discuter. Elle ne répondit pas et le suivi docilement, l'air maussage mais intrigué. Met ta cape dit-il soudainement, Miss teine n'est pas loin. Marika mit dut temps à réagir mais mit tout de mème sa cape avant d'être tiré en avant par un bras puissant qui la propulsait tendrement vers l'avant. Elle se résigna à le suivre sans sourciller. Lorsqu'il furent sur l'herbre, Harry se défit de sa cape et enleva celle de Marika qui le suivait bien trop docilement à son goût.il la traîna jusqu'a la rive du lac ou il se laissa tomber doucement tout en invintant Marika qui s'assis docilement à ses côté, repliant ses jambes sur elle même.

-Cette fois Marikia, s'enquit Harry, tu va me dire ce qui te tracasse. Je sais que tu cache quelque chose de lourd, et je veux,non, je t'oblige à m'en parler, je le vois bien dans tes yeux que tu est triste malgré tes grand sourir.

Pout tout réponse, Marika haussa des épaule, indifférente à ses menaces. -Allez, Marika, parle moi, je vais attendre toute la nuit s'il le faut. Je sais que d'après toi, je suis la dernière personne à apprendre ce que tu cache, ou que tu as peur de ma réaction, mais je promet de t'écouter jusqu'au bout, même si ce que tu me dit me répugne, je l'ai promis.

À ces parole, elle réagit. Elle tourna brusquement la tête vers lui.

-Quelle couleur? Dit-elle subitement. -Quelle couleur quoi? Répondit Harry étonné. -Quelle couleur représante la confiance? -Bleu! Harry avait machinalement le bleu, comme si cette réponse lui était évidente. -La couleur de la sagesse. Murmura la jeune fille. La couleur de la passivité, couleur de bonheur. -Je sais, et le vert? -La couleur de attention, la tendresse, l'amitié, le pouvoir, mais surtout, du contrôle de soi même. Je veux bien parler, mais écoute moi sans rien dire, ni m'interrompre. -Promis! Répondit Harry sans caché sa joie. -Ce que j'ai à dire est très long, triste et horrible. Mais je vais dabors commençer par le début. Ç remonte à avant ma naissance. Ma mère était encore jeune, elle avait le même àge que ta mère. Voldemort était à son plus puissant, mais comme tout grand sorcier, il avait besoin d'une descendence mais tu as du remarquer que côté physique et psycologique, il n'est pas très attirant. Il à donc fait usage d'un filtre d'amour assez puissant pour que la femme qu'il avait choisis mène son enfant à terme, l'élève quelque année pour qu'il puisse ensuite la prendre à sa charge et l'instruire dans la magie noir. Au début, tout fonctionnait très bien. Il avait choisis une femme, très jolie, maternelle et discrete. Cette femme n'est autre que ma mère. Sur ce, Harry sentit monter en lui une bouffer de chaleur. Il voulut répliquer mais se tut comme il l'avait promis. -Ma mère est tombé enceinte. Elle aimait passionément Voldemort qui lui rendait de nombreuse visite pour s'assurer que tout allait bien et que j'allait bien naître. Comme prévu, je suis née quelque jour avant toi. Le jour de ma naissance, il est venu dans la chambre, m'a prise dans ses bras et est parit avec moi. Ma mère dormait à ce moment là et il n'a eu aucun problème à m'enlever. J'était trop jeune alors pour me rappeller ce qui s'est passé. Tout ce que je sais, c'est que c'est ce soir là qu'il m'a''tatouer''dans le dos. Je n'ai jamais eu un véritable apèrçu de ce que c'était et ma mère à toujours refuser de me le dire. Bref, pendant un ans, j'ai grandit avec ma mère. Un jour, il est venu me chercher. Ce jour m'orrifie encore aujourd'hui. Ma mère était encore folle de lui et elle n'a pas résister à sa demande. Il est entrer dans ma chambre, habiller de noir, ses yeux rouge se reflétait dans le miroir devant moi, un sourir méchant sur les yeux, j'était terrifiée. Il m'a prise dans ses bras, à embrasser ma mère sur la jour pour qu'elle ne s'inquiette pas et a transplaner avec moi dans ses bras. Il m'a emmener dans sa maison sur la coline derrière le cimetière. Malheureusement pour lui, deux jour après m'avoir emmener dans sa maison, il à été détruit. Je suis rester trois jour, abandonner dans la maison, à me promener à quatre patte dans les couloir de la maison. Ma mère n'avait aucune idée d'où j'était, personne ne savait que Voldemort avait une fille et aucune personne n'osait s'approcher de la maison d'où personne ne sortait jamais. J'ai pleurer pendant deux jour, jusqu'a ce que quelqu'un ose entrer pour voir ce qui faisait ce bruit. Le garçon qui m'a rammasser, je m'en rappeller très bien, était assez grand, délicat, attentionné et surtout, très roux. J'adorait ses cheveux. C'était Arthur Weasley qui avait entendu dire qu'il y avait quelqu'un dans la maison. Il était accompagné de plusieurs homme, mais c'est lui qui ma trouver. Il ma pris dans ses bras et j'ai aussitôt cesser de peurer. Étant père de six enfant dont un bébé, il savait ce qu'il fallait faire. Je mourrais de faim. Il m'a emmener au ministère où on m'a nourrit. Il m'a ensuite, avec l'autorisation du ministre, emmener chez lui où il à pris soin de moi jusqu'a ce qu'il retrouve ma mère, morte d'inquiétude. Depuis ce jour la, j'ai grandit, j'ai revu les Weaslwy, mais rarement, je parlait au enfant. J'adorait Mr Weasley et aucun de ses enfants ne se rappelle de moi. À dix ans, j'ai commencer à travailler pour le ministère. Je m'y connaissait beaucoup en force du mal et j'ai vite rejoin le département des langues de plond, mais je ne faisait rien de très grand mais j'était tout de même payer. Ce n'est que lorsque j'ai eu 11ans que les effet du filtre magique on disparu et que ma mère à pris pleinement conscience de son geste. Elle m'a alors révéler le plus grave et le plus lourd des secret, et je lui en veux encore un peu pour ça. Ele m'a dit que j'était la fille de lord Voldemort et par conscéquant, l'héritière de Serpentard. J'avais reçu ma lette pour Poudlard mais ma mère à refuser que j'y entre. Je lui en ai toujours voulu pour ça, mais aujourd'hui, j'ai la chance d'y être, et de t'avoir rencontrer. Le célèbre Harry potter, l'héritier de Griffondor, celui qui à survécu, le premier à connaître mon terrible secret.

Tout au long de son réçi, Marika c'était mit à sangloter pour finalement éclater en sanglot. Harry s'approcha d'elle, mit sa main sur son épaule et, sans s'en rendre compte, Harry l'enlaça fortement mais tendrement. Elle se laissa faire pour ensuite pleurer plus fort mais toujours silencieusement. Harry déposa un baiser sur son fRont et reserra son étreinte. Au bout de quelque minutes, Marika cessa de pleurer pour simplement se laisser berçer par le vent et le bruit de l'eau. Harry la tenait fermement et la berçait gentilment. Il s'était assis derière elle pour mieux la serrer et la réconforter. Elle pouvait sentir les battement de coeur de Harry dans son dos. Il était lent et régulier, cette sensation était apaisante et Marika se sentait bien. Ce n'était pas comme si elle était dans les bras de celui qu'elle aimait, mais cette étreinte était vraiment réconfortente. Elle était heureuse de savoir que Harry prenait si bien la nouvelle et elle se surpris même à RonRonner. -On devrait y aller, il commence à se faire tard et si on veut entrer, on à intéret à ne pas attendre que la grosse dame soit endormie. Marika aquiessa et se défit, non sans regret, de l'étreinte pour se lever. Le chemin du retour s'effectua rapidement et facilement. Lorsqu'il arrivèrent devant le tableau, la grosse dame les attendait, parfaitement réveiller. Un énorme chien noir tournait devant la tableau inquiet. -Ho non, je l'avait oublier, il va me passer un savon. Murmura Harry sous les regard rieur de Marika. Allons-y. Harry s'approcha discrètement du tableau. -Micusis. Murmura-t-il à l'adresse du tableau qui pivota légèrement. Un grognement se fit entendre. Sirius était loin d'être de bonne humeur. Au contraire, il bouillonait de rage. -Heu, salut Sirius! Bafouilla Harry. Pour toute réponse, le chien gRonda de plus bel. Marika sembla prendre conscience de la situation et ce pricipita vers Harry. -Harry, j'ai entendu des bruit de pas! murmura-t-elle d'un ton faussement énevé. On devrait entrer.

Il n'y avait personne mais Harry fut très heureux que Marika lui vienne en aide. Obeissant sur un air faussement résigner, Harry entra docilement dans la grande salle. Sirius le dépaça et monta direct au dortoir non sans grogner. -Merci! Murmura-t-il à l'oreille de Marika qui lui sourit en retour. -C'est moi qui te remerçi, pour m'avoir écouter, et ne pas me rejetter mais... -Je ne le dirai à personne c'est promis. -Tu peux bien le dire à Ron et Hermione, je sais que je peux leur faire confiance, mais assure toi que persone d'autre ne le sache, et je voulais te demander une dernière chose. -Quoi? Demanda Harry -Est-ce que je peux...te...?

elle leva timidement les bras vers Harry qui s'y précipita sans qu'elle ne finisse sa phrase et ressera ses bras autour de la taille fine de la jeune fille. L'étreinte n'en finissait plus. Il sentait Marika pleurer contre son épaule et serra encore plus les bras, juste à peine pour qu'elle puisse encore respirer. Il sentait le coeur de Marika battre contre sa poirine et se sentit heureux. Vraiment heureux. -Bonne nuit. Murmura-t-elle doucement -Bonne nuit, et n'oubli pas que je suis ton ami, si tu as besoin de moi, où que je sois, j'aurai toujours du temps pour toi. -Merci. -Tu ne monte pas? demanda Harry curieux de voir la jeune fille prendre place sur un canapé -Non, je suis trop épuisé pour monter. -Je te comprend, je peux rester avec toi, il est fort probable que je ne dorme pas de la nuit alors. -Tu est toujours le bienvenu.

Harry pris place à ses côtés et passa négligement un bras autour de ses épaule. -Heu, tu sais Harry, je ne pense pas que... -Ne t'en fait pas, tu n'est pas vraiment mon genre non plus, je fait ça parce que... Harry chercha un raison valable. Parce que je te considère plus comme ma soeur et qu'il est normal pour un frère de protégé sa soeur contre les méchant mème si elle n'en a pas vraiment besoin. Il ricana à cette perscpective. Marika éclatat de rire et plongea dans le creux de l'épaule pour étouffer son rire pour plonger son regard dans le sien avant d'étendre ses pied sur Harry qui ria doucement. Ils parlèrent ainsi pendant plusieurs minute avant que Harry ne s'alonge et s'endorme sur la poitrine d'une Marika déjà endormi.