Chapitre 20

Le poignard personalisé

le reste de la journée se déroula sans ennuis. Harry eu droit à plusieurs félicitations pour avoir clouer le bec à leur professeur de potion ainsi qu'aux réprimendes des Serpentards.

Le lendemain matin, Harry someillait encore en vue de sa journée: potion, divination, histoire de la magie et sortilège. Ce fut donc un Harry endormi et un Ron Ronchonnant qui décendirent à la grande salle, suivi d'Hermione qui bougonnait. À la grande salle, ils allèrent rejoindre Fred et George pour prendre des nouvelle de Marika.

-Alors, vous l'avez vu? Questiona Ron -Non, et l'infirmerie est encore barrée alors on a pas pu entrer. Répondit Fred en étouffant un baillement.

Ils ne parlèrent plus pendant deux bonne minute, trop concentrer par leur assiette pour s'occuper du reste. Harry était plonger dans ses réflexions sans aucun sens. Cependant, un bruit de rire suivi d'un ''Smack'' bruillant sur sa jour le tira complètement de son sommeil. Il entendit le bruit se répéter répéter deux fois avant de voir Marika traverser par dessus la table en évitant les plats pour aller coller un baiser sur la bouche à Fred qui rougit violament sous les rires moqueur de son frère jumeau. Fred bascula vers l'arrière, entraînant Marika qui riait joyeusement. Harry s'essuya la joue, immiter par Ron et Hermione pour ensuite rammener son attention sur Marika qui s'était relevé en riant ainsi que sur Fred qui était toujours alongé sur le sol. George et Lee aidèrent Fred à se relever sous les rires moqueur de toute la salle. Marika ne sembla pas s'en occuper car elle embrassa également George sur la joue pour ensuite se retourner vers eux.

-Je voulais vous dire merci pour hier, j'était vraiment mal prise et c'est ma façon personelle de vous remercier.

À ses parole, Fred rougit encore plus et vascilla sur sa chaise. Pour ajouter un peu de ridicule, il plaqua le dos de sa main sur son fRont en murmurant: je défaille, pour s'écrouler sur le sol, déclanchant les éclat de rire dans la salle entière. Il resta alongé sans bouger, faisant mine d'être vraiment évanoui. Àprès quelque minute, George le poussa du bout du pied, mais il ne bougea pas.

-Les rôle de la belle au bois dormant sont échanger. Pouffa Hermione. -Je vois! Murmura Marika. Puisqu'il le faut.

Elle s'agenouillant rapidement sur le sol en coinçant la tête de Fred qui n'eut pas le temps de réagir que déjà Marika l'embrassait à nouveau. Fred sursauta brusquement, ce qui mit fin au baiser et déclancha une nouvelle vague de rire chez les Griffondors. Un aboiment se fit entendre de sous la table. Harry sursauta. Il avait oublier la présence de Sirius contre sa jambe. Un énorme chien noir sorti de sous la table et jappa joyeusement.

-Comment ai-je pu oublier la participation de Patmol, tu est un bon chien.

Elle adressa un clin d'oeil à sirius et entreprit de caresser le chien qui s'étendit paresseusement sur le dos. Marika éclatat de rire et caressa le chien qui gémissait de bonheur. Jamais Harry n'avait vu Sirius dans un tel état et il éclatat de rire devant la scène touchante, imiter une fois de plus par Ron et Hermione.

-Alors voilà! Dit subitement Marika. Maintenant je dois retourner à l'infirmerie car je suis sortie en douce, il faut croire que tu déteint sur moi Harry.

Elle sourit dit au revoir à Fred en lui donnant un dernier baiser sur la joue et partie en courrant. Harry était parfaitement réveiller à présent, mais Fred semblait être parti ailleur, ce qui les fit bien rire.

L'arrivé du courier mit fin à leur ricanement, au grand bonheur de Fred qui était revenu sur terre, toujours rouge comme une pivoine. Plusieurs hibou se dirigèrent vers eux, laissant tombé une lettre ou un journal devant chacun. Hedwidge vint se poser sur l'épaule d'Harry qui lui donna un morceau de pain avant de détaché le petit paquet autour de sa patte ainsi que la lettre.

Cher Harry Voici quelque chose qui vient de mon armoire. Garde le toujours sur toi, qui sait quant tu en aurais besoin. Je te montrerai comment t'en servir à notre prochain entraînement, c'est à dire, après le Match contre Beauxbâtons. D'ici là, essais de familiariser avec car si ta baguette te fait défaut lors d'un duel, il se pourait qu'il soit ta seul issus. Prend soin de toi autant que tu prend soin de moi, Marika.

Harry regarda la lettre attentivement. -Je me demande bien quand elle me l'a envoyer si elle était à l'infirmerie. Murmura Harry. -Quoi? Questionna Ron. -Marika m'a écrit, mais elle était à l'infirmerie! Répondit Harry. Et je me demande ce qu'elle m'envois.

Harry pris le paquet sous les regards perplex de ses amis. Il déchira le papier qui l'envollopait pour découvrir une boîte rectangulaire assez courte en velour noir/bleu. Il ouvit la boîte délicatement et en observa le contenue. L'intérieur était en satin noir sur lequel reposait un magnifique poignard s un foureau éclatant. Il saisit le couteau et l'extirpa de son foureau. Il y eut alors une lumière aveuglante et Harry dit couvrir ses yeux. Une fois le choc passé, il observa attentivement attentivement l'objet brillant. Sa lame était en argent pur sur laquelle était gravé de petite rue et de petit dessin. Sa garde était incrusté de petites pierres précieuse: diamant, rubis, émerause, saphir, et bien d'autre. Chaque pierre avait une forme et une couleur différente. Il l'observa pendant plusieurs minute avant de s'appercevoire que tout le monde le fixait. -Quoi? Demanda-t-il Hermione le regardait intensément comme si elle trouvait soudainement une certaine obsésion pour lui. Elle ouvrit la bouche pour répondre à sa question. -Tes yeux, tes cheveux, ta cicatrice...toi, tu as changer. -Comment j'ai changer? -Tes yeux, il sont plus...vert, plus grand, plus brillant, plus expressif. Enchaîna-t-elle. Tes cheveux sont plus long, même très long, et plus noir qu'avant. Ta cicatrice est plus fine, plus longue, mais plus discrete et toi, tu as...grandi on dirait. Ton visage est plus vieux, plus sage, plus sombre mais en même temps plus vivant.

Elle se tu. Harry la dévisageait, comme si elle était folle. Voyant son expression, elle fouilla dans son sac et en sorti un miroir de poche qu'elle agrandit pour que Harry se voit le visage au complet. Il la regarda perplex avant de jetter un coup d'oeil dans le miroir. Ses yeux s'agrandirent, accentuant le vert émeraude qui brillait dans ses yeux. Comme le disait Hermione, ses yeux était beaucoup plus brillant et plus expressif. Mais quelque chose d'autre attira son attention. Ses cheveux, loin d'être court et désordonné, étaient long. Seul quelques mèches rebelle retombait devant ses yeux et entourait sa cicatrice qui, en effet était plus mince et moin visible. Puis, il s'observa attentivement pour donner raison à Hermione. Il parraissait plus vieux, plus sage et plus sombre. Un gémissement sonor lui fit détourner la tête pour plonger dans le regards de Sirius qui paraissait perplex. Il détourna les yeux du chien pour observer les autres qui le pixait tout aussi curieusement. Puis, leur regards se détourna sur quelque chose derrière Harry.

-Harry! Dit une voix curieuse derrière lui. Il se retourna et vit Dumbledore debout devant lui qui le regardait le regard plein de question. Harry se leva devant les yeux autoritaire de Dumbledore et sous les yeux de tous les élèves de la salle.

-Professeur! Intervint Harry. Qu'est ce qui m'est arrivé? -Je l'ignore Harry, et c'est ce que j'aimerais savoir. Répondit songeusement Dumbledore. -Heu, professeur! Dit timidement Hermione. -Oui Miss Granger? -Heu, je crois que ce...changement a eu lieu au moment où Harry à tiré le poignard de son foureau. Peut-être y a-t-il un rapport, et comme c'est Marika qui le lui a envoyé, elle doit surement avoir la réponse à vos quetions.

Dumbledore sourit. -Bien, alors Harry, suis-moi. Dumbledore se dirigea vers la porte et Harry lui emboita le pas, Sirius sur les talons, le poignard à la main, le foureau dans l'autre sous les regards curieux des jeunes filles. Ils marchèrent jusqu'à l'infirmerie et s'arrêtèrent devant la porte, vérouillée. Dumbledore vint frapper trois cou à la porte qui s'ouvrit lentement, laissant place à la charmante infirmière, furieuse de la fugue de Marika plus tôt ce matin. -Oui? Demanda l'infirmière d'un ton sec. -Nous désiRons voir Marika, nous avons quelques question à lui poser. -Nous?

Harry fit un pas de côté pour srtir de l'ombre du professeur. Les yeux de Pomfresh s'agrandirent largement et parcourèrent Harry de bas en Haut.

-Mon dieu seigneur! Murmura l'infirmière. Que lui est-il arrivé? -C'est ce que nous sommes venu savoir.

La femme s'écarta de l'ouverture sans cesser de fiser Harry.

Ils s'approchèrent du lit où Marika prenait docilement son petit déjeuner. Quand elle senti la présence silencieuse des deux homme à ses côtés, elle releva la tête et s'étouffa avec son verre de jus. Elle observa Harry de haut en bas comme l'infirmière quelques minutes plus tôt, fixa la main droite de celui-ci dans laquelle tenait le poignard qu'elle lui avait envoyer quelques minutes après être sorti de la grande salle en courrant. -Je vois! Murmura-t-elle en souriant. -Marika! Dit Dumbledore d'une voix grave. Pourrais-tu nous dire ce qui est arrivé à Harry? -Bien, je ne peux pas expliquer exactement ce qui c'est produit, mais j'en connais la cause et les conséquances. -Alors explique nous s'il te plait! Répliqua un peu rudement Dumbledore sur un ton que Harry ne lui connaissait pas -Ce n'est pas la peine d'être si dure professeur. Répondit Marika en perdant un peu son sourir. C'est même une raison de se réjouir.

Harry se demandait bien pourquoi mais ne posa pas de question. -Ce poignard, continua-t-elle en pointant le couteau que Harry tenait dans sa main, à des qualité magique très particulière, si son posséceur est celui qui lui convient. Il émane alors une magie très peu commune qui donne au porteur de ce poignard, des caractéristique au couteau. En xtirpant le poignard de son foureau, Harry à provoqué ce procédé. Il est donc, en quelque sorte, la réplique humaine du poignard. Cet événement ne se produit que très rarement pour ne pas dire jamais car il est difficile de trouver sa moitier. Les effet son permanents et Harry garderas cet aparence tant et aussi longtemps que le couteau en décidera. Biensur, il vieillira, son corps changera à la même vitesse mais il gardera cette personnalité pour un temps indéfini. Lorsque la personnalité du couteau aura changé, son porteur changera aussi, mais de façon moin radicale que la première. En envoyant ce poignard à Harry, je ne m'attendait pas à cela, mais c'est une bonne chose que je l'ai fait. Cet objet est d'une force hors du commun, ce qui signifie que Harry en est à un niveau très élevé de magie, bien qu'il ne soir pas encore très développer. Je suis heureuse de ce changement et j'espère que vous lêtes aussi car il serait domage du contraire. D'ailleur Harry, tu es très mignon ainsi.

Marika reprit sa respiration avant de reporter son attention sur Dumbledore. -D'autres question? Proposa-t-elle. -Oui! Répondit Dumbledore. Quel sont les caractétistiques de ce poignard? -La détermination, le courage, la hardiesse, la curiosité, la force d'esprit, l'initiative, l'intelligence, et bien d'autre ainsi, mais il y a aussi les défauts. L'impatence, l'envie, la jalousie. C'est à Harry de les découvrire toutes, je ne les connais que très peu. -En attendant! Intervint Harry, je trouve que ces cheveux longs sont assez encombrants.

Marika rit doucement avant de sortir un ruban vert de sa poche et de lui faire signe d'approcher. Elle saisit les cheveux de Harry et les attacha bien solidement en prenant gare de laiser quelques mèche sur son visage qui, disait-elle, lui donnait un air rebelle. Dumbledore sorti de l'infirmerie après leur avoir dit bonjour tandis que Harry resta avec Marika, le temps qu'elle termine son petit déjeuner et en profita pour mieux s'observer. Pendant que l'infirmière était absente, Sirius reprit sa forme humaine pour observer Harry sous tous les angle, ce qui l'intimida un peu. Il fut sauver par les pas de Pomfresh qui revenait pour examiner une dernière fois Marika. Ensuite, ils sortirent tous les deux pour se rendre à leur premier cours, défence contre les forces du mal, avec le professeur Lupin qui les acceuillit chaleureusement, malgré leur retard. À son entrer, Harry entendi plusieurs fille glousser, ce qui le fit rougir. Il pris place entre Ron et Hermione qui ne cessais de lui jetter des regards curieux et interogateurs.

-Arrêter de me regarder comme ça. Dit Harry agacé devant les regards de tous les élèves.

Harry se mit à observer ses mains et vit qu'il tenait toujours le magnifique poignard. Il le remit aussitôt dans son foureau et fixa le professeur Lupin. Lupin se racla la gorge, ce qui ramena l'attention de tous sur lui, au grand soulagement de Harry.

-Bien! S'exclama-t-il. Je me suis renseigner sur ce que vous avez apris l'an dernier et je vois que vous avez beaucoup avancé. Cette année, je vais pousser un peu plus loin dans la défence. Le retour de Voldemort, bien que le ministre refuse toujours de croire à son retour, amène quelque changement dans votre éducation en ce qui concerne les défence. C'est pourquoi, cette année, nous allons étudier le duel. Plus précisément, le duel magique, car il existe plusieurs type de duel. Il se peut d'ailleur, qu'un club de duel soit ouvert dans les prochaines semaines à venir. Marika en sera responsable, avec l'aide de Rogue et de moi même.

Un murmure désaprobateur parcouru la classe.

-Cependant, ce club n'aura rien à voir avec celui que vous avez connu en deuxième année. Les plus expérimenter auRont droit à des cours particulier de Marika et Rogue. Quant au autre, il seRont classer selon leur degré et leur niveau d'apprentissage. Cependant, rien n'est encore certain. Fudge surveille de près les activité de l'école. Il faut donc le convaicre de la necessité d'avoir un club de duel. Mais je crois bien que d'ici la fin du mois, vous aurez le loisir d'y participer. En attendant, nous allons étudier les loup-garous. Il y eut un silence lourd dans la salle de classe. Il était de notoriété public que Lupin était un loup-garou et il avait pRononcer ses mots avec tant d'indiférence que la classe entière en était stupéfier.

-Ce n'est pas la peine d'être aussi stupéfier, je suis un loup-garou, mais je ne doit pas m'apitoyer sur mon sort, jamais au grand jamais je ne referai l'erreur que j'ai fait dans ma jeunesse, à me morfondre et à me rendre malheureux. Maintenant, ouvrez vos livre à la page 65 et lisez rapidement le chapitre un et deux.

Le cours passa à la vitesse de l'éclair avec les explications et les blagues du professeur. Puis, ils se rendirent au cours de divination avec Ron et Marika et discutèrent joyeusement. Au sommet de la tour nord, Harry s'étouffa bruyament dans les volutes épais de fumée, attirant le regard du professeur. Quand tous furent instaler sur les poufs ou les fauteilles, sa voix mistérieuse résonna dans la pièce.

-Mes enfant! Murmura-t-elle. Aujourd'hui, nous commençons le domaine du rêve. Pour le premier cours, vous vous installerez par terre et vous dormirez. Lorsque je vous réveillerai, vous noterez votre rêve et vous aurez pour devoir de comprendre les signe. Maintenant, dormez.

Harry s'installa dans un coin de la salle, Ron d'un côté, Marika de l'autre. Étrangement, le sol était assez confortable mais il étouffait radicalement. Marika se redressa et ouvrit silencieusement une fenêtre à proximité d'eux qui les raffréchis grandement. Au bout de cing minutes, Harry n'avait toujours pas trouver le someil. Il entendait Ron murmurer des pitrerie qui l'amusait beaucoup, ainsi que Marika qui pouffait de rire de l'autre côté. Soudain, Ron laissa échapper un faux Ronflement sonore. Harry, s'il n'était pas déjà sur le sol, se serait écrouler de rire. Il entendi Marika qui essayait vainement de camouffler son rire.

-Que ce passe-t-il ici? Murmura une voix au dessus de leur tête. -Oh rien professeur! Répondit Ron en riant. Je crois juste que je me suis un peu trop assoupit. Son commentaire fut acceuilli par les rires des autres élèves. -Vous perturbez les visions avec vos bêtise jeune homme. Mon troisième oeil me dit que vous aurez de gros ennuis si vous continuer ainsi. La mort plane sur vous trois, et si vous continuez à agir comme des enfant, elle vous aura.

Marika pris une mine apeurer qui aurais pu en tromper plusieurs mais Harry voyait bien qu'elle ne jouait que la commédie. La professeure sembla ravis de l'air terrifier de Marika car elle enchaîna.

-Et oui, elle est sur vos tête, je la vois plus clairement que jamais, elle vous épis, vous gette, elle attend le bon moment pour agir.

Marika fit un bref clin d'oeil à Harry et Ron qui observèrent attentivement.

-Non! Murmura Marika. Pas la mort, pas ça, je vous en suplie, faites quelque chose, aidez-moi, je ne veux pas mourrir, je suis trop jeune, trop belle, trop intélligente pour mourrir. Comment pouvez-vous affirmer de tel chose à vos élèves, vous êtes un professeur, vous devriez les rassurer, leur garantire un avenir brillant, même si vous voyez que leur fin est proche, à cause de vous, je ne regarderai plus jamais le monde de la même façon, je verrai des signe de mort partout, aidez-moi, s'il vous plait.

Elle avait murmurer ses dernier mots. Elle regarda la professeur qui avait pris une mine mi-effrayé mi-désolé. Harry et Ron eux, n'en pouvait plus de rire. Ils s'étouffait à retenir leur éclat. Marika avait le regard embuer de larme, ce qui rendait la scène encore plus tragique. Elle réprimait sans problème son éclat de rire qui la tenaillait car elle voulait en ajouter pour culpabiliser le professeur.

-Vous ne vous rendez pas conte, que en quelque seconde, vous avez anéantis tous mes rêve, mes espoir, moi qui voulais devenir ministre de la magie, maintenant, je sais qu'il ne sert plus à rien d'espérer, puisque je vais mourrir.

Marika avait pris un air triste et abattu tandis que la professeure la regardait, éperdument navré et apeurer. -Je...Je suis vraiment...désolée! balbutia Trelawney.

Harry decida alors d'entrer dans le jeu, et peu-être pourrait-il sortir de la classe avec Ron. -J'espère que vous êtes fiere de vous professeur! Cria-t-il. Avec moi, les menace de mort, ça passe toujours, mais avec Marika, vous vous rendez conte de ce que vous venez de lui dire?

Il se pencha sur Marika qui s'était éfondrer en larmes, retenant encore le fou rire qui la secouait, faisant passer les petit bruits pour des sanglots.

-Marika! Murmura Ron faussement inquiet. Ne t'en fait pas, tout va s'arranger.

Il redressa la tête et lança un regar noir au professeur qui recula d'un pas.

-Je veux rentrer chez moi! Sanglotat Marika. -Pouriez vous la conduire à son dortoir s'il vous plait? Demanda la voix défaite de Trelawney. -Bien-sûr professeur! Répliqua sèchement Harry.

Il saisit ses affaire ainsi que celle de Ron et de Marika puis se dirigea vers la trappe qu'il ouvrit d'un coup de pied. Il descendit lentement l'echelle après avoir lancer un dernier regard vers Marika qui tremblait dans les bras de Ron. Lorsqu'ils furent tous descendu assez loin de la classe, Marika, toujours enfoui dans les bras de Ron éclatat de rire, imiter par Ron et Harry.

-Je n'arrive pas à croire qu'elle a tout avalé! S'exclama Marika. C'est tout un spécimen votre professeur de divination. -Tu l'as dit, mais nous ne devons pas rester ici, de peur de nous faire prendre par un professeur ou Rusard. -Si on allait dans le parc, si quelqu'un nous vois, on aura qu'a dire qu'on cherche des plantes pour le cours de divination ou autre chose. Proposa Ron. -Bonne idée, mais je préfère quand même aller chercher la cape d'invisibilité et la carte de Maraudeur.

C'est ainsi que les trois amis se dirigèrent vers la salle commune puis dans le parc de Poudlard. Dehors, le soleil était radieux et aucun nuage ne fenait faire de l'ombre. Près de la cabane d'Hagrig, on voyait un groupe de sixième année de Serdaigle avec le géant qui donnait son cours. Ils décidèrent de se diriger vers le lac pour se reposer un peu et pour pouvoir bavarder un peu. À l'heure du dîner, ils rentrèrent dans la salle sans répondre au mille question qu'on leur posait. Harry voyait bien que la nouvelle avait déjà fait le tour de la salle et que les professeur étaient au courrant de leur histoire avec le professeur Trelawney mais étrangement, aucun ne semblait faché mais au contraire, amusé. Harry observa le professeur Dumbledore dont les yeux brillait joyeusement. Il sourit tandis qu'il prenait place à côté d'Hermione qui leur lançait des regards noir.

-C'est vrai ce qu'on raconte? Demanda Hermione sur un ton de reproche? Vous avez fat un scène au professeur Trelawney, Marika à vraiment fait une crise de pleurs devant les prédiction de mort? -C'était une blague Hermione! Répliqua joyeusement Ron. Et tu aurais du voir sa tête, elle était vraimement traumatisé, et Marika est une sacré comédienne.

Marika sourit timidement et reprit la parole.

-Au moin, elle va y penser à deux fois avant de prédire la mort de quelqu'un à nouveau! S'exclama-t-elle.

Hermione ne put s'empêcher de sourir puis d'éclater de rire elle aussi. Pendant tout le dîner, ils furent submergé de question auxquelles ils répondirent en riant. Puis, l'heure acheva et ils se dirigèrent vers le cours de métamorphose. Ils furent acceuilli par le professeur McGonagal qui, ho grand dieu, souriait.

-Bonjour professeur. Dirent-il timidement devant le regard rieur de leur professeur. -Bonjour. Répondit-elle. Je ne devrais pas dire ça, mais bravo Marika, ça prenait quelque'un comme vous pour clouer le bec à cette..., non je ne dois pas dire ça, après tout, c'est une de mes collègue. Allez à votre place.

Ils se dirigèrent vers leur place en se regardant avec de grand yeux. Le professeur McGonagal les félicitait pour avoir fait une scène en divination et en plus, elle sourait. Le cours se déroula plutôt normalement et la bonne humeur de leur professeur leur évita un devoir. Ensuite, ce fut le cours de sortilège qui, lui aussi, se déroula normalement. La journée pris fin sur une petite dispute entre Ron et Hermione. Harry monta rapidement se coucher pour sombrer dans un someil agiter.