Chapitre 23
Poudlard VS Beauxbâtons
Poudlard s'était déjà emparer du Souafle et fonçait vers les buts adverse. Lesw trois Poursuiveuses faisait un excellent jeu de passe et l'équipe adverse avait bien du mal à suivre leur jeu. Les Batteuse se démeunait pour empêcher les Poursuiveurs adverse d'intercepté le souaffle. Marika était plutôt calme et Cho tournoyait au dessus des joueurs à la recherche du vif d'or. Elle avait changer sa tactict. Au lieu de suivre l'autre attrapeur et de calquer sa trajectoir, elle faisait son propre jeu. Angélina marqua le premier but et le souaffle fut repris par Beauxbâtons. Il semblait que leur Poursuiveurs soit aussi bon car leur jeu, bien que dissemblable à celui des jeunes fille, était excellent mais plus facile à suivre. Il se dirigeaient néanmoins vers les buts de Marika qui suivait le souafle des yeux. Elle était immobile et attendait. Elle regardait chaque mouvement et chaque geste pour prévoir la trajectoire du souafle. Un des Poursuiveurs tira le souaffle dans l'un des anneaux mais Marika, rapide comme l'éclair, attrapa la balle rouge et la lança tout aussi rapidement à Katie qui fondit sur les but adverse. Le match avançait ainsi et bientôt, le score fut de 50 à 10 pour Poudlard. Puis, Cho fonça vers le sol. Avec le balai de Harry, elle pouvait aller plus vite, mais ayant une bonne avance sur son adversaire, elle préféra ménager les force de sa monture. L'attrapeur de l'équipe adverse la rattrapa sans trop de difficulté et elle décida de donner plus fort, le distancant rapidement. Elle tendit la main et la referma sur la petite balle dorée. Cependant, elle fonçait à toute allure vers le sol. Voyant cela, Harry se leva rapidement. Cho eu tout juste le temps de redresser un peu le manche du balai mais pas assez haut pour éviter un accident. Elle roula sur le sol, ne lachant ni le balai, ni le vif d'or. Harry courru jusqu'au corps immobile de Cho.
-Cho, est-ce que ça va? Harry s'était agenouillé à côté de sa tête et tâtait délicatement le visage rose de sa jeune amie. -Mmmm, oui, ça va, ou plutôt, je crois que ça va. Ton balai n'est pas briser? -Je me fiche de mon balai, est-ce que tu vas bien? -Moui, ça va, mais je ne vois rien. -Ouvre les yeux, ça ira mieux. -Je crois que tu as raison! Répondit-elle en riant.
Lorsqu'elle les ouvrit, elle vit le visage de Harry, pencher sur elle, inquiet mais heureux.
-On à gagné. murmura le jeune homme. -Quoi? -On à gagner! S'écria-t-il, en saisissant le poing de Cho.
Celle-ci regarda son poing duquel dépassait deux petites ailles qui battaient vainement. Elle poussa alors un hurlement de joie qui fit rire Harry. Elle voulu se redresser mais se r'allongea aussitôt.
-Ça va? S'inquieta Harry à nouveau. -Mon dos, je crois que je me suis fait un tour de rein en tombant, je ne peux plus me redresser. -Je vais t'aider.
Il glissa don bras droit sous les épaules de Cho et son bras droit sous ses genoux. Il la souleva facilement et éclatat de rire. Les autres joueurs atterrirent et vinrent étreindre Cho qui riait au éclat dans les bras de celui qu'elle commençait à aimer. Même Malefoy vint féliciter Cho. Froidement peu-être, mais quand même, c'était quelque chose. Puis, la foule se dissipa pour laisser passer Dumbledore, les yeux pétillants. Pour mieux se soutenir, Cho passa un bras autour du cou d'Harry. Ce dernier senti Tom descendre dans son dos pour éviter un contact avec la peau de la jeune fille. Ses yeux souvrir et il laissa échaper un petit cri étouffé.
-Est-ce que ça va Harry? Demanda Cho en voyant la pupille d'Harry s'agrandire pour couvrir presque l'iris entier. -Oui oui! Murmura Harry d'une voix quelque peu aigu. Le serpent s'était faufilé dans son vêtement pour aller s'enrouler autour de sa cheville et la peau froide du serpent contre sa jambe l'avait litéralement figé. La voix de Cho le ramena à la réalité et il secoua la tête pour oublier ce contact froid.
-Tu es sûre? -Oui!, je vais bien, j'ai juste senti un courant d'air froid. -Bien, si tu le dit, mais je crois que tu peux me déposer, je n'ai plus mal. -Bien.
Harry déposa cho sur le sol face à son directeur.
-Félicitation à tous. Déclara le Professeur Dumbledore à ses élèves. Vous avez gagner, mais ce n'ai pas une raison pour avoir la grosse tête. Allez félécité l'équipe adverse.
Un a un, tous les joueurs firent la file et félicitèrent chaque joueur de Beauxbâtons qui avouait leur défaite. Puis, les joueurs se dirigèrent vers leur tour pour se changer.
Tom était toujours enroulé autour de la cheville de Harry qui faisait bien attention où il mettait les pieds. Dans sa petite chambre, Harry se débarassa de son habit de quidditch et enfila un pantalon après avoir déposer le jeune serpent sur son lit. Il allait mettre son chandail quand quelqu'un frappa à la porte. Il alla ouvrir et rougit légèrement en se retrouvant face à face avec Cho qui elle, avait rougit comme une pivoine. Elle le parcourit des yeux rapidement. Son corps était légèrement bRonzé et, surement gràce au quidditch, il était assez musclé et même vachement bien fait. Sa taille mince et ses épaules large lui donnait la carrure d'un atlète, bien que encore trop petit pour son âge.
-Oui? Demanda Harry, oubliant qu'il avait le torse nu. -Ah, heu, je suis venu te rendre ton balai, et ta cape que tu avait oublier dans les vestiaire. -Ah, merci. Répondit Harry en prenant la cape et le balai que Cho lui tendait.
Il l'observa attentivement. Ses cheveux ondulait légèrement sur ses épaules et ses yeux n'osaient pas le fixer. Il regarda ses propre main et vit dans l'une d'elle, son chandail. Il réalisa alors qu'il était nu jusqu'à la taille. Jettant ses chose sur le plancher derrière lui, il enfila rapidement son chandail et regarda à nouveau Cho qui avait relever la tête pour le regarder. Ils plongèrent chacun dans le regards de l'autre et rèstèrent ainsi pendant près de cinq minutes. Harry regarda intensément Cho. Il la détailla attentivement, comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Ses yeux en ammande était magnifique dans la lumière embiante et ses joue rose était mignone. Son buste se soulevait à chaque respiration et sa taille mince était immoblie sur ses deux jambes élancée. Il pris alors conscience qu'il la regardait avec insistance et détourna le regard.
-Tu veux entrer? Proposa-t-il en rougissant. -Si tu veux!
Harry s'écarta tandis que Cho entra dans la petite salle de couleur rouge. Il referma la porte derrière elle et se dirigea vers le lit. Il pris place à côté de son serpent, lui faisant signe d'aller se cacher, ce qu'il fit sans répondre. Harry fit signe à Cho de prendre place à côté de lui tout en évitant son regard.
-Il faut qu'on parle! Dit-il. Qu'on parle de Cédric. -Nous ne sommes pas obliger Harry, tu... -Non! Répondit ce dernier. On va en parler, ici et maintenant. Je vais tout te dire, mais soit attentive car je ne vais pas m'arrêter et je ne répeterai pas. -Bien. Murmura Cho, trop intimider par le ton de voix d'Harry pour riposter.
Harry se lança alors dans le long récit de la troisième tâche, suivi du bref combat avec l'araignée géante puis le portoloin. À ce moment du récit, Harry s'arrêta. Il était déjà difficile d'y penser, mais le raconter, c'était devenu impossible. Il regarda Cho dans les yeux. Elle était inquiete, et on voyait dans ses yeux toute la compassion du monde. Ce regard fut tout ce qu'Harry eut besoin pour continuer. Il raconta leur arrivé dans le cimetière, la forme noir qui s'avançait vers eux, la mort de cédric, la résurection de Voldemort, l'arrivé des mangemort, le duel, le dôme en or, les apparitions des echos, la dernière volonter de Cédric, puis le retour à Poudlard. À ce moment, il s'arrêta, réalisant que lui même pleurait silencieusement. Son visage était couvert de larme et ses yeux étaient embrouillés. Il leva à nouveau les yeux vers Cho qui elle, pleurait à chaude larme. Ils restèrent immobile pendant un quart d'heure, à pleurer toutes les larmes qui pouvait tombé. Jamais Harry n'avait autant pleurer de sa vie et c'était Cho la première à le voir dans cet état. Ce fut elle qui bougea la première. Elle s'approcha de lui et l'embrassa sur la joue. Ne pouvant résister, il la serra dans ses bras, laissant les larmes couler à nouveau sur ses joues. Elle se laissa prendre dans les bras réconfortant.
-Je suis désolé. Lui chuchota Harry à l'oreille. -Pourquoi? Répondit doucement Cho. -Parce que c'est de ma faute s'il est mort. Tout est de ma faute.
Cho se décolla doucement de lui et le regarda dans les yeux.
-Ne dit pas ça Harry, ce n'est pas de ta faute, tu ne dois pas te culpabiliser pour ça. -Mais c'est moi qui ai dit à Cédric de prendre la coupe avec moi, et il a été tué pour ça, et c'est de ma faute. -Non Harry! Ça été très brave de ta part de partager la victoire avec lui, et encore plus courageux de ramener son corps, tu ne pouvaix pas savoir que le trophé était un portoloin, ni ce qui vous attendait au bout. Toi, au lieu de penser à ta vie, tu pense à celle des autres Harry, tu es l'homme le plus courageux que je connaisse. Même les plus grands aurors du monde auraient sauvé leu peau avant de ramener le corps d'un autre.
Voyant les larme couler à nouveau sur le visage du garçon, elle le contourna, passa ses mains par dessus les épaules imposante devant elle et le serra très fort. Harry était triste. Il savait qu'elle avait raison, qu'il ne devait pas se culpabiliser de la mort de Cédric, mais c'était plus fort que lui. En sentant les bras de Cho contre ses épaules et sa poitrine contre son dos, il ne pu s'empêcher de sourir faiblement. Il ferma les yeux, s'aisissant à deux main les bras qui lui entourait le cou. Une caresse contre sa joue lui fit tourner la tête. Cho avait apuyer sa tête contre son épaule et avait fermé les yeux. Il apuiya son fRont contre la tempe de la jeune fille qui tourna doucement la tête vers les yeux vert, vide de larme mais plein d'émotion. Elle le regarda pendant quelque minutes puis, sans se rendre conte de ce qu'elle faisait, elle se pencha vers lui et déposa un bref baiser sur les lèvres douce d'Harry. Celui-ci resta figé de surprise. Ses yeux brillèrent d'une lueur de stupéfaction, ce qui la fit sourir. Elle se pencha à nouveau vers ses lèvres et l'embrassa à nouveau. Cette fois, le baiser fut plus long et plus passionné. Cependant, Harry ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'il était en train d'embrasser la petite amie de Cédric et que celle-ci l'aimait toujours. Cho elle, ne pouvait détacher ses penser de Cédric. Elle n'avait pas le droit de l'oublier aussi vite. Au fond d'elle, il brulait encore une flamme d'amour pour lui, et elle devait l'éteindre avant de se remettre avec quelqu'un. Ils rompirent le baiser en même temps, trop coupable pour parler.
-Ce n'est pas le bon moment. Murmura Cho. -Je sais. Répondit Harry. Tu l'aime encore, je le sais, et j'attendrai. -Merci de comprendre Harry. -Si tu as besoin de quelque chose, vient me voir, je serai toujours là. -Merci. -Maintenant, on devrait aller manger, j'en connais un qui doit mourrir de faim. -Ton chien? -Mon chien? Ah oui, Patmol. En fait, je ne l'ai pas vu depuis le match. Il doit être avec Ron et Hermione. Non, je parle de Tom. -Tom?
Au oreille de Cho, la réponse aurait ressembler à un sifflement de serpent mais pour Harry, c'était une invitation à Tom de monter à son bras.
-Voici Tom! Dit-il en tendant le bras. -Un serpent? Mais Harry, les serpent sont des animaux de magie noir. -À quoi ça sert alors de pouvoir leur parler si on ne peut pas en avoir un? Je lui ai en quelque sorte sauvé la vie ce matin, mais là, il est mort de faim. Cependant, personne ne doit savoir qu'il est là alors ne dit rien s'il te plait. -Heu, daccors. -Tu peux y aller, je te rejoin bientôt. -Si tu veux.
Cho se leva et quitta la pièce. Harry enfila un pull à manche longue pour cacher Tom et quitta à son tour la petite pièce. Dans la salle commune, Ron et Hermione discutait joyeusement, Sirius reposant à leur pied. Lorsqu'il vit son neveu entrer dans la pièce, il aboya un coup, attirant l'attention.
-Salut! Dit-il joyeusement en voyant ses amis lui sourir, Ron un peu crispé. -Salut Harry, dit Hermione, tu viens manger? -Oui, je meurs de faim.
Ils sortirent donc de la tour et se dirigèrent vers l'école qui se dressait devant eux. Leur entrer fut très remarque car Patmol glissa et dérappa jusqu'aux pied d'une bande de Beauxbâtons. Les jeunes fille du groupe se penchèrent et dorlotèrent le pauvre chien écraser à leur pied. Sirius se releva avec le plus de dignité possible sous les éclats de rire du trio.
-Mon pauvre Patmol! Réussis à dire Harry entre deux rires. Ton ego en à pris un coup. Ce qui eut pour effet d'augmenter les rires des trois amis. Aller, il va falloir que quelqu'un te coupe les poils, sinon tu ressembleras bientôt à une vadrouille.
Le chien, quelque peu choquer par la remarque d'Harry, se releva, la tête haute et se dirigea vers la salle à manger d'un pas digne et grandiose, ce qui les fit rire encore plus. Une fois assis, il cessèrent de rire momentanément jusqu'a ce que Sirius, la tête trop haute pour voir où il allait, fonce dans une patte de la table. Les rires éclatèrent alors avec une force incroyable. Hermione s'acrocha à Ron pour ne pas tomber tandis que celui-ci s'acrochait désespérément à la table. Quant à Harry, il s'était effondré sur sa chaise, se tenant les côtes tellemtn il riait. Le chien se coucha à ses pied, l'air boudeur et rageur. Pour lui remonter le moral, Harry déposa une énorme cuisse de poulet devant le nez du chien qui le humma avec envie. Pendant le repas, Harry discuta joyeusement de la victoire de ce matin ainsi que des match à venir contre d'autre école, tout en glissant un morceau de viande, de temps à autre, au serpent qui les dévorait avec appétit. Ron remarqua le manège, pourtant subtil, d'Harry et ne pu retenir la question qui lui brulait les lèvres.
-Harry, questiona-t-il, quest-ce que tu cache dans ta manche? -Quoi, quest-ce qui te fait dire que je cache quelque chose dans ma manche? Répondit le concerné, ne pouvant pas caché totalement le ton d'inquiétude dans sa voix. -Depuis le début du repas tu glisse des petit morceau de viande dans ta manche. Il y a donc forcément quelque chose dans ta manche.
Harry soupira. Il siffla quelque chose et, sous les yeux ébahi de ses amis, un minuscule serpent sorti timidement de sa manche.
-C'est Tom, je l'ai trouver dans la forêt ce matin. Il était perdu, alors je l'ai emmener avec moi. Il a passer la journée autour de ma cheville, ou plutôt dire, il s'est faufiler de mon cou à ma cheville à la fin du match de quidditch, il à passer la journée avec moi et il est mort de faim. Il est normal que je le nourisse, il pourrait mourrir. -Mais Harry, enchaîna Ron, c'est un serpent, ce sont des animaux qui son généralement relier à la magie noir, si quelqu'un découvre que tu parle au serpent, on te considérera comme une mage noir.
Harry allait riposter mais Marika fut plus rapide.
-Ron, la meilleur façon de vaincre la magie noir, c'est la magie noir. On ne tue pas quelqu'un avec un sort de protection ou de désarmement. D'ailleur, Harry à l'avantage sur vous de parler à plusieurs créature même s'il l'ignore encore. Il n'est pas le seul à savoir parler au serpent. -Non, bien sur, répondit Hermione pour défendre Ron, Voldemort est reconnu pour parler au serpent, il est le dernier descendant de Salazar Serpentard. -Il n'est pas le dernier. Répondit simplement Marika. Il à un enfant. -QUOI? S'exclamèrent les autres, même les serpentards.
D'un seul bond, Ron, Hermione, Cho et Drago s'était levé. Les autres se contentait de regarder Marika avec des yeux Rond. Tous, sauf Harry qui parraissait étrangement calme. Hermione le remarqua et s'en inquietat.
-Harry, tu pourrais réagir autrement qu'en donnant à manger à cet horrible reptile. -Un, il n'est pas horrible, c'est toi qui à mauvais gout et deux, je me fiche de cet héritier. Je ne peux rien faire pour l'instant, et je ne compte pas faire quelque chose. Qui vous dit que cet héritier ce trouve à Poudlard, où en âge d'aller à l'école? Je ne peux rien faire. Ce n'est pas mon problème d'ailleur. -Comment peux-tu dire ça? Répliqua Ron. L'enfant de Voldemort, il à forcément au moins 14 ans, puisqu'il est impossible qu'il ai eu un enfant en quatre mois, et donc, est forcément en âge d'aller à l'école. Je n'ose même pas imaginer la tête qu'il a.
Marika sembla choqué. Elle sortait rarement hors d'elle même mais là, Ron en avait trop dit et Harry le savait. Malheureusement, il n'avait pas le courage de l'arrêter, sachant que Ron allait en prendre un coup mais ce serait sans doute une bonne chose pour le jeune homme qui avait tendance à dire les choses plus vite qu'il ne les pensait. -Je ne peux pas croire que tu penses de telle chose. Je vais te dire moi, que la fille de voldemort, car il sagir bien d'une fille, n'est pas dutout ce que tu crois qu'elle est. Elle déteste son père, elle le méprise et le maudit. De plus, je ne crois pas qu'elle soit si moche que ça car oui, je sais qui c'est, et oui, elle est à Poudlard, et pour l'instant, elle te méprise totalement.
Marika regarda Ron avec des yeux colérique. Ron avait reprit sa place sur sa chaise et regardait la furie qu'était Marika en ce moment. Elle était furieuse et contenait difficilement l'envie de sauter sur Ron. Harry se leva et alla la rejoindre. Il la pris par le bras et la tira hors de la salle. Lorsqu'il vit Sirius se diriger vers lui, il tourna bervement le regard vers lui.
-Reste là. Avait-il répliquer au chien qui le regardait curieusement.
Avant de sortir, Harry entendit Ron dire à voix haute, Vous croyez que je l'ai blesser?
En dehors de la salle, Harry poursuivi Marika et l'arrêta devant la porte.
-Marika, attend. Avait-il crier.
La jeune fille s'arrêta et attendit. Elle n'était pas peiner, mais furieuse. Harry savait pourquoi mais il savait que Ron ne l'avait pas fait exprès.
-Tu ne leur à pas dit n'est-ce pas? murmura Marika, essayant de contenir sa colère. -Non, car je sais qu'ils l'aurais mal pris. Je préférais attendre pour leur confier ça. Ron avant tout, aurait été furieux de savoir que tu es la fille de Voldemort, celui qui veut ma mort, mais surtout que je ne réagisse pas. -Je sais, répondit Marika, mais il se fit a ce qu'il sait de Voldemort, et non à ce qu'il sait de sa fille, et je déteste que les gens juge sans connaître. -Tu as raison, mais parfois, les gens on des réactions innatendu et chocante, moi même, l'an passé, j'ai eu affaire à ce genre de réactions. Les gens croyait que j'avais mit mon nom dans la coupe de feu, alors que c'était impossible vu la limite d'age installer par Dumbledore et aussi du fait que le tournois ne devais contenir que trois sorciers et non quatre, mais ils ont préféré croire que j'étais coupable. Et Ron, il a été furieux contre moi, il a réagis de façon irréfléchis, sans doute brutal, mais je l'ai sans doute provoquer à un moment ou a un autre. -Tu as raison, je me suis emporter, je n'aurais pas du me facher. Je vais aller me coucher, je suis épuiser, tu devrais en faire autant, nous avons un long chemin a faire demain. -Je te suis, je vais aller dire bonne nuit. -Bien, je t'attend.
Harry tourna les talons et se dirigea vers la salle a manger. Devant sa table, il dit bonne nuit à Ron et Hermione et fit un signe de main à Cho avant de lui sourir et pris la direction de la porte. Dehors, il rejoignit Marika et tous les deux se rendirent dans la tour qui attendait leur départ. La nuit était fraiche mais beaucoup plus chaude que la dernière. Dans la tour, Marika embrassa Harry sur la joue et pris la direction de sa chambre, imité par Harry. Dans sa chambre, Harry posa Tom sur le pied du lit et se glissa sous ses couverture.
Aussitôt les paupières closes, Harry eut l'impression de tombé dans un gouffre dont il ne voyait point le fond. Il pouvait presque sentir le vent siffler à ses oreilles mais pourtant, aucun bruit ne pénétrait son cerveau. Puis, sa chute se ralentit et une faible mélodie se fit entendre. Une voix magnifique, et envoûtante. Puis, Harry cessa de tomber et il eut l'impression de flotter. La voix lui parvenait de façon clair et précise, accompagner par une seconde voix, plus grave et majestueuse. Il écouta attentivement les deux voix qui formait un duo formidable et sentit son corps s'engourdir. Sans savoir pourquoi, cette chanson lui rappelait de bon souvenir, des souvenirs du passé, d'il y a longtemps. Plusieurs année remontait en lui, de sa plus tendre enfance. Le bien-petre qu'il éprouvait était grand et chacune des particule de son corps frissonnait de joie. Harry n'avait jamais eu l'occasion d'entendre ses parent parler outre qu'en la présence des détraqueurs mais tout ce qu'il entendait était les cris qu'ils poussaient l'instant avant de mourir mais maintenant, il entendait ces voix rassurantes qui vous aide à vous endormir, la voix qui fait taire vos pleurs, les voix des deux personnes qui l'ai un jour aimer pour donner leur vie pour la sienne. C'était sans doute le plus beau rêve qu'il n'ai jamais fait et sans s'en rendre conte, Harry versa une larme qui alla s'écraser contre son oreiller. Puis, plusieurs larmes s'échapèrent de ses yeux fermés mais Harry dormait et il était, pour une fois dans sa vie, extrèmement heureux.
Poudlard VS Beauxbâtons
Poudlard s'était déjà emparer du Souafle et fonçait vers les buts adverse. Lesw trois Poursuiveuses faisait un excellent jeu de passe et l'équipe adverse avait bien du mal à suivre leur jeu. Les Batteuse se démeunait pour empêcher les Poursuiveurs adverse d'intercepté le souaffle. Marika était plutôt calme et Cho tournoyait au dessus des joueurs à la recherche du vif d'or. Elle avait changer sa tactict. Au lieu de suivre l'autre attrapeur et de calquer sa trajectoir, elle faisait son propre jeu. Angélina marqua le premier but et le souaffle fut repris par Beauxbâtons. Il semblait que leur Poursuiveurs soit aussi bon car leur jeu, bien que dissemblable à celui des jeunes fille, était excellent mais plus facile à suivre. Il se dirigeaient néanmoins vers les buts de Marika qui suivait le souafle des yeux. Elle était immobile et attendait. Elle regardait chaque mouvement et chaque geste pour prévoir la trajectoire du souafle. Un des Poursuiveurs tira le souaffle dans l'un des anneaux mais Marika, rapide comme l'éclair, attrapa la balle rouge et la lança tout aussi rapidement à Katie qui fondit sur les but adverse. Le match avançait ainsi et bientôt, le score fut de 50 à 10 pour Poudlard. Puis, Cho fonça vers le sol. Avec le balai de Harry, elle pouvait aller plus vite, mais ayant une bonne avance sur son adversaire, elle préféra ménager les force de sa monture. L'attrapeur de l'équipe adverse la rattrapa sans trop de difficulté et elle décida de donner plus fort, le distancant rapidement. Elle tendit la main et la referma sur la petite balle dorée. Cependant, elle fonçait à toute allure vers le sol. Voyant cela, Harry se leva rapidement. Cho eu tout juste le temps de redresser un peu le manche du balai mais pas assez haut pour éviter un accident. Elle roula sur le sol, ne lachant ni le balai, ni le vif d'or. Harry courru jusqu'au corps immobile de Cho.
-Cho, est-ce que ça va? Harry s'était agenouillé à côté de sa tête et tâtait délicatement le visage rose de sa jeune amie. -Mmmm, oui, ça va, ou plutôt, je crois que ça va. Ton balai n'est pas briser? -Je me fiche de mon balai, est-ce que tu vas bien? -Moui, ça va, mais je ne vois rien. -Ouvre les yeux, ça ira mieux. -Je crois que tu as raison! Répondit-elle en riant.
Lorsqu'elle les ouvrit, elle vit le visage de Harry, pencher sur elle, inquiet mais heureux.
-On à gagné. murmura le jeune homme. -Quoi? -On à gagner! S'écria-t-il, en saisissant le poing de Cho.
Celle-ci regarda son poing duquel dépassait deux petites ailles qui battaient vainement. Elle poussa alors un hurlement de joie qui fit rire Harry. Elle voulu se redresser mais se r'allongea aussitôt.
-Ça va? S'inquieta Harry à nouveau. -Mon dos, je crois que je me suis fait un tour de rein en tombant, je ne peux plus me redresser. -Je vais t'aider.
Il glissa don bras droit sous les épaules de Cho et son bras droit sous ses genoux. Il la souleva facilement et éclatat de rire. Les autres joueurs atterrirent et vinrent étreindre Cho qui riait au éclat dans les bras de celui qu'elle commençait à aimer. Même Malefoy vint féliciter Cho. Froidement peu-être, mais quand même, c'était quelque chose. Puis, la foule se dissipa pour laisser passer Dumbledore, les yeux pétillants. Pour mieux se soutenir, Cho passa un bras autour du cou d'Harry. Ce dernier senti Tom descendre dans son dos pour éviter un contact avec la peau de la jeune fille. Ses yeux souvrir et il laissa échaper un petit cri étouffé.
-Est-ce que ça va Harry? Demanda Cho en voyant la pupille d'Harry s'agrandire pour couvrir presque l'iris entier. -Oui oui! Murmura Harry d'une voix quelque peu aigu. Le serpent s'était faufilé dans son vêtement pour aller s'enrouler autour de sa cheville et la peau froide du serpent contre sa jambe l'avait litéralement figé. La voix de Cho le ramena à la réalité et il secoua la tête pour oublier ce contact froid.
-Tu es sûre? -Oui!, je vais bien, j'ai juste senti un courant d'air froid. -Bien, si tu le dit, mais je crois que tu peux me déposer, je n'ai plus mal. -Bien.
Harry déposa cho sur le sol face à son directeur.
-Félicitation à tous. Déclara le Professeur Dumbledore à ses élèves. Vous avez gagner, mais ce n'ai pas une raison pour avoir la grosse tête. Allez félécité l'équipe adverse.
Un a un, tous les joueurs firent la file et félicitèrent chaque joueur de Beauxbâtons qui avouait leur défaite. Puis, les joueurs se dirigèrent vers leur tour pour se changer.
Tom était toujours enroulé autour de la cheville de Harry qui faisait bien attention où il mettait les pieds. Dans sa petite chambre, Harry se débarassa de son habit de quidditch et enfila un pantalon après avoir déposer le jeune serpent sur son lit. Il allait mettre son chandail quand quelqu'un frappa à la porte. Il alla ouvrir et rougit légèrement en se retrouvant face à face avec Cho qui elle, avait rougit comme une pivoine. Elle le parcourit des yeux rapidement. Son corps était légèrement bRonzé et, surement gràce au quidditch, il était assez musclé et même vachement bien fait. Sa taille mince et ses épaules large lui donnait la carrure d'un atlète, bien que encore trop petit pour son âge.
-Oui? Demanda Harry, oubliant qu'il avait le torse nu. -Ah, heu, je suis venu te rendre ton balai, et ta cape que tu avait oublier dans les vestiaire. -Ah, merci. Répondit Harry en prenant la cape et le balai que Cho lui tendait.
Il l'observa attentivement. Ses cheveux ondulait légèrement sur ses épaules et ses yeux n'osaient pas le fixer. Il regarda ses propre main et vit dans l'une d'elle, son chandail. Il réalisa alors qu'il était nu jusqu'à la taille. Jettant ses chose sur le plancher derrière lui, il enfila rapidement son chandail et regarda à nouveau Cho qui avait relever la tête pour le regarder. Ils plongèrent chacun dans le regards de l'autre et rèstèrent ainsi pendant près de cinq minutes. Harry regarda intensément Cho. Il la détailla attentivement, comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Ses yeux en ammande était magnifique dans la lumière embiante et ses joue rose était mignone. Son buste se soulevait à chaque respiration et sa taille mince était immoblie sur ses deux jambes élancée. Il pris alors conscience qu'il la regardait avec insistance et détourna le regard.
-Tu veux entrer? Proposa-t-il en rougissant. -Si tu veux!
Harry s'écarta tandis que Cho entra dans la petite salle de couleur rouge. Il referma la porte derrière elle et se dirigea vers le lit. Il pris place à côté de son serpent, lui faisant signe d'aller se cacher, ce qu'il fit sans répondre. Harry fit signe à Cho de prendre place à côté de lui tout en évitant son regard.
-Il faut qu'on parle! Dit-il. Qu'on parle de Cédric. -Nous ne sommes pas obliger Harry, tu... -Non! Répondit ce dernier. On va en parler, ici et maintenant. Je vais tout te dire, mais soit attentive car je ne vais pas m'arrêter et je ne répeterai pas. -Bien. Murmura Cho, trop intimider par le ton de voix d'Harry pour riposter.
Harry se lança alors dans le long récit de la troisième tâche, suivi du bref combat avec l'araignée géante puis le portoloin. À ce moment du récit, Harry s'arrêta. Il était déjà difficile d'y penser, mais le raconter, c'était devenu impossible. Il regarda Cho dans les yeux. Elle était inquiete, et on voyait dans ses yeux toute la compassion du monde. Ce regard fut tout ce qu'Harry eut besoin pour continuer. Il raconta leur arrivé dans le cimetière, la forme noir qui s'avançait vers eux, la mort de cédric, la résurection de Voldemort, l'arrivé des mangemort, le duel, le dôme en or, les apparitions des echos, la dernière volonter de Cédric, puis le retour à Poudlard. À ce moment, il s'arrêta, réalisant que lui même pleurait silencieusement. Son visage était couvert de larme et ses yeux étaient embrouillés. Il leva à nouveau les yeux vers Cho qui elle, pleurait à chaude larme. Ils restèrent immobile pendant un quart d'heure, à pleurer toutes les larmes qui pouvait tombé. Jamais Harry n'avait autant pleurer de sa vie et c'était Cho la première à le voir dans cet état. Ce fut elle qui bougea la première. Elle s'approcha de lui et l'embrassa sur la joue. Ne pouvant résister, il la serra dans ses bras, laissant les larmes couler à nouveau sur ses joues. Elle se laissa prendre dans les bras réconfortant.
-Je suis désolé. Lui chuchota Harry à l'oreille. -Pourquoi? Répondit doucement Cho. -Parce que c'est de ma faute s'il est mort. Tout est de ma faute.
Cho se décolla doucement de lui et le regarda dans les yeux.
-Ne dit pas ça Harry, ce n'est pas de ta faute, tu ne dois pas te culpabiliser pour ça. -Mais c'est moi qui ai dit à Cédric de prendre la coupe avec moi, et il a été tué pour ça, et c'est de ma faute. -Non Harry! Ça été très brave de ta part de partager la victoire avec lui, et encore plus courageux de ramener son corps, tu ne pouvaix pas savoir que le trophé était un portoloin, ni ce qui vous attendait au bout. Toi, au lieu de penser à ta vie, tu pense à celle des autres Harry, tu es l'homme le plus courageux que je connaisse. Même les plus grands aurors du monde auraient sauvé leu peau avant de ramener le corps d'un autre.
Voyant les larme couler à nouveau sur le visage du garçon, elle le contourna, passa ses mains par dessus les épaules imposante devant elle et le serra très fort. Harry était triste. Il savait qu'elle avait raison, qu'il ne devait pas se culpabiliser de la mort de Cédric, mais c'était plus fort que lui. En sentant les bras de Cho contre ses épaules et sa poitrine contre son dos, il ne pu s'empêcher de sourir faiblement. Il ferma les yeux, s'aisissant à deux main les bras qui lui entourait le cou. Une caresse contre sa joue lui fit tourner la tête. Cho avait apuyer sa tête contre son épaule et avait fermé les yeux. Il apuiya son fRont contre la tempe de la jeune fille qui tourna doucement la tête vers les yeux vert, vide de larme mais plein d'émotion. Elle le regarda pendant quelque minutes puis, sans se rendre conte de ce qu'elle faisait, elle se pencha vers lui et déposa un bref baiser sur les lèvres douce d'Harry. Celui-ci resta figé de surprise. Ses yeux brillèrent d'une lueur de stupéfaction, ce qui la fit sourir. Elle se pencha à nouveau vers ses lèvres et l'embrassa à nouveau. Cette fois, le baiser fut plus long et plus passionné. Cependant, Harry ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'il était en train d'embrasser la petite amie de Cédric et que celle-ci l'aimait toujours. Cho elle, ne pouvait détacher ses penser de Cédric. Elle n'avait pas le droit de l'oublier aussi vite. Au fond d'elle, il brulait encore une flamme d'amour pour lui, et elle devait l'éteindre avant de se remettre avec quelqu'un. Ils rompirent le baiser en même temps, trop coupable pour parler.
-Ce n'est pas le bon moment. Murmura Cho. -Je sais. Répondit Harry. Tu l'aime encore, je le sais, et j'attendrai. -Merci de comprendre Harry. -Si tu as besoin de quelque chose, vient me voir, je serai toujours là. -Merci. -Maintenant, on devrait aller manger, j'en connais un qui doit mourrir de faim. -Ton chien? -Mon chien? Ah oui, Patmol. En fait, je ne l'ai pas vu depuis le match. Il doit être avec Ron et Hermione. Non, je parle de Tom. -Tom?
Au oreille de Cho, la réponse aurait ressembler à un sifflement de serpent mais pour Harry, c'était une invitation à Tom de monter à son bras.
-Voici Tom! Dit-il en tendant le bras. -Un serpent? Mais Harry, les serpent sont des animaux de magie noir. -À quoi ça sert alors de pouvoir leur parler si on ne peut pas en avoir un? Je lui ai en quelque sorte sauvé la vie ce matin, mais là, il est mort de faim. Cependant, personne ne doit savoir qu'il est là alors ne dit rien s'il te plait. -Heu, daccors. -Tu peux y aller, je te rejoin bientôt. -Si tu veux.
Cho se leva et quitta la pièce. Harry enfila un pull à manche longue pour cacher Tom et quitta à son tour la petite pièce. Dans la salle commune, Ron et Hermione discutait joyeusement, Sirius reposant à leur pied. Lorsqu'il vit son neveu entrer dans la pièce, il aboya un coup, attirant l'attention.
-Salut! Dit-il joyeusement en voyant ses amis lui sourir, Ron un peu crispé. -Salut Harry, dit Hermione, tu viens manger? -Oui, je meurs de faim.
Ils sortirent donc de la tour et se dirigèrent vers l'école qui se dressait devant eux. Leur entrer fut très remarque car Patmol glissa et dérappa jusqu'aux pied d'une bande de Beauxbâtons. Les jeunes fille du groupe se penchèrent et dorlotèrent le pauvre chien écraser à leur pied. Sirius se releva avec le plus de dignité possible sous les éclats de rire du trio.
-Mon pauvre Patmol! Réussis à dire Harry entre deux rires. Ton ego en à pris un coup. Ce qui eut pour effet d'augmenter les rires des trois amis. Aller, il va falloir que quelqu'un te coupe les poils, sinon tu ressembleras bientôt à une vadrouille.
Le chien, quelque peu choquer par la remarque d'Harry, se releva, la tête haute et se dirigea vers la salle à manger d'un pas digne et grandiose, ce qui les fit rire encore plus. Une fois assis, il cessèrent de rire momentanément jusqu'a ce que Sirius, la tête trop haute pour voir où il allait, fonce dans une patte de la table. Les rires éclatèrent alors avec une force incroyable. Hermione s'acrocha à Ron pour ne pas tomber tandis que celui-ci s'acrochait désespérément à la table. Quant à Harry, il s'était effondré sur sa chaise, se tenant les côtes tellemtn il riait. Le chien se coucha à ses pied, l'air boudeur et rageur. Pour lui remonter le moral, Harry déposa une énorme cuisse de poulet devant le nez du chien qui le humma avec envie. Pendant le repas, Harry discuta joyeusement de la victoire de ce matin ainsi que des match à venir contre d'autre école, tout en glissant un morceau de viande, de temps à autre, au serpent qui les dévorait avec appétit. Ron remarqua le manège, pourtant subtil, d'Harry et ne pu retenir la question qui lui brulait les lèvres.
-Harry, questiona-t-il, quest-ce que tu cache dans ta manche? -Quoi, quest-ce qui te fait dire que je cache quelque chose dans ma manche? Répondit le concerné, ne pouvant pas caché totalement le ton d'inquiétude dans sa voix. -Depuis le début du repas tu glisse des petit morceau de viande dans ta manche. Il y a donc forcément quelque chose dans ta manche.
Harry soupira. Il siffla quelque chose et, sous les yeux ébahi de ses amis, un minuscule serpent sorti timidement de sa manche.
-C'est Tom, je l'ai trouver dans la forêt ce matin. Il était perdu, alors je l'ai emmener avec moi. Il a passer la journée autour de ma cheville, ou plutôt dire, il s'est faufiler de mon cou à ma cheville à la fin du match de quidditch, il à passer la journée avec moi et il est mort de faim. Il est normal que je le nourisse, il pourrait mourrir. -Mais Harry, enchaîna Ron, c'est un serpent, ce sont des animaux qui son généralement relier à la magie noir, si quelqu'un découvre que tu parle au serpent, on te considérera comme une mage noir.
Harry allait riposter mais Marika fut plus rapide.
-Ron, la meilleur façon de vaincre la magie noir, c'est la magie noir. On ne tue pas quelqu'un avec un sort de protection ou de désarmement. D'ailleur, Harry à l'avantage sur vous de parler à plusieurs créature même s'il l'ignore encore. Il n'est pas le seul à savoir parler au serpent. -Non, bien sur, répondit Hermione pour défendre Ron, Voldemort est reconnu pour parler au serpent, il est le dernier descendant de Salazar Serpentard. -Il n'est pas le dernier. Répondit simplement Marika. Il à un enfant. -QUOI? S'exclamèrent les autres, même les serpentards.
D'un seul bond, Ron, Hermione, Cho et Drago s'était levé. Les autres se contentait de regarder Marika avec des yeux Rond. Tous, sauf Harry qui parraissait étrangement calme. Hermione le remarqua et s'en inquietat.
-Harry, tu pourrais réagir autrement qu'en donnant à manger à cet horrible reptile. -Un, il n'est pas horrible, c'est toi qui à mauvais gout et deux, je me fiche de cet héritier. Je ne peux rien faire pour l'instant, et je ne compte pas faire quelque chose. Qui vous dit que cet héritier ce trouve à Poudlard, où en âge d'aller à l'école? Je ne peux rien faire. Ce n'est pas mon problème d'ailleur. -Comment peux-tu dire ça? Répliqua Ron. L'enfant de Voldemort, il à forcément au moins 14 ans, puisqu'il est impossible qu'il ai eu un enfant en quatre mois, et donc, est forcément en âge d'aller à l'école. Je n'ose même pas imaginer la tête qu'il a.
Marika sembla choqué. Elle sortait rarement hors d'elle même mais là, Ron en avait trop dit et Harry le savait. Malheureusement, il n'avait pas le courage de l'arrêter, sachant que Ron allait en prendre un coup mais ce serait sans doute une bonne chose pour le jeune homme qui avait tendance à dire les choses plus vite qu'il ne les pensait. -Je ne peux pas croire que tu penses de telle chose. Je vais te dire moi, que la fille de voldemort, car il sagir bien d'une fille, n'est pas dutout ce que tu crois qu'elle est. Elle déteste son père, elle le méprise et le maudit. De plus, je ne crois pas qu'elle soit si moche que ça car oui, je sais qui c'est, et oui, elle est à Poudlard, et pour l'instant, elle te méprise totalement.
Marika regarda Ron avec des yeux colérique. Ron avait reprit sa place sur sa chaise et regardait la furie qu'était Marika en ce moment. Elle était furieuse et contenait difficilement l'envie de sauter sur Ron. Harry se leva et alla la rejoindre. Il la pris par le bras et la tira hors de la salle. Lorsqu'il vit Sirius se diriger vers lui, il tourna bervement le regard vers lui.
-Reste là. Avait-il répliquer au chien qui le regardait curieusement.
Avant de sortir, Harry entendit Ron dire à voix haute, Vous croyez que je l'ai blesser?
En dehors de la salle, Harry poursuivi Marika et l'arrêta devant la porte.
-Marika, attend. Avait-il crier.
La jeune fille s'arrêta et attendit. Elle n'était pas peiner, mais furieuse. Harry savait pourquoi mais il savait que Ron ne l'avait pas fait exprès.
-Tu ne leur à pas dit n'est-ce pas? murmura Marika, essayant de contenir sa colère. -Non, car je sais qu'ils l'aurais mal pris. Je préférais attendre pour leur confier ça. Ron avant tout, aurait été furieux de savoir que tu es la fille de Voldemort, celui qui veut ma mort, mais surtout que je ne réagisse pas. -Je sais, répondit Marika, mais il se fit a ce qu'il sait de Voldemort, et non à ce qu'il sait de sa fille, et je déteste que les gens juge sans connaître. -Tu as raison, mais parfois, les gens on des réactions innatendu et chocante, moi même, l'an passé, j'ai eu affaire à ce genre de réactions. Les gens croyait que j'avais mit mon nom dans la coupe de feu, alors que c'était impossible vu la limite d'age installer par Dumbledore et aussi du fait que le tournois ne devais contenir que trois sorciers et non quatre, mais ils ont préféré croire que j'étais coupable. Et Ron, il a été furieux contre moi, il a réagis de façon irréfléchis, sans doute brutal, mais je l'ai sans doute provoquer à un moment ou a un autre. -Tu as raison, je me suis emporter, je n'aurais pas du me facher. Je vais aller me coucher, je suis épuiser, tu devrais en faire autant, nous avons un long chemin a faire demain. -Je te suis, je vais aller dire bonne nuit. -Bien, je t'attend.
Harry tourna les talons et se dirigea vers la salle a manger. Devant sa table, il dit bonne nuit à Ron et Hermione et fit un signe de main à Cho avant de lui sourir et pris la direction de la porte. Dehors, il rejoignit Marika et tous les deux se rendirent dans la tour qui attendait leur départ. La nuit était fraiche mais beaucoup plus chaude que la dernière. Dans la tour, Marika embrassa Harry sur la joue et pris la direction de sa chambre, imité par Harry. Dans sa chambre, Harry posa Tom sur le pied du lit et se glissa sous ses couverture.
Aussitôt les paupières closes, Harry eut l'impression de tombé dans un gouffre dont il ne voyait point le fond. Il pouvait presque sentir le vent siffler à ses oreilles mais pourtant, aucun bruit ne pénétrait son cerveau. Puis, sa chute se ralentit et une faible mélodie se fit entendre. Une voix magnifique, et envoûtante. Puis, Harry cessa de tomber et il eut l'impression de flotter. La voix lui parvenait de façon clair et précise, accompagner par une seconde voix, plus grave et majestueuse. Il écouta attentivement les deux voix qui formait un duo formidable et sentit son corps s'engourdir. Sans savoir pourquoi, cette chanson lui rappelait de bon souvenir, des souvenirs du passé, d'il y a longtemps. Plusieurs année remontait en lui, de sa plus tendre enfance. Le bien-petre qu'il éprouvait était grand et chacune des particule de son corps frissonnait de joie. Harry n'avait jamais eu l'occasion d'entendre ses parent parler outre qu'en la présence des détraqueurs mais tout ce qu'il entendait était les cris qu'ils poussaient l'instant avant de mourir mais maintenant, il entendait ces voix rassurantes qui vous aide à vous endormir, la voix qui fait taire vos pleurs, les voix des deux personnes qui l'ai un jour aimer pour donner leur vie pour la sienne. C'était sans doute le plus beau rêve qu'il n'ai jamais fait et sans s'en rendre conte, Harry versa une larme qui alla s'écraser contre son oreiller. Puis, plusieurs larmes s'échapèrent de ses yeux fermés mais Harry dormait et il était, pour une fois dans sa vie, extrèmement heureux.
