Chapiter 26
Encore des morts, une crise de nerfs
Il pleuvait, le temps était moche, vraiment moche. C'était samedi, et il tombait des cordes. Quoi dire de plus sur cette journée ? rien. Elle avait commencé de façon si monotone. Hermione lisait un livre qui semblait interminable, Ron avait commencer un devoir mais ne cessait de fixé la jeune fille et Harry regardait par la fenêtre, complètement perdu dans ses pensés.
Marika entra dans la salle commune, la parcourut des yeux et se dirigea vers Harry. quand elle fut derrière lui, elle se pencha et murmura doucement à son oreille.
-Petit message pour monsieur Potter, une jolie jeune femme l'attend dans le troisième couloir après la classe de sortillège. Il à intérêt à y être dans 10 minutes ou elle retourena le bouder pour les deux prochaines semaines.
Harry bondit sur ses pieds.
-Tu es sérieuse ?
-On ne plaisante pas avec les Serdaigles Harry.
Marika se dirigea vers les jumeaux qui chuchottaient encore.
Harry dit rapidement au-revoir à ses amis, trop occupé à se chamailler de nouveau pour faire atention à lui, et sorti rapidement de la salle des Griffondors. Quelques minutes plus tard, il trouva Cho qui attendait impatiemment, apuyer contre le mur de pierrre, paressant légèrement nerveuse.
Harry s'approcha derrière elle. Apparement, elle croyait qu'il allait arrivé de l'autre côté mais avec un ou deux passage secret, Harry était à l'heure, et il la prendrait par surprise.
Silencieusement, il s'approcha d'elle et déposa un peit béco sur son épaule. Elle sursauta violement mais l'étreignit amoureusement.
-Alors, on se sert de messager pour me joindre ?
-Bien, quand j'ai vu Marika, j'ai pensé à toi, et je me disais que ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas vu alors j'ai penser qu'ici, ce serait bien, presque personne ne passe par ici.
-Je connais un meilleur endroit, mais ici, ça me convient.
Harry passa ses bras autour de sa taille et l'embrassa lentement.
Le baiser devint plus intense et Cho ne touchait plus le sol tellement Harry la tenait fort dans ses bras. Aussi subitement, il romp le baiser et plaque une main sur son front en fermant les yeux.
-Harry ça va ? s'inquiete Cho en s'éloignant.
Mais Harry n'entendit pas ce qu'elle dit et tomba à genou sur le sol. Avec une main, il tenta de trouver la fiole noir dans une de ses poches mais il ne la trouva nul part et la douleur etait si aigue qu'il en avait la nausé. Sans attendre, Cho s'élanca vers le bureau du directeur et s'arrête devant la gargouille qui en garde l'accès.
Ne trouvant pas le mot de passe, elle se diriga vers le bureau du professeur le plus proche qui était celui de métamorphose. En entrant dans la classe, Mcgonnalgal la regarda. Dumbledore était avec elle et Cho bénit le ciel pour sa chance.
-Professeurs, haleta-t-elle. Harry . . . Harry à mal . . . à sa cicatrice, je ne sais pas quoi faire . . . je . . .
mais elle ne termina pas. Déjà, Dumbledore s'élancait à sa suite et elle le guida malgré son point de côté et en un rien de temps. Ils arrivent finalement devant Harry qui à finalement perdu conscience dans le couloir, là où elle l'avait laissé.
Dumbledore prit l'adolescent dans ses bras et le porta jusqu'à l'infirmerie où Madame Pomfresh et Mcgonagal discutait avec animation. Aussitôt, l'infirmière leur sauta dessus et fit étendre Harry sur son lit habituel.
-Dumbledore, vous devez trouver quelque chose pour calmer ses douleur, il va finir par devenir fou. S'écria Pomfresh après un rapide coup d'?il à Harry.
-Je croyait qu'il avait déjà trouver une solution. Minerva, aller me chercher Mademoiselle Marika, elle sait comment calmer ses souffrance.
Minerva s'excécuta silencieusement et Pomfresh se dirigea vers son bureau.
-Miss Chang, je ne voudrait pas parraître indiscret, mais quest-ce qui s'est vraiment passé ?
-Bien. répondit timidement Cho, peu habituer à parler aussi ouvertement avec un professeur. Nous étions. . . heu . . . dans le couloir et nous . . . enfin, vous savez.
Dumbledore sourit avec amusement avant de lui faire signe de poursuivre son récit.
-Ensuite, il a brusquement plaqué ses mains sur son front. Je l'ai vu chercher quelque chose, mais apparement, il n'a rien trouvé, et je suis venue vous chercher. Vous connaissez la suite. Rien de bien dramatique, enfin je crois.
-Non, effectivement, rien de bien grave. Harry est, je crois, habituer à ces douleurs. Seulement, il m'avait affirmé qu'il avait trouvé une solution à ce problème.
Cho aquiessa et se déplaça silencieusement vers la tête d'Harry qui semblait endormi, même s'il n'en était rien.
-Au fait, il n'a pas crier ? geint, quelque chose ?
-Non, pas du tout. Aucun son.
-L'orgueil. Murmura Dumbledore dans sa barbe. Un vilain défaut, il faudra l'aider à s'en débarasser.
Cho ne comprit pas pourquoi Dumbledore se parlait ainsi.
Enfin, Marika entra dans l'infirmerie et se figea devant le lit d'Harry. Elle regarda Cho et Dumbledore, s'approcha de la tête d'Harry, fouilla dans les poche du jeune homme et trouva la fiole que Harry avait chercher plus tôt et lui en versa une goute entre les lèvres.
-Il devrait la mettre dans un endroit plus accesible. Gronda Marika en refermant la fiole.
-Quest-ce qu'il y a la dedans ? questionna Cho, soudainement intéresser.
-le remède qui l'empêcher de devenir complètement dingue.
-Et quest-ce qu'il y a la dedans ?
Marika la fusilla du regard mais eut un petit sourir.
-Le prortrait tipique de la Serdaigle. S'exclama Dumbledore. Miss Chang, posez des question est, en d'autre circonstance, est très apprécier mais sachez que se poser trop de question sur la vie de Harry peut être dangeureux. Ceux qui en savent trop sont les premier visé par l'ennemi et Harry est trop complex pour être comprit avec ce genre de question. Rester dans l'ignorance pour le moment, c'est mieux pour vous. Plus tard, peut- être, Harry répondra à vos questions que vous juger pertinente, mais sinon, n'essayer pas de comprendre.
Cho se renfrogna. Même si elle savait que Harry cachait beaucoup de chose douloureuse, elle détestait ne pas avoir les réponse à ses questions.
Un rire moquer lui fit tourner la tête. Elle rencontra le regard vert d'Harry qui riait, comme si rien ne s'était passé.
-Une Serdaigle exemplaire. Murmura-t-il en la tirant vers lui.
Dumbledore leur sourit et sorti de la pièce. Marika se tourna vers Harry.
-Dorénavent, fait en sorte de la placer en un endroit plus facile à atteidre Harry, parce que tu risquerait d'y laisser la raison.
Sur ce, elle donna la fiole à Harry qui la mit dans sa poche de devant et sorti de l'infirmerie. Sans placer un mot, Harry se redressa et serra Cho dans ses bras pour l'embrasser amoureusement.
Harry rompit de nouveau le baiser, doucement cette fois, pour la regarder.
-Je suis désolé Cho, je déteste ce genre de crise, ça me rend fou, en plus, elle à bien choisis le moment pour me faire mal celle-là. Excusa Harry en pointant sa cicatrice.
-Ce n'est aps ta faute Harry.
Cho le tira hors du lit pour l'étreindre completement mais Madame Pomfresh surgis et mis fin à leur amourette.
-Jeune gens, ce n'est pas unnid d'amoureux ici, c'est une infirmerie. Prière de bien vouloir arrêter ça. M. Potter, vous pouvez quitter l'infirmerie mais dorénavent, j'aimerais que vous veniez une fois par semaine. C'est un ordre !
Harry fit la moue et sorti avec Cho de l'infirmerie. Aussitôt, un gros chien noir leur tomba dans les pattes.
-Patmol !
sirius osculta minutieusement Harry qui entrprit de le secouer un peu.
-Si on allait faire un tour dehor, l'air frai nous fera la plus grand bien, et pour ton chien aussi. Proposa la jolie Serdaigle.
-Accio Cape ! s'exclama Harry.
quelques seconde plus tard, la grande cape rouge et la cape noir apparurent en haut d'un escalier avant de se diriger vers eux. Aussitôt couvert, ils sortirent, Sirius marchant calmement à droite d'Harry, entre lui et Cho.
Quand Harry voulu le chasser pour prendre ho par la taille, Sirius grogna.
-Hé-ho, le chaperon !
Cho pouffa et Sirius consentit à s'éloigner. Harry se rapprocha de Cho et la tint fermement contre sa hache. La chaleur de leur corps leur apportait un doux réconfort et ils étaient très bien ainsi.
-Dit moi Harry, dans l'école, il y a eut beaucoup de rumeur à ton sujet.
-Tu veux dire, l'an passé ?
-Et bien avant. Je n'avait jamais entendu autant de radotage sur le dos d'une seule personne de ma vie.
-Ravis de savoir que j'entretient les conversation.
-Des rumeur comme quoi tu serais Fourchelang, que tu étais fou, que tu serais ami avec des loup-garou et des demi-géant, et que tu serais amoureux d'Hermione.
Harry s'arrêta brusquement.
-Hermione n'a jamais été ma petite amie.
Cho haussa des épaules et tira Harry pour continuer leur promenade.
-Raconte moi, dit moi pourquoi toutes ces rumeur ?
-pour le Fourchelang, tu connais l'histoire.
-Comment es-tu devenu un charmeur de serpent ?
-Personne n'en sait vraiment quelque chose mais Dumbledore à avancé l'hypothèse que, en tentant de me tuer, Voldemort m'aurait transmis une partie de ses pouvoir, dont celui de parler au serpent. Il y en a sûrement d'autre, mais je ne les connais pas.
-Ho. Daccord, une autre question. Heu . . . où as-tu grandis ?
-Chez mon oncle et ma tante. La s?ur de ma mère. Pendant 10 ans, j'ai dormi dans un placard, mon cousin, l'énorme Dudley, s'amusait à me pourchasser, lui et sa bande d'ami, et si quelqu'un avait le malheur d'avoir pitié pour le pauvre petit Harry, il se faisait ramassé par toto la brute. Chaque été je retourne chez eux et prix le ciel pour sortir de ce calvaire le plus tôt possible.
Cho grimaça mais se reprit très vite.
-Troisième question. Heu . . . ton plus gros défaut !
-Mon orgueil, je crois.
-Ta plus grande qualité ?
Harry dut réfléchir longtemps. Il connaissait ses défauts mais ses qualité, c'était plus difficile. Il finit par hoché des épaules.
-Je ne sais pas.
Cho commença alors à énuméré toutes les qualités dont Harry faisait l'éloge.
-Ton courage ? Téméraire ? Brave ? loyal ? Gentil ? Honnète ?
à chaque mot, Harry rougissait.
-Je sais ! s'écria Cho en riant. Ta modestie !
Harry sourit faiblement. Il devait bien l'avouer, il détestait qu'on lui dicte tout l'éloge rattaché à son passé et son nom.
Cho rit.
-Je peux poser d'autre question ?
-Je peux en poser une ?
-Oui
-Tu es toujours aussi curieuse ?
-Je suis une Serdaigle Harry.
-Je suppose que c'était une question stupide. A mon tour maintenant. Toi, quelle est ton pire défaut ?
Cho réfléchit quelques seconde avant de faire la moue, ce qui attendrissa Harry.
-Je ne sais pas. on m'a trop souvent couvert de compliment pour que j'en vienne à me poser la question. Je suis jolie, intélligente, affectueuse, curieuse, inventive, passionné, vivante, mais mes défauts, je n'en connais pas.
-Moi, je dirais que tu ne veux simplement pas te l'admettre. Un peu comme l'orgueil, c'est difficile de ce dire qu'on ne veut pas accpter l'aide de quelqu'un simplement parce que vous êtes jaloux de lui.
-Jaloux de qui ?
-Cédric.
Le regard interrogatif de Cho pesa dans celui, soudainement intimidé, d'Harry.
-Explique ?
Harry s'empourpra ce qui fit sourir Cho.
-Bien, quand je t'ai demander d'aller au bal, tu m'avais dit que tu y allait avec Cédric, et j'ai été . . . humph . . . jaloux. Puis, quand Cédric a voulu m'aider pour la deuxième tâche, j'ai mis beaucoup de temps à mettre mon orgeuil et ma jalousie de côté pour accepter son conseil, ce qui m'a, en quelque sorte, sauvé la vie et la mise.
Cho ne sut que dire. Harry lui avait déjà fait une déclaration romanesque, mais là, il passait carrément au aveu, enfin, presque.
-Et depuis combien de temps tu . . . enfin, tu m'avais remarquer ?
Harry mit un certain temps avant de bafouillé, les yeux rivé sur le sol, rouge comme un pavot.
-Depuis le match contre Serdaigle . . . quand j'avais treize ans.
Cho s'arrêta alors de marcher, surprise.
-Et tu ne t'es jamais déclarer ?
-j'ai bien essayer une fois, mais tu étais déjà prise.
Cho eut l'air déçu mais tira à nouveau Harry pour continuer leur promenage.
-je m'étais toujours demander comment c'était, de parler avec toi, comme ça. murmura Cho. Tu avait l'air tellement attentif, compatissant à tous les malheur des autre, par ce que tu en a vécu toi aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envi de discuté, comme ça, en toute franchise, avec toi. de savoir, pourquoi j'étais si attiré vers toi sans le savoir. Tu avais toujours éveiller ma confiance et si, aujourd'hui, je n'étais pas ta petite amie, j'aurais sans doute tout fait pour devenir ta meilleure amie.
Harry lui pris affectueusement la main.
-Tu n'aurais jamais pu être ma meilleure amie. Tu étais trop attirante, pour être une simple amie. Un jour où l'autre, j'aurais passé au aveu, pour te dire que je tenais à toi.
Harry lui jetta un rapide coup d'?il à Cho avant de continuer.
-Ton sourir me subjugait, tes yeux me figeaient sur place. Tu étais belle, ravissante, rayonnante. Je t'ai dabord trouvé belle, comme d'autre sans doute avant moi, mais ta beauté avait quelque chose d'angélique, de doux, d'envoutant. Ce n'était pas une beauté qu'on accorde aux filles bien tournée, avec un regard chasseur qui est prète à tout pour vous charmer. Tu séduisait avec un sourir sans t'en rendre compte, et je me rend compte, moi, que je suis vraiment chanceux de pouvoir profité de tes sourirs, parce que j'en suis souvent la cause.
Cho avait le souffle coupé.
-Je t'aime. Finit par dire Harry en serrant sa main de plus belle.
Sans lui laissé le temps de répondre, Harry s'arrêta pour la serrer amoureusement et fixé ses yeux brillant dans les siens. Ils se regardèrent passionnément avant de se rapprocher l'un vers l'autre pour partagé un baiser. Une patit baiser, tout petit, du bout des lèvres, les faisant néamoins frissoné d'extase.
Un bruit de course les sépara rapidement.
De loin, Harry put voir Ron et Hermione courir vers eux. Lorsqu'ils furent à la même hauteur, Ron se plia en deux pour reprendre tant bien que mal sa respiration tandis que Hermione haletait.
-Harry. parvint-elle à soufler. Marika nous à dit pour ta cicatrice, on vouloit savoir si tu allais bien.
-Je vais bien, pas la peine de vous inquiéter.
Ron se redressa en prenant une dernière grande respiration et regarda son meilleur ami et son regard glissa vers la main de Cho, emprisonner dans celle d'Harry.
-Tient, on se doutait bien que vous étiez ensemble ! s'exclama-t-il.
Les deux amoureux rougirent et Hermione put constater que Harry et Cho sortaient bel et bien ensemble.
-Mais enfin Harry tu . . . tu ne peux pas sortir avec elle !
-Pourquoi ? s'exclamèrent les trois adolescents.
-Elle est à Serdaigle, l'attrapeuse de Serdaigle, ta rival !
-Et alors ! s'écria Ron.
-Tu . . . , Hermione sembla chercher ses mots. Tu fraternise avec l'ennemi !
Harry éclatat de rire, au grand étonnement de Cho, et Ron pis une teinte cramoisie avant de marmoner tout bas.
-Bon bon ça va.
Le rouquin tourna les talons et s'éloigna, offencé. Avant de courir le rejoindre, Hermione leur glissa un dermier mot.
-Je suis heureuse pour vous deux. Vous êtes fait pour aller ensemble.
Harry lui sourit avant de regarder Ron qui leur jettait des regards vexé avant de reprendre sa marche, ce qui déclancha une nouvelle vague de rire chez Harry.
-Tu pourrais m'expliquer ? demanda finalement Cho, peu heureuse d'ignorer ainsi la situation présente.
Harry la glissa contre lui et lui raconta toute l'histoire avec Victor Krum et Cho s'esclafa à son tour. Alors qu'ils allaient repartir dans leur baiser, dumbledore vint les intérrompre, une petite lueur d'amusement dans les yeux, presque étouffé par la crainte.
-Harry, je dois te parler, c'est important. S'il te plait, suis-moi.
Dumbledore regarda Cho et eut un sourir nvré.
-Je dois te parler, seul. Suis-moi.
à regret, Harry s'éloigna de Cho qui resta pensive en voyant le directeur si famillier avec son petit ami.
Dans le bureau de Dumbledore, Harry suivi les instruction de son supérieur et s'assied dans un grand fauteil.
-Harry, si ta cicatrice t'a fait mal tantôt, c'est qu'il y a eut une attaque et Voldemort y participait, ce qui est rare.
Harry sentit ses entrailles se contracter. Ses yeux posèrent la question de ses lèvres n'osait formuler.
-l'attaque à eut lieu à Privet Drive. Ton oncle et ta tante sont morts
« ho ! » fut la seule chose que Harry réussit à prononcer. Il détestait les Dursley, et ceux-ci le lui rendait bien, mais il ne voulait pas les voir mourir, par sa faute.
-Et Dudley ! réussit-il à dire.
-Il n'est pas encore au courant, mais cela ne devrait pas tarder. Il y aura des funéraille, et je te demande si tu veux y aller.
Harry réfléchit. Il n'aimait pas ce genre de rassemblement, où l'ont remémorait la mort des gens. Dudley y serait sûrement et ne manquerait pas de l'accusez. D'un autre côté, c'était une sorte d'obligation. Il se devait d'aller se faire pardonner auprès d'eux, même s'il ne pourrait, de toute façon, leur demander le pardon envers des gens qui méprisait tout ce qu'il était.
-J'irais. Murmura-t-il finalement, regrettant aussitôt son choix.
-Après-demain, quelqu'un viendra te chercher. Tu peux y ammener quelqu'un avec toi, pour que tu ne te senta pas trop seul.
Harry inclina la tête et resta songeur avant de se lever et de sortir du bureau. Il parcourut les couloir et entra dans sa salle commune. Il avait vaguement vu Cho se diriger vers lui mais lorsqu'elle avait vu l'air troublé de l'adolescent, elle avait jugé mieux de le laisser à ses réflexions.
Quand Harry entra, peu de personne firent attention à lui mais ceux qui le virent se sentirent mal. Harry s'installa près du feu et le regarda de façon lunatique en pendant à sa famille. Ron et Hermione entrèrent une heures plus tard, Patmol les précédant. Le chien s'approcha de lui et le questionna de ses yeux humides. Apparement, il ne savait encore rien de la mort de sa tante en son mari.
-Les dursley sont mort. Lui dit-il en lui rendant son regard de façon grave. Voldemort les a attaqué. Après demain, je vais aller à leurs funéraille.
Sirius posa une patte sur le genou d'Harry qui le chassa furieusement.
-Je n'ai pas besoin d'être réconforté.
Se repliant sur lui, Harry retint les quelques larmes qui menaçait de couler. Il n'amait pas être la cause de la mort d'autrui, même s'il les détestait autant qu'il l'avait fait avec les dursley, qui avaient payé cher de leur vie pour l'avoir acceuillit sous leur toit, même avec toute leur réticence.
Patmol regarda Ron et Hermione qui observaient eux aussi Harry, très inquiet.
-Harry, Si tu as besoin d'aide nous . . .
-Je n'ai besoin de peronne. Laissez-moi tranquil. Allez-vous en. Je n'ai pas besoin de l'aide de personne.
Harry continuait à regarder le feu avec le même regard lointain. Sans ajouter un mot, ses amis s'éloignèrent. Hermione et Ron allèrent s'installer dans des fauteuil non loin pour avoir un ?il sûr sur leur ami.
-Allons Harry, tu a toujours dit que tu détestait ces gens, tu ne v pas te mettre à pleurer sur leur sort . . .
-Je l'ai ai peut-être détester Ron, mais pas au point de vouloir leur mort, et d'après toi, où est-ce que je vais aller vivre cette été ? dans un orphelina, sans aucun doute, puisque je n'ai plus de famille.
Harry se renfrogna de plus bel et Ron regretta aussitôt d'avoir parler mais Harry ne s'arrêta. Sans prévenir, il se leva, empoigna un gros chandelier, heureusement éteint, et le lança de toute ses forces sur le mur le plus loin, contre lequel il alla se fracasser à grand bruit. Toute la salle fit un gros silence et fixa Harry avait étonnement. Sans crier gare, il en empoigna un autre qui suivi la même trajectoire du premier et éclata en morceau brillant qui jonchèrent le sol, sous les regards apeurés. Harry en pris un troisième, le regarda avec un dégout apparent.
-Voldemort est en liberté, avec ses mangemorts, à ma recherche, et moi je reste là, les bras croisés, sans me soucier de ce qui se passe à l'extérieur. Murmura-t-il tout bas.
Un cri de fureur et de rage non contenu s'échappa de sa gorge et se répercuta sur les mur de la salle en même temps que le dernier chandelier qu'il avait à porter de main allait s'écraser à son tour sur le mur.
Le jeune homme, hors de lui, sorti de la salle avant que quelqu'un ne soit blesser et alla s'enfermer dans une classe oublier afin de frappé dans les mur de pierre à s'en faire saigner les jointure mais il restait insensible à la douleur qui lui empoignait les mains et les bras.
Un bruit de porte que l'on referme et des pas qui s'approche l'arrêtèrent et Harry se retourna pour voir Marika qui le regardait, les yeux dures, la mine sévère.
-Mcgonnalgal ne va pas apprécier ce que tu viens de faire Harry.
-Je me fiche de ce qu'elle va penser.
-Peut-être, mais tu a foutu une sacré peur à tout le monde dans la salle commune.
-qu'importe, s'il ont eut peur, c'est qu'ils n'ont jamais vu ce que moi j'ai vu.
-Et toi, tu as vu ce que moi j'ai vu peut-être ? non, bien sur. Personne ne connaît les horreurs auxquelles tu as été confronté Harry, nin moi plus que dumbledore ne pouvons comprendre ce qui ce passe dans ta tête et, même si nous le pouvions, ça n'arrangerait rien. Cependant, tu n'as pas le droit de te conduir ainsi, comme un déchaîner, simplement parce que les Dursley sont mort. Je suis consciente que ça te choque, et peut-être même te chagrine, mais tu ne peux pas faire autrement. Pense à tous les autres élèves, qui vive dans la hantise que leur famille ne soit détruite. Ils préfèrerait de beaucoup être avec leurs parent qui cours de grand danger, jour et nuit, plutôt que d'être en sécurité dans les murs de pierre de Poudlard. Pense aussi que pour beaucoup de gens, toi, et Dumbledore, représenter l'espoir de tous les sorcier du monde.
-Quest-ce qu'il attende de moi au juste, que je détuise Voldemort en marmonant quelque tout de magie ? que je me transforme en machine à tuer les mage moir et ses acolyte ? je ne suis pas comme ça. les gens se font de mauvaise illusions.
-Arrête de penser à toi Harry. même s'il se font de fausse idée de toi, essais au moins de leur donner un peu d'espoir, mais si tu tombes, alors le monde tombe, parce qu'il repose preque entièrement sur tes épaules. J'aimerais t'aider, soutenir ton poid, mais j'ai suffisement du miens pour l'instant. Entretenir une identiter secrete à Poudlard n'est pas chose facile, surtout quand on s'est presque trahis. Malefoy semble même connaître mon secret. Tu ne peux pas demander ni à tes amis, ni à ton parrain, de t'aider dans ta tâche Harry. il n'y à que toi pour nous redonner le moral.
-Pourquoi moi !
-Il faut toujours quelqu'un pour écoper des reste Harry, et tu es cette peronne, mais un jour, pour tout le calvaire que tu as endurer, tu sera réconpensser par les effort que tu auras fournis. Tout viens à point, à qui sait attendre.
-J'ai horreur des proverbe.
-Peut-être, mais ils sont là pour nous aider Harry. libre à toi de choisir ce que tu en feras, mais toute ta vie, tu sera confronté à des problème, et c'est souvent dans les pensé et proverbe qu'on trouve la solution.
Harry resta silencieux, avant de frappé à nouveau dans le mur, toujours aussi insensible au sang qui commençait à couler le long de ses doigt.
-En attendant, frapper sur quelque chose ne défoule. Encore heureux que ce ne soit que des pierres.
Maria haussa des épaule et se détourna pour sortir de la classe. Avant de refermer la porte derrière elle, elle le regarda intensément avant de lui murmurer . . .
-Ne laisse pas ta colère te dominer Harry. dans un duel, elle est ta pire ennemi, parce qu'elle t'aveugle. Contient là, et tu vaincra toujours celui que tu hais. Laisse la te mener, et tu périra avec elle.
Puis elle parti en silence pour laisser la place à Dumbledore et Patmol.
-Harry . . .
-Je suis désolé de m'être laisser emporter comme ça Professeur.
-Harry . . .
-Je sais que je n'aurais pas dû, et je m'en veux.
-Harry . . .
-Pardonnez-moi, Je suis vraiment . . .
-HARRY ! s'impatienta momentanéement Dumbledore, faisant taire son élèves. Je te comprend tout à fait, et je venais juste voir si tu allais bien, mais apparament non !
Dumbledore s'approcha et lui pris les mains pour les examiner.
-Tu te fait souffir innutilement mon pauvre garçon, pourquoi tu te fais mal ainsi ?
-Ça fait du bien. Et quant à moi, vaut mieux frapper dans les mur que frapper dans la face de pustule à Malefoy.
Dumbledore lui lança un regard réprobateur mais ne dit rien.
-Va à l'infirmerie Harry, Pompom va ta soigner, puis ensuite, tu monteras dans mon bureau. Tu as fichu une sacré trousse à tes camarades, et plusieures se sont presque évanouit en te voyant aussi enragé.
-bien.
Harry inclina respectueusement la tête mais Dumbledore lui releva le menton.
-Ne t'incline pas devant moi Harry. ne t'incline jamais devant personne.
-Pourtant, c'est le moindre signe de respect envers Vous professeur. Vous êtes le maître de cette école . . .
-Je suis le maître de personne, et encore moins de toi. tu n'as et n'auras jamais de maître Harry, parce que tu es le plus fort.
sur ce, Dumbledore sorti de la classe en prenant soin de bien refermer la porte derrière et Patmol se tranforma en Sirius.
-Ne fait plus jamais ça Harry. susura Sirius en s'approchant. Ne me fait plus jamais peur comme ça. tu m'entends ?
Harry toisa son parrain avec un colère soudaine.
-tu n'es pas mon père. Répliqua sèchement Harry.
sans laisser le temps à l'autre homme de répliquer, Harry sortit en courant comme un coup de vent dans les couloir, passa rapidement à l'infirmerie sans entendre lesermond de Pomfresh et se dirigea vers le bureau du directeur.
En fait, dumbledore voulait le voir dans le seul but de le sermoner un peu, en présence de Mcgonnagal qui était furieuse, mais aussi très inquiete. Une fois Harry sorti du bureau, il era librement dans les couloir pour tomber sur la petite bande de Cho, parmis laquelle Cho discutait en riant.
Harry sentit son c?ur fondre en la voyant aussi enjouée et il s'approcha d'elle d'un pas conquérent et chasseur, un fantôme de sourir acrocher aux lèvres.
-Tient, voilà ton chevalier servant. S'exclama Maria en voyant le beau Griffondor se diriger vers eux.
-Je me demande ce qu'il nous veut. Maugréa Franc, l'un des amis de Cho.
Cho attendit que Harry fut à sa hauteur pour lui sourir gentillement et se glisser contre lui. Harry acceuillit cette marque d'affection avec un petit sourir et déposa un petit baiser sur sa joue. Les autres les regardèrent avec surprise, ce qui ne fit qu'augmenter le sourir d'Harry qui se pencha et embrassa Cho à pleine bouche, déclanchant les exclamation de joie de ses amies, et les grognements des garçons.
-alors, vous êtes finalement ensemble ? S'écria Lussia en frappant joyeusement dans ses mains quand le couple se sépara finalement.
Cho sourit et Harry serra devant lui, dans le creux de son torax voûté pour qu'elle s'y blotisse.
-J'ai quelque chose à te demander. Mon oncle et ma tante sont morts . . . Harry fit une courte pose, prenant un air plus sérieux. Lundi, j'assisterai à leur enterrement et, j'aimerais que tu viennes, si tu veux.
-Je suis vraiment désolé pour toi Harry. répondit Cho.
-ça va, je ne veux pas de compassion, je veux juste que tu viennes avec moi, s'il te plait.
Cho se retourna et plaça ses bras autour de la taille d'Harry.
-si tu veux, je viendrai. Elle déposa un baiser sur son c?ur et enfoui son visage contre l'épaule d'Harry en lui frictionnant le dos.
Les amis de Cho les regardèrent et s'éloignèrent silencieusement, laissant les tourtereaux à leur histoire.
Encore des morts, une crise de nerfs
Il pleuvait, le temps était moche, vraiment moche. C'était samedi, et il tombait des cordes. Quoi dire de plus sur cette journée ? rien. Elle avait commencé de façon si monotone. Hermione lisait un livre qui semblait interminable, Ron avait commencer un devoir mais ne cessait de fixé la jeune fille et Harry regardait par la fenêtre, complètement perdu dans ses pensés.
Marika entra dans la salle commune, la parcourut des yeux et se dirigea vers Harry. quand elle fut derrière lui, elle se pencha et murmura doucement à son oreille.
-Petit message pour monsieur Potter, une jolie jeune femme l'attend dans le troisième couloir après la classe de sortillège. Il à intérêt à y être dans 10 minutes ou elle retourena le bouder pour les deux prochaines semaines.
Harry bondit sur ses pieds.
-Tu es sérieuse ?
-On ne plaisante pas avec les Serdaigles Harry.
Marika se dirigea vers les jumeaux qui chuchottaient encore.
Harry dit rapidement au-revoir à ses amis, trop occupé à se chamailler de nouveau pour faire atention à lui, et sorti rapidement de la salle des Griffondors. Quelques minutes plus tard, il trouva Cho qui attendait impatiemment, apuyer contre le mur de pierrre, paressant légèrement nerveuse.
Harry s'approcha derrière elle. Apparement, elle croyait qu'il allait arrivé de l'autre côté mais avec un ou deux passage secret, Harry était à l'heure, et il la prendrait par surprise.
Silencieusement, il s'approcha d'elle et déposa un peit béco sur son épaule. Elle sursauta violement mais l'étreignit amoureusement.
-Alors, on se sert de messager pour me joindre ?
-Bien, quand j'ai vu Marika, j'ai pensé à toi, et je me disais que ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas vu alors j'ai penser qu'ici, ce serait bien, presque personne ne passe par ici.
-Je connais un meilleur endroit, mais ici, ça me convient.
Harry passa ses bras autour de sa taille et l'embrassa lentement.
Le baiser devint plus intense et Cho ne touchait plus le sol tellement Harry la tenait fort dans ses bras. Aussi subitement, il romp le baiser et plaque une main sur son front en fermant les yeux.
-Harry ça va ? s'inquiete Cho en s'éloignant.
Mais Harry n'entendit pas ce qu'elle dit et tomba à genou sur le sol. Avec une main, il tenta de trouver la fiole noir dans une de ses poches mais il ne la trouva nul part et la douleur etait si aigue qu'il en avait la nausé. Sans attendre, Cho s'élanca vers le bureau du directeur et s'arrête devant la gargouille qui en garde l'accès.
Ne trouvant pas le mot de passe, elle se diriga vers le bureau du professeur le plus proche qui était celui de métamorphose. En entrant dans la classe, Mcgonnalgal la regarda. Dumbledore était avec elle et Cho bénit le ciel pour sa chance.
-Professeurs, haleta-t-elle. Harry . . . Harry à mal . . . à sa cicatrice, je ne sais pas quoi faire . . . je . . .
mais elle ne termina pas. Déjà, Dumbledore s'élancait à sa suite et elle le guida malgré son point de côté et en un rien de temps. Ils arrivent finalement devant Harry qui à finalement perdu conscience dans le couloir, là où elle l'avait laissé.
Dumbledore prit l'adolescent dans ses bras et le porta jusqu'à l'infirmerie où Madame Pomfresh et Mcgonagal discutait avec animation. Aussitôt, l'infirmière leur sauta dessus et fit étendre Harry sur son lit habituel.
-Dumbledore, vous devez trouver quelque chose pour calmer ses douleur, il va finir par devenir fou. S'écria Pomfresh après un rapide coup d'?il à Harry.
-Je croyait qu'il avait déjà trouver une solution. Minerva, aller me chercher Mademoiselle Marika, elle sait comment calmer ses souffrance.
Minerva s'excécuta silencieusement et Pomfresh se dirigea vers son bureau.
-Miss Chang, je ne voudrait pas parraître indiscret, mais quest-ce qui s'est vraiment passé ?
-Bien. répondit timidement Cho, peu habituer à parler aussi ouvertement avec un professeur. Nous étions. . . heu . . . dans le couloir et nous . . . enfin, vous savez.
Dumbledore sourit avec amusement avant de lui faire signe de poursuivre son récit.
-Ensuite, il a brusquement plaqué ses mains sur son front. Je l'ai vu chercher quelque chose, mais apparement, il n'a rien trouvé, et je suis venue vous chercher. Vous connaissez la suite. Rien de bien dramatique, enfin je crois.
-Non, effectivement, rien de bien grave. Harry est, je crois, habituer à ces douleurs. Seulement, il m'avait affirmé qu'il avait trouvé une solution à ce problème.
Cho aquiessa et se déplaça silencieusement vers la tête d'Harry qui semblait endormi, même s'il n'en était rien.
-Au fait, il n'a pas crier ? geint, quelque chose ?
-Non, pas du tout. Aucun son.
-L'orgueil. Murmura Dumbledore dans sa barbe. Un vilain défaut, il faudra l'aider à s'en débarasser.
Cho ne comprit pas pourquoi Dumbledore se parlait ainsi.
Enfin, Marika entra dans l'infirmerie et se figea devant le lit d'Harry. Elle regarda Cho et Dumbledore, s'approcha de la tête d'Harry, fouilla dans les poche du jeune homme et trouva la fiole que Harry avait chercher plus tôt et lui en versa une goute entre les lèvres.
-Il devrait la mettre dans un endroit plus accesible. Gronda Marika en refermant la fiole.
-Quest-ce qu'il y a la dedans ? questionna Cho, soudainement intéresser.
-le remède qui l'empêcher de devenir complètement dingue.
-Et quest-ce qu'il y a la dedans ?
Marika la fusilla du regard mais eut un petit sourir.
-Le prortrait tipique de la Serdaigle. S'exclama Dumbledore. Miss Chang, posez des question est, en d'autre circonstance, est très apprécier mais sachez que se poser trop de question sur la vie de Harry peut être dangeureux. Ceux qui en savent trop sont les premier visé par l'ennemi et Harry est trop complex pour être comprit avec ce genre de question. Rester dans l'ignorance pour le moment, c'est mieux pour vous. Plus tard, peut- être, Harry répondra à vos questions que vous juger pertinente, mais sinon, n'essayer pas de comprendre.
Cho se renfrogna. Même si elle savait que Harry cachait beaucoup de chose douloureuse, elle détestait ne pas avoir les réponse à ses questions.
Un rire moquer lui fit tourner la tête. Elle rencontra le regard vert d'Harry qui riait, comme si rien ne s'était passé.
-Une Serdaigle exemplaire. Murmura-t-il en la tirant vers lui.
Dumbledore leur sourit et sorti de la pièce. Marika se tourna vers Harry.
-Dorénavent, fait en sorte de la placer en un endroit plus facile à atteidre Harry, parce que tu risquerait d'y laisser la raison.
Sur ce, elle donna la fiole à Harry qui la mit dans sa poche de devant et sorti de l'infirmerie. Sans placer un mot, Harry se redressa et serra Cho dans ses bras pour l'embrasser amoureusement.
Harry rompit de nouveau le baiser, doucement cette fois, pour la regarder.
-Je suis désolé Cho, je déteste ce genre de crise, ça me rend fou, en plus, elle à bien choisis le moment pour me faire mal celle-là. Excusa Harry en pointant sa cicatrice.
-Ce n'est aps ta faute Harry.
Cho le tira hors du lit pour l'étreindre completement mais Madame Pomfresh surgis et mis fin à leur amourette.
-Jeune gens, ce n'est pas unnid d'amoureux ici, c'est une infirmerie. Prière de bien vouloir arrêter ça. M. Potter, vous pouvez quitter l'infirmerie mais dorénavent, j'aimerais que vous veniez une fois par semaine. C'est un ordre !
Harry fit la moue et sorti avec Cho de l'infirmerie. Aussitôt, un gros chien noir leur tomba dans les pattes.
-Patmol !
sirius osculta minutieusement Harry qui entrprit de le secouer un peu.
-Si on allait faire un tour dehor, l'air frai nous fera la plus grand bien, et pour ton chien aussi. Proposa la jolie Serdaigle.
-Accio Cape ! s'exclama Harry.
quelques seconde plus tard, la grande cape rouge et la cape noir apparurent en haut d'un escalier avant de se diriger vers eux. Aussitôt couvert, ils sortirent, Sirius marchant calmement à droite d'Harry, entre lui et Cho.
Quand Harry voulu le chasser pour prendre ho par la taille, Sirius grogna.
-Hé-ho, le chaperon !
Cho pouffa et Sirius consentit à s'éloigner. Harry se rapprocha de Cho et la tint fermement contre sa hache. La chaleur de leur corps leur apportait un doux réconfort et ils étaient très bien ainsi.
-Dit moi Harry, dans l'école, il y a eut beaucoup de rumeur à ton sujet.
-Tu veux dire, l'an passé ?
-Et bien avant. Je n'avait jamais entendu autant de radotage sur le dos d'une seule personne de ma vie.
-Ravis de savoir que j'entretient les conversation.
-Des rumeur comme quoi tu serais Fourchelang, que tu étais fou, que tu serais ami avec des loup-garou et des demi-géant, et que tu serais amoureux d'Hermione.
Harry s'arrêta brusquement.
-Hermione n'a jamais été ma petite amie.
Cho haussa des épaules et tira Harry pour continuer leur promenade.
-Raconte moi, dit moi pourquoi toutes ces rumeur ?
-pour le Fourchelang, tu connais l'histoire.
-Comment es-tu devenu un charmeur de serpent ?
-Personne n'en sait vraiment quelque chose mais Dumbledore à avancé l'hypothèse que, en tentant de me tuer, Voldemort m'aurait transmis une partie de ses pouvoir, dont celui de parler au serpent. Il y en a sûrement d'autre, mais je ne les connais pas.
-Ho. Daccord, une autre question. Heu . . . où as-tu grandis ?
-Chez mon oncle et ma tante. La s?ur de ma mère. Pendant 10 ans, j'ai dormi dans un placard, mon cousin, l'énorme Dudley, s'amusait à me pourchasser, lui et sa bande d'ami, et si quelqu'un avait le malheur d'avoir pitié pour le pauvre petit Harry, il se faisait ramassé par toto la brute. Chaque été je retourne chez eux et prix le ciel pour sortir de ce calvaire le plus tôt possible.
Cho grimaça mais se reprit très vite.
-Troisième question. Heu . . . ton plus gros défaut !
-Mon orgueil, je crois.
-Ta plus grande qualité ?
Harry dut réfléchir longtemps. Il connaissait ses défauts mais ses qualité, c'était plus difficile. Il finit par hoché des épaules.
-Je ne sais pas.
Cho commença alors à énuméré toutes les qualités dont Harry faisait l'éloge.
-Ton courage ? Téméraire ? Brave ? loyal ? Gentil ? Honnète ?
à chaque mot, Harry rougissait.
-Je sais ! s'écria Cho en riant. Ta modestie !
Harry sourit faiblement. Il devait bien l'avouer, il détestait qu'on lui dicte tout l'éloge rattaché à son passé et son nom.
Cho rit.
-Je peux poser d'autre question ?
-Je peux en poser une ?
-Oui
-Tu es toujours aussi curieuse ?
-Je suis une Serdaigle Harry.
-Je suppose que c'était une question stupide. A mon tour maintenant. Toi, quelle est ton pire défaut ?
Cho réfléchit quelques seconde avant de faire la moue, ce qui attendrissa Harry.
-Je ne sais pas. on m'a trop souvent couvert de compliment pour que j'en vienne à me poser la question. Je suis jolie, intélligente, affectueuse, curieuse, inventive, passionné, vivante, mais mes défauts, je n'en connais pas.
-Moi, je dirais que tu ne veux simplement pas te l'admettre. Un peu comme l'orgueil, c'est difficile de ce dire qu'on ne veut pas accpter l'aide de quelqu'un simplement parce que vous êtes jaloux de lui.
-Jaloux de qui ?
-Cédric.
Le regard interrogatif de Cho pesa dans celui, soudainement intimidé, d'Harry.
-Explique ?
Harry s'empourpra ce qui fit sourir Cho.
-Bien, quand je t'ai demander d'aller au bal, tu m'avais dit que tu y allait avec Cédric, et j'ai été . . . humph . . . jaloux. Puis, quand Cédric a voulu m'aider pour la deuxième tâche, j'ai mis beaucoup de temps à mettre mon orgeuil et ma jalousie de côté pour accepter son conseil, ce qui m'a, en quelque sorte, sauvé la vie et la mise.
Cho ne sut que dire. Harry lui avait déjà fait une déclaration romanesque, mais là, il passait carrément au aveu, enfin, presque.
-Et depuis combien de temps tu . . . enfin, tu m'avais remarquer ?
Harry mit un certain temps avant de bafouillé, les yeux rivé sur le sol, rouge comme un pavot.
-Depuis le match contre Serdaigle . . . quand j'avais treize ans.
Cho s'arrêta alors de marcher, surprise.
-Et tu ne t'es jamais déclarer ?
-j'ai bien essayer une fois, mais tu étais déjà prise.
Cho eut l'air déçu mais tira à nouveau Harry pour continuer leur promenage.
-je m'étais toujours demander comment c'était, de parler avec toi, comme ça. murmura Cho. Tu avait l'air tellement attentif, compatissant à tous les malheur des autre, par ce que tu en a vécu toi aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envi de discuté, comme ça, en toute franchise, avec toi. de savoir, pourquoi j'étais si attiré vers toi sans le savoir. Tu avais toujours éveiller ma confiance et si, aujourd'hui, je n'étais pas ta petite amie, j'aurais sans doute tout fait pour devenir ta meilleure amie.
Harry lui pris affectueusement la main.
-Tu n'aurais jamais pu être ma meilleure amie. Tu étais trop attirante, pour être une simple amie. Un jour où l'autre, j'aurais passé au aveu, pour te dire que je tenais à toi.
Harry lui jetta un rapide coup d'?il à Cho avant de continuer.
-Ton sourir me subjugait, tes yeux me figeaient sur place. Tu étais belle, ravissante, rayonnante. Je t'ai dabord trouvé belle, comme d'autre sans doute avant moi, mais ta beauté avait quelque chose d'angélique, de doux, d'envoutant. Ce n'était pas une beauté qu'on accorde aux filles bien tournée, avec un regard chasseur qui est prète à tout pour vous charmer. Tu séduisait avec un sourir sans t'en rendre compte, et je me rend compte, moi, que je suis vraiment chanceux de pouvoir profité de tes sourirs, parce que j'en suis souvent la cause.
Cho avait le souffle coupé.
-Je t'aime. Finit par dire Harry en serrant sa main de plus belle.
Sans lui laissé le temps de répondre, Harry s'arrêta pour la serrer amoureusement et fixé ses yeux brillant dans les siens. Ils se regardèrent passionnément avant de se rapprocher l'un vers l'autre pour partagé un baiser. Une patit baiser, tout petit, du bout des lèvres, les faisant néamoins frissoné d'extase.
Un bruit de course les sépara rapidement.
De loin, Harry put voir Ron et Hermione courir vers eux. Lorsqu'ils furent à la même hauteur, Ron se plia en deux pour reprendre tant bien que mal sa respiration tandis que Hermione haletait.
-Harry. parvint-elle à soufler. Marika nous à dit pour ta cicatrice, on vouloit savoir si tu allais bien.
-Je vais bien, pas la peine de vous inquiéter.
Ron se redressa en prenant une dernière grande respiration et regarda son meilleur ami et son regard glissa vers la main de Cho, emprisonner dans celle d'Harry.
-Tient, on se doutait bien que vous étiez ensemble ! s'exclama-t-il.
Les deux amoureux rougirent et Hermione put constater que Harry et Cho sortaient bel et bien ensemble.
-Mais enfin Harry tu . . . tu ne peux pas sortir avec elle !
-Pourquoi ? s'exclamèrent les trois adolescents.
-Elle est à Serdaigle, l'attrapeuse de Serdaigle, ta rival !
-Et alors ! s'écria Ron.
-Tu . . . , Hermione sembla chercher ses mots. Tu fraternise avec l'ennemi !
Harry éclatat de rire, au grand étonnement de Cho, et Ron pis une teinte cramoisie avant de marmoner tout bas.
-Bon bon ça va.
Le rouquin tourna les talons et s'éloigna, offencé. Avant de courir le rejoindre, Hermione leur glissa un dermier mot.
-Je suis heureuse pour vous deux. Vous êtes fait pour aller ensemble.
Harry lui sourit avant de regarder Ron qui leur jettait des regards vexé avant de reprendre sa marche, ce qui déclancha une nouvelle vague de rire chez Harry.
-Tu pourrais m'expliquer ? demanda finalement Cho, peu heureuse d'ignorer ainsi la situation présente.
Harry la glissa contre lui et lui raconta toute l'histoire avec Victor Krum et Cho s'esclafa à son tour. Alors qu'ils allaient repartir dans leur baiser, dumbledore vint les intérrompre, une petite lueur d'amusement dans les yeux, presque étouffé par la crainte.
-Harry, je dois te parler, c'est important. S'il te plait, suis-moi.
Dumbledore regarda Cho et eut un sourir nvré.
-Je dois te parler, seul. Suis-moi.
à regret, Harry s'éloigna de Cho qui resta pensive en voyant le directeur si famillier avec son petit ami.
Dans le bureau de Dumbledore, Harry suivi les instruction de son supérieur et s'assied dans un grand fauteil.
-Harry, si ta cicatrice t'a fait mal tantôt, c'est qu'il y a eut une attaque et Voldemort y participait, ce qui est rare.
Harry sentit ses entrailles se contracter. Ses yeux posèrent la question de ses lèvres n'osait formuler.
-l'attaque à eut lieu à Privet Drive. Ton oncle et ta tante sont morts
« ho ! » fut la seule chose que Harry réussit à prononcer. Il détestait les Dursley, et ceux-ci le lui rendait bien, mais il ne voulait pas les voir mourir, par sa faute.
-Et Dudley ! réussit-il à dire.
-Il n'est pas encore au courant, mais cela ne devrait pas tarder. Il y aura des funéraille, et je te demande si tu veux y aller.
Harry réfléchit. Il n'aimait pas ce genre de rassemblement, où l'ont remémorait la mort des gens. Dudley y serait sûrement et ne manquerait pas de l'accusez. D'un autre côté, c'était une sorte d'obligation. Il se devait d'aller se faire pardonner auprès d'eux, même s'il ne pourrait, de toute façon, leur demander le pardon envers des gens qui méprisait tout ce qu'il était.
-J'irais. Murmura-t-il finalement, regrettant aussitôt son choix.
-Après-demain, quelqu'un viendra te chercher. Tu peux y ammener quelqu'un avec toi, pour que tu ne te senta pas trop seul.
Harry inclina la tête et resta songeur avant de se lever et de sortir du bureau. Il parcourut les couloir et entra dans sa salle commune. Il avait vaguement vu Cho se diriger vers lui mais lorsqu'elle avait vu l'air troublé de l'adolescent, elle avait jugé mieux de le laisser à ses réflexions.
Quand Harry entra, peu de personne firent attention à lui mais ceux qui le virent se sentirent mal. Harry s'installa près du feu et le regarda de façon lunatique en pendant à sa famille. Ron et Hermione entrèrent une heures plus tard, Patmol les précédant. Le chien s'approcha de lui et le questionna de ses yeux humides. Apparement, il ne savait encore rien de la mort de sa tante en son mari.
-Les dursley sont mort. Lui dit-il en lui rendant son regard de façon grave. Voldemort les a attaqué. Après demain, je vais aller à leurs funéraille.
Sirius posa une patte sur le genou d'Harry qui le chassa furieusement.
-Je n'ai pas besoin d'être réconforté.
Se repliant sur lui, Harry retint les quelques larmes qui menaçait de couler. Il n'amait pas être la cause de la mort d'autrui, même s'il les détestait autant qu'il l'avait fait avec les dursley, qui avaient payé cher de leur vie pour l'avoir acceuillit sous leur toit, même avec toute leur réticence.
Patmol regarda Ron et Hermione qui observaient eux aussi Harry, très inquiet.
-Harry, Si tu as besoin d'aide nous . . .
-Je n'ai besoin de peronne. Laissez-moi tranquil. Allez-vous en. Je n'ai pas besoin de l'aide de personne.
Harry continuait à regarder le feu avec le même regard lointain. Sans ajouter un mot, ses amis s'éloignèrent. Hermione et Ron allèrent s'installer dans des fauteuil non loin pour avoir un ?il sûr sur leur ami.
-Allons Harry, tu a toujours dit que tu détestait ces gens, tu ne v pas te mettre à pleurer sur leur sort . . .
-Je l'ai ai peut-être détester Ron, mais pas au point de vouloir leur mort, et d'après toi, où est-ce que je vais aller vivre cette été ? dans un orphelina, sans aucun doute, puisque je n'ai plus de famille.
Harry se renfrogna de plus bel et Ron regretta aussitôt d'avoir parler mais Harry ne s'arrêta. Sans prévenir, il se leva, empoigna un gros chandelier, heureusement éteint, et le lança de toute ses forces sur le mur le plus loin, contre lequel il alla se fracasser à grand bruit. Toute la salle fit un gros silence et fixa Harry avait étonnement. Sans crier gare, il en empoigna un autre qui suivi la même trajectoire du premier et éclata en morceau brillant qui jonchèrent le sol, sous les regards apeurés. Harry en pris un troisième, le regarda avec un dégout apparent.
-Voldemort est en liberté, avec ses mangemorts, à ma recherche, et moi je reste là, les bras croisés, sans me soucier de ce qui se passe à l'extérieur. Murmura-t-il tout bas.
Un cri de fureur et de rage non contenu s'échappa de sa gorge et se répercuta sur les mur de la salle en même temps que le dernier chandelier qu'il avait à porter de main allait s'écraser à son tour sur le mur.
Le jeune homme, hors de lui, sorti de la salle avant que quelqu'un ne soit blesser et alla s'enfermer dans une classe oublier afin de frappé dans les mur de pierre à s'en faire saigner les jointure mais il restait insensible à la douleur qui lui empoignait les mains et les bras.
Un bruit de porte que l'on referme et des pas qui s'approche l'arrêtèrent et Harry se retourna pour voir Marika qui le regardait, les yeux dures, la mine sévère.
-Mcgonnalgal ne va pas apprécier ce que tu viens de faire Harry.
-Je me fiche de ce qu'elle va penser.
-Peut-être, mais tu a foutu une sacré peur à tout le monde dans la salle commune.
-qu'importe, s'il ont eut peur, c'est qu'ils n'ont jamais vu ce que moi j'ai vu.
-Et toi, tu as vu ce que moi j'ai vu peut-être ? non, bien sur. Personne ne connaît les horreurs auxquelles tu as été confronté Harry, nin moi plus que dumbledore ne pouvons comprendre ce qui ce passe dans ta tête et, même si nous le pouvions, ça n'arrangerait rien. Cependant, tu n'as pas le droit de te conduir ainsi, comme un déchaîner, simplement parce que les Dursley sont mort. Je suis consciente que ça te choque, et peut-être même te chagrine, mais tu ne peux pas faire autrement. Pense à tous les autres élèves, qui vive dans la hantise que leur famille ne soit détruite. Ils préfèrerait de beaucoup être avec leurs parent qui cours de grand danger, jour et nuit, plutôt que d'être en sécurité dans les murs de pierre de Poudlard. Pense aussi que pour beaucoup de gens, toi, et Dumbledore, représenter l'espoir de tous les sorcier du monde.
-Quest-ce qu'il attende de moi au juste, que je détuise Voldemort en marmonant quelque tout de magie ? que je me transforme en machine à tuer les mage moir et ses acolyte ? je ne suis pas comme ça. les gens se font de mauvaise illusions.
-Arrête de penser à toi Harry. même s'il se font de fausse idée de toi, essais au moins de leur donner un peu d'espoir, mais si tu tombes, alors le monde tombe, parce qu'il repose preque entièrement sur tes épaules. J'aimerais t'aider, soutenir ton poid, mais j'ai suffisement du miens pour l'instant. Entretenir une identiter secrete à Poudlard n'est pas chose facile, surtout quand on s'est presque trahis. Malefoy semble même connaître mon secret. Tu ne peux pas demander ni à tes amis, ni à ton parrain, de t'aider dans ta tâche Harry. il n'y à que toi pour nous redonner le moral.
-Pourquoi moi !
-Il faut toujours quelqu'un pour écoper des reste Harry, et tu es cette peronne, mais un jour, pour tout le calvaire que tu as endurer, tu sera réconpensser par les effort que tu auras fournis. Tout viens à point, à qui sait attendre.
-J'ai horreur des proverbe.
-Peut-être, mais ils sont là pour nous aider Harry. libre à toi de choisir ce que tu en feras, mais toute ta vie, tu sera confronté à des problème, et c'est souvent dans les pensé et proverbe qu'on trouve la solution.
Harry resta silencieux, avant de frappé à nouveau dans le mur, toujours aussi insensible au sang qui commençait à couler le long de ses doigt.
-En attendant, frapper sur quelque chose ne défoule. Encore heureux que ce ne soit que des pierres.
Maria haussa des épaule et se détourna pour sortir de la classe. Avant de refermer la porte derrière elle, elle le regarda intensément avant de lui murmurer . . .
-Ne laisse pas ta colère te dominer Harry. dans un duel, elle est ta pire ennemi, parce qu'elle t'aveugle. Contient là, et tu vaincra toujours celui que tu hais. Laisse la te mener, et tu périra avec elle.
Puis elle parti en silence pour laisser la place à Dumbledore et Patmol.
-Harry . . .
-Je suis désolé de m'être laisser emporter comme ça Professeur.
-Harry . . .
-Je sais que je n'aurais pas dû, et je m'en veux.
-Harry . . .
-Pardonnez-moi, Je suis vraiment . . .
-HARRY ! s'impatienta momentanéement Dumbledore, faisant taire son élèves. Je te comprend tout à fait, et je venais juste voir si tu allais bien, mais apparament non !
Dumbledore s'approcha et lui pris les mains pour les examiner.
-Tu te fait souffir innutilement mon pauvre garçon, pourquoi tu te fais mal ainsi ?
-Ça fait du bien. Et quant à moi, vaut mieux frapper dans les mur que frapper dans la face de pustule à Malefoy.
Dumbledore lui lança un regard réprobateur mais ne dit rien.
-Va à l'infirmerie Harry, Pompom va ta soigner, puis ensuite, tu monteras dans mon bureau. Tu as fichu une sacré trousse à tes camarades, et plusieures se sont presque évanouit en te voyant aussi enragé.
-bien.
Harry inclina respectueusement la tête mais Dumbledore lui releva le menton.
-Ne t'incline pas devant moi Harry. ne t'incline jamais devant personne.
-Pourtant, c'est le moindre signe de respect envers Vous professeur. Vous êtes le maître de cette école . . .
-Je suis le maître de personne, et encore moins de toi. tu n'as et n'auras jamais de maître Harry, parce que tu es le plus fort.
sur ce, Dumbledore sorti de la classe en prenant soin de bien refermer la porte derrière et Patmol se tranforma en Sirius.
-Ne fait plus jamais ça Harry. susura Sirius en s'approchant. Ne me fait plus jamais peur comme ça. tu m'entends ?
Harry toisa son parrain avec un colère soudaine.
-tu n'es pas mon père. Répliqua sèchement Harry.
sans laisser le temps à l'autre homme de répliquer, Harry sortit en courant comme un coup de vent dans les couloir, passa rapidement à l'infirmerie sans entendre lesermond de Pomfresh et se dirigea vers le bureau du directeur.
En fait, dumbledore voulait le voir dans le seul but de le sermoner un peu, en présence de Mcgonnagal qui était furieuse, mais aussi très inquiete. Une fois Harry sorti du bureau, il era librement dans les couloir pour tomber sur la petite bande de Cho, parmis laquelle Cho discutait en riant.
Harry sentit son c?ur fondre en la voyant aussi enjouée et il s'approcha d'elle d'un pas conquérent et chasseur, un fantôme de sourir acrocher aux lèvres.
-Tient, voilà ton chevalier servant. S'exclama Maria en voyant le beau Griffondor se diriger vers eux.
-Je me demande ce qu'il nous veut. Maugréa Franc, l'un des amis de Cho.
Cho attendit que Harry fut à sa hauteur pour lui sourir gentillement et se glisser contre lui. Harry acceuillit cette marque d'affection avec un petit sourir et déposa un petit baiser sur sa joue. Les autres les regardèrent avec surprise, ce qui ne fit qu'augmenter le sourir d'Harry qui se pencha et embrassa Cho à pleine bouche, déclanchant les exclamation de joie de ses amies, et les grognements des garçons.
-alors, vous êtes finalement ensemble ? S'écria Lussia en frappant joyeusement dans ses mains quand le couple se sépara finalement.
Cho sourit et Harry serra devant lui, dans le creux de son torax voûté pour qu'elle s'y blotisse.
-J'ai quelque chose à te demander. Mon oncle et ma tante sont morts . . . Harry fit une courte pose, prenant un air plus sérieux. Lundi, j'assisterai à leur enterrement et, j'aimerais que tu viennes, si tu veux.
-Je suis vraiment désolé pour toi Harry. répondit Cho.
-ça va, je ne veux pas de compassion, je veux juste que tu viennes avec moi, s'il te plait.
Cho se retourna et plaça ses bras autour de la taille d'Harry.
-si tu veux, je viendrai. Elle déposa un baiser sur son c?ur et enfoui son visage contre l'épaule d'Harry en lui frictionnant le dos.
Les amis de Cho les regardèrent et s'éloignèrent silencieusement, laissant les tourtereaux à leur histoire.
