Chapitre 27

funérailles

Harry sorti de la voiture du ministère, Cho à sa suite, elle aussi, vêtu de noir, vêtement de deuil.

Quand Harry pénétra dans le salon, Cho accroché à son bras, personne ne fit attention à eux. Harry put vois Marge, l'énorme Marge, pleurer abondement dans les bras d'un homme trappu et rouge.

Un peu plus loin, Dudley discutait avec ses grands-parents, les parent de son père.

Harry se dirigea vers les cerceuils qui étaient au fond de la salle et contempla les visage pâle, couvert de fard et de maquillage. Cho était silencieuse à ses côtés et respectait son silence et faisait de son mieux pour le réconforter.

Dans sa contepmplation, Harry n'entendit pas son cousin l'appeler et ce fut avec une énorme bousculade que Harry fut forcé de se retourner pour faire face au visage violacé de son cousin, ainsi qu'a la mine haineuse de la tante Marge.

-Quest-ce que tu fais ici Potter ! cracha son cousin.

-La même chose que toi Dudley.

-Tu n'as rien à faire ici, tu n'es pas de la famille.

-Je te signal que la tante pétunia était ma tante, la s?ur de ma mère.

Dudley toisa Harry avec mérpit. La tante marge remplit de sa voix grave et étrangement pleurnicharde, le silence pesant qui s'installait dans le salon.

-Tu n'est qu'un petit avortons, Tu ne mérite pas ce qu'ils t'ont donné. Tu était une punaise . . .

-Ce qu'il m'ont donné ? des vieux vêtement, un placard sous l'escalier en gise de chambre ? ont-il jamais dépensé un sou pour moi ? ont-il jamais pris conscience que moi aussi, j'étais humain ? non jamais on ne m'a traiter comme quelqu'un de normal, simplement parce que Lily Potter était ma mère et que Pétunia la haïssait. Avant de dire des choses que vous pourriez regretter, taisez-vous.

-Tu aurais dû finir dans un orphelina ! hurla Marga.

-Et j'aurais sans doute été mieux traîter dans un orphelina ! répondit tout aussi sèchement Harry. j'ai néamoins pris le temps, une journée d'école, pour venir les voir une dernière fois.

Chacun garda le silence. Harry n'avait pas levé le son, n'avait pas bougé, mais ses yeux aurait put tuer jusqu'au dernier présent dans la salle.

Sans attendre que Harry ne se remette dans une colère folle comme elle en avait entendu parler, Cho pressa doucement sur son bras, attirant l'attention d'Harry sur elle.

-Calme-toi Harry. il ne connaissent pas les vrais raison de leur mort. Laisse-les raconter des bêtises. Toi et moi connaissons la vérité, et c'est ce qui compte.

Harry aquiessa et l'entraîna un peu plus loin, dans un coin oublier et plus sombre, où il put se blottir contre elle et laisser son esprit se vider. Cho était d'un réconfort incroyable et c'était apaisant de se trouver ainsi placé.

Puis, un pasteur vint annoncer que la courte messe allait commencer. Dans la petite chapelle, Harry s'assied au fond, loin des autres, simplement pour entendre la cérémonie.

Cho ne disait mot et serrait Harry contre elle. Harry était cramponné à sa main et retenait tant bien que mal les larmes de couler sur ses joues.

Un bruit d'étoffe près de son oreille lui fit tourner la tête. Lucius Malefoy entrait dans une chapelle moldu, avec un dégout apparent sur le visage. Il parcourut la pièce des yeux avant de rencontrer le regard vert et froid du Griffondor qui ne cachait pas sa curiosité de le voir ici. D'un pas ferme et impérieux, il vint s'asseoir à côté de l'adolescent et, sans le regarder, commença à murmurer.

-Potter, quelle surprise de vous voir ici.

-C'est réciproque Malefoy, que faites-vous ici ?

-Ce que l'on m'ordone.

Lucius tendit une lettre à Harry qui la lut rapidement.



Harry Potter

Toute mes condoléance. C'était de brave Moldu, il se sont battu jusqu'au bout. Même dans la torture, le gros bénêt n'a même pas crier. Domage, je prend toujours beaucoup de plaisir à voir hurler les gens. Cette missive n'est cependant pas pout vous faire le conte de ce qui s'est passé, mais pour vous faire une offre que vous ne pouvez refusez, si vous tenez à votre vie.

Rejoignez mes rangs, participer à nos réunions, vous apprendrez sûrement plus que dans cette école.

Si vous refusez cette offre, je me verrai contraint de sévir et de redoubler de cruauté. Rien ne m'arrêtera, je tuerez tous ceux qui vous sont cher, jusqu'au plus minable petit embryon de moldu.

Mes salutation les plus distingué

Voldemort.



-Jamais. Murmura Harry. jamais je ne ferai une tel chose.

-Il se doutait bien que vous refuseriez. Néanmoins, il vous accorde du temps pour y réfléchir. Après tout -il tendit le bras derrière Harry pour caresser la joue rose de Cho- ce serait domage de voir une si belle chose mourir, n'est-ce pas ?

Harry lui pris le poignet et le tordit douloureusement.

-Laissez-la hors de ça. dites à votre maître, que s'il veut tuer quelqu'un, qu'il me tue moi. il veut un combat singulier, je suis partant, mais qu'il ne touche pas à mes amis et leur famille.

Malefoy dégagea son poignet et sorti en silence de la chapelle. Harry fit signe à Cho qu'ils partaient. Toujours en silence, ils se levèrent et rejoignirent la voiture du ministère qui attendait dehors.

-Je n'aime pas ce genre de réunions. Maugréa Harry en serrant Cho contre lui.

-Quest-ce que M. Malefoy te voulait ?

-Rien dont j'ai envie de parler.

Cho n'insta pas avant et posa sa tête sur l'épaule d'Harry pendant que la voiture décolait et disparaissait dans les airs.

De retour à Poudlard, l'heure du dîner était déjà apporter. Les deux adolescent avait manquer une journée de classe pour se rendre au funéraille et devrait rattrapper leur retard.

-Alors, comment c'était ? demanda doucement ron en voyant son ami prendre place à ses côté

-Comme à peu près tout les services funéraires

-à peu près ?

-Dudley et la tante Marge n'étaient pas très content, et Papa Malefoy à fait une brève apparition.

-Quest-ce qu'il te voulait ?

-Rien de bien important.

-Harry, Pour qu'un Malefoy se déplace dans un endroit remplit de moldu, il y a vorcément une bonne raison.

Harry fit une grimace d'horreur mais ne répondit rien.

-Tu sera bien forcé de nous avouer ce qu'il t'a dit un jour ou l'autre Harry ! rétorqua Ron, peu heureux de voir son melleur ami lui cacher quelque chose.

Harry ne répondit rien et mangea un peu du contenu de son assiette avant d'aller se coucher, épuisé malgré lui par le déroulement innatendu de la journée.

Le lendemain, Harry se réveilla dans son lit, l'esprit tout à fait clair, prèt pour une nouvelle journée. En se levant, il courut à la salle de bain, prit rapidement une douche brulante, passa devant le miroir pour éliminer les quelques poils qui commençait à pousser sur son menton et alla même jusqu'à se parfumer légèrement, discretement.

Quand il sortit, il vit les quatre autres garçons de son dortoir qui se réveillait.

-Allez, debout ! S'exclama Harry en ouvrant son armoir pour s'habiller.

-Harry. Grogna Ron en vacillant sur ses jambes en tentant de se mettre debout. S'il te plait, il est 7h30, les classes commencent dans une heure et demi.

Harry haussa des épaules et sorti en courant du dortoir, son sac d'école sur l'épaule, un sourir ravi sur le visage.

-En voilà un qui s'est levé du bon pied. Maugréa Dean en se frottant la tête.

Dans la grande salle, Harry apparut tout sourir, la démarche légère. Il vit Cho, attablée avec Maria et Padma qui discutaient joyeusement, étouffant parfois un baillement. Harry se dirigea vers sa petite amie d'un pas sûre et conquérant.

-Bien dormi les filles ? Demanda-t-il en se penchant vers Cho pour l'embrasser fougueusement.

-tu es de bonne humeur ce matin Harry ! Souffla Cho quand Harry conscentit à libérer ses lèvres.

-On ne peut plus joyeux à 7h30 du matin. Répondit Harry en emprisonnant cho dans un nouveau baiser.

Cho y répondit avec ferveur tout en se disant qu'il iradiait de joie ce matin . . . et qu'il sentait vraiment bon.

-Nouveau parfun ?

-C'est à Ron, mais il ne m'en voudra sûrement pas de lui en avoir pris.

Harry embrassa Cho à nouveau.

-Dit Harry, pourquoi tu ne t'assieds pas ? demanda sournoisement Maria

-C'est vrai, tu en à sûrement encore pour longtemps à lui dire bonjour alors autant prendre ton petit déjeûner avec elle.

Cho rougit et Harry leur sourit amicalement avant de s'asseoir. Une fois de plus, il embrassa Cho qui sentait que la journée allait être joyeuse, entre ses cours et les baisers de son amoureux.

Harry se rapprocha d'elle pour la serrer contre lui et poursuivi son manège.

Finalement, ce fut Cho qui rompit la baiser, avec une certaine tristesse.

-Ce n'est pas que je n'aime pas que tu m'embrasses Harry, mais je dois manger si je veux être en forme pour la journée.

Sans laiser le temps à Harry de riposter, elle avala quelque pomme de terre et autre nourriture disposée sur la table.

-Tu ne t'en tireras pas à si bon compte Cho chang. Dit-il en se plaçant derrière elle pour l'embrasser dans le cou et lui mordiller l'oreille.

Cho se mit à rire quand Harry glissa sa main contre son ventre pour la pouser contre son torse.

Pendant qu'elle mangeait, ou du moins, essayait, Harry la couvrait de baiser et caresse futile qui la faisait sourir. Ça la mettait de bonne humeur et elle se dit que la journée allait être vraiment belle.

Finalement, la salle se remplit complètement. Peu à peu, les amies et amis de Cho venaient s'installer autour d'eux, sans pour autant ralentir l'ardeur dont Harry faisait preuve. Au contraire, cela de faisait qu'atiser sa bonne humeur.

Puis, l'heure du premier cours sonna et Harry et Cho durent se séparer, non sans s'être passionnément embrasser pour partir dans les directions opposées.

Cho se rendait en enchantement, tandis qu'harry avait un cours de Potion.

En entrant dans le cachot, Rogue y était déjà et le reste du monde, silencieux.

-Bonjour ! S'exclama Harry en prenant place sur sa chaise.

Même l'atmosphère pesant de la pièce sombre ne réussissait pas a démonter son entrain. -M. Potter, vous semblez avoir bonne mine ce matin. Dit sarcastiquement Rogue.

Harry ne répondit pas et le regarda, le regard indiférent à ses sarcasmes. Devant le silence de son élève, Rogue commença son cours.

-Pendant les trois prochains cours, nous allon fabriquer une potion de vérité. Ce n'est PAS du véritassérum puisque ces effets sont moins violent. Quelqu'un peut-il me dire la différence entre la potion de vérité et le véritasserum ?

Hermione leva aussitôt la main.

-Très bien. Est-ce que quelqu'un d'AUTRE, connaît la réponse ?

Personne n'osa lever la main. Marika connaissait la réponse, Ron s'en doutait et d'auter en avait entendu parler, mais au risque de décevoir leur professeur ou de se voir enlever les points, seul Hermione était decidée à répondre à la question.

-Parfait. Miss Granger.

Hermione sembla ravis.

-Le véritasserum prend pocession de notre corps et notre tête. Il agit un peu comme l'impéro, mais ne nous fait pas faire des choses contre votre volonté mais plutôt dire des choses sans qu'on en soit conscient, et contre toute volonté, on n'est plus capable de réagir autrement qu'en parlant. La potion de vérité vous fait dire, toute la vérité, mais on est conscient de ce qu'on dit.

-Bien, très bien, comme d'habitude. À croire que vous n'avez rien de mieux à faire que d'ingurgiter tous vos livres au petit déjeûner.

Les Serpentard ricanèrent sans ménagement.

-Moi au moins professeur, je sais me montrer respectueuse. A croire que vous n'avez rien de mieux à faire que de nous calomnier toutes les insultes que vous nous avez concoctées à notre classe au petit déjeûner.

Rogue resta bouche bé devant l'audace d'Hermione qui, autre fois si calme et si docile, rétorquait avec la même impertinance que ses deux meilleurs amis.

-La compagnie de Potter et Weasley finira par vous perdre. Vous devenez arogante et insolante.

-Merci. Réfuta Hermione.

Sans plus, elle se tut et lança un bref regard à Harry et Ron qui la regardait, bouche bé, Ron tout particulièrement. Elle sembla fière de l'effet qu'elle avait sur eux et, en effet, Ron murmura tout bas dans l'oreille de son ami, mais elle put tout de même entendre.

-Cette fille est incroyable.

-Je vais faire les équipe ! Coupa rogue, de mauvaise humeur.

Ron déglutit mais Harry ne désepéra pas. Rien ne viendrait porter ombrage à sa bonne humeur ce matin.

Comme s'il tentait de gâcher leur avant midi, Harry se retrouva avec Malefoy, Hermione avec Parkinson et Ron avec Goyle.

Les quinze premièer minutes du cours s'effectuèrent dans le plus complet des silences. Ron était au bord de la crise de nerf à cause de son partenaire, Harmione au bord des larme tellement sa compagne semblait ne rien comprendre et Haryy . . . Harry était tout sourir, ce qui atisait la mauvaise humeur du Serpentard avec lequel il avait été jumellé.

Rogue sembla remarquer ce silence innabituel et décida de réagir.

-Vous pouvez discuter entre vous, mais tout bas, sans plus.

Les serpentard sourirent tous en même temps et commencèrent à diffamer des insultes diverses aux Griffondor. Malefoy en particulier, était bien décider à faire disparaître ce sourir niais aux lèvres de son homologue mais Harry réagis le premier.

-Malefoy, fait attention, la fiole de bave de rat est trop près du bord de la table.

-Et alors, quest-ce que ça fait ?

-À moi rien, mais puisque c'est ta fiole, j'aurais pensé que tu en prendrais plus soin, ce n'est pas donner ces trucs là.

-Moi, j'ai les moyens de me l'offrir. C'est sûrement pas comme toi. L'école doit te prêter de l'argent, puisque je doute que tes moldus dépensent pour toi.

Malefoy afficha un sourir vainceur mais Harru eut tôt fait de le lui enlever du visage.

-Contrairement à ce que tu crois Malefoy, mes parents m'ont laissé beaucoup d'argent. En fait, je pourrais ne jamais travailler de ma vie, et en avoir assez pour vivre à mon aise jusqu'à la quarantaine.

Harry décida alors de déplacer lui-même la fiole, accrochant au passage le carnet de Malefoy qui tomba sur le sol en s'ouvrant. Il eut le temps d'entrevoir quelques mots avant que Malefoy ne le ramasse et le referme violament.

« Quand j'en aurai fini avec mon père, c'est mon problème que je vais régler. »

Harry resta interdit quelques secondes avant de se reprendre.

-C'est quoi, ton problème ?

Malefoy le regarda, surpris. Harry pointa le carnet avant de réciter les mots qu'il avait lut.

-Ne te mèle pas de ça Potter, c'est une histoire entre Malefoy.

-très bien, mais pourquoi veux-tu en finir avec ton père ?

Décidéement ce dit Malefoy, Potter avait une tête de mule.

-je n'ai pas à t'en parler.

-Si tu veux. Tiens, en parlant de ton père, je l'ai vu aux funérailles de mon oncle et ma tante. C'est un endroit tout à fait dégradent pour quelqu'un comme lui, un sorcier de si haute classe.

Malefoy regarda Harry qui s'affairait toujours à la potion.

-Il m'apportait une lettre de Voldemort qui me demandait de rejoindre ses ligne, d'être son bras droit. Tu parles.

-Et quest-ce que tu as dit ? Demanda Malefoy.

-Pourquoi est-ce que je te le dirai ? Répliqua Harry en lui lançant un regard malin.

Malefoy ne put empêcher un sourir sournois d'apparaîter sur ses lèvres.

-Tu agis comme un Serpentard Potter.

-Le choixpeau voulait m'y envoyer.

Malefoy resta interdit mais se repris vite. Potter n'était pas homme au grande confidance mais s'il lui parlait aussi ouvertement, il pourrait peut- être lui aussi s'ouvrir un peu, à son ennemi.

-Mon père m'oblige à le suivre, sur ses traces, comme tous les Malefoy. Il me menace, mais je ne réponds pas.

-Et toi, qu'est-ce que tu veux ?

-Je veux qu'il me laisse tranquil. Je veux être mon propre maître, décider pour moi, et vivre comme je l'entends, sans avoir à me plier sans cesse devant un mage aussi puissant.

-Et bien fait-le, tu n'as pas besoin d'être ce que tu ne veux pas être, tu n'as qu'à être toi-même.

-Pourquoi tu m'aides Potter ? Dit soudainement Malefoy en reculant.

-Parce que tu as besoin d'aide. je suis de bonne humeur aujourd'hui Malefoy, profites-en pendant que ça passe. Je ne suis pas un monstre, je sais me montrer compréhensif quand j'en ai envie, et puis, si tu participes de bon c?ur à la conversation, c'est peut-être parce que tu veux être aider non ?

-Terminer ! S'exclama Malefoy en ajoutant le dernier ingrédient à la potion bleu clair, qui devint presque aussitôt rouge passion.

Rogue se dirigea vers eux et observa la potion attentivement, la remuant avec le bout de sa baguette.

-Excellant, 20 points pour Serpentard.

Harry eut l'air offencé.

-Potter à fait autant de chose dans cette potion que moi professeur1 le défendit Malefoy.

Tout le monde tourna la tête vers le Serpentard et Rogue le regarda, soudainement rouge.

-20 points pour Griffondor également. Maugréa finalement le professeur de potion.



-wow, c'est bien la première fois que Rogue donne des points à Griffondor ! s'exclama Fred en écoutant Hermione raconter les événement du cours à l'heure du déjeuner.

Harry s'était eclipsé à la table des Serdaigle pour trainer Cho à l'extérieur de la grande salle pour profiter d'une heure « calme » avec sa bien aimée.

En conséquence, tous les Griffondor avaient été mis au courant de la bonté de rogue, et de l'argument de Malefoy pour les défendre, devant sa classe, aussi, la plus part des Serpentard l'ignoraient royalement. Seule pansy restait désespérément accroché à lui comme s'il était une bouée, convaincu que Harry lui avait jeté un mauvais sort pour le rendre aussi gentil avec la maison adverse.



-Alors, c'est vrai ce qu'on raconte ? Malefoy aurait fait gagner des points à Griffondor. Chuchota Cho à l'oreille d'Harry qui lui mangeait affectueusement l'oreille.

-Oui. Mais ce n'est pas le moment de parler de ça. Comment c'est passé ton avant-midi à toi ?

-Bof, en enchantement, on à fait la même chose que d'Habitude, on à appris le sortillège de patraque, l'art de rendre quelqu'un malade, et en métamorphose, on a appris à transformer des humains en animaux. Très compliquer, Maria à toujours ses yeux de chat, vraiment très spécial. Je me suis moi-même trouvé affublé d'une queue de lapin, mais on a réussi à la faire disparaître.

Harry éclatat de rire en imaginant Cho avec une queue de lapin. Celle-ci le califiant d'une mini giffle qui eut pour effet de le faire rire encore plus.

-Tu te paies ma tête ou quoi ?

-Pas ta tête. Répondit-il en déplaçant ses mains sur les fesses de Cho. Domage qu'elle n'y soit plus, j'aurais bien aimé voir ça.

Cho voulu riposter mais Harry l'embrassa en pressant ses mains sur elle, la soulevant dans les airs.