Je sais que j'ai mit beaucoup de temps à ajouter un nouveau chapitre, mais comprenez-moi, je n'ai aps eu accès à ionternet pendant presque un mois, et encore, mon ordi à été chez le réparateur, alors pour les potterfictions je n'ai pas eut beaucoup de temps, et avec tyout ça, le travail scolaire, le sec4, c'Est pas rien, alors voici le chapitre 28, et je ferai mon possible pour les prochains. Merci pour les reviews.
Chapitre 28

réconciliation
Harry tendit la main et la referma sur la petit balle dorée qui volait devant lui. En un mouvement, il redressa le poing et son balai pour atterir en douceur sur le sable chaud du stade de Quidditch. Ils étaient présentement en égypte, pour un court moment, afin de confronter l'équipe de ce pays. Bill, le frère de Ron, était présent et acclamait Poudlard.

Ron et Hermione enlacèrent Harry et toute l'équipe suivie. Même Serpentard partageait leur euphorie. Malefoy se montrait moins expressif mais ne manqua pas de féliciter l'attrapeur. En effet, Malefoy avait été le premier à essayer, mais l'équipe du pays, ayant un grand avantage d'être habituer au soleil, était trop forte pour lui. Il avait fallu refaire la tactic de jeu, protégé entièrement les buts, Gardien, Poursuiveur et batteurs inclus, pour empêcher à l'équipe adverse de compter, pendant que Harry se démenait pour attraper le vif d'or qui, après une heure de jeu, avait fini par se montrer.

Cho embrassa son petit ami et le félicita. Dumbledore et le directeur de l'équipe d'égypte vinrent féliciter Harry et le reste de l'équipe.

-Une victoire de plus pour Poudlard ! S'exclama Ron en enlassant Hermione, qui fut surprise, l'enlaça à son tour.

Sous le coup de l'émotion, tout le monde se mit à rire et ron lacha enfin Hermione pour reprendre un peu de contenu, mission impossible avec les jumeaux qui commencèrent à le taquiner gentillement.

En fin de soirée, Dumbledore adressa un mot de félicitation à toute l'équipe.

-Je suis fièr de vous. Si vous continuez à donner le meilleur de vous, et à jouer aussi bien, peut-être alors Poudlard se rendra-t-il en final. Je crois que l'on peut remercier m. Weasley et Miss Granger pour les effots qu'ils fournissent afin de former et entraîner l'équipe.

La salle applaudit.

-Harry, nous partons demain à la première heure. En arrivant à Poudlard, vous dormirez, même s'il fait jour, car nous partirons le soir même à minuit. Direction les Etats-Unis. Ça te va ?

-Bien sur professeur, je serai prêt.

-Alors bonne nuit à tous.

Harry attendit que la salle se soit vidée pour dire bonne nuit à Cho qui attendait patiement que le dernier occupant disparaisse.

-Tu as très bien joué aujourd'hui. Dit Cho en s'approchant de son amoureux.

-Merci. Mais on devrait aller se coucher, demain, on a une dure journée.

-Tu as raison.

Cho enveloppa Harry dans ses bras et posa son nez contre celui d'Harry. celui-ci dut se pencher pour le lui permettre.

-On devrait y aller. Sussura-t-elle. Il ne faudrait pas que tu sois épuisé demain.

Harry la serra contre lui.

-Alors un petit bisou et on s'en va.

Elle l'embrassa doucement mais n'en finit plus. Elle continua à l'embrasser avec passion mais Harry ne fit rien pour la repousser.

Après cinq minutes, Ils étaient toujours là, s'embrassant avec ardeur.

Un raclement de gorge vint néanmoins rompre leurs amourettes.

-Miss Chang, M. Potter, il commence à se faire tard. Dit Dumbledore, de l'amusement dans les yeux.

-Bien professeur. Répondirent les deux amoureux en c?ur, rouge pivoine.

Dumbledore s'éloigna et Harry regarda Cho.

-Il a raison. Murmura la Serdaigle.

-Il a toujours raison. Passe une bonne nuit.

Harry l'embrassa sur la joue avec douceur, glissa ses doigts dans son dos, la pressa légèrement contre lui.

-Mon lit va me paraître vide ce soir. Murmura Cho en fermant les yeux contre lui.

-Un jour peut-être. Murmura Harry en soupirant d'envie.

-La barrière de l'âge s'instale ici.

-Je ne crois pas. Répondit Harry en la pressant encore plus contre lui. Seulement, c'est encore un peu tôt je crois. Mais j'en ai vraiment envie. Seulement, ce n'est pas le moment idéal pour moi de me perdre dans tes bras.

Ce fut au tour de Cho de soupirer d'envie.

-Rien ne dit que tu te perdras, mais simplement dormir ! Répondit-elle avec espoir.

-Pas ce soir. Demain peut-être.

-Mais pourquoi ! Répliqua Cho, décu et agacé par son comportement.

-Je dois me faire désirer.

Harry ricana puis repris son sérieux.

-Prochainement, c'est certain, je te le promets, mais pas ce soir. Je veux dormir seul ce soir, j'ai quelques petite chose à faire avant de dormir, et j'ai besoin d'être seul pour le faire.

-Je comprends, mais si jamais tu changeais d'avis, fait moi signe, ma porte te sera toujours ouverte.

Après un dernier baiser, Harry regarda Cho s'éloigné vers sa chambre et il se tourna vers Sirius, caché dans un coin sombre de la pièce.

-Je veux te parler. J'ai des excuses à te faire. Pour ce que j'ai dit et fais. Si tu voulais simplement m'écouter.

Harry se dirigea vers sa chambre et Sirius le suivi un peu plus loin derrière.

Quand le chien fut entré, Harry ferma et verrouilla la porte. Sirius repris sa forme humaine et s'assied sur le lit en fixant son filleul avec une certaine tristesse.

Harry vint s'asseoir à côté de lui mais n'osa pas le regarder.

-Je sais que je t'ai blessé, très profondément. Je m'excuse. J'étais furieux, mais ça ne justifie pas ce que j'ai dit. Je m'excuse.

-Je sais que je ne suis pas ton père Harry, je ne le sais que trop bien, tu n'avais pas besoin de me le dire . . .

-Je sais que tu n'es pas mon père. Je n'ai eu mon père que l'espace de quelques mois, à peine, et ce que je connais d'un père, c'est toi qui me l'as montré Sirius. Le danger que tu prends à t'insfiltrer dans Poudlard pour ma sécurité, l'attention que tu as pour moi, et encore, les événements récents, l'an dernier, tu étais là, loin, mais présent, et ça, c'est ce qui, d'après moi, ce rapproche le plus d'un père Sirius. A défaut d'être James Potter, tu occupe la même place dans ma vie, qu'il aurait fait s'il était encore en vie.

Timidement dabord, Harry s'apputa contre Sirius qui était resté immobile, légèrement tremblant.

-Je m'excuse Sirius. Je m'excuse profondéement et sincèrement.

Finalement, Sirius réagit et pressa l'adolescent contre lui.

-Je te comprends Harry. Je peux comprendre ce que tu ressens, parce que j'ai vécu la même chose. Pas à 100% mais un minimum, je comprends pourquoi tu as agi comme ça. Je me mèle trop de ta vie, et Poudlard, c'est un lieu de débauche et de liberté.

Sirius pouffa légèrement en repenssant à la scène qu'il venait de voir entre Harry et Cho.

-C'est bon, j'ai compris.

Harry sourit à son tour.

-Tu as vraiment tout entendu ?

-Tout tout tout. Pourquoi tu ne vas pas la rejoindre ? Elle n'a pas l'air du genre à sauter sur le premier venu.

-Je veux prendre mon temps Sirius. Je ne veux pas me jetter tout de suite dans la geule du loup. C'est difficile à expliquer.

-Je suis désolé, mais je ne te comprends pas. tu l'aime, elle t'aime, à la façon que vous avez de vous embrasser et vous toucher, vous vous désirez aussi beaucoup, alors quest-ce qui t'empêche d'aller la rejoindre, elle t'a ouvert sa porte.

-Je te l'ai dit. Je prends mon temps. Oui, je l'aime, mais c'est justement ça le problème. Quest-ce qui arrive, si je viens à trop l'aimer, Voldemort va s'en mêler, et j'ai peur pour elle, alors je fais attention. J'en ai envie, fichtrement même, mais aussi j'ai . . .

Harry marqua une pause.

-Tu as ?

-J'ai un peu peur. Quest-ce qui va se passer ? J'ai peur de me planter. Elle, elle a de l'expérience, pas moi. C'est ma première petite amie. Oui, j'ai la trouille de savoir ce qui va se passer.

-C'est tout un dileme que tu as là.

-Ouais. C'est pour ça que je recule.

-Tu devrais dormir. Allonge-toi.

Harry revêti rapidement un pygma. Il y avait longtemps qu'il avait laissé tomber sa pudeur avec Sirius. Entre les couvertures, Harry se laissa tomber sur l'oreiller et senti un chien monter contre lui.

-Tu sais que tes poils sont vraiment doux ?

Sirius gémit légèrement et posa sa tête sur le ventre d'Harry qui dormait presque déjà.

Le chemin vers l'école fut plutôt court au yeux d'Harry. En effet, le vent frais lui faisait énormément de bien après la chaleur opressante de ce pays. Ron était présentement allonger sur son lit, un énorme coup de soleil sur les épaules, pendant qu'Hermione répendait une pâte blanche sur lui, pour apaiser la douleur, aidé de Cho et d'une autre fille. Ron semblait être très bien dans ces conditions, mais Hermione ne semblait pas apprécier.

Finalement, l'école fut en vue et Harry dirigea le cortège vers la pelouse. Ils furent acceuillit par les élèves qui étaient éparpillé partout sur l'herbre.

-Alors, qui a gagné ?

Harry leur fit un sourir triomphant et ils éclatèrent de rire et crièrent des acclamations dans le parc tout entier. Une fois de plus, il y eut une grand repas pour célébrer la vistoir de Poudlard.