Titre: On s'était dit rendez-vous …
Genre: Yaoi et délire !
Base: Olive et Tom
Joyeux Noël Quatounette de mon cœur !!!! ^_^ et bonne année, à tous
Site :
On s'était dit rendez-vous…
Chapitre 4
Le désespoir s'abattit sur Olivier comme un Danny Mello sur un
Mark Landers.
- Je suis un loser ! Gémit Olivier, tout en se dirigeant, comme le reste
de son équipe, vers les bancs, pour la mi-temps.
Ben vint s'asseoir près de Thomas qui ruminait encore dans sont coin.
Il lui sourit, il resta lui-même quoi !
- Ha !! Ben... euh ! Comment vas-tu ?
- euh ! Je... je vais bien. Répondit-il perplexe.
Thomas hocha la tête, visiblement troublé par une idée qui
lui trottait dans la tête.
- Et euh !!! Qu'as-tu fais ces dernières années, je veux dire
à part le foot ?
Becker sourit malicieusement. Il regarda le ciel l'air pensif, puis il tourna
ces profonds yeux sombres vers Thomas et ajouta assez fort pour que tout le
monde entende :
- Et bien, je me suis marié...
- Quoi ! ?!!O.o ?
Ce cri de désespoir n'émanait pas de la bouche de Thomas
qui en avait le souffle coupé, mais du public. Plusieurs personnes avaient
fait une crise cardiaque sous le choc de cette nouvelle plus que surprenant,
augmentant un peu plus le score de ce match. Thomas avait le cœur serré
et, sans qu'il y trouve une explication, une immense tristesse l'envahit.
Cette nouvelle l'aurait fait pleurer s'il n'avait pas été
élevé dans l'amour et le respect de la grrrrr attitude. Soudain,
Ben éclata de rire.
- As-tu vraiment crut que moi je m'étais marié ? Demanda t il
en reprenant son souffle.
Thomas le regarda furieux et en même temps perplexe et soulagé.
- Tu te crois drôle !
Pendant ce temps dans les tribunes :
- JULIAN !!!!! Réveille-toi !
Hurlait Tippy en secouant le corps inerte de Julian Ross. Elle pleurait à
chaudes larmes en embrassant les lèvres bleues de son bourreau euh !
… Son amour.
- Julian... sniff ! Je croyais que tu étais guéri ! Ouiiiinnn
!
- Tu vois bien que non, Connasse ! Dit sèchement une voix derrière
elle. Tippy se retourna juste à temps pour apercevoir la main de Philip
Calahan s'abattre sur son visage humide. Elle tomba à la renverse.
- Lâche le, femme ! Je m'en occupe ! Dit-il en hissant Julian sur son
dos.
- J'espère qu'il s'en so...
- Ta gueule !! Qui t'a permis de parler ? Vile créature satanique ! Vade
Retro !
Tippy assise par terre, serrait contre sa potrine, ses genoux sanguinolents
et pleurait en laissant partir celui qu'elle aimait dans les bras musclés
et virils de Philip. Quand il furent loin de Tippy, Philip déposât
Julians à terre puis il éclata de rire, qui fit écho au
rire ténébreux du cardiaque.
- Hou la bien ou cetté noulasse ! Ouarrrf Ouarrrf !!!
- Ouais ! C'est vrai, mais elle s'est bien battue...
- Tou m'a fait chier avec ton fairrrplayi ! Soupira Julian
Philip lui sourit et se jeta dans ses bras pour l'embrasser avec violence et
passion. Le couple tomba à la renverse dans les escaliers, et finis sa
course folle dans les toilettes du stade, la porte n'ayant pas put les arrêter,
car elle avait était réduit en poussière par un certain
capitaine. Echoué, seules sur le carrelage humide, ils se sourient malicieusement
et s'embarrassèrent fougueusement en roulant sur le sol poisseux.
Ben riait à gorge déployait sous le regard vexé et furibond
de Thomas.
- Tu ne trouve pas ca drôle ? Pourquoi ? Demanda innocemment Becker en
fixant Price.
Thomas fut complètement prit au dépourvu part cette question.
- hé bien... euh ! Je... je... Tuer plein de monde, c'est pas bien.
La flamme qui brillait dans ses yeux s'éteignit soudain, vite remplacer
par des larmes argentées.
- je suis un monstre ! Gémit Ben en se blottissant dans les Bras de Thomas.
Ces mots brisèrent le cœur de celui ci. Il posa une main hésitante
sur l'épaule de Ben. De grands yeux noirs se plongèrent dans ceux
de Tom. Les mots auraient était de trop entre eux, tout était
déjà comprit. Leurs visages se rapprochèrent en un timide
baiser. Personne d'autre ne compter qu'eux.
Pendant ce temps du côté de l'équipe de Mark Landers :
Celui ci avait, avec ruse, réussi à enfermer le pot de colle dans
un des placards du stade. Il se frotta les mains, le sourire aux lèvres,
derrière lui un placard s'égosillait tentant de s'ouvrir.
Landers ricana et envoya un coup de pied dans le placard.
- Tiens-toi tranquille, tu ne voudrais pas décevoir ton capitaine, hein
?
Une triste plainte sortit du placard qui s'arrêta aussitôt
de gesticuler.
Mark sortit des vestiaires en souriant, comme si un lourd fardeau qu'il portait
depuis plusieurs années venait soudain de s'envoler. Il soupira de bonheur,
savourant sa liberté nouvellement acquise.
- Faudra pas que je l'oublie celui-la.
En sortant, il croisa Ed
- Ed, dit-il en lui passant un bras autour des épaules, bravo bel arrêt.
Mark lui envoya un grand coup de point dans l'épaule, ce qui est une
marque d'affection chez les maîtres de la grrrrr attitude. Ed, novice
dans cet art, fut légèrement déséquilibrer mais
néanmoins honoré de cette attention. Il baissa les yeux.
- C'était rien, j'ai beaucoup apprit sur les techniques d'arrêt
et les multiples tirs à effet.
Mark lui sourit et hocha la tête
- Au faite à la fin de la mi-temps, fait moi pensait à libérer
Danny.
Perplexe, Ed acquiesça.
- Pourquoi ? Qu'est que tu lui à fait, encore ?
- Tu es sur de vouloir le savoir ? Demanda Mark en tournant les talons. Ed n'hésita
pas longtemps.
- Oh ! Et puis merde, il est bien gentil, Danny, mais un peut énervant.
Il rattrapa Mark et le suivit docilement.
- Je trouve aussi ! Bon on va se faire une bouffe...
Ed n'en revenait pas non seulement Mark était d'accord avec lui, ce qui
était rare autre fois, mais en plus, il l'invitait à manger. Pour
le plus grand plaisir de Warner, Mark avait changé.
- J'ai repérais un vendeur de hot dog, ca te dit ? Demanda Landers, puis
il grogna tout bas, pourvut qu'il ne soit pas mort.
Pendant ce temps, Olivier nous faisait une petite dépression nerveuse,
et Bruce tentait en vain de le réconforter, pendant que les figurants
se désaltéraient et que Ben patouillait le nouvel amour de sa
vie dans l'indifférence générale.
- BHOUUU ! Je suis nul... j'ai complètement loupé mon tir !! Si
Patty était là, elle m'aurait étripé... BHOUOU !
- Mais non, Olivier, tu es le meilleur d'entre nous. Et puis c'est pas grave,
on a... TU as encore 10 minutes pour marquer un but, et c'est largement suffisant,
non ?
- NOOON ! Parce que Ed est bien meilleur que moi !
- Purée c'est pas comparable, c'est un gardien de buts ! S'écria
Bruce en secouant les épaules de son capitaine Et que dirait Patty en
te voyant ainsi désespérer ? Hein ?
- Elle dirait "Je savais que tu étais un loser ! T'est aussi nul
au plumard que sur un terrain de foot !" Voilà ce qu'elle dirait.
Bruce le regarda intrigué, visiblement le mariage ne réussissait
pas du tout à Patty.
- OK, mauvais exemple, et ta mère ?
Olivier pleura de plus belle.
- Elle est morte, en même temps que Papa, Ouiiiin. Leur bateau a heurté
un iceberg, et ils sont morts !
- Ha, désolé. Je savais pas. Bon et que te dirais Tom s'il
n'était pas en train de découvrir les plaisirs de sa nouvelle
sexualité ?
- Ouiiin !!!!
"Mais quelle mauviette ce gars !" Pensa Bruce.
- Et bien il dirait que tu dois te battre pour ton équipe et surtout
pour ne pas laisser gagner Landers, Grrr...
Olivier le regarda avec de grands yeux humides, un sourire lui étira
les lèvres.
- Tu t'emporte un peu, dit-il, mais tu as raison, je vais jouer le jeu jusqu'au
bout et je vais me battre, je le dois à mon équipe, il en va de
mon honneur. Ne perdons pas espoir nous allons...
- Ouais ouais, c'est super, je peux allais boire ?
- Et ainsi honorer la promesse que j'ai faite, il y de ça...
Bruce tourna les talons allant chercher un endroit moins chargé en fair-play
attitude, laissant ainsi Olivier à son délire fair-playien.
Le match allait bientôt reprendre, Julian alla reprendre place dans les
gradins au grand bonheur de Tippy.
- Ho ! Julian tu va mieux...
- Ouais ouais ch'est cool Hin ?
- Au faite Julians pourquoi as-tu mis ton pantalon à l'envers ?
Julian rougit légèrement en se remémorant son escapade
dans les toilettes du stade.
- Ma qu'es é qué ca pé té foutrrre ? En faité
y'est trrouve ca plou sexy coume ca !
Ed et Mark avaient fini leurs hot dogs. Mark pailla, et les deux footballeurs
s'en allèrent, en discutant, vers le terrain.
- Au faite, il faut que tu libère Danny. Dit soudainement Warner.
Mark se frappa le front de sa paume.
- Non ! Je l'avais complètement oublier celui-là, il se tourna
vers son goalkeeper. Je ne sais pas si je dois te remercier ou te maudire.
Mark s'en alla en courant vers les vestiaires.
- 2sc je reviens. Cria t il.
Ed resta planté là, en se demandant si Mark n'était pas
devenu fou. Après trente secondes de patience, il vit revenir son Capiiitain
les mains sur les tempes, suivit de prés par Danny Mello, à genoux.
Ed resta bouche bée.
- Je crois que je vais te maudire mon cher Ed, dit Mark avant d'éclater
de rire. Il envoya encore un grand coup de poing dans l'épaule de Ed,
qui s'écroula sur le sol bétonner du stade.
Il se massa l'épaule endoloris. Il fronça les sourcils, et étouffa
un cri lorsque Landers le remis sur pieds sans douceur.
" Merde, je crois que je me suis démis cette fichue épaule.
J'aurais du le laisser crevé ce clepse..."Une voix familière
le sorti de son grognement intérieur.
*Mesdames et messieurs les survivants, le match va bientôt reprendre...
*
Mark sourit à Ed qui tenait toujours son épaule.
- Bien, allez les gars, c'est repartit. Et toi Danny debout, tu me fais honte.
Mello se remit debout, ses genoux pissaient le sang.
- Bien maître, désolé, dit-il humblement.
Warner s'excusa, avant de courir vers les bancs ennemis. Là, Olivier,
debout sur une chaise, fixant le soleil, le poing sur le cœur, continuait
à délirer, plus loin les figurants se moquait de leur pauvre capitaine,
et dans l'ombre Ed vit ce qu'il cherchait : Ben.
Il s'approcha, et eu la grande surprise de l'apercevoir dans les bras
de Thomas. Ed hésita un instant, puis il avança et salua le couple,
qui sursauta. Ben lui sourit, tandis que Thomas l'envoya bouler.
- Qu'es qu'il y a ? Grognât Tom, Tu viens espionner pour Landerrrsss !!!!!!
Ben éclata de rire, en voyant dans quel état Tom se m'était
en prononçant ce simple nom. Ed en fut presque vexé, néanmoins
il n'oublia pas le but de sa venue en terrain hostile.
- Ben, j'ai entendu dire que tu suivais des études de médecines(l'intéressé
hocha la tête.). J'ai besoin de ton aide... je me suis fait mal à
l'épaule, est-ce que tu...
- Bien sur, fait moi voir. Coupa le futur médecin.
- Quoi ! Mais il est de l'équipe adverse. Tu pactise avec l'ennemie
! S'insurgea Thomas.
Ben examina Warner faisant fis des plaintes de son amant. Le gardien s'en alla
bouder, pendant que l'autre gardien grimaçait de douleur entre
les mains expertes de Ben. Celui-ci s'éclaircit la gorge.
- Je vois, elle est déboîtée, Hum...
Il arracha d'un coup sec la manche de son maillot, qu'il entortilla et tendit
à Ed.
- Mort la dedans, je suis désolé mais ca va faire très
mal.
Becker plaça sauvagement ses mains, l'une sur l'omoplate
de son patient et l'autre sur le bras, et d'un coup sec, accompagner d'un sinistre
craquement, il remis l'épaule en place non sans un gémissement
de douleur de la part de Ed.
- Voilà, c'est comme neuf ! Raillant Ben
- Grum... Grogna Thomas dans son boudoir, euh ! … Coin.
Warner bougea son bras en souriant. Il ébouriffa la tignasse de Ben.
- Merci mec, comment puis-je te remercier ? Demanda t il en roulant des mécaniques.
- En laissant passer quelques tirs. Proposa Becker. En reprenant place prés
de Thomas.
- Trouve autre chose. Je tiens à ma vie ! Ricana Ed en faisant des moulinés.
- Tu auras juste une dette envers moi ! OK ? Proposa le maître de la je-sourit-tout-le-temps
Attitude.
Ed Warner acquiesça, il s'inclina respectueux et reconnaissant,
puis il s'en alla rejoindre son équipe et ainsi, la partit recommença.
Les figurants firent redescendre sur terre leur capitaine, Ben et Thomas s'éloignèrent
l'un de l'autre, à contre cœur, afin de reprendre enfin
place sur le terrain. Mark tentait de se débarrasser de Danny son fidèle
pot de colle, Philip regagna lui aussi sa place sous les maigres applaudissements
de Julians et de Tippy.
*Les joueurs ont reprit place, le match va commencer, pour le plus grand bonheur
de … euh Des joueurs *
Fin de chapitre
Voilà encore un … ou deux et puis c'est finit
