Harry, 1 an avant sa rentrée à Poudlard.
Harry, regardait le sol d'un air dégoûté. Il venait de renverser la soupe prévue au dîner sur la moquette du salon des Dursley. Ou plutôt dudley venait de la lui faire renverser..
« Espèce d'idiot d'être abject et répugnant !! sais-tu combien il est difficile de nettoyer une moquette tachée ? Non ? Eh bien prends ce torchon et tache de rendre la moquette sa couleur initiale si tu ne veux pas que Vernon vienne t'éduquer » Harry ne protesta pas. C 'était inutile. Il savait parfaitement que Petunia Dursley n'écouterais jamais ses dires concernant son vénéré Dudley, ce mastodonte de 90 kilos qui représentait tout pour cette harpie. En revanche, il prit la serpillière et se mit à nettoyer avec assiduité le sol d'une étrange couleur marron.
2 heures plus tard, il frottait, encore et encore la moquette des Dursley, redoutant ce qui pourrait lui arriver si jamais. Le bruit d'une voiture. Elle s'arrête. Il n'aurait pas le temps de finir de nettoyer.
Vernon Dursley venait de franchir le pallier. Harry entendit le bruit caractéristique de la porte d'entrée, qui grinçait légèrement depuis la dernière fois que Harry avait été « réprimandé » par ce monstre. ce monstre qui de nouveau se tenait en face de lui, un regard teinté de démence fixé sur Harry « cet idiot a renversé la soupe sur la moquette ! et il n'est même pas capable de la nettoyer ! En plus, je suis sur qu'il visait Dudley ! il voulait l'asperger de cette soupe bouillante ! « « il a fait ça ? » Cette fois, on voyait nettement la colère se mélange à la folie dans le regard du chef de famille. « tu sais ce qu'il t'attend ? » Harry déglutit. Il savait. Quand il l'avait acheté, son oncle avait sans prétendu que s'était pour son chien, mais le martinet qu'il tenait entre les mains était uniquement destiné à Harry, et c'était peut-être la même chose, se dit-il. il ne valait même pas un chien dans l'estime des Dursley. Harry se couvrit la tête. Il avait depuis longtemps fait le choix de se protéger le visage, mais les marques qui lui striaient le dos et les mains montraient que l'homme, le bourreau en face de lui, ne faisait marque d'aucune clémence. Oh qu'il le haïssait. Qu'il les haïssait tous ces imbéciles qui le maltraitaient, qui l'excluaient, qui le considéraient comme rien du tout. C'était de très loin le meilleur élève de l'école ou il était inscrit, mais même ses professeurs le méprisaient. C'était un paria, un exclu qui en bavait chaque jour, et chaque jour un plus il souhaitait mourir. Mais il tenait. Il restait..
Le premier coup venait de claquer. Premier cri de douleur. un simple gémissement. Il ne ferait jamais l'honneur de pleurer, de montrer sa souffrance à son bourreau. Mais chaque jour une même question lui trottait dans la tête. Pourquoi ne pas mettre fin a tes douleurs ? c'est si simple, la cuisine regorge d'objets coupants.. Chaque jour en effet, Harry pensait au suicide. Mais la encore, il considérait que mettre fin à ses jours auraient été une victoire pour ses tortionnaires. Non, il se vengerait, un jour il partirait, il deviendrait riche et puissant, puis il reviendrait ici, et il leurs ferait payer, a tous pour ce qu'ils lui avaient fait. Aux Dursley Aux jeunes écoliers Aux professeur A tous les cons qui peuplent ce monde.
Harry, regardait le sol d'un air dégoûté. Il venait de renverser la soupe prévue au dîner sur la moquette du salon des Dursley. Ou plutôt dudley venait de la lui faire renverser..
« Espèce d'idiot d'être abject et répugnant !! sais-tu combien il est difficile de nettoyer une moquette tachée ? Non ? Eh bien prends ce torchon et tache de rendre la moquette sa couleur initiale si tu ne veux pas que Vernon vienne t'éduquer » Harry ne protesta pas. C 'était inutile. Il savait parfaitement que Petunia Dursley n'écouterais jamais ses dires concernant son vénéré Dudley, ce mastodonte de 90 kilos qui représentait tout pour cette harpie. En revanche, il prit la serpillière et se mit à nettoyer avec assiduité le sol d'une étrange couleur marron.
2 heures plus tard, il frottait, encore et encore la moquette des Dursley, redoutant ce qui pourrait lui arriver si jamais. Le bruit d'une voiture. Elle s'arrête. Il n'aurait pas le temps de finir de nettoyer.
Vernon Dursley venait de franchir le pallier. Harry entendit le bruit caractéristique de la porte d'entrée, qui grinçait légèrement depuis la dernière fois que Harry avait été « réprimandé » par ce monstre. ce monstre qui de nouveau se tenait en face de lui, un regard teinté de démence fixé sur Harry « cet idiot a renversé la soupe sur la moquette ! et il n'est même pas capable de la nettoyer ! En plus, je suis sur qu'il visait Dudley ! il voulait l'asperger de cette soupe bouillante ! « « il a fait ça ? » Cette fois, on voyait nettement la colère se mélange à la folie dans le regard du chef de famille. « tu sais ce qu'il t'attend ? » Harry déglutit. Il savait. Quand il l'avait acheté, son oncle avait sans prétendu que s'était pour son chien, mais le martinet qu'il tenait entre les mains était uniquement destiné à Harry, et c'était peut-être la même chose, se dit-il. il ne valait même pas un chien dans l'estime des Dursley. Harry se couvrit la tête. Il avait depuis longtemps fait le choix de se protéger le visage, mais les marques qui lui striaient le dos et les mains montraient que l'homme, le bourreau en face de lui, ne faisait marque d'aucune clémence. Oh qu'il le haïssait. Qu'il les haïssait tous ces imbéciles qui le maltraitaient, qui l'excluaient, qui le considéraient comme rien du tout. C'était de très loin le meilleur élève de l'école ou il était inscrit, mais même ses professeurs le méprisaient. C'était un paria, un exclu qui en bavait chaque jour, et chaque jour un plus il souhaitait mourir. Mais il tenait. Il restait..
Le premier coup venait de claquer. Premier cri de douleur. un simple gémissement. Il ne ferait jamais l'honneur de pleurer, de montrer sa souffrance à son bourreau. Mais chaque jour une même question lui trottait dans la tête. Pourquoi ne pas mettre fin a tes douleurs ? c'est si simple, la cuisine regorge d'objets coupants.. Chaque jour en effet, Harry pensait au suicide. Mais la encore, il considérait que mettre fin à ses jours auraient été une victoire pour ses tortionnaires. Non, il se vengerait, un jour il partirait, il deviendrait riche et puissant, puis il reviendrait ici, et il leurs ferait payer, a tous pour ce qu'ils lui avaient fait. Aux Dursley Aux jeunes écoliers Aux professeur A tous les cons qui peuplent ce monde.
