Donc pour les chapitres à venir, il y aura des cartes, de la jalousie, des visites inopinées…mais l'auteuse n'en dit pas plus. Elle dit aussi que cela devient assez ''chaud''.
Au cas ou quelqu'un aurait tiqué la dessus, dumbledore ne réapparaîtra pas… il est supposer être l'oncle de Severus, qui est maintenant en voyage d'affaire. Il est seulement venu acheter la maison et les meubles, pour que cela ne puisse pas paraître bizarre.
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Severus se leva se matin la un peu étrange. Il se sentait comme en train de trahir une vie qu'il avait vécue depuis tout petit. Ou bizarre. Il se regarda le corps. Il avait oublié qu'il était à nouveau « enfant ». Il sourit et se fut comme s'il se souvenait de tout a nouveau. Quelque rêve avait embrumé son esprit. Mais il se pourrait être un autre de ses rêves prémonitoires.
Il ouvrit les rideaux, et alors il sourit ravi. Elle était la, assise a la fenêtre, l'attendant, dieu sait depuis quand. Elle inclina la tête dans un doux sourire, et lui fit un clin d'œil. Il lui répondit en lui lançant un baiser. Elle leva une main, comme pour qu'il la suive du regard, et la dirigea vers les boutons de son pyjama. Elle se mordit la lèvre inférieure, comme incertaine, mais finalement elle commença à se déboutonner. Il leva un sourcil. Elle rougit, mais continua. Il s'accommoda, et s'assis sur le bord de a fenêtre, comme pour profiter du ''spectacle''. Elle déboutonna toute la chemise de son pyjama, et se l'ouvrit pour lui. Il en resta bouche bée, la regardant. Sa main s'introduisit presque inconsciemment dans son pantalon, cherchant son membre, et le trouva. Il le serra fortement, et l'observa, comme attendant des ordres. Elle continua se caressant un sein, et semblait apprécier, pendant que le regard de son professeur la fixait obscènement, et sa main dansait rythmiquement vers le haut et vers le bas, se frottant, presque sans se regarder lui-même.
Elle, dirigée par son propre plaisir, continuait a se caresser. Il pouvait voir, a travers de la fenêtre, comment sa bouche s'entrouvrait doucement. Lui aussi commençait à gémir. Il ralentit son rythme. Elle avait glisser son autre main par en dessous le pantalon de son pyjama, et avait augmenter l'angle former par ses jambes. Ceci l'avait encore plis exciter. Il ferma ses yeux. Il ne pouvait pas l'éviter, il devait aller plus vite, plus vite. Il se noya dans son propre monde de sensations, et bientôt il se vit presque criant, sur le point d'éclater. Il ouvrit les yeux et se rendit compte que Hermione n'était plus la, sur la fenêtre d'en face. Même ainsi sa main continuait a bouger timidement sur toute sa longitude, et quelques gouttes sautèrent, comme si elles disaient « on a réussit !! » pendant qu'il commençait a se dégonfler. Alors il le sentit. Un regard poignant depuis le fond de la rue, du trottoir des Granger. C'était une femme d'une cinquantaine d'années, mal conservée, mal maquillée et avec des bigoudis.
Severus resta paralysé, et lança un cruel regard vers la femme, qui le regarda de la même manière. Rapidement, il s'écarta de où il était, et lui montrant le dos, il ferma le store.
Il se lava, et comme premier réflexe, il chercha sa baguette magique, près à lancer à cette femme quelques sorts impardonnables. Il était furieux. Cette découverte était trop humiliante. En plus, il était fâché contre Hermione, car elle ne l'avait pas prévenue. Mais il s'arrêta à réfléchir.
S'il avait fermer les yeux, il n'aurait pas pu la voir, si elle voulait le prévenir, et elle n'osait pas encore faire de la magie hors de Poudlard, supposa t il. De toute manière, ce n'était pas aussi grave. Cela n'aura pas de répercutions dans le monde magique, car ils ne seraient que c'était lui, mais un enfant très semblable. Mais il continuait sans se calmer. La vérité était que jamais, jamais il n'avait été vu comme ça par personne, et maintenant, une inconnue avait vu un spectacle déplorable et gratuit. C'était horrible. Cela touchait une petite épine très grosse pour Severus. Son honneur.
Pour réussir à se calmer, il du fermer ses yeux, conter jusqu'a trois, et soupirer. Il était devenu très tendu. Avec la baguette toujours en main, il ouvrit a nouveau le store, et regarda en bas. La femme n'était plus la. Avait elle pu tout raconter aux parents de Hermione ? Severus s'assis sur son lit, et regarda le 'ciel' sur son plafond. Il se lécha les lèvres, et se passa la main sur la bouche, dans une attitude pensive. Il devrait aller chez Hermione pour le vérifier. Il ne saurait jamais ce qu'il se c'était passer s'il ne le faisait pas. Il rangea a nouveau la baguette dans le tiroir qu'il avait préparer pour elle, sans s'être changer avec un sort simple, et il partit vers la maison voisine. Il sonna a la porte, en craignant le pire, mais madame Granger l'invita comme si de rien n'était.
« Bonjour jeune homme, tu cherche Hermione ? »
« Oh…oui madame, je lui ai promit que… »Dit il en lançant un regard pénétrant a l'intérieur de a maison, la cherchant a elle ou a cette femme. « Je lui a promit que, enfin, elle m'a promit que…comme je vais être nouveau a Poudlard…que » il continuait a chercher a l'intérieur du regard « elle est la ? »
«Oui Severus, elle est à la maison, mais tu devra l'attendre, car elle est en train de prendre sa douche. Viens dans le salon, et assit toi. Notre voisine, madame Windbag, est ici. » Elle l'accompagna jusqu'à la salle, ou, en effet, se trouvait la femme aux rouleaux.
« Bon…jour, madame Winbag » dit il dans un ton méfiant.
« Bonjour, jeune homme. Tu te LIBERE en te réveillant, non ? » Répondit elle comme essayant de faire une indirect de cette affirmation. Madame Granger sourit seulement, sans se douter, et sortit du salon.
Il se sentit mal à l'aise, comme quand quelqu'un commençait à l'énerver, que se soit un élève, un autre professeur, ou une quelconque autre personne. Il choisit une revue du meuble a revue, et il se mit a lire.
C'était une revue sur le monde de la médecine. Un spécial sur les dentistes…''comme c'est rare dans cette maison » pensa t il ironiquement. C'était intéressant. Pour lui, n'importe quelle lecture lui plaisait, et si c'était comme celle la, un reportage, bien mieux. C'était difficile de trouver quelque chose d'intéressant dans une revue moldue, selon ses propres paroles.
Madame Windbag le regardait bizarrement, comme indignée parce que cet 'enfant' lise un torchon de revue presque sans photo.
« Alors jeune homme, vous vous n'êtes pas présenter a moi. A ce que j'ai compris, et je l'a VERIFIER AVEC MES PROPRES YEUX, vous vivez ici a cote, non ? Vous êtes aussi mon voisin alors. » Il leva brièvement la vue de la revue et lui dirigea un regard glacial. Elle continua.
« Mon nom est Hortense, Hortense Windbag. Ne demander pas pour mon mari, car à cet ivrogne je ne lui ai plus vu les cheveux depuis 10 ans. »
« Oh, oui, quel dommage » dit il comme pour faire passer la balle.
« Vous ne m'avait pas donner votre nom, jeune homme. De toute manière cela ne me surprend pas. Cette jeunesse est un désordre. Ceux de votre génération sont une honte, une bande de dépravés, d'arriviste. Combien vous devriez apprendre de vos aînés, que, par exemple, LES RELATIONS SEXUELLES À 15 ANS C'EST TROP TOT, et sont mauvaises et tout ça, non ? »
« Pardon madame, mais par tous les dieux que savez vous de tout ça ? » du dire Severus, si elle savait avec qui elle parlait… « Avez-vous de l'expérience ? Me connaissait vous ? S'il vous plait madame, ne parlez jamais sans savoir. »
« Non, jeune homme, je sais très bien de quoi je parle, et même ainsi vous continuez sans me dire comment vous vous appelez. Par sa voix je vois que vous avez déjà muez et tout cela, mais cela ne lui donne pas le droit a faire tout ce que vous faite. Qui vous aurait vu…ça, ce n'est pas de gents décent. Apparemment nous avons à UN JEUNE PERVERTI dans le quartier.
« Je m'appelle Severus Snape, et a moi, madame, traitez moi avec respect. Vous ne savez rien, vous m'entendez ? Rien sur moi. Et bien que mon corps soit comme cela, mon esprit est supérieur a ceux de beaucoup d'autres, même au votre, j'oserais dire. » Il se leva et se mit face a elle, lui plantant directement ses yeux froids dans les yeux verts (simuler avec des lentilles) de la su nommée. La femme s'effraya, et baissa le regard comme confuse. Severus secoua la tête de désapprobation, avant de s'asseoir.
« D'accord » murmura madame Windbag, mais intérieurement elle s'était déjà promis de chercher quelque chose pour le faire du mal. Snape le pu lire dans son esprit.
« Merde »pensa t il « alors comme ça je vais goûter a ma propre médecine ?...espérons qu'ici les points ne valent pas autant. »Plaisanta-t-il avec lui-même. Chercher les défauts des autres jusqu'au moindre détails, était ce qu'il faisait dans ses cours de potions.
La tension de la salle grandissait par minute, pressionnée par le silence. Alors, l'aimable voix d'Hermione arriva comme une délivrance pour Severus.
« Oh bonjour, je vois que vous étés tous les deux la, je suppose que vous vous connaissez déjà…ejem. » Hermione se souvenait de ce qu'il c'était passer, et elle se sentait un peu mal de ne pas avoir pu prévenir son professeur. « Viens Sevie, monte dans ma chambre…je dois t'expliquer quelque chose » elle se dirigea a Hortense « je la vois plus tard, madame Windbag. »
« A plus tard, petite. PROTEGE TOI !! »Cria Hortense dans son dos, et Hermione rougit, souhaitant que ses parents ne l'aient pas entendu. Elle eu de la chance.
Ils entrèrent tous les deux dans la chambre, très énerves. Ils s'assirent presque en même temps sur le lit, en fronçant les sourcils. Ils se regardèrent, et elle commença à se lâcher.
« Je la déteste, je la déteste, je la déteste » répéta Hermione, avec les paroles envelopper de rage. « De loin que je me souvienne, cette femme vis ici, critiquant les autres voisins, mes amis, Poudlard, inventant des histoires autour de l'école. J'ai entendu dire qu'elle me critiquait moi aussi, parce que selon elle je suis folle, et mes parents pour me laisser m'en aller, mais bien sur, mes parents ne le savent pas, car avec eux cette femme est un ange. Pour eux c'est notre chère Hortense, la ''Tati'' Hortense…
« Je ne comprend pas comment il peut y avoir des personnes comme ça…de tord… »Et il se tus, en pensant a lui-même.
« Et en plus, toute la journée vérifiant l'état des jardins des voisins, et avec cet aspect…parce que comme ça elle dit que elle parait fortuite…qu'elle passait par la par hasard…toute la journée en plus. Elle n'a pas fouinée durant le déménagement ?
« Je crois bien que oui…chier » s'exclama t il « on pourrait la faire payer » dit il en regardant vers sa fenêtre, depuis celle a hermione. « Comme sa nous ferions une fleur au quartier. »
« Une potion ? On va créer une potion ? » Hermione avait toujours désiré faire une potion avec lui, tous les deux tout seul, puisque en y pensant, jamais cela ne lui était arriver, et dans son désir, il ne lui vint pas autre chose dans son esprit.
« Peut être quelque chose de pire…pire qu'une potion. Je sais plus de choses à part des potions. » Il sourit pour lui tout seul. « Des fois les sorciers peuvent s'amuser, avec innocence. »
« Sevie… »Murmura Hermione, excitée, et un peu effrayer par le ton de Snape « des fois tu me fais peur. »
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Réponses aux reviews (ou plutôt a la review)
Dumbledore : toujours fidèle au poste a ce que je vois ! Voici la suite, kisses !
Note importante :
Suite à une conversation avec l'autrice originale de la fic, j'attendrait à avoir 5 reviews avant de poster un nouveau chapitre. Pour qu'au moins je sache si quelqu'un lit ou pas, j'ai d'autre chose a faire, comme réviser mon bac, alors si personne ne lit, je vois pas pour quoi je me dépêcherait a traduire. Kisses a tous.
