Auteur : Beshimie.
Titre : So lonely : j'ai peur du noir.chapitre 2.
Serie : X-men evolution.
Genre : Yaoi.
E-mail : Amyshinomori@aol.com.
Notes : c'étais ma période cucul.
So lonely
Ma vie est une perpétuelle agonie... une nuit sans fin... Et toi, tu es l'étincelle qui a dissipé mes ténèbres... tu es la flamme qui a réchauffé
mon c?ur en friche.... tu es la lueur d'espoir au milieu de toute cette
détresse.... Mes yeux sont restés clos si longtemps... j'avais oublié à
quel point c'était beau de se sentir protégé... Deux semaines se sont écoulées depuis notre premier baiser... je regrette de ne pas avoir profité... je regrette mon geste, cette douleur que j'ai vu
dans tes yeux au moment où je t'ai repoussé...
Tu es devenu si doux... plus une vanne, plus un coup...
Il m'arrive, certaines nuits, de me réveiller en sursaut après un mauvais rêve... tu es là, tu es toujours là à me regarder... ta main passe sur mon visage et tu me prends dans tes bras pour me rassurer... pour Te
rassurer... Je sais à quel point ta peur du noir t'handicape... c'est pour ça que je
laisse les volets de ce qui est devenu notre chambre ouverts... La pâle
lumière de la lune stagne sur ton visage... pâle... immobile...
Tu es si beau, si beau quand tu dors...
Ton c?ur bat contre ma joue... je le sens s'agiter, accélérer son rythme... comme toujours dans ces moments là, j'angoisse, je me redresse subitement
et viens poser ma main sur ta poitrine pour prendre ton pouls... Tu fais juste une cauchemar, tu t'agite... encore... tu fais toujours des cauchemars, chaque nuits... et tu refuse d'en parler... Quand j'aborde le sujet, tu esquive d'un sourire en me répondant que ce qui se passe dans ta
tête n'affectera jamais ton c?ur...
Au sens figuré, peut-être... mais ton c?ur bats si vite quand tu as ce genre de mauvais rêves... si vite que j'arrive à peine à distinguer un
battement du suivant... comme si ton c?ur battait en continu... Et ça me fait peur... ça me terrifie... je t'aime tant, Pietro... et j'ai
peur de te perdre...
J'aime te regarder quand tu dors... j'aime jouer avec les fines mèches
d'argent qui cernent ton visage... j'aime sentir ton souffle dans mon
cou... tes yeux mi-clos, jamais tout à fait fermés quand tu dors... Tu as le sommeil si léger, je ne bouge jamais contre toi... trop peur de te
réveiller...
J'aime caresser tes lèvres du bout des doigts... tu frémis...
Quand c'est toi qui te réveille en sursaut, le souffle court, les yeux pleins d'horreur... tremblant... au bord du sanglot... je ne peux pas m'en
empêcher, quelque part c'est comme un réflexe... j'ai peur que ton c?ur
lâche... que tu me laisse... encore... Je te prend contre moi, je te berce... comme on berce un enfant... je masse
lentement ta nuque... tu m'as dit que tu aimais ça... que ça te
rassurait...
Et j'aime te voir quand tu es rassuré...
Tu es si beau... si tendre... ton expression si délicieusement immature... si tendrement juvénile... comme celle d'un enfant, bercé au rythme de ma
respiration... tu parles... je ne comprend pas ce que tu dis... ça n'a
aucun sens... aucune cohérence...
J'aime écouter ta voix, si vulnérable, si effrayé... chaque nuits, nous dormons tout les deux, chaque soirs, avant de sombrer dans les bras l'un de
l'autre, nous parlons... tu me raconte ta journée... je te parle de mes cours de littérature... même si je sais pertinemment que nous sommes dans
la même classe... Je te parle des problèmes que j'ai eus avec Duncan, et toi tu jure de lui
faire payer...
J'aime quand tu prends soin de moi...
Le jour se lève... les rayons du soleil glisse dans tes cheveux... j'aime voir ton visage baigné de lumière... c'est symbolique mais tu as toujours
l'air si souriant en pleine lumière...
Tu es beau quand tu souris... tu es toujours beau... Quelle chance j'ai de t'avoir à moi seul... quelle chance de savoir que tu
ne regarde que moi quand nous marchons dans la rue... de savoir que je
suis la première personne à partager ton lit...
Tu ouvre lentement les yeux... tes grands yeux bleus... Je pourrais passer
des heures à te regarder... imbécile... Tu passe déjà des heures à le
regarder... Quand je te vois comme ça... encore tout ensommeillé, prêt à t'étirer, je
perd tout mes moyens... Cette lueur dans tes yeux... cette malice... je me penche au dessus de toi,
mes cheveux glissent sur mes joues... je suis si près à présent, qu'il
viennent légèrement caresser ton visage... pâle... Je t'embrasse... tes lèvres sont si chaudes au réveil... tout ton corps est
brûlant au réveil... Mes yeux sont clos, je suis à cheval sur tes hanches, mon torse tout contre
le tiens...
Les battements de nos c?urs sont toujours si unitaires... j'aime ta peau...
sa saveur... son odeur...
Je me sens si bien avec toi... j'ai envie de toi, chaque fois que je te
vois, mon désir grandit... encore et encore...
Il enfle de plus en plus... chaque matins, au réveil... Mais chaque fois que tu tente quelque chose, je me défile... j'ai peur...
peur que tu regrette... peur que tu ai honte... peur que tu me vois...
Je suis si horrible... et plus encore à coté de toi...
La première fois que je t'ai vu torse nu, j'ai crus que j'allais
m'évanouir... d'une fulgurante beauté... tu es tout simplement
magnifique...
et je suis prêt à faire ravaler leurs paroles à tout les mécréants qui
oseront me contre-dire...
Regarde-moi encore comme cette nuit là à l'hôpital...je me sentais si
bien... notre première étreinte... tu souris... j'ai laissé aller tes
lèvres... tes yeux sont clos... j'aime t'embrasser... tu as l'air si
fragile.... je sais que ce n'est pas le cas... je sais que ce n'est pas
*toujours* le cas...
Mais je n'arrive pas à m'empêcher de penser que tu as besoin d'être
protégé.... d'être couvé...
je sais que c'est faux, mais tu persiste à venir te blottir dans mes
bras...
J'ai peur que notre relation t'attire des ennuis...
J'ai eus si peur la semaine dernière à la cafétéria, quand tu as voulut
empêcher Duncan de me toucher...
Tu ne m'avais jamais défendu avant... j'avais peur mais quelque part
j'étais vraiment touché que tu prenne des risque pour moi... c'étais si doux de t'entendre prendre ma défense... tu étais vraiment terrifiant... si
sur de toi, ton regard si provoquant....
Duncan était vraiment hors de lui... tu n'en a fais qu'une bouchée... Biensure, tu as voulut prouver ta valeur en laissant tes pouvoirs de cotés.
mes tes réflexes, eux, ils font partis de toi.
J'étais si excité de te voir te battre. de te voir, si plein de cette
confiance qui a fait de toi 'the speed demon'. j'étais. ahhhh.
complètement.
Et toi aussi apparemment. Dès que Duncan eut tourné les talons, tu t'es précipité vers moi et tu m'as attrapé par le poignet pour me tirer aux
toilettes hommes. Au début, je dois dire que j'ai trouvé l'idée
séduisante. très séduisante. j'étais vraiment dans un état. second.
Je me sui laissé faire, les première minutes, grisé par ce désir que je
voyais dans tes yeux. si tu savais comme c'était bon de te sentir si
excité. tes mains sur ma peau. tes lèvres dans mon cou. je te laissais
faire, sans broncher. et j'aimais ça. être soumis, à tes ordres. je
tremblais comme un feuille sous tes doigts. stop.
Une seconde à peine, une seconde de réflexion et j'ai sentis mon visage
s'enflammer, mes yeux se remplir de larmes.
Terrifié, je t'ai repoussé. j'ai rapidement enfilé le T-shirt que tu venais de me retirer et je me suis enfuis en sanglotant. sur le coups, je pense que tu as été très blessé par ma réaction. mais tu n'as rien dis. je suis rentré le soir et tu n'as fait aucune allusion à ce qui s'était passé. tu
étais juste un peu. froid. Cette nuit là, tu es retourné dans ta chambre pour la première fois depuis ta tentative de suicide. j'ai passé la nuit adossé à ta porte, à t'écouter sangloter. et j'ai pleuré. j'ai pleuré pour cette douleur que je t'avais encore causé. je suis tellement désolé Pietro. je ne sais plus. je t'aime.
mais je sais au fond de moi que nous ne sommes pas faits pour être ensembles. et ça me fait terriblement mal. ce n'est plus qu'une histoire de semaines. bientôt tu te sera lassé et tu retournera courir les jupons sur
le campus.
Tu me regarde. je me demande à quoi tu pense de ton coté.
Tu n'as plus rien tenté depuis ce jour. je ne voulais pas te blesser. mon
ange. Tu as pardonné si vite. tu m'a embrassé, et c'est passé. comme effacé de ta
mémoire.
Tu passe tes bras autours de mon cou.
'Toddie.'
'Humm...?'
'Ca va ?'
Je presse lentement mes lèvres contre ton torse. tu me regarde faire,
cette lueur dans tes yeux. je pose ma joue sur ta poitrine.
'Je t'aime.'
Tes mains glissent de mon cou et viennent s'agripper dans mon dos.
lentement, elle passent sou mon T-shirt. tu as les mains si chaudes. Nos lèvres se touchent, se caressent. j'ouvre légèrement ma bouche et tu
glisse ta langue contre la mienne.
Seigneur, cette chaleur. tu replie lentement ton genoux et effleure mon
entre jambe avec ta cuisse. Je frissonne. je me sens rougir. une de tes mains passe lentement sous la ceinture de mon pantalon. elle glisse doucement autour de ma taille et tu
commence à faire glisser mon pantalon.
'hunnmm.'
Tu glousse. mon désir croit. je frissonne, je tremble. mon pantalon tombe doucement de mes hanches. je frissonne, l'air est si froid sur ma peau. mon
c?ur s'affole. mon souffle est court. J'ai vraiment *vraiment* du mal à me contrôler. je suis toujours au dessus de toi, appuyé sur mes avant bras, tes mains ont entouré ma taille. l'une
d'elle passe sous mon T-shirt et remonte jusqu'à mon torse pour me
redresser.
Je ferme les yeux, tu me retire calmement mon T-shirt. tu souris. je me sens mal. j'ai. honte. je suis presque nu devant toi. je serre les dents. tu te redresse rapidement et vient te coller à moi. comme toujours au lit,
tu n'as gardé sur toi que ton v?ux pantalon de jogging.
Tu me regarde.
'Tu es vraiment adorable quand tu rougis.'
Je baisse la tête, mon regard se perd sur ton torse, mes mâchoires se
resserrent doucement sur ma lèvre inférieure. j'ai peur. peur que tu n'essaye de te venger. que tu n'essaye de me faire comprendre à quel point
ça t'a fait mal. pitié. Ta main droite glisse dans mon cou, tes lèvres se plaquent contre ma tempe.
ta langue. oh seigneur. ta main gauche. hunm. elle. se glisse sous mon
caleçon. et.hnnn.
'Toddie'
'hnn.'
'Je peux. ?'
Avant même que tu n'ai le temps de finir ta phrase, je me met à hocher
vigoureusement la tête. la raideur entre mes jambes commence vraiment à
devenir douloureuse. Tu retire lentement ta main, ce sourire sardonique au coins de tes lèvres.
tu passe langoureusement ton index entre tes lèvres, tu le suce, tu
l'humecte. je crois que je vais tourner de l'?il. mon corps entier est comme immergé dans les flammes. mes yeux se ferment. j'ose à peine imaginer à quoi tu pense en léchant ce doigt. seigneur. je ne m'étais jamais sentis.
comme ça.
Quelque chose de chaud et d'humide se glisse entre mes lèvres entrouvertes.
je n'ouvre pas les yeux. ton doigt fait de lent va et viens contre ma langue. j'essaye de le retenir mais tu le retire, aussi rapidement que tu
l'y a glissé. et tu le laisse tomber sur mon torse, le long de cette
ligne qui dessine mes pectoraux quasi inexistant. tu trace de petits cercles humides autour des petit boutons de chaires raidit qui ornent mon torse. j'ai la chaire de poule. tu tourne lentement ton doigt. lentement.
tu passe gentiment une main dans mes reins. je frémit. tu me bouscule
délicatement et je me laisse retomber sur le lit. C'est toi qui es à cheval sur mes hanches à présent. mes yeux sont clos, tes lèvres plaquées sur ma clavicule. tu retire doucement ton caleçon. ton
sexe est dur, brûlant contre l'intérieur de ma cuisse. J'ouvre les yeux. tu halète, tu frotte vigoureusement ton antre jambe à ma cuisse. je ne sais plus comment régir, je ne sais plus quoi faire. j'ai du
mal à respirer. je baisse lentement mon regard. je. hnnn. ta main. le
retour. j'ouvre grand mes jambes. tu me retire rapidement mon caleçon. Seigneur ! argh. ton doigt glisse lentement le long de mon entrejambe. tu.
t'amuse. ?
'Toddiej'ai. ahnn. vienslà.'
Tu me tire brusquement à toi et me plaque contre ton torse. tes yeux sont clos. tu attends. je passe rapidement ma main entre tes jambes. tu frémit,
un léger sourire ourle tes lèvres.
'Ouilà.oui,s'ilteplait.'
Ta respiration est si bruyante. j'attrape lentement ton entrejambe. je. je
n'sais pas comment m'y prendre.
'Piet'. comment. ?'
Tu referme calmement ta main sur la mienne et la guide. de bas en haut. cette force dans ton coup de poignet. seigneur. cette vigueur. tu. non je.
ta main à quitté la mienne, tu te laisse faire. allongé sur le dos, tu
tremble, tu te contorsionne sous mes vas et viens. tes lèvres sont entrouvertes, tes dents claquent. comme si tu avais froid. tes sourcils se
froncent.
'Toddie. acc. accélères'ilteplait. hunnnn. encore.'
'Je. ah, je. je peux pas.'
Tu grogne. tes yeux s'ouvrent grands, ce même sourire sardonique sur tes lèvres. tu es rapide, je l'ai toujours su. mais là tu m'impressionne. tu
te redresse et viens te mettre à genoux devant moi, tu me dépasse d'une
demi-tête au moins. pas assez à ton goût. tu appuie sur ma tête et me
dirige vers ton pénis.
Oh seigneur ! Tu veux que je. argh. ton gland vient lentement caresser mes
lèvres, comme pour essayer d'en forcer le passage.
seigneurseigneurseigneur. Tu tremble. si dur. je le prend lentement dans ma bouche, hésitant. j'ai
peur de ne pas te satisfaire. je. Tu gémis, ta main attrape ma nuque et m'impose un lent mouvement de vas et
viens. Mes lèvres glissent contre ta hampe dressée. ma langue tourne sur le bout
de ton gland. Ca. ça a l'air de te plaire. tu grogne, de légers râles franchissent tes lèvres. te mains glissent sur mes joues. je fais de mon mieux. mais je ne
suis pas encore assez rapide.
Tu prends les choses en mains. ce sont tes hanches qui se soulèvent à présent pour venir à moi. tu. vas si vite. oh. je crois que je vais tourner
de l'?il. tes coups de reins sont plus brutaux, je sens mes lèvres
chauffer. et pas que mes lèvres.
'Owwww. Todd. je.hann...'
Tu ralentis... je ne sais pas ce que tu as en tête, mais tu retire
calmement ton sexe de ma bouche. à mon grand regret.
Ton souffle est court, ton rythme cardiaque est dangereusement élevé.
l'espace d'une seconde, l'angoisse de te voir chuter refais surface. la
suivante, je gémis sous tes vigoureux coups de poignet.je crois que mon caleçon à rendu l'âme. je l'ai à peine senti se déchirer. quelle brute tu
fais.
Juste un avant goût. tu laisse aller mon entre jambe douloureuse et te
positionne entre mes cuisses. tu replie rapidement mes jambes. owww. ce
doigt qui se glisse lentement en moi. je frissonne, mes yeux se ferment
d'eux-mêmes. ton doigt qui remue calmement en moi.
Bientôt rejoint par un second, qui manque m'arracher un petit cri de
surprise. tu va et viens si délicatement en moi. cette patience.
Seigneur. je n'aurais jamais crus. owww. c'est si doux de savoir que tu m'attends. que tu prends le temps de me préparer. tu fais de ton mieux pour
que je n'ai pas mal. Je te laisse faire, haletant, fébrile. je sens que tu commence à avoir du mal. ma main glisse lentement entre les draps froissés et caresse lentement
ton avant bras. tes doigts se retirent. je gémis.
'Todd. je. t'essurquec'estbon ? Parcequejepeux.'
'Vas-y.'
Tu avale difficilement ta salive. tes hanches glissent lentement entre mes cuisses. tu m'allonge tendrement sur le dos et colle contre moi. je sens ton sexe brûlant glisser le long de ma cuisse. je sais que ça va faire mal.
mais si ça peut te faire du bien. je ferais tout pour toi.
'Todd. tuessur.'
'hunhun. bouges.'
Tu souris, ton corps plaqué tout contre le mien. tu viens calmement flatter
mon intimité du bout de ton gland. je frémis. j'appréhende. tu entre lentement en moi. douleur, plaisir, larmes, envie. tout se mélange. je ne sais plus ce que je dois ressentir. je suis heureux. juste heureux. heureux de t'avoir là, tout contre moi. heureux de t'avoir en moi. heureux. d'être
à toi. enfin.
Tu es profondément ancré en moi, immobile. tu attends que je sois habitué à
ce corps étranger qui me brise de l'intérieur.
'C'est bon.'
Un long grognement franchis tes lèvres, ton torse frotte contre le mien au
rythme de tes puissants coups de reins. C'est si. grisant. j'enroule mes bras autours de ta poitrine, mes lèvres cherchent les tiennes à tâton. tu ouvre lentement la bouche et m'embrasse avec une passion que je n'avais encore jamais ressentis dans tes étreintes.
Tout ton corps s'est tendu. tes muscles, fins, longilignes. si beaux. tu ressemble à une de ses sculptures grecques que l'on voit dans les livres.
tout simplement parfait.
Je t'aime.
Ton corps se crispe, tes dents se serrent. je sens tes coups de hanches
s'accélérer. cette vitesse. je. ahhhh.
Ma poitrine se soulève, je ne contiens plus les râles de plaisirs qui se bousculent sur mes lèvres. Seigneur. owww. ta main droite quitte lentement
ma cuisse et viens attraper mon intimité. j'n'en peux plus. je.
Tu me suis. d'un coups de reins puissant tu te libère en moi. cette chaleur
au creux de mes reins. c'est si doux. Ton corps se relâche et s'étale sur le mien. éreinté, des mots d'amours sur les lèvres, tu sombre lentement dans mes bras, persuadé d'y être à jamais
en sécurité.
Et tant que je serai, ce sera le cas. Ma main glisse lentement jusqu'à ta gorge. ton pouls est un peu agité, mais
rien de sérieux.
J'ai la tête qui tourne. je me sens sombrer à mon tours.
La tête pleine de rêves. je t'aime.
***
12h35.
J'ouvre lentement les yeux. nous sommes toujours dans la même position.
'Bien dormi ?'
Je sursaute, les yeux grands ouverts.
'LANCE !?'
'Shhhh. tu vas réveiller la belle.'
'Tu. es là depuis longtemps ?'
'Assez.'
Il souris. Pietro remue lentement dans mes bras.
'Héhé. mais pas suffisamment je pense.'
Je rougis.
'Lance, je.'
'Y'a pas de problèmes. cherche pas d'excuses. je dirais rien.'
Je soupire.
'Mais toi tu vas me donner des détails.'
Je glousse au souvenir de nos corps pressés l'un contre l'autre. mon gloussement se transforme lentement en soupire. si il venait à regretter.
si son regard changeait à mon égard. je ne pourrais pas le supporter.
Je jette un coup d'?il au réveil.
'Merde ! Les cours !'
Lance pose gentiment sa main sur mon épaule.
'Du calme. on est samedi.'
Mes joues s'enflamment. si on est samedi, Blob a du.
'Oh oui, qu'il a entendu. tout le quartier t'a entendu prendre ton pied
Todd.'
'Seigneur.'
Pietro se remet à gigoter. ses doigts s'enroulent tendrement dans mes cheveux. instinctivement, je plaque son visage dans mon cou et lui caresse
gentiment la nuque.
'C'est trop mignon.'
'Ca va hein...'
'Bon, j'vous laisse les tourtereaux. mes amitiés à Pietro quand il se
réveillera. je vais aller faire quelques courses.'
Il se redresse et se dirige vers la porte. avant de sortir, il se retourne.
'Soyez sages...'
Je soupire. je crois bien que cette foi c'est officiel mon ange. un léger
sourire étire mes lèvres. Les plus beaux instants de ma vie. je voudrais te garder éternellement près
de moi.
'Je t'aime.'
Tu frémis.
Moi aussi.
***
Vala ^^ et de deux.
J'espère que ça vous a plût. j'ai fais de mon mieux. c'est court je sais.
mais bon
Voilà. j'attends vos commentaires.
Vala.
Titre : So lonely : j'ai peur du noir.chapitre 2.
Serie : X-men evolution.
Genre : Yaoi.
E-mail : Amyshinomori@aol.com.
Notes : c'étais ma période cucul.
So lonely
Ma vie est une perpétuelle agonie... une nuit sans fin... Et toi, tu es l'étincelle qui a dissipé mes ténèbres... tu es la flamme qui a réchauffé
mon c?ur en friche.... tu es la lueur d'espoir au milieu de toute cette
détresse.... Mes yeux sont restés clos si longtemps... j'avais oublié à
quel point c'était beau de se sentir protégé... Deux semaines se sont écoulées depuis notre premier baiser... je regrette de ne pas avoir profité... je regrette mon geste, cette douleur que j'ai vu
dans tes yeux au moment où je t'ai repoussé...
Tu es devenu si doux... plus une vanne, plus un coup...
Il m'arrive, certaines nuits, de me réveiller en sursaut après un mauvais rêve... tu es là, tu es toujours là à me regarder... ta main passe sur mon visage et tu me prends dans tes bras pour me rassurer... pour Te
rassurer... Je sais à quel point ta peur du noir t'handicape... c'est pour ça que je
laisse les volets de ce qui est devenu notre chambre ouverts... La pâle
lumière de la lune stagne sur ton visage... pâle... immobile...
Tu es si beau, si beau quand tu dors...
Ton c?ur bat contre ma joue... je le sens s'agiter, accélérer son rythme... comme toujours dans ces moments là, j'angoisse, je me redresse subitement
et viens poser ma main sur ta poitrine pour prendre ton pouls... Tu fais juste une cauchemar, tu t'agite... encore... tu fais toujours des cauchemars, chaque nuits... et tu refuse d'en parler... Quand j'aborde le sujet, tu esquive d'un sourire en me répondant que ce qui se passe dans ta
tête n'affectera jamais ton c?ur...
Au sens figuré, peut-être... mais ton c?ur bats si vite quand tu as ce genre de mauvais rêves... si vite que j'arrive à peine à distinguer un
battement du suivant... comme si ton c?ur battait en continu... Et ça me fait peur... ça me terrifie... je t'aime tant, Pietro... et j'ai
peur de te perdre...
J'aime te regarder quand tu dors... j'aime jouer avec les fines mèches
d'argent qui cernent ton visage... j'aime sentir ton souffle dans mon
cou... tes yeux mi-clos, jamais tout à fait fermés quand tu dors... Tu as le sommeil si léger, je ne bouge jamais contre toi... trop peur de te
réveiller...
J'aime caresser tes lèvres du bout des doigts... tu frémis...
Quand c'est toi qui te réveille en sursaut, le souffle court, les yeux pleins d'horreur... tremblant... au bord du sanglot... je ne peux pas m'en
empêcher, quelque part c'est comme un réflexe... j'ai peur que ton c?ur
lâche... que tu me laisse... encore... Je te prend contre moi, je te berce... comme on berce un enfant... je masse
lentement ta nuque... tu m'as dit que tu aimais ça... que ça te
rassurait...
Et j'aime te voir quand tu es rassuré...
Tu es si beau... si tendre... ton expression si délicieusement immature... si tendrement juvénile... comme celle d'un enfant, bercé au rythme de ma
respiration... tu parles... je ne comprend pas ce que tu dis... ça n'a
aucun sens... aucune cohérence...
J'aime écouter ta voix, si vulnérable, si effrayé... chaque nuits, nous dormons tout les deux, chaque soirs, avant de sombrer dans les bras l'un de
l'autre, nous parlons... tu me raconte ta journée... je te parle de mes cours de littérature... même si je sais pertinemment que nous sommes dans
la même classe... Je te parle des problèmes que j'ai eus avec Duncan, et toi tu jure de lui
faire payer...
J'aime quand tu prends soin de moi...
Le jour se lève... les rayons du soleil glisse dans tes cheveux... j'aime voir ton visage baigné de lumière... c'est symbolique mais tu as toujours
l'air si souriant en pleine lumière...
Tu es beau quand tu souris... tu es toujours beau... Quelle chance j'ai de t'avoir à moi seul... quelle chance de savoir que tu
ne regarde que moi quand nous marchons dans la rue... de savoir que je
suis la première personne à partager ton lit...
Tu ouvre lentement les yeux... tes grands yeux bleus... Je pourrais passer
des heures à te regarder... imbécile... Tu passe déjà des heures à le
regarder... Quand je te vois comme ça... encore tout ensommeillé, prêt à t'étirer, je
perd tout mes moyens... Cette lueur dans tes yeux... cette malice... je me penche au dessus de toi,
mes cheveux glissent sur mes joues... je suis si près à présent, qu'il
viennent légèrement caresser ton visage... pâle... Je t'embrasse... tes lèvres sont si chaudes au réveil... tout ton corps est
brûlant au réveil... Mes yeux sont clos, je suis à cheval sur tes hanches, mon torse tout contre
le tiens...
Les battements de nos c?urs sont toujours si unitaires... j'aime ta peau...
sa saveur... son odeur...
Je me sens si bien avec toi... j'ai envie de toi, chaque fois que je te
vois, mon désir grandit... encore et encore...
Il enfle de plus en plus... chaque matins, au réveil... Mais chaque fois que tu tente quelque chose, je me défile... j'ai peur...
peur que tu regrette... peur que tu ai honte... peur que tu me vois...
Je suis si horrible... et plus encore à coté de toi...
La première fois que je t'ai vu torse nu, j'ai crus que j'allais
m'évanouir... d'une fulgurante beauté... tu es tout simplement
magnifique...
et je suis prêt à faire ravaler leurs paroles à tout les mécréants qui
oseront me contre-dire...
Regarde-moi encore comme cette nuit là à l'hôpital...je me sentais si
bien... notre première étreinte... tu souris... j'ai laissé aller tes
lèvres... tes yeux sont clos... j'aime t'embrasser... tu as l'air si
fragile.... je sais que ce n'est pas le cas... je sais que ce n'est pas
*toujours* le cas...
Mais je n'arrive pas à m'empêcher de penser que tu as besoin d'être
protégé.... d'être couvé...
je sais que c'est faux, mais tu persiste à venir te blottir dans mes
bras...
J'ai peur que notre relation t'attire des ennuis...
J'ai eus si peur la semaine dernière à la cafétéria, quand tu as voulut
empêcher Duncan de me toucher...
Tu ne m'avais jamais défendu avant... j'avais peur mais quelque part
j'étais vraiment touché que tu prenne des risque pour moi... c'étais si doux de t'entendre prendre ma défense... tu étais vraiment terrifiant... si
sur de toi, ton regard si provoquant....
Duncan était vraiment hors de lui... tu n'en a fais qu'une bouchée... Biensure, tu as voulut prouver ta valeur en laissant tes pouvoirs de cotés.
mes tes réflexes, eux, ils font partis de toi.
J'étais si excité de te voir te battre. de te voir, si plein de cette
confiance qui a fait de toi 'the speed demon'. j'étais. ahhhh.
complètement.
Et toi aussi apparemment. Dès que Duncan eut tourné les talons, tu t'es précipité vers moi et tu m'as attrapé par le poignet pour me tirer aux
toilettes hommes. Au début, je dois dire que j'ai trouvé l'idée
séduisante. très séduisante. j'étais vraiment dans un état. second.
Je me sui laissé faire, les première minutes, grisé par ce désir que je
voyais dans tes yeux. si tu savais comme c'était bon de te sentir si
excité. tes mains sur ma peau. tes lèvres dans mon cou. je te laissais
faire, sans broncher. et j'aimais ça. être soumis, à tes ordres. je
tremblais comme un feuille sous tes doigts. stop.
Une seconde à peine, une seconde de réflexion et j'ai sentis mon visage
s'enflammer, mes yeux se remplir de larmes.
Terrifié, je t'ai repoussé. j'ai rapidement enfilé le T-shirt que tu venais de me retirer et je me suis enfuis en sanglotant. sur le coups, je pense que tu as été très blessé par ma réaction. mais tu n'as rien dis. je suis rentré le soir et tu n'as fait aucune allusion à ce qui s'était passé. tu
étais juste un peu. froid. Cette nuit là, tu es retourné dans ta chambre pour la première fois depuis ta tentative de suicide. j'ai passé la nuit adossé à ta porte, à t'écouter sangloter. et j'ai pleuré. j'ai pleuré pour cette douleur que je t'avais encore causé. je suis tellement désolé Pietro. je ne sais plus. je t'aime.
mais je sais au fond de moi que nous ne sommes pas faits pour être ensembles. et ça me fait terriblement mal. ce n'est plus qu'une histoire de semaines. bientôt tu te sera lassé et tu retournera courir les jupons sur
le campus.
Tu me regarde. je me demande à quoi tu pense de ton coté.
Tu n'as plus rien tenté depuis ce jour. je ne voulais pas te blesser. mon
ange. Tu as pardonné si vite. tu m'a embrassé, et c'est passé. comme effacé de ta
mémoire.
Tu passe tes bras autours de mon cou.
'Toddie.'
'Humm...?'
'Ca va ?'
Je presse lentement mes lèvres contre ton torse. tu me regarde faire,
cette lueur dans tes yeux. je pose ma joue sur ta poitrine.
'Je t'aime.'
Tes mains glissent de mon cou et viennent s'agripper dans mon dos.
lentement, elle passent sou mon T-shirt. tu as les mains si chaudes. Nos lèvres se touchent, se caressent. j'ouvre légèrement ma bouche et tu
glisse ta langue contre la mienne.
Seigneur, cette chaleur. tu replie lentement ton genoux et effleure mon
entre jambe avec ta cuisse. Je frissonne. je me sens rougir. une de tes mains passe lentement sous la ceinture de mon pantalon. elle glisse doucement autour de ma taille et tu
commence à faire glisser mon pantalon.
'hunnmm.'
Tu glousse. mon désir croit. je frissonne, je tremble. mon pantalon tombe doucement de mes hanches. je frissonne, l'air est si froid sur ma peau. mon
c?ur s'affole. mon souffle est court. J'ai vraiment *vraiment* du mal à me contrôler. je suis toujours au dessus de toi, appuyé sur mes avant bras, tes mains ont entouré ma taille. l'une
d'elle passe sous mon T-shirt et remonte jusqu'à mon torse pour me
redresser.
Je ferme les yeux, tu me retire calmement mon T-shirt. tu souris. je me sens mal. j'ai. honte. je suis presque nu devant toi. je serre les dents. tu te redresse rapidement et vient te coller à moi. comme toujours au lit,
tu n'as gardé sur toi que ton v?ux pantalon de jogging.
Tu me regarde.
'Tu es vraiment adorable quand tu rougis.'
Je baisse la tête, mon regard se perd sur ton torse, mes mâchoires se
resserrent doucement sur ma lèvre inférieure. j'ai peur. peur que tu n'essaye de te venger. que tu n'essaye de me faire comprendre à quel point
ça t'a fait mal. pitié. Ta main droite glisse dans mon cou, tes lèvres se plaquent contre ma tempe.
ta langue. oh seigneur. ta main gauche. hunm. elle. se glisse sous mon
caleçon. et.hnnn.
'Toddie'
'hnn.'
'Je peux. ?'
Avant même que tu n'ai le temps de finir ta phrase, je me met à hocher
vigoureusement la tête. la raideur entre mes jambes commence vraiment à
devenir douloureuse. Tu retire lentement ta main, ce sourire sardonique au coins de tes lèvres.
tu passe langoureusement ton index entre tes lèvres, tu le suce, tu
l'humecte. je crois que je vais tourner de l'?il. mon corps entier est comme immergé dans les flammes. mes yeux se ferment. j'ose à peine imaginer à quoi tu pense en léchant ce doigt. seigneur. je ne m'étais jamais sentis.
comme ça.
Quelque chose de chaud et d'humide se glisse entre mes lèvres entrouvertes.
je n'ouvre pas les yeux. ton doigt fait de lent va et viens contre ma langue. j'essaye de le retenir mais tu le retire, aussi rapidement que tu
l'y a glissé. et tu le laisse tomber sur mon torse, le long de cette
ligne qui dessine mes pectoraux quasi inexistant. tu trace de petits cercles humides autour des petit boutons de chaires raidit qui ornent mon torse. j'ai la chaire de poule. tu tourne lentement ton doigt. lentement.
tu passe gentiment une main dans mes reins. je frémit. tu me bouscule
délicatement et je me laisse retomber sur le lit. C'est toi qui es à cheval sur mes hanches à présent. mes yeux sont clos, tes lèvres plaquées sur ma clavicule. tu retire doucement ton caleçon. ton
sexe est dur, brûlant contre l'intérieur de ma cuisse. J'ouvre les yeux. tu halète, tu frotte vigoureusement ton antre jambe à ma cuisse. je ne sais plus comment régir, je ne sais plus quoi faire. j'ai du
mal à respirer. je baisse lentement mon regard. je. hnnn. ta main. le
retour. j'ouvre grand mes jambes. tu me retire rapidement mon caleçon. Seigneur ! argh. ton doigt glisse lentement le long de mon entrejambe. tu.
t'amuse. ?
'Toddiej'ai. ahnn. vienslà.'
Tu me tire brusquement à toi et me plaque contre ton torse. tes yeux sont clos. tu attends. je passe rapidement ma main entre tes jambes. tu frémit,
un léger sourire ourle tes lèvres.
'Ouilà.oui,s'ilteplait.'
Ta respiration est si bruyante. j'attrape lentement ton entrejambe. je. je
n'sais pas comment m'y prendre.
'Piet'. comment. ?'
Tu referme calmement ta main sur la mienne et la guide. de bas en haut. cette force dans ton coup de poignet. seigneur. cette vigueur. tu. non je.
ta main à quitté la mienne, tu te laisse faire. allongé sur le dos, tu
tremble, tu te contorsionne sous mes vas et viens. tes lèvres sont entrouvertes, tes dents claquent. comme si tu avais froid. tes sourcils se
froncent.
'Toddie. acc. accélères'ilteplait. hunnnn. encore.'
'Je. ah, je. je peux pas.'
Tu grogne. tes yeux s'ouvrent grands, ce même sourire sardonique sur tes lèvres. tu es rapide, je l'ai toujours su. mais là tu m'impressionne. tu
te redresse et viens te mettre à genoux devant moi, tu me dépasse d'une
demi-tête au moins. pas assez à ton goût. tu appuie sur ma tête et me
dirige vers ton pénis.
Oh seigneur ! Tu veux que je. argh. ton gland vient lentement caresser mes
lèvres, comme pour essayer d'en forcer le passage.
seigneurseigneurseigneur. Tu tremble. si dur. je le prend lentement dans ma bouche, hésitant. j'ai
peur de ne pas te satisfaire. je. Tu gémis, ta main attrape ma nuque et m'impose un lent mouvement de vas et
viens. Mes lèvres glissent contre ta hampe dressée. ma langue tourne sur le bout
de ton gland. Ca. ça a l'air de te plaire. tu grogne, de légers râles franchissent tes lèvres. te mains glissent sur mes joues. je fais de mon mieux. mais je ne
suis pas encore assez rapide.
Tu prends les choses en mains. ce sont tes hanches qui se soulèvent à présent pour venir à moi. tu. vas si vite. oh. je crois que je vais tourner
de l'?il. tes coups de reins sont plus brutaux, je sens mes lèvres
chauffer. et pas que mes lèvres.
'Owwww. Todd. je.hann...'
Tu ralentis... je ne sais pas ce que tu as en tête, mais tu retire
calmement ton sexe de ma bouche. à mon grand regret.
Ton souffle est court, ton rythme cardiaque est dangereusement élevé.
l'espace d'une seconde, l'angoisse de te voir chuter refais surface. la
suivante, je gémis sous tes vigoureux coups de poignet.je crois que mon caleçon à rendu l'âme. je l'ai à peine senti se déchirer. quelle brute tu
fais.
Juste un avant goût. tu laisse aller mon entre jambe douloureuse et te
positionne entre mes cuisses. tu replie rapidement mes jambes. owww. ce
doigt qui se glisse lentement en moi. je frissonne, mes yeux se ferment
d'eux-mêmes. ton doigt qui remue calmement en moi.
Bientôt rejoint par un second, qui manque m'arracher un petit cri de
surprise. tu va et viens si délicatement en moi. cette patience.
Seigneur. je n'aurais jamais crus. owww. c'est si doux de savoir que tu m'attends. que tu prends le temps de me préparer. tu fais de ton mieux pour
que je n'ai pas mal. Je te laisse faire, haletant, fébrile. je sens que tu commence à avoir du mal. ma main glisse lentement entre les draps froissés et caresse lentement
ton avant bras. tes doigts se retirent. je gémis.
'Todd. je. t'essurquec'estbon ? Parcequejepeux.'
'Vas-y.'
Tu avale difficilement ta salive. tes hanches glissent lentement entre mes cuisses. tu m'allonge tendrement sur le dos et colle contre moi. je sens ton sexe brûlant glisser le long de ma cuisse. je sais que ça va faire mal.
mais si ça peut te faire du bien. je ferais tout pour toi.
'Todd. tuessur.'
'hunhun. bouges.'
Tu souris, ton corps plaqué tout contre le mien. tu viens calmement flatter
mon intimité du bout de ton gland. je frémis. j'appréhende. tu entre lentement en moi. douleur, plaisir, larmes, envie. tout se mélange. je ne sais plus ce que je dois ressentir. je suis heureux. juste heureux. heureux de t'avoir là, tout contre moi. heureux de t'avoir en moi. heureux. d'être
à toi. enfin.
Tu es profondément ancré en moi, immobile. tu attends que je sois habitué à
ce corps étranger qui me brise de l'intérieur.
'C'est bon.'
Un long grognement franchis tes lèvres, ton torse frotte contre le mien au
rythme de tes puissants coups de reins. C'est si. grisant. j'enroule mes bras autours de ta poitrine, mes lèvres cherchent les tiennes à tâton. tu ouvre lentement la bouche et m'embrasse avec une passion que je n'avais encore jamais ressentis dans tes étreintes.
Tout ton corps s'est tendu. tes muscles, fins, longilignes. si beaux. tu ressemble à une de ses sculptures grecques que l'on voit dans les livres.
tout simplement parfait.
Je t'aime.
Ton corps se crispe, tes dents se serrent. je sens tes coups de hanches
s'accélérer. cette vitesse. je. ahhhh.
Ma poitrine se soulève, je ne contiens plus les râles de plaisirs qui se bousculent sur mes lèvres. Seigneur. owww. ta main droite quitte lentement
ma cuisse et viens attraper mon intimité. j'n'en peux plus. je.
Tu me suis. d'un coups de reins puissant tu te libère en moi. cette chaleur
au creux de mes reins. c'est si doux. Ton corps se relâche et s'étale sur le mien. éreinté, des mots d'amours sur les lèvres, tu sombre lentement dans mes bras, persuadé d'y être à jamais
en sécurité.
Et tant que je serai, ce sera le cas. Ma main glisse lentement jusqu'à ta gorge. ton pouls est un peu agité, mais
rien de sérieux.
J'ai la tête qui tourne. je me sens sombrer à mon tours.
La tête pleine de rêves. je t'aime.
***
12h35.
J'ouvre lentement les yeux. nous sommes toujours dans la même position.
'Bien dormi ?'
Je sursaute, les yeux grands ouverts.
'LANCE !?'
'Shhhh. tu vas réveiller la belle.'
'Tu. es là depuis longtemps ?'
'Assez.'
Il souris. Pietro remue lentement dans mes bras.
'Héhé. mais pas suffisamment je pense.'
Je rougis.
'Lance, je.'
'Y'a pas de problèmes. cherche pas d'excuses. je dirais rien.'
Je soupire.
'Mais toi tu vas me donner des détails.'
Je glousse au souvenir de nos corps pressés l'un contre l'autre. mon gloussement se transforme lentement en soupire. si il venait à regretter.
si son regard changeait à mon égard. je ne pourrais pas le supporter.
Je jette un coup d'?il au réveil.
'Merde ! Les cours !'
Lance pose gentiment sa main sur mon épaule.
'Du calme. on est samedi.'
Mes joues s'enflamment. si on est samedi, Blob a du.
'Oh oui, qu'il a entendu. tout le quartier t'a entendu prendre ton pied
Todd.'
'Seigneur.'
Pietro se remet à gigoter. ses doigts s'enroulent tendrement dans mes cheveux. instinctivement, je plaque son visage dans mon cou et lui caresse
gentiment la nuque.
'C'est trop mignon.'
'Ca va hein...'
'Bon, j'vous laisse les tourtereaux. mes amitiés à Pietro quand il se
réveillera. je vais aller faire quelques courses.'
Il se redresse et se dirige vers la porte. avant de sortir, il se retourne.
'Soyez sages...'
Je soupire. je crois bien que cette foi c'est officiel mon ange. un léger
sourire étire mes lèvres. Les plus beaux instants de ma vie. je voudrais te garder éternellement près
de moi.
'Je t'aime.'
Tu frémis.
Moi aussi.
***
Vala ^^ et de deux.
J'espère que ça vous a plût. j'ai fais de mon mieux. c'est court je sais.
mais bon
Voilà. j'attends vos commentaires.
Vala.
