Sphère limpide :

Disclamer : Les perso ne sont pas à moi . *ton monocorde*

Note de l'auteur : Je déteste ce chapitre (façon de parler) vous allez voir ce que je veux dire ! Sinon que dire d'autre j'ai rajoutée un long passage à ce chapitre, pour accentuer l'événement, qui était à l'origine un peu, même beaucoup prit à la légère, ce chapitre ouvre vers une nouvelle 'quête' donc c'est tout de même un chapitre capital pour l'allongement de l'histoire, et son développement.

Chapitre 8 : Un nouveau tournant

Il était, comme à chaque cauchemar, en sueur. Mais il fût plutôt rassuré de voir que Ron était de même. Il était maintenant 4h du matin, et ni l'un ni l'autre n'avait le goût de se recoucher au risque d'un autre rendez-vous avec Voldemort. Ils descendirent donc ensemble dans la salle commune, faire leur devoir de Divination. Ils devaient, comme à chaque début d'année, faire leur avenir en se guidant dans les astres. Après une heure de réflexion, de calculs d'angles et de mesures incertaines, Ron proposa de recourir à leur si ancienne bonne méthode: tout inventer. Après tout, le Professeur Tralawney y croyait, tant que c'était pour prédire leur mort prochaine.

Après une demi-heure à avoir rigoler ("Je vais mourir sous une bouse de dragon" ou "Je vais me tuer pour impressionné une Vélane"), ils pensèrent qu'ils devraient peut-être faire les devoir des autres cours, mais assommé par la fatigue Ron s'effondra sur la table, commençant à ronfler comme deux.

Harry continuait ses devoirs par peur de s'endormir et attendant avec impatience que quelqu'un de sa maison se lève pour lui tenir compagnie. Quand tout d'un coup, il attendit une voix l'appeler, il se retourna essayant de savoir d'où celle-ci provenait mais il s'aperçut bien vite qu'elle provenait de sa tête, la voix continuait de l'appeler lui expliquant qu'elle allait le mener à son salut. Non effrayé, Harry se vêtit bien vite de son uniforme et commença à arpenter les longs couloirs de Poudlard protégé des regards des surveillants par sa cape d'invisibilité.

Curieusement cette voix lui disait quelque chose, mais son manque de sommeil l'empêchait de réfléchir, il comprit alors tout de suite de qui il s'agissait en voyant que la voix le dirigeait vers les toilettes des filles, où lors de sa deuxième année d'étude la chambre des secrets avait été à nouveau réouverte.

Arrivé dans les toilettes, il vit avec horreur que l'entré de la chambre état déjà ouverte, il se dépêcha d'allé voir se qui s'y passait. Arrivé il constata que rien n'avait changé par rapport à sa dernière visite, il y a de ça trois ans, Rogue se tenait au milieu de la pièce le regardant s'avancer vers lui puis lui dit :

- Vous vous demandez sûrement pourquoi je vous ai fait venir ici, Harry Potter.

Le concerné acquiesça de la tête.

- Et bien c'est simplement par nostalgie, vois tu, c'est ici que tu a supprimé l'un de mes rêves, celui de sortir le basilique pour lui faire arpenter les couloirs de cette école pour supprimer tout ses parasites qui croient que c'est parce qu'ils détiennent quelques pouvoirs magique qu'ils pourront se permettre de rester dans notre monde.

- Que comptez vous faire, maintenant que ce serpent est mort Jedusort? Demanda le jeune garçon sombrement.

Rogue s'approcha d'Harry, le regarda droit dans les yeux avec un sourire.

- Me venger, car c'est ici même que comme le basilique, vous Harry Potter, allez mourir et abandonner tout espoir de pouvoir me détruire. Car la vie n'est qu'un long fleuve tranquille semé d'embûche, je choisi le plus simple en vous tuant.

Rogue sortie sa baguette de sa robe de sorcier. Harry le regarda tout en lui disant :

- Voldemort a mis sous impero Rogue, pas seulement pour se garantir que celui-ci restera sous son control, mais aussi dans l'espoir de vous faire revivre son passer dans ce corps et enfin que vous vous serviez du corps de Rogue pour espionner Dumbledore.

- Vous êtes très perspicace pour quelqu'un qui va mourir, Potter. Observa Rogue.

Il leva sa baguette avec une expression de triomphe sur le visage face à Harry dont le visage était figé par la peur sentant des frissons parcourir son corps. Le visage de Rogue se figea, ses bras tombèrent le long de son corps laissant s'égarer sa baguette magique sur les dalles. Harry le regarda puis murmura avec une lueur d'espoir :

- Professeur .

Mais le peu d'espoir qui lui restait s'estompa rapidement lorsqu'il le vit tombé à genoux en murmurant :

- Tout est finit maintenant.

Puis il s'étala sur le sol comme à bout de force, Harry se jeta sur lui.

- Non, ce n'est pas . Il ne termina pas sa phrase car il sentit son corps se raidir et vit la réalité prendre place à l'illusion qu'est le monde du rêve.

Il se réveilla le lendemain matin dans un des lits de l'infirmerie, il fixa tout d'abord le plafond de la pièce essayant de se rappeler avec le plus de détail possible les événements de la nuit passé. Il se releva réalisant qu'il avait échoué, il entendit plusieurs personnes arriver autours de lui, lui demandant des nouvelles, il dit seulement :

- Je n'ai pas réussis. Il regarda qui était autour de lui, il y avait ses deux meilleurs amis, son directeur et la directrice de sa maison.

Dumbledore s'approcha de lui, s'asseyant sur le bord du lit, puis lui dit sur un ton paternelle : - Harry, tu ne dois pas tant vouloir.

Mais sur ces paroles Harry fondit en larmes disait : - Mais c'est de ma faute si il est mort.

- Non Harry. Intervint Hermione en le prenant dans ses bras, essayant de le calmer tant bien que mal.

- Si, j'aurais dû l'écouter lorsqu'il m'a dit de ne jamais rester seul avec lui. Balbutia Harry.

- Potter ressaisissez vous. Le professeur Rogue est mort, mais il restera parmi nous. Son fantôme rejoindra les fantômes de Poudlard, et il reprendra ses cours, comme le professeurs Binns. Intervint Mc Gonagal en voyant que la situation ne c'était pas arrangée

Harry regarda sa directrice, ses quelques mots avait réussit à faire dessiner un timide sourire sur le visage d'Harry, celui-ci repensa à un dicton moldu : Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Il y avait sûrement un moyen de faire revivre le seul professeur qu'il n'aurait jamais penser aider.

Fin du chapitre 8.