Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JRK ou à Bliss, sauf la traduction.

Et voilà encore un, quelle générosité, mais il va y avoir un temps mort jusqu'à mercredi (faut que j'aille passer mes exams) j'en mettrais peut-être un lundi mais rien est sûr

Dod : hé oui, ce n'est pas tous les jours, les vacances. Maintenant, il faut retourner bosser, faut dire qu'avec le nombre de jours fériés qui vont bientôt arriver….

Bonne lecture

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Chapitre 2

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La louve fixait  avec des yeux éclatant la fille alors qu'elle rentrait précipitamment dans la maison. Elle avait quelques secondes, ce n'était pas beaucoup, mais elle était inquiète pour le garçon qui était allongé sur l'herbe, sans aucun mouvement et endormi. Glissant doucement vers lui, elle lança un regard à Crookshanks, défiant le chat de faire quelque chose. Les yeux félins en forme de disques clignèrent simplement, la queue touffue remua légèrement, mais il ne fit aucun mouvement pour intervenir. Penchant sa tête vers celle du garçon, elle toucha la cicatrice avec son front, sentant l'éclat d'émotions traverser son âme. De la peur et de la  douleur, de la colère et d'inutilité. Toutes se rassemblaient pour former une tempête grondante de haine, si puissante qu'elle pouvait détruire des mondes. Un gémissement sortit de la gorge de la louve, mais elle devait rester. Elle devait savoir.

Explorant les ravages superficiels de l'esprit du garçon, elle plongea à travers des couches de rêves, plus profondément derrière les portes fermées de mémoires oubliées, et là elle trouva, se cachant comme une promesse, ou une menace. Un pouvoir si rare qu'il était pratiquement oublié. James l'avait possédé, le talent pur. Sirius et Pettigrew avaient pratiqué pendant des mois, et Remus avait été maudit avec quelque chose de similaire, mais malgré tout différent, même depuis qu'il était un enfant. Cela lui avait pris des années pour réaliser l'étendue de sa force, et encore, ce garçon l'avait naturellement, restant endormie, attendant. Ce pouvoir était dangereux, mais il pourrait sauver le garçon dans les pires situations…

Un aboiement provenant de la haie la ramena dans le jardin ensoleillé du Terrier. Levant ses yeux, elle vit la porte s'ouvrir. Il était temps de fuir. Clignant des yeux en au revoir au chat, elle s'arracha au jardin, courant à travers champs devant le chien noir, avec le boue de sa queue proche d'elle.

La paire frôlait la route, sautant sur le mur de pierre et s'arrêtant sur le bord d'une ferme tombant en ruine, vieille et abandonnée. Une chatte tigrée sur le mur se déplaça avec raideur, leur clignant des yeux lentement. Comme par un accord muet, il sauta sur le sol à côté deux, les menant à travers la porte qui tombait de ses gonds dans la pièce suivante.

Remus leva les yeux lorsque le petit groupe entra dans la pièce. Il semblait fatigué, débraillé, et très inquiet.

« Et bien, qu'est-ce que vous avez trouvez ? » demanda-t-il à son ami impatiemment, fixant le chien avec un regard implorant.

« Allons, Remus, laisses-les se transformer. » gloussa doucement Dumbledore de là où il se tenait, attendant. Ses longues robes étaient, comme d'habitude, d'un violet sombre et fleuries, les bottes associées semblaient luire dans le sombre bâtiment. Reculant il autorisa au trio un peu plus d'espace.

En un clin d'œil, le groupe improbable d'animaux fut humain. Minerva McGonagall passa une main  pour lisser ses cheveux et ajusta ses lunettes avec de se poser sur un vieux fauteuil endommagé, attendant les nouvelles que Sirius avait à donner.

Le parrain de Harry secoua ses robes, qui ne sont plus ni vieilles ni usées, mais légèrement neuves. Ses cheveux étaient coupés courts et ses yeux sombres brillaient d'une étrange lueur. La plus proche émotion de ce qu'il ressentait était l'enthousiasme. Son visage n'était plus fin et pâle, l'été chaud anglais lui avait accordé une peau sombre, et l'abondance de nourriture dans le domaine de Lupin signifiait qu'il avait bien été nourri.

« Désolé Dumbledore, je ne peux rien dire, c'était Arabella qui a fait la recherche, elle est plus prudente et plus gentille quand on arrive à ça. »

Marchant sur le côté, il révéla une femme svelte, ses robes étaient longues et bleues foncées, bien adaptées à son corps. Ses yeux étaient verts, avec de petites taches ambrées. Ils semblaient luire gentiment dans la pièce mal éclairée. Ses cheveux tombaient dans son dos, de couleur argentée, avec quelques mèches blanche-neige (arf arf arf j'y suis pour rien) Elle avait le même âge que Sirius et Remus, une ancienne amie d'école qui avait connu les horreurs du règne de Voldemort, et craignait son retour autant que tous les autres

Soupirant profondément, elle commença à rôder dans la pièce, ses mouvements étaient purs et puissants. Remus la regarda pensivement. Il connaissait cette expression. Elle l'avait portée beaucoup de fois auparavant, lorsqu'elle était sur le point de dire à ses amis un ténébreux secret ou le meilleur morceau d'un potin.

« Harry est incroyable, si semblable à James, c'était comme revenir dans le passé. Minerva avait raison, le pouvoir à l'intérieur de lui est là, aussi clair que le jour, et l'élément à un talent distinct pour devenir un Animagi, je ne peux pas vraiment placé mon doigt dessus. » La femme secoua sa tête de frustration. « Si seulement j'avais eut plus de temps, j'aurai pu découvrir sa forme, j'aurai pu découvrir ce qu'il deviendrait. »

« Pourquoi n'avez-vous pas pu ? » demanda Dumbledore, sa voix gentille et inquisitive, ses lunettes en demi-lune brillantes dans la lumière du soleil d'été.

« Quelques chose est arrivé, une cause d'inquiétude. Une jeune fille était à genoux à ses côtés alors qu'il dormait, elle a touché son front, et a vu quelque chose, puis a foncé dans la maison. »

« Il était au Terrier ? » demanda Remus à Sirius, attendant un acquiescement, « Cela ne peut pas être quelque chose de majeur, les Weasley sauront comment s'en occuper. »

« Ne sois pas si sûr. » l'averti Arabella. « Le garçon a mal, il est angoissé. Ses rêves sont véritablement épouvantables, et sa haine pour Voldemort est immense, elle grandit chaque jour. Nous devons garder un œil sur lui. Nous ne pouvons pas le laisser attaquer le Seigneur des Ténèbres avant qu'il ne soit prêt ! »

« Tu penses qu'il le voudrait ? » demanda Minerva, se levant de son fauteuil et faisant face à la femme.

« C'est une possibilité. » La douleur remplissait ses yeux doux, des larmes pointant à l'horizon, « Comme c'est affreux pour un garçon comme lui de s'être apprit à ne pas crier lorsqu'il se réveille de douleur et de peur, dans le cas où quelqu'un l'entendrait et commencerait à poser des questions, quelle sorte d'enfance est ce là ? »

Sirius pâlit à cette idée, il était vrai qu'aussitôt que Harry sentait une once de douleur, il était attaqué par tout le monde dans le monde sorcier, mais ils n'avaient pas d'autres choix. Il lui avait été donné cette cicatrice par l'incarnation de tout ce qui était mal, et lorsque cela lui avait donné un morceau de Voldemort qui s'était insinué dans l'âme d'Harry. Black ne pouvait seulement qu'espérer que le mal qui s'était introduit quelque part dans le cœur du garçon ne montrerait jamais son visage, que cela n'affecterait jamais le garçon d'une quelconque façon. Si cela se faisait, ils seraient tous condamnés.

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« Je vous dit qu'il rêve à propos de vous-savez-qui à nouveau ! » affirma Georges à travers ses dents.

« Pas possible, s'il l'était, il l'aurait dit soit à moi, soit à Hermione, il ne garderait pas ce genre de chose secrète ! »

« Si tu crois ça, c'est que tu ne le connais pas très bien. » George soupira et tourna son dos vers son plus jeune frère, attrapant le regard d'avertissement  de Fred à temps pour éviter l'attaque du plus jeune garçon.

 « Les garçon, arrêtez ça tout de suite ! » Mrs Weasley bondit dans la bagarre, baguette en main. Ses deux fils arrêtèrent de se frapper mutuellement. « Maintenant, tout les deux, grandissez. Se battre ne va pas aider Harry. Maintenant excusez-vous. » Un ricanement provenant des escaliers lui fit pointé sa baguette férocement à ces deux plus vieux fils. « Et vous deux feriez mieux d'arrêter. Cela ne fait aucun bien, de toujours les encourager ! »

« Désolé George. » dit Ron.

« Moi aussi. » affirma le plus jeune des jumeaux, ne le pensant absolument pas.

Ginny dérapa dans la cuisine, brisant l'atmosphère tendue. « Maman, viens vite, c'est Harry, quelque chose ne va vraiment pas ! »

Ron et Hermione foncèrent hors de la cuisine, courant à travers le jardin dans une soudaine panique aveuglante, un million de scénarios terribles couraient dans leurs têtes, toutes les pensées superficielles furent perdu par la soudaine vague de peur qui traversa leurs corps.

Trébuchant toujours dans une position, ils approchèrent la forme dormante de leur meilleur ami, ne voyant rien de mauvais d'abord. Il était simplement endormi, fixe et silencieux sous le soleil chaud. Puis ils le virent, une petite goutte brillante de sang rouge, percher sur le bas de la cicatrice.

« Ce n'est pas normal. Même lorsqu'ils criaient d'agonie, sa cicatrice n'avait jamais réagit. » chuchota Hermione.

« Devons-nous le réveiller ? » demanda Ron.

« Comment puis-je le savoir ? »

« Tu es la bibliothèque marchante, j'ai pensé que tu avais lu quelque chose dessus ! »

Crookshanks ronronna un accueil et trottina, se mettant contre Hermione alors qu'elle pensait. Après quelques minutes d'un silence tendu, le chat commença à s'ennuyer et s'installa délibérément sur l'estomac de Harry, mettant tout son poids sur l'un des points de pression crée par sa patte. Les yeux émeraude s'ouvrirent d'un coup. Sa silhouette se tendit brièvement avant de se relaxer lorsque la réalité revint par elle-même. Un petit froncement parcouru son front alors qu'il fixait les visages inquiets de Ron et de Hermione.

« Quoi ? »

« Est-ce que tu te sens bien ? »

Harry s'arrêta, sachant qu'il ne pouvait leur dire à propos de ses rêves, cela causerait seulement une vague de panique muette, à la place de leurs visages souriants « Bien sûr, j'était en train de prendre un bain de soleil, c'est tout. »

Hermione souleva un sourcil alors que Ron en fronça, en le croyant pas tous les deux. « Harry, tu nous le dirais si quelque chose se passait, n'est-ce pas ? »

« Bien sûr que je le ferai. » Il sourit à Hermione, essayant d'alléger ses inquiétudes alors qu'il se mettait sur ses pieds.

« Crois-moi, rien n'est arrivé. » Il fit courir sa main sur son front, poussant ses cheveux hors de ses yeux et dégageant la goutte de sang de là. Changeant rapidement de sujet, il regarda l'anxiété partir des visages de ses amis. « N'avions nous pas prévu d'aller à Diagon Alley (Chemin de traverse il me semble) aujourd'hui ? »

« Ouais, en fait, nous devrions commencer à bouger sinon nous allons nous faire rattraper par la précipitation. » répondit Ron, enterrant ses inquiétudes sous la tranquillité de la routine, si Harry dit que tout va bien, alors tout va bien, il n'y a aucun besoin de paniquer.

Fred regarda de la fenêtre alors qu'ils revenaient du terrain. « Tout semble aller bien, ils sont en train de rire de toute façon. Je ne pense pas qu'il y ait besoin de s'inquiéter. »

« Mais maman, il saignait ! »

« Très bien Ginny, ça suffit, prépare-toi pour partir à Diagon Alley. Ne mentionne pas ce que tu penses avoir vu, cela ne ferait qu'empirer les choses. » dit sa mère doucement, poussant sa fille gentiment vers le haut des escaliers.

Les jumeaux se tenaient côte à côte, regardant le trio traverser le jardin. La paire machiavélique avait remarquablement grandit. Ils étaient toujours d'irresponsables farceurs, mais ils avaient gagné un sens de prudence. Ils ont fixé leurs propres limites et ont appris de leurs erreurs. La lumière du soleil frappait leurs cheveux flamboyant, les rendant encore plus brillants. Ils étaient si près d'avoir fini de grandir.

Reniflant bruyamment, elle s'agita dans la cuisine, nettoyant la vaisselle du petit déjeuner avec un coup de baguette. Ce n'était pas comme si elle n'avait plus d'enfant à s'occuper après qu'ils partent de la maison, bon Dieu, Harry passait tant de temps ici, qu'il était pratiquement le sien ! C'était juste la pensée d'une maison dépouillée d'explosions qui secouaient les fondations et qui faisaient tomber le crépit du plafond, cela serait si silencieux sans eux ici pendant les vacances.

Elle sourit grandement alors que Hermione, Ron et Harry s'aventuraient dans la cuisine. « Allez vous tous, préparez-vous à partir ! »

« Comment y allons-nous ? » demanda Harry prudemment, craignant la réponse.

« Poudre de cheminette » répondit Mrs Weasley rapidement. « Je vous laisserai vous balader par vous-même, mais s'il vous plait, essayez de ne pas causer de problèmes. »

« Nous ne le ferons pas maman, ne panique pas. Tu peux nous faire confiance ! »

Jetant à Ron un regard calculateur elle sourit. « Allez-y quand vous serez prêts, du moment que vous revenez à temps pour le dîner. »

Le groupe fonça en haut des escaliers, riant, toute inquiétude de cicatrice saignante et de mauvais rêves temporairement oubliés. « Est-ce que nous allons porter des robes ou non ? » cria Hermione de la chambre de Ginny.

« Non, il fait trop chaud, nous cuirons ! » hurla Ron

Fred siffla à Harry, le faisant lever les yeux de sa recherche de ses chaussures. « Attrape ! »

Harry attrapa sa baguette en l'air, faisant sourire le garçon.

« Et c'est pourquoi tu es le meilleur attrapeur que Gryffindor ait eut ! Si tu vois Malfoy maudit le pendant l'éternité d'accord ? »

« Ce que tu veux Fred ! » gloussa Harry, sachant trop bien qu'il ne pouvait pas, par risque d'expulsion de Hogwarts. Fixant la baguette avec suspicion, il la vérifia. Ne trouvant aucune preuve de falsification, il soupira de satisfaction et sortit une lettre froissée de sa poche, la dépliant et lisant l'écriture vert émeraude. Comme d'habitude, elle l'informait que l'Express pour Hogwarts quitterait la plate-forme 9 ¾ le premier septembre, et offrait une liste de tous les livres nécessaires.

Scannant les titres, Harry fronça les sourcils, pour une étrange raison, il n'y avait nulle part de livres sur le cour de défense contre les forces du mal, peut-être que les classes avaient été annulées, avec Snape ailleurs sur quelque chose de hautement secret pour Dumbledore, il n'y avait personne ne souhaitant prendre cette tâche, ce travail n'offrait pas exactement une sécurité… Son esprit revint vers la fin de l'année, évitant prudemment la mort de Cedric Diggory, et l'agenda secret de Mad Eye Moody (Maugrey Fol'oeil). A la place, il se demanda si Hagrid était déjà de retour. Soin aux Créatures Magiques ne serait pas pareil sans lui, il était la seule chose qui rendait la leçon avec les Slytherins acceptable.

« La Terre à Harry, es-tu près à partir ? » demanda Hermione, pointant sa tête à travers la porte, ignorant le cri étouffé de Ron sous le lit.

« Quoi ? Non ! Attends, je n'ai pas trouvé mes chaussures ! » A ces mots une paire de chaussures volèrent à travers la pièce. Atterrissant lourdement sur le sol.

« Garde tes chaussures de ton côté de la pièce ! » dit Ron, causant à son ami de le fixer. Il était à moitié sous le lit, grommelant dans l'espace caverneux. Hermione s'agenouilla sur le sol et souleva la couverture, rencontrant ses yeux.

« Qu'est-ce que tu cherches ? »

« Ma baguette ! Je ne peux la trouver nulle part ! Si Fred et Georges l'ont abîmé… »

« Ferions-nous ça ? » demanda Fred innocemment, se tournant vers Georges qui était toujours boudeur.

Harry vit l'objet magique posé sur le rebord de la fenêtre, chauffant sous un rayon de soleil. La soulevant, il la tendit à Ron, qui sourit de remerciement.

« Très bien ! » soupira Hermione, « Finalement, Diagon Alley nous voilà. Dépêchez vous. Je ne veux pas avoir les dernières copies abîmées des livres ! »

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Quelques heures plus tard, le petit groupe s'arrêtèrent en sortant de  Flourish et Bloots (Fleury et Bott), chargé de livres, sacs, robes, plumes et tout ce qui est nécessaire pour l'année à venir à Hogwarts. « Avons-nous fini ? » demanda la voix grommelante de Ron de derrière une lourde pile de livres de divers titres et natures.

Hermione l'atteignit et retira le « Guide des Sorciers de Métamorphose avancée. » de la pile et l'autorisa à voir où il allait. « Il était temps, nous devons faire un dernier arrêt, Crookshanks a besoin de poudre pour les puces. »

« Ugh, tu veux dire que ce misérable chat qui a été dans ma chambre a semé ses puces tout l'été ? »

« Je pense qu'il les a attrapé dans les champs, et il n'a pas été beaucoup à l'intérieur. » Hermione consola son ami, glissant à travers la porte de la pièce sombre de la boutique.

Harry posa ses livres par terre avec un soupir, déchargeant graduellement ses bras du poids de tous ces équipements et jeta un coup d'œil autour de lui. Comme d'habitude, les murs étaient recouverts de cages, couverts dans les ténèbres. Des yeux brillaient comme de précieuses pierres de derrière les barreaux  alors que plumes froissées s'y accrochant. Aussi fascinant que ce lieu fût, il était un peu comme la volière de l'école, légèrement effrayant.

Se penchant sur le sol, il poussa trois livres dans un sac, pour porter la bibliothèque miniature plus facilement. Ses yeux virent des ombres dans une cage proche, fermée sur le sol. Deux yeux rouges brillants cruellement dans les ténèbres, et un doux sifflement monter en concert avec le bruit des animaux de la boutique. A l'intérieur de ses sifflements, incompréhensible par une oreille normale humaine, des mots moqueurs transparaissaient, « Regarde derrière toi… »

Les grands yeux de Harry regardèrent par-dessus son épaule, à travers la fenêtre et dans la rue derrière. Trois silhouettes familières rodaient furtivement dans la rue, la forme pâle en tête de Malfoy et de ses deux copains, Crabbe et Goyle. Le chef semblait particulièrement béat à propos de quelque chose, ses yeux pâles observant la rue avec un froid dédain de quelqu'un qui pensait être supérieur.

Rapidement détournant son regard vers son sac, Harry fixa sans voir les livres reliés en cuir, son esprit travaillant dur et vite, les cris et les miaulement des animaux dans la pièce disparaissait avec la distance. Si Draco était là, alors son père également, Le Death-Eater Lucius ne serait pas loin derrière. Un instinct, coupant comme la lame d'un couteau traversa son esprit, promouvant prudence, il devait être prudent. Provoquer un mignon de Voldemort serait définitivement un mouvement imprudent.

Une lumière éclatante brillant dans ses yeux le fit les cligner, le rayon de soleil entra la pièce sombre. Hermione tenait la porte ouverte alors que Ron titubait dehors, sous le poids des livres et de la poudre pour les puces. Jetant un dernier coup d'œil à la boîte contenant le serpent, Harry attrapa ses affaires et les suivit, courant pratiquement hors de la boutique. Comment le serpent avait-il su ? Comment avait-il remarqué Draco alors qu'il ne pouvait clairement pas voir au dessus de dix centimètres dus sol ? Perdu dans ses pensées, Harry serpenta parmi les clients de Diagon Alley, ignorant l'arrêt de Ron et Hermione à une fenêtre pour regarder la marchandise à l'intérieur. Son front plié de perplexité, le garçon de quinze ans tourna un coin et rentra douloureusement dans une silhouette vêtue de noir. Reculant, Harry cligna des yeux, fixant avec surprise et horreur le visage féroce de personne d'autre que Malfoy

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A/N : Et voilà le deuxième chapitre est là !!!!!

Visiblement vous aimez beaucoup cette histoire donc je vais continuer à la traduire

Et je vais bientôt me suicider puisque j'ai vu que Bliss écrivait un quatrième tome et à la vitesse où elle va … je vais mourir

Dod : Maaaiiiis nnoooonnnn. Tu crèveras lorsque tu auras tout traduit et pas avant.

Bon merci pour toutes les reviews

Et non Matteic l'autre fic est pas démoralisante grrrrrrr mais si t'aimes pas Snape (mais euh comment t'as fait pour aimer « Mon nom est Severus ») mais il va s'améliorer après je promets

Dod : Et puis il faut aussi ajouter que Snape est l'un de nos personnages préférés à toutes les deux alors si tu ne l'aime pas : pas de bol, Anatole