Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JRK ou à Bliss, sauf la traduction.
Les examens sont fini, l'heure est à la traduction
Voici donc le chapitre 3
Bonne lecture
(Et souvenez vous on met des REVIEW ou le dico tombe)
Dod : je me ferai un plaisir d'exécuter la sentence
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Chapitre 3
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Lucius Malfoy renifla de dégoût, sa main cherchant automatiquement sa baguette alors que le garçon tituba, secouant sa tête de perplexité. Des pensées de gloire, revanche, et pouvoir traversèrent son esprit. S'il était celui qui amènerait le garçon qui a survécu a son Maître, celui qui l'arracherait des mains de Dumbledore et le livrait entre les griffes de Voldemort, lui le Death-Eater favori , le plus béni des frères. Levant sa baguette, il retint sa respiration, un sortilège sur les lèvres.
Harry cligna de surprise. D'instinct, sa baguette fut dans sa main, pour se défendre et se protéger. Le feu et la haine à l'intérieur de lui avaient soudainement trouvé une cible ce n'était pas le Seigneur des ténèbres, mais c'était pratiquement la meilleure chose qui suivait. Ses yeux verts brillèrent de colère derrière ses lunettes sa cicatrice commençait à vibrer dûment, répondant à la présence qu'il pouvait sentir proche, le mal émanant de Malfoy le frappait sous forme de douleur.
La réalité se réinséra avec douleur. Le duo sembla se souvenir où ils étaient, semblait se souvenir que n'importe quel genre de duel amènerait une attention immédiate. Abaissant leurs baguettes au même moment, ils se regardèrent de haut en bas, aucun ne fléchissant, refusant tous deux de tourner le dos à leur ennemi. Rangeant sa baguette, Harry souleva un sourcil, bougeant à peine ses lèvres alors qu'il murmurait « Je suis désolé, je n'avais pas regardé où j'allais. »
« Entièrement ma faute. Je vous assure. » répondit Lucius Malfoy, ses yeux sombres brillant comme l'onyx alors qu'il s'éloignait. Ses bottes claquant derrière lui, comme s'il était désespéré de s'échapper de cette tentation. La tentation de détruire.
Harry soupira, secouant sa tête de confusion. Il y a eut un moment, une pure et puissante seconde, lorsqu'il avait senti sa rage courir dans ses veines. Lorsqu'il avait actuellement voulu effacer le visage de ce menteur de la Terre. Tout en gardant un œil sur la forme disparaissante, il rassembla ses affaires. Les soulevant prudemment avant de se retourner, pour pratiquement mourir de peur.
Ron et Hermione se tenaient juste derrière lui, leurs yeux agrandis d'incrédulité.
« Qu'est-ce que c'était ? » demanda son ami aux cheveux couleur carotte, de l'inquiétude et de la confusion traversant son visage.
« Rien, seulement un réflexe. » murmura Harry, essayant de ne pas rencontrer les yeux calculateurs d'Hermione. « Je suppose que je suis un peu sur les nerfs. C'est tout. »
Derrière lui, il entendit la voix distincte de Malfoy. « Pourquoi ne l'as-tu pas fait, papa ? Il est aussi utile qu'un sang de bourbe, il mérite ça ! »
Tendant ses oreilles pour en écouter la réponse, Harry entendit un cri de douleur suivit par un grondement étouffé, des mots incompréhensibles dans le vacarme de l'allée, perdus dans les discussions et l'agitation de la rue. Frottant ses mains inconsciemment, souriant gaiement à ses amis. « Allez, retournons au Terrier, avant que mes bras ne tombent. »
Acquiesçant silencieusement, Ron fut d'accord, tirant Hermione après lui. L'humeur joyeuse de tout à l'heure avait disparu, et des choses sur son meilleur ami qu'il avait essayé d'ignorer, essayé de prétendre qu'elles n'existaient pas, traversaient son esprit borné, se faisant ainsi connaître. Quelque chose l'avait averti que rien ne serait plus pareil, il y aurait toujours des menaces suspendues au dessus de leur têtes comme des nuages de tempête, prêt à pleurer leurs larmes de douleur sur le trio d'amis. Ron se renfrogna, se concentrant, souhaitant qu'il y ait un moyen de protéger son ami, souhaitant qu'il y ait un moyen de le protéger de sa destiné. Cela prendrait tout le temps que lui et Hermione avaient, mais il n'y avait aucun moyen qu'Harry souffre, plus maintenant.
Une petite voix dans son esprit lui suggéra qu'il était trop tard, que la souffrance avait déjà commencé.
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Ginny se mit dans son lit, fixant le plafond d'inquiétude, mordant ses lèvres, alors qu'elle réfléchissait. Tout autour d'elle, il y avait des livres, des robes, des ingrédients de potions, des chaudrons et des plumes, éparpillés par ses essais précédents pour préparer sa valise. Demain, c'est le premier septembre, ce n'était pas comme si elle avait l'éternité, elle ne pouvait simplement pas se concentrer. Il y a seulement quelques heures, elle avait touché le sang de la cicatrice de Harry, avait sentit la peur et la panique, pas seulement pour lui, mais pour tout. Si Voldemort était vraiment revenu, qui pourrait l'arrêter ? Lorsqu'on y réfléchissait il n'y avait que Dumbledore et Harry. C'était tout. Un vieil homme et un jeune garçon. Ce n'était pas assez pour lui inspirer confiance. Elle s'était aperçue qu'elle souhaitait la paix, ou la fin. Il n'y avait rien de pire que d'attendre. Rien de plus terrible que la nervosité, alors que vous attendez que votre ennemi fasse son mouvement.
Elle ne pouvait pas le considérer comme son ennemi, l'homme-serpent, mauvais et cruel. Ce qui était étrange, était qu'un jour, il avait eut son âge, il avait été jeune. Est-ce que les gens étaient mauvais dès la naissance ? Quelque chose avait du arriver pour faire de Voldemort ce qu'il était maintenant. Quelque chose de plus que d'avoir un muggle pour père. En s'asseyant, elle poussa un petit cri de frustration, retournant à l'empaquetage de ses robes posées au-dessus de sa malle.
Remettant ses cheveux en place, elle s'assit sur ses talons, clignant des yeux et reniflant. Une petite larme coula le long de sa joue, tombant de sa peau pour atterrir sur le noir de sa robe. Rayonnant comme un diamant sur sa fabrique de velours. Et s'il avait tout faux, et s'il gagnait, et si… ? Une main sur son épaule la sortit de ses pensées.
En clignant, elle releva ses yeux, voyant Bill la regarder avec de la sympathie et de l'inquiétude dans ses yeux. « Gin, qu'est-ce qui ne va pas ? » Il s'assit à côté d'elle, la prenant dans ses bras. Cachant son visage dans son épaule, elle murmura une réponse.
« J'ai peur. »
« De quoi ? »
« Tu-sais-qui. »
Bill regarda à travers la fenêtre pendant quelques secondes avant de reporter son attention sur sa plus jeune sœur, lui souriant pour la réconforter. Elle avait vraiment grandie cette année. Allant d'une fille délicate à une jeune femme, pratiquement en un clin d'œil. Cela doit être difficile de grandir maintenant, ne sachant jamais si on allait survivre une autre année, avant que le Seigneur des Ténèbres ne vienne menacé notre existence.
« Allons Gin, tu vas à Hogwarts, tu seras sous la protection de Dumbledore là-bas. Tu sais qui ne songerait jamais à attaquer ce lieu, et si tout échoue tu as toujours Harry. »
« Il a seulement 15 ans ! »
Bill cligna des yeux face à son affirmation, devenant conscient de la présence de deux personnes de plus sur le lit. Levant la tête, il aperçut Fred et Georges. Les deux garçons étaient pâles, leurs tâches de rousseur ressortant contre leur peau.
« Elle a raison Bill, penses-y. » commença George.
« Harry est juste un enfant, il n'est pas aussi fort qu'il le parait. » ajouta Fred.
« Est-ce que tu penses vraiment qu'il peut à jamais combattre Voldemort ? » finit George, fixant son plus vieux frère pour obtenir des réponses.
« Allons, les gars. » dit la voix de Charlie de l'embrasure de la porte. « J'ai vu ce qu'Harry pouvait faire, et si quelqu'un peut vaincre le Seigneur des Ténèbres, c'est lui. Il a ce qu'il a. Ce n'est pas simplement à cause d'une cicatrice ou d'une mauvaise enfance. C'est quelque chose de plus profond, quelque chose de plus fort. »
« Comme quoi ? » Ginny renifla, fronçant les sourcils alors qu'elle essayait de comprendre ce qu'il avait dit.
« Je ne suis pas sûr mais j'ai confiance en lui. »
Un cri d'en bas les prévint du retour des autres. Fred et George fixèrent le bazar dans la pièce, un sourire traversant leurs visages. « Allons, Ginny, si maman voit ça, elle emballera pour toi ! »
« Et cela signifie qu'elle fouillera à travers ses affaires une par une ! »
« Et repassera toutes tes chaussettes ! »
« Nous le savons, elle a déjà attaqué nos malles ! »
Les jumeaux disparurent rapidement, laissant Ginny seule avec ses pensées et ses peurs. Elle se tourna vers ses livres de sortilèges (achetés une semaine plus tôt) et commença à les entasser dans sa malle, murmurant dans sa barbe pendant un moment.
Un ronronnement de Crookshanks la fit lever les yeux et voir Hermione entrer dans la pièce, écroulée sous le poids des livres, qu'elle plaça avec prudence sur son lit. « As-tu déjà fini d'emballer ? » demanda la plus vielle des filles de surprise, retirant une robe de rechange alors qu'elle recherchait sa malle de sous son lit.
« Ouais, je n'avais rien de mieux à faire, sauf que je pense avoir des problèmes après avoir effrayé tout le monde à propos d'Harry ce matin. Je ne pense pas que maman me croit. »
« Et bien j'y crois. »
La fille aux cheveux roux regarda Hermione pendant quelques secondes, ses vêtements pendant dans sa main, oubliés. « Tu me crois ? »
« Oui, Ginny, c'était là. Ron et moi l'avons aussi vu. Harry cache quelque chose de nous tous et je projette de découvrir quoi. »
« As-tu des idées ? » commença Ginny. « Je veux dire, il rêve, je pense que c'est évident, mais s'il ne crie pas, cela ne peux pas être si mauvais, n'est ce pas ? »
« Je ne sais pas. » Hermione soupira de confusion, faisant une pause avant de raconter l'incident de Diagon Alley à la plus jeune fille, en ne laissant aucun détail de côté.
« Et bien, est-ce que Malfoy n'est pas une des personnes qui, selon Harry, travaille pour Tu-sais-qui ? Ce n'est pas vraiment surprenant qu'ils aient pointé leurs baguettes, l'un sur l'autre. »
« Bien sûr, pourquoi n'ai-je pas pensé à ça ? Je n'avais pas fait la connexion ! » Hermione jeta ses livres dans sa malle, posant ses mains sur ses hanches, en colère contre elle-même. Puis passant une main dans ses cheveux, elle regarda Ginny s'asseoir sur le couvercle de sa malle, faisant de son mieux pour la fermer.
« Qu'est-ce qui arrivera si nous le confrontons ? » se demanda-t-elle à haute voix, pliant sa robe inconsciemment.
« Nous n'en savons pas beaucoup, et je ne pense pas que cela soit la meilleure chose à faire pour l'instant. » répliqua Hermione. « Il nous dira lorsqu'il sera prêt, j'espère. »
Regardant au-delà de la fenêtre, elle n'admira pas les couleurs du coucher de soleil, elle ne nota pas l'éclat de défi des étoiles à l'Est, et elle ne pensa rien de la planète de la guerre, haute au dessus d'eux, brûlant d'une colère rouge dans le ciel semi obscure.
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« Allez ! Si vous ne vous dépêchez pas, nous manquerons le train ! » les avertit Hermione, alors qu'elle montait sa malle dans le Hogwarts Express. Quelque chose à propos de la locomotive lui fit oublier ses inquiétudes. L'engin écarlate lui faisait remonter des souvenirs à la surface, des souvenirs qui l'avaient fait sourire et rire.
Ginny monta après elle, levant sa main en au revoir vers sa mère. « Allez Harry ! George, Fred, Ron ! Dépêchez-vous, qu'est-ce qui vous prend autant de temps ? » Bill et Charlie parlaient silencieusement d'un côté, tous les deux souriaient vers leur petite sœur frustrée, et ils tournèrent leurs yeux vers leurs frères.
Fred et George furent sermonnés par le ton clair et net que Mrs Weasley utilisait, lorsqu'elle le pensait vraiment.
« S'il vous plait, soyez responsables. J'ai eut assez de lettres d'Hogwarts sur vous deux pour recouvrir la maison. Souvenez-vous de bien travailler pour vos NEWTS. Peut-être que vous pourriez surprendre tout le monde et vous transformer en étudiants parfaits. » Ron s'étrangla de rire, redirigeant ainsi l'attention de sa mère. « Et vous deux » elle pointa sa baguette vers Harry et Ron. « Je veux que vous me promettiez de ne rien faire d'imprudent, de stupide, ou qui menacerait votre vie. Concentrez-vous simplement sur vos devoirs. »
« Mais maman… »
« Je le pense Ron, et c'est valable pour toi aussi Harry chéri. »
Harry sourit simplement à son assurance. Il ne pouvait faire aucune promesse. Ce n'était pas comme s'il cherchait les ennuis, plus souvent c'était eux qui le trouvait. Peut-être que cette année serait différente, peut-être que cette année serait plus paisible.
« Oui, bien sûr ! » railla une voix dans sa tête alors qu'il prenait la cage d'Hedwig d'une main, et soulevait sa malle du sol avec l'autre, suivant Fred et George dans le train.
« Bye Ronny chéri, soit prudent ! » cria Charlie à travers la plate-forme.
« Fred, George, battez Percy à vos NEWTS, il est vraiment devenu une grosse tête ! »Bill rigola, en leur disant au revoir. « A plus Ginny ! »
« Hermione, Harry, à l'été prochain ! »
Le groupe d'enfants hurla des au revoir alors que le train quittait la gare, en regardant la plate-forme 9 ¾ disparaître.
George frotta ses mains ensemble de joie, souriant à son frère.
« Je me demande ce que Lee a amené à Hogwarts cette fois. »
« Probablement une autre araignée géante, ou un dragon, ou un bébé Grindylow (strangulot) … » répondit Fred, alors qu'il traversait les wagons avec son jumeau, laissant les quatre autres trouver un compartiment vide. Hermione en trouva un en quelques minutes, puis fit signe aux autres de rentrer.
« Vite, Draco est sur le chemin, et franchement je ne veux pas d'une guerre contre lui dès le début de l'année. »
Elle tenait sa baguette fermement, ce que Ron remarqua, ou le fait qu'elle murmurait un sortilège, déjà au bord des lèvres, prêt à frapper le salaud de Slytherin jusqu'à la fin des temps. Cachant un sourire, elle se laissa tomber dans le siège à côté de Harry.
« Tu te souviens lorsqu'il a été métamorphosé en fouine ? »
Harry eut un rire à cette pensée. « Ouais, c'est ce qui lui va le mieux, selon moi, volant du plafond au sol ! »
« C'était un des meilleurs moments de l'année. » Hermione soupira, essuyant des larmes d'hilarité de ses joues. « Tu réalises que nous ne le regarderont plus de la même façon ? »
« Mmm, mais je pense que je vais préparer ma baguette au cas où. » En mettant sa main dans sa poche, Harry se renfrogna, il n'y avait aucun signe de sa baguette, il n'y avait qu'un morceau de papier, ce qui n'était pas bon. « Attends je reviens dans une minute. J'ai laissé Fred m'emprunter ma baguette ce matin. »
« 'Kay Harry, à tout à l'heure. »
Marchant hors de la pièce, Harry remonta le couloir, se dirigeant vers Fred, Georges et Lee Jordan, qui entouraient une petite boîte.
« C'est quelle espèce ? »
« Je ne sais pas, mais j'ai trouvé qu'il était gentil, je l'ai trouvé à la Ménagerie. » dit Lee à George.
« Il n'est pas très grand. » Fred renifla, avançant un doigt avant de s'arrêter. « Est-ce qu'il mord ? »
« Non je ne penses pas, il ne l'a pas encore fait en tout cas. »
Un étrange sifflement sortit de la boîte en carton, alors que Fred caressait la tête de l'animal. « Ahh, tu as raison, il est mignon. »
« Qu'est-ce que c'est ? »
Le groupe se tourna en souriant vers Harry, en voyant son froncement de perplexité, ils rirent. « Lee a un nouvel animal, il devrait pile être dans tes cordes, Harry ! » Georges le sortit de sa boîte, laissant Harry le voir. Il était de couleur verte émeraude, avec des petites tâches d'encre noire sur son dos. Sifflant gentiment, il le regarda, avant de chuchoter.
« Bonne chance, Harry Potter, le Mal attend. »
Le visage de Harry montra un peu de surprise, alors que Lee demanda instantanément : « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
« Pas beaucoup. » répondit le plus jeune garçon, arrachant ses yeux du minuscule serpent. « Simplement qu'il est content de ne plus être dans sa cage. » mentit-il habilement.
« Ouais, il va aimer Hogwarts, je pense que je devrais lui donner un nom. »
« Fred, puis-je avoir ma baguette ? »
« Quoi, oh oui, bien sûr, voilà. » Le plus jeune des jumeaux la sortit de sa poche avant de prendre part dans la guerre des noms entre ses amis.
Se tournant pour partir, Harry trembla, entendant clairement le sifflement à travers le brouhaha « Le Mal attend. »
Le bruit du train semblait faible et distant alors qu'il revenait vers ses amis, essayant de penser. Il passa la sorcière qui amenait la nourriture dans le couloir, enregistrant difficilement son accueil joyeux. L'odeur de la nourriture s'introduisit en lui, faisant gronder son estomac.
« Voilà pour toi mon chéri, gratuitement. » Elle lui tendit un bateau à la citrouille. « Il reste encore au moins une demi-heure avant que je n'atteigne ton compartiment, et il semble que tu es trop faim pour attendre. »
Murmurant un merci, Harry mordit dans la délicieuse nourriture, et continua à marcher, lorsqu'il vit un crapaud se cachant dans un coin. Intimidé et effrayé. Avec un soupire, il l'attrapa, se demandant si Neville apprendrait un jour à surveiller ses affaires.
« Oh regardez c'est le Balafré » dit la voix de Malfoy avec mépris, accompagner par de profond, rires Néandertaliens de Crabbe et Goyle.
« Tes vacances ont-elles été bonnes, Potter ? Tu t'es baladé autour de ton ami sang de bourbe ? Je suis surpris que tu puisses vivre avec toi-même. Après tout, tu as assassiné Diggory, la seule raison qui les a retenu de te mettre à Azkaban est Dumbledore. »
« Ce n'est pas vrai, allons tu sais qu'il ment. » cria la voix dans la tête de Harry, essayant de se faire entendre par-dessus la rage alimentée par la colère.
« Ferme-la Malfoy, tu ne sais pas de quoi tu parles. »
« Si je le sais, meurtrier. »
Le sortilège frappa le mur à côté de la tête de Draco, le faisant crier et s'enfuir. Harry eut un grand sourire, il voulait manquer, il n'avait pas besoin de rentrer dans un combat dès le premier jour, mais il était bon de voir la peur sur le visage de cette brute. Secouant sa tête d'incrédulité, il marcha dans le couloir, ignorant les cris de colère de Malfoy dirigés contre Crabbe et Goyle qui le suivaient. Ces idiots pouvaient être denses, mais il savait lorsqu'il ne fallait rien dire, et il avait donné trop de peur au garçon aux cheveux pâles pour qu'ils fassent son propre mauvais travail.
Alors qu'il ouvrait la porte de leur compartiment et rentrait il n'entendit pas les mots murmurer. « Tu le regretteras Potter, ton temps est pratiquement écoulé. » Les yeux de Malfoy s'étrécirent, alors qu'il se retournait, il connaissait les plans de son père, et il connaissait la suprématie du Seigneur des Ténèbres, le règne de ce vieil imbécile de Dumbledore et de l'étudiant favoris de tout le monde était pratiquement arrivé à son terme.
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A/N : Et voilà le dernier chapitre, avec quelques jours de retard (et oui fallait bien que je passe mes examens) Le chapitre suivant arrivera sans doute samedi, je pense puisque demain je reprends les cours mais il est possible qu'il arrive dans la soirée.
Sinon continuez à mettre des REVIEW !!!!!! Sinon je ne continue pas (ça vous plairait pas, hein ?)
Dod : Leena est enfin entré dans le chantage. Vous voulez la suite, alors...... review. Sinon vous ne l'aurez pas. Niark niark niark
