Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JRK ou à Bliss, sauf la traduction
Dod : un concours à la review vient de commencer pour cette fic les résultats seront proclamés après le chapitre 30. Il continuera sans s'interrompre pour le volume 2.
Donc reviewé sinon Dodie va pas être contente… (et surtout ne va pas corriger)
Comment Leena sait-elle que Dod est en train de faire la correction du chapitre ?................................................................................................................................ Elle reçoit une avalanche de mails lui demandant de retraduire certaines phrases pour vous être plus compréhensibles (t'es encore loin de l'avalanche).
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Chapitre 9
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Le rêve a du commencer dès qu'il avait fermer ses yeux. Mais, il était différent des fois précédentes. Plutôt que ce soit des images par-ci par-là, cela coulait comme de l'eau, une histoire continue, un cauchemar continu, se déroulant en face de ses yeux.
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Akima s'assit sur le sol, pleurant dans ses main, effrayée, effrayée par quelque chose qu'elle ne pouvait voir. Ses mots commencèrent à atteindre ses oreilles. « Comment as-tu pu ? Pourquoi l'as-tu fait ? Ce n'était pas comme ça que cela devait se passer, tout c'est mal passé. » Sirius marcha à côté d'elle, son visage blême. La lueur de ses yeux disparue, la vie arrachée.
« Akima, petite. Ils ont fait ce qu'ils avaient à faire, il n'y a plus de rédemption. Il s'est vraiment détourné de nous. »
« Et à qui la faute ? La tienne, tu ne lui as pas dit. Cela aurait pris si peu de mots pour arrêter ça. C'est ce qu'est la vérité, des mots. Pourquoi n'as-tu pas pu y faire face ? » Il la regarda alors qu'elle lui était arrachée, s'enfuyant dans la forêt.
Dumbledore et Lupin sortirent des ombres, suivis par McGonagall et Snape. Le petit groupe entoura Sirius.
« Nous devons y faire face. Nous devons nous battre. Nous ne devons pas abandonner l'espoir. » dit la voix chevrotante de Dumbledore, il semblait soudain très vieux, et très fragile.
« Nous n'avons aucune chance. Nous l'avons perdu, nous ne pouvons pas le récupérer… Il est parti. »
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La scène trembla, se métamorphosant, la lumière disparaissant, remplacé par une scène de l'enfer. Des flammes sautaient et étincelaient, alimentées par la peur. Ron et Hermione se tenaient devant lui, leurs visages étaient pâles, effrayés et en colère.
« Harry, ne peux-tu donc pas te souvenir de qui tu es, ne peux-tu pas penser ? Ce n'est pas bien ! » cria Hermione.
« Allons Harry, reviens-nous, il ne peut rien t'offrir, ses promesses sont des mensonges, Harry ! S'il te plait ! » le supplia Ron, lui tendant sa main.
« Tues-les. » Les mots, faibles, étaient si puissants et si forts, il ne pouvait pas les combattre, il regardait avec terreur alors qu'il levait sa propre main, jetant le sortilège de la mort. La lumière verte brilla, détruisant la scène, montrant alors un différent point de vue, un différent moment.
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Il regardait des ombres, voyant Fred, George, Ginny, Ron et Hermione reculer, essayant de s'enfuir. Il vit le visage ricanant de Voldemort, entendit ses mots balbutiés.
« Dumbledore est mort, ainsi que Harry. Abandonnez. Vous n'avez pas d'espoir. J'ai détruit l'esprit de votre sauveur, et son âme. Ni le garçon, ni le mage peuvent vous sauver maintenant… »
« Oh Harry, nous sommes désolé, nous sommes tellement désolé. »
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Encore une fois la scène changea, apparaissant comme l'éclair. Cornélius Fudge se tenait en face de lui, un chapeau melon en main. « Nous avons des témoins, Potter, des gens qui savent, des gens qui ont vu ce que tu as fait, et qui tu as tué. »
« Je n'ai tué personne ! » Sa voix, même fière, sonnait cruelle et froide, pratiquement dédaigneuse.
« Pratiquement une école entière. Ce n'est pas Azkaban, c'est la mort. » En suivant ce que son doigt lui montrait, il vit les bourreaux, il vit également Charlie Weasley, des larmes dans ses yeux, hache en main.
« Tu as tué mes frères et ma sœur, tu as détruit ma famille, bâtard ! »
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Alors que la hache fut abaissée, l'air se coupa en deux. Les éclairs déchirant le ciel de toutes leurs forces, le frappant entre les yeux. Provoquant douleur et fièvre. Même avec la pluie froide, il ne put éteindre le feu. Serrant ses yeux, il cilla, voyant la scène finale, la scène qui le figea. Voldemort sur un trône, dirigeant le monde, et lui, Harry à ses côté. Un sourire cruel déformant ses traits effrayants. Là, derrière lui, il savait ce qu'il verrait, un cimetière, un lieu de repos pour ceux qui ont été tués, pour ceux qui ont été détruits dans une recherche de puissance. Hermione et Ron, Ginny, Fred et Georges, tous les gens qu'il aimait. Le Mal avait gagné. Son corps n'était plus le sien. D'une certaine façon, il avait été tué pour avoir le pouvoir qui recouvrait son âme.
Il n'était pas lui-même.
Il n'était rien.
Il n'avait pas sa place ici…
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L'image éclata alors que la réalité revenait en force, utilisant un levier pour laisser sortir la peur qui enveloppait le garçon au plus profond de lui-même. La chaleur de la pièce entra dans la forme gelée, la faisant trembler.
Le rêve eut finalement un sens. Il était allé du côté de Voldemort, quelque chose était arrivée pour le remplir par cette haine qui l'avait changé…
Mais cela n'arrivera jamais, cela ne pouvait pas arrivé. Rien n'avait cette sorte de pouvoir. Rien ne pouvait lui faire tuer ses amis.
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Les mots rassurants dans sa tête levaient le barrage, allégeaient la peur. Peut-être qu'il était temps de le dire aux autres, ils avaient le droit de savoir. C'était vraiment stupide, il ne pouvait pas comprendre pourquoi il n'en avait pas été capable auparavant.
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Sa cicatrice fut soudainement traversée par une grande douleur, le faisant siffler. Posant ses doigts sur son front, il les fixa quand ils revinrent écarlate. Le sang coula dans ses narines, coulant dans ses yeux. Il sauta rapidement sur ses pieds, attrapant un tissu et le pressant contre elle. Marchant vers le miroir, il regarda, incapable de le croire. Cela n'était jamais arrivé auparavant ! Retirant le tissu, il regarda le sang le recouvrant, la cicatrice s'était ouverte complètement, comme si quelqu'un avait séparé sa chair avec un couteau. Cela n'aurait pas pu être pire, s'il n'avait pas pensé qu'il avait vu un os blanc en dessous de la marée écarlate.
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Prenant plusieurs bouts de tissus d'une boîte, il fit une boule, les pressant contre la blessure ouverte, priant pour que cela s'arrête. Les gouttes qui avaient envahi son nez, moururent inondant son visage rouge sombre. Ses yeux verts le regardaient, inquiets et alarmés. Il ne tremblait plus de fièvre, mais de peur. C'était important. Il devait voir Dumbledore, rapidement…
Un mouvement derrière lui, lui fit fixer ses yeux sur le miroir. Il y avait deux silhouettes sur le sol. Elles étaient probablement endormies lorsqu'il fonça vers le miroir. Maintenant, il était bien réveillé. Harry pivota, cognant son coude sur l'objet lorsqu'il le fit. Retenant une insulte, il grimaça, et prit plus de tissus.
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Le visage de Ron était pâle, chaque tâche de rousseur ressortant contre sa peau. La pièce était dérangée, et le visage de Harry ensanglanté était une vue terrifiante.
Avançant prudemment, il bougea la main de son ami. « Qu'est-ce qui s'est passé Harry ? »
« J'ai eut un mauvais rêve, sauf que cela ne saignait pas lorsque je me suis réveillé, je pensais à propos de ça lorsqu'elle s'est mise à goutter » réussit à dire Harry, sa voix encore faible et fragile.
« Gouttait ?!? Ce n'est pas goutter c'est pisser ! » Jetant un autre regard sur la cicatrice ouverte, il blanchit lorsqu'il vit l'os blanc, et attrapa rapidement les derniers morceaux de tissu. Pressant une main contre la blessure appliquant autant de pression qu'il le pouvait.
« Ow ! »
« Désolé, mais j'essaye de t'empêcher de perdre tout ton sang, il est important qu'il reste à l'intérieur de toi ! »
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Derrière eux, Hermione se réveilla, s'asseyant et regardant autour. Elle vit une pile de tissus ensanglantés et cria. « Qui saigne ? »
« Moi. »
« Harry, qu'est ce que tu as fait ? »
« Il a eut un rêve. » répondit Ron. « Sa cicatrice s'est ouverte et il pisse du sang partout. »
« D'accord, je vais chercher des bandages. » en un battement de cil, elle était partie, fonçant vers le couloir.
« Elle n'est pas très bonne sous la pression, n'est-ce pas ? Accio bandages ! » Les rouleaux de tissus blanc traversèrent la pièce, suivis par des compresses.
« Assieds-toi. » lui ordonna Ron, regardant son meilleur ami se glisser silencieusement dans le fauteuil.
Hermione réapparut, légèrement rouge. « Ne dis rien. » avertit-elle Ron, qui commençait à ouvrir sa bouche pour la taquiner. « Je ne pensais pas rationnellement. Change de sujet. »
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Elle poussa Ron sur le côté, ses doigts doux installant les compresses et les bandages sur la tête de Harry. Décidant de se rendre utile, Ron commença à ramasser les tissus tâchés, qui recouvraient la pièce.
« Est-ce que c'était mon imagination, ou ai-je vu un os ? » demanda Harry.
« Yup, tu as vu un os. Le problème est, quelle sorte de rêve faisais-tu pour que ta cicatrice réagisse si horriblement ? » demanda Ron, se perchant sur le fauteuil opposé, attendant l'habituel « Rien de sérieux. » Il fut pris par surprise lorsque Harry soupira misérablement.
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« J'ai rêvé que j'étais un Death-Eater, ou quelque chose comme ça. J'ai rêvé que je vous avais tué. »
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Plusieurs secondes passèrent en silence alors que ces deux amis le fixaient, trop surprit par sa révélation pour réagir.
« Pourquoi rêverais-tu de ça ? » demanda Hermione, reculant pour regarder son visage.
« Je ne sais pas. C'était le même rêve que depuis le début de l'été, mais cette fois, c'était plus clair, plus compréhensible. »
« Pourquoi ne commences-tu pas au commencement ? » suggéra Ron, son ton mortellement sérieux.
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Harry prit une profonde inspiration et commença à parler, leur parlant des images nettes et précises de lui se tenant aux côtés de Voldemort, le cimetière, toutes les images horribles dont il pouvait se souvenir qui avait emplies ce rêve. A la fin de l'histoire, il était pâle, ainsi que Ron et Hermione, tremblant comme si un Dementor venait juste de les attaquer. Sa voix était devenue un chuchotement à la fin, mais il n'y avait rien d'autres à dire.
« Tu as rêvé de ça depuis cet été. Merde, pourquoi ne nous l'as-tu pas dit ? » demanda Ron, voulait désespérément réconforter le jeune garçon, souhaitant l'avoir su plus tôt.
« Je ne savais pas quoi faire. C'était comme un cauchemar normal, fracturé. Je n'ai pas pensé que c'était important. »
« Harry, tout ce dont tu rêves est important, des gens comptent sur toi pour que tu leur parles de ces choses-là. » lui rappela Hermione, regardant les épaules de son ami s'abaisser.
« C'est ce qui est le pire. Je déteste que des gens comptent sur moi. Tout le monde pense que ça ira parce que je suis là, je ne peux pas battre Voldemort, quel espoir ai-je ? »
Hermione le regarda prudemment, voyant de la peur dans ses yeux. « Tu as peur d'être seul pour le battre ? Harry nous ne ferons jamais ça. »
« Ce n'est pas ça Herm, je veux dire, si, c'est ça, mais en même temps, j'ai peur que Voldemort se serve de vous pour m'atteindre. Il vous blessera ou vous tuera, ou quelque chose d'aussi mauvais, et ensuite je serai seul avec personne vers qui me tourner ! »
Harry se recroquevilla dans le fauteuil, fronçant les sourcils alors qu'il essayait de penser. Il attendait que l'un d'eux dise quelque chose, il pouvait les entendre penser, et c'était ce qui allait se passer. Ce fut pratiquement un soulagement lorsque Ron dit. « Nous devons le dire à Dumbledore. »
« Oui Harry, tu le dois. C'est la meilleure chose à faire, il saura quoi faire, il saura ce que cela signifie. » ajouta Hermione, le soulagement se lisant dans ses yeux.
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Lorsqu'ils atteignirent cette conclusion, la tension sembla disparaître de la pièce, la chaleur du feu revint, et le calme reprit le dessus.
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« Comment est-ce que tu te sens, maintenant ? » demanda Ron.
« Endolori, mais ce n'est pas aussi pire qu'avant, est ce que vous savez que Sneerey m'a fait écrire un essai ? »
« Quand ? » demanda Hermione.
« Lorsque vous étiez au dîner. »
« Sale vache. » gronda Ron. « Bouge. »
Harry se mit sur un côté, lui faisant un peu de place. Hermione se plaça entre eux, se recroquevillant confortablement, et serrant Crookshanks.
« Promettez-moi quelque chose. » dit-elle en baillant.
« Quoi ? » demandèrent Ron et Harry en cœur.
« Que nous n'allons plus nous disputer comme ça. »
« Promis. » murmura Ron, attrapant un coin du duvet et le tira vers sa tête, se rendormant.
« Je le promets, Herm. » souffla Harry, regardant Crookshanks ciller, témoin de la promesse. Et faiblement, avant de s'endormir, il entendit un sifflement prêt de son oreille.
« Je promets. »
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Fred et George se réveillèrent pour voir un jour clair et gelé, mais la paix était de courte durée. L'instant se rejoua dans leurs esprits, leur montrant la panique de la nuit dernière, les jumeaux s'assirent ainsi d'un coup, réveillant Lee Jordan de l'autre côté de la pièce.
« Quoi, qu'est ce que c'est ? » cria-t-il vers eux alors qu'ils fonçaient vers les escaliers dans leur pyjamas.
S'arrêtant au bas des escaliers, ils sursautèrent alors que de délicates mains se mirent à couvrir leurs bouches. Angelina et Katy les firent taire, leur montrant le canapé en face du feu.
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Ron, Hermione et Harry y dormaient paisiblement, ne se rendant pas compte des yeux qui les regardaient. La tête de Hermione reposait contre la poitrine de Ron, son visage une image de sérénité. Harry était recroquevillé, probablement le plus confortable des trois puisqu'il avait le coin pour le maintenir. Ron, cependant, avait des difficultés à rester dessus. Sa silhouette était cramponnée et il avait l'air de ne pas être confortable. Mais pour la première fois en plusieurs mois, tous les trois semblaient vraiment heureux. Les cheveux sombres de Harry étaient repoussés en un angle inhabituel à cause des bandages blancs entourant sa tête. Marchant sans bruit, Fred les repoussa, révélant la marque en forme d'éclair sanglante.
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Approchant sa main contournant prudemment le serpent et Crookshanks, il tapota fort son petit frère entre les yeux.
« Huh ? » dit Ron en se redressant, jetant ainsi Hermione sur le sol. La jeune fille cria et attrapa au passage la jambe de Harry, le sortant de son sommeil.
« C'est trop ! » George rigolait des escaliers, observant la confusion en face de lui. Son jumeau se figea de peur et de dégoût lorsque Chaos se glissa dans la manche de son pyjama. Lee sourit en voyant l'expression de Fred, adossé contre le mur et le laissant souffrir.
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« Vous êtes amis maintenant alors ? »
« Oui, tout va bien. » Harry sourit de bonheur, ses doigts se posant inconsciemment contre son bandage.
« Qu'est-ce qui est arrivé à ta tête ? » Akima sauta dans le fauteuil, s'installant à côté du garçon.
« Je suis tombé et je l'ai cogné au milieu de la nuit. Rien d'important. »
Le mensonge fut si fluide que Ron et Hermione furent surpris. Ils savaient que ce n'était pas sage de parler aux autres des rêves de Harry, ou de sa cicatrice, mais il n'avait même pas eut un moment d'hésitation !
« Et tu vas bien ? » demanda prudemment Fred, souriant alors que le garçon acquiesça. « Bien, il y a un match de Quidditch très bientôt, nous devons nous entraîner. »
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A la mention de Quidditch, les yeux de Ron s'illuminèrent, avec tous les problèmes de la nuit dernière, il n'avait rien dit à Harry. « Je suis le nouveau gardien ! »
« Quoi, depuis quand ? Pourquoi ne me l'as-tu pas dit ? »
« Je suppose que j'ai oublié, mais nous jouons contre Ravenclaw, et nous devons battre les Slytherin. »
« Pas de problème » leur dit en souriant Harry. « Nous avons trois Weasley, nous ne pouvons pas perdre ! » Des tactiques furent ainsi inventées. Les morceaux de papiers furent récupérés et des étincelles volèrent des bouts de baguettes alors que Fred et George discutaient de la stratégie. Levant les yeux au ciel, Katie tourna les talons et marcha vers le Dortoir. Elle ne se sentait jamais complètement à la maison en face de garçons portant des pyjamas ayant des nounours sur le devant.
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Angelina et les autres la suivirent vers la paix relative de leur chambre, où leurs préparations pour un Samedi paisible commencèrent. Hermione siffla une petite chanson alors qu'elle mettait ses robes, jetant les vieilles sur le côté. La peur était partie, Harry le dirait à Dumbledore, et tout irait bien. Elle le savait.
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Abruptement, les mots de Malfoy revinrent dans sa tête. Les accusions de meurtres résonnant clairement dans son esprit.
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Ridicule ! Cédric était au mauvais endroit, au mauvais moment. C'est tout. C'est triste que cela soit tombé sur lui, il avait vraiment été l'un des plus beaux garçons de l'école.
« C'est étrange combien ils ont changé. » disait Angelina. « Vous vous souvenez quand ils étaient des premières années, perdus et confus. »
« Et Harry était si petit à ce moment là ! Et si mignon. »
« Il est toujours mignon ! » dit Ginny en rigolant. « Il a juste un peu grandi, c'est tout. »
« Et puis il y a tes frères. » ajouta Katty. « Qui sont tous trop grands pour leur propre bien. »
« Spécialement Ron ! »
« Ces deux-là seront si beau en septième année ! » déclara Alicia, appliquant prudemment son maquillage.
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« De quoi parlez-vous ? » demanda Hermione, tournant son regard vers elles.
« Oh, comme si tu n'avait pas remarqué ! » dit Angelina en riant. « Eh oh, Ron est déjà bien plus musclé, et en ce qui concerne Harry… »
« Ces yeux. » la coupa Katie, levant les sien vers le plafond. « En parlant de ça, Akima est si chanceuse, les siens sont exactement pareils ! »
« Et toi et George alors ? » demanda Alicia. « Ne penses pas que je n'ai pas remarqué les regards langoureux que vous vous êtes envoyés au dernier entraînement. »
« Moi, c'est de elle dont tu devrais t'inquiéter ! » dit Katie en montrant Angelina, qui riait. « Elle et Fred s'esquivaient ensemble ! »
« Nous ne nous sommes pas esquivé, nous étions, et bien, nous étions en train de parler de plusieurs chose, c'est tout. »
« Mm Hmm, c'est ça. »
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Akima était assise sur son lit, regardant les rires traverser la pièce. Elle se demanda bizarrement si les garçons avaient ce genre de conversation…
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« Ahhh, Ronnykins a une petite amie. » le taquinait Fred, ce qui fit sourire Harry. Lui et Ron essayaient de maintenir le plus gros livre qu'ils avaient trouvé dans les airs, mais quelque chose sur la façon dont il montait et s'abaissait, suggérait que Ron le jetterait volontiers à ses frères.
« Vous vous êtes serrez dans vos bras, que c'est mignon ! » rajouta George, ses yeux emplie d'une lueur machiavélique.
« Attendez que Maman soit au courant ! »
« Et Bill et Charlie ! »
Lee secoua sa tête d'incrédulité, ces deux-là allait bientôt avoir leur monnaie dans… une seconde… Maintenant.
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Le gros livre traversa la pièce, et frappa la tête de Fred, puis rebondit sur le crâne de George, avant de retomber sur le sol.
« Ow ! »
« C'est pas juste ! »
« Si ça l'est. » dit Ron en ricanant, adossé contre le fauteuil alors qu'il était assis sur le sol. « En plus, je peux toujours parler à Maman de ton rendez vous de Minuit avec Angelina, Fred. »
George pausa son regard sur son jumeau, voyant son visage devenir aussi rouge que ses cheveux. « Hey, tu devais tout me dire ! »
« Et elle serait également fasciné de savoir à propos de Katie, George. »
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Lee éclata de rire, incapable de respirer. Chaos le regarda du sofa, surpris par la réaction du garçon.
« Oh fantastique ! Les faits et gestes des relations de tous les Weasley à Hogwarts ! »
« Pas tous. » dit Fred. « Il y a encore Ginny. »
« Oui, mais Ginny est un ange de quatrième année. » dit Lee entre deux rires.
« Je n'était pas angélique en ma quatrième année. » se souvint George. « Je ne pense pas d'ailleurs qu'un Weasley ait été un jour angélique ! »
« En plus, elle doit avoir des tonnes de petits amis. » commenta Harry, regardant avec intérêt la réaction qui prit place.
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Ron était devenu blanc, Fred rouge, et George était monté vers le dortoir des filles. Les cris qui s'en suivirent provoquèrent une hystérie chez Lee et Harry.
« Oh, très drôle. » dit George en réapparaissant, tenant une de ses joues. « Lorsque je t'attraperais, tu auras des cauchemars pendant des semaines ! »
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A la mention des cauchemars, la mémoire revint à Harry. Dumbledore. Il devait le lui dire, et le plus tôt serait le mieux. Se levant sur ses pieds, il assura aux autres qu'il verrait plus tard, et saisit au passage quelques vêtements secs. Il était toujours très tôt dans la matinée, mais il n'y avait aucun cours aujourd'hui sauf Botanique dans l'après-midi, il avait donc tout le temps qu'il voulait.
Lorsqu'il partit Fred, George, Ron et Lee se replongèrent dans la stratégie, et seul Ron leva les yeux pour lui souhaiter silencieusement bonne chance. La Fat Lady lui dit au revoir lorsqu'il passa, ses yeux le suivant jusqu'à ce qu'il soit hors de vue. « Ce petit garnement. Il me manquera quand il aura grandit. » dit Viola en pleurant vers le tableau d'à côté.
« Je sais. Et c'est mon droit. Je laisse le garçon Potter aller au lit la nuit, et sortir pour les cours le matin ! »
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Harry se dirigea vers la gargouille qui dissimulait l'entrée du bureau de Dumbledore. Cherchant dans son esprit, il trouva le mot de passe. Murmurant 'Cola bottles', il regarda ainsi la statue passer sur le côté et sauta sur l'escalier mouvant, essayant de calmer ses nerfs sur le chemin. C'était simplement Dumbledore, il n'y avait pas à s'inquiéter, rien à craindre… Les escaliers le déposèrent devant la porte, le laissant là. Alors qu'il levait son poing pour frapper, il sentit un frisson, comme s'il était observé. Prenant une profonde inspiration, il se ressaisit, tout irait bien, n'est ce pas ?
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LES CHRONIQUES DE DOD
Diane23 : nous allons retrouver tous nos fidèle la série contient plus de 100 chapitres (plus proche de 120), alors il y a le temps (ça c'est sûr).
Chen : le titre c'est « Harry Potter et le pouvoir de la trahison » que pourrait-il se passer dans la suite des événements qui mérite ce titre ? (beaucoup d'autres choses)
Tiffany : il fallait bien quelqu'un pour remplacer Snape et jusqu'à présent nous n'avions rencontré personnes de pire, il fallait changer ça. C'est de leur faute aussi, ils ne font que le ******** et puis après ils se plaignent, rraaaaah non mais........... (jamais content de toute façon)
Wynzar : le chapitre est venu plus tard, c'est selon le bon vouloir du traducteur je ne fais que subir (pas de commentaire). Parfois, il y a un grand décalage d'autres fois, on peut confondre avec d'autres fics, alors ne te flagelles pas d'avoir oublier.
