Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JKR ou à Bliss, sauf la traduction

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Chapitre 12

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Le doux novembre devint le glacial décembre, où les voix riantes des étudiants parcouraient l'air froid, les chapeaux en laine, et les gants devinrent courants et la promesse de Noël emplissait l'atmosphère. Défense contre les forces du Mal était le cours favoris, pas seulement à cause de l'attitude de Lupin, mais aussi à cause du grand feu qui réchauffait constamment la pièce. Potions était de loin le pire. Les cachots souterrains étaient glacés, et beaucoup de potions furent les victimes du 'syndrome du doigt engourdi', ou parfois c'était simplement Neville.

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C'était lors d'une de ces occasions que Sneerey perdit complètement le contrôle d'elle-même. « Miss Granger, est-ce que vous pensez vraiment que je ne peux pas vous voir aider Longbottom ? Je vous suggère de tenir votre langue. Et Mr Weasley, si je vois encore une de ses expressions… » Elle partie, la menace pendant dans les airs comme un orage.

Ron cligna des yeux de surprise et les yeux chauds de Hermione se figèrent comme le lac au dehors, la colère la faisant pâlir alors qu'elle jetait ses ingrédients dans le chaudron. Harry trembla lorsqu'elle fit tomber un flacon en verre, l'envoyant s'écraser sur le sol.

« TRES BIEN MISS GRANGER, MR WEASLEY, JE VOUS VERRAIS APRES LE COURS ! »

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Malfoy ricana, ses yeux dansant avec joie. Hermione et Ron envoyaient des dagues avec leurs yeux vers la maîtresse de Potions, et Harry fixait son livre en face de lui. A chaque seconde quelque chose pourrait voler et frapper Sneerey sur sa tête, il pouvait sentir la paire se préparer à soulever quelque chose avec leur esprit. Il leur prêta un peu de sa force, regardant le grand chaudron sur l'étagère se secouer légèrement. Plissant un peu plus les sourcils, il sourit, imaginant le visage de Sneerey, mais elle le desservait.

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« Est-ce que quelque chose ne va pas Potter ? » Ses yeux glissèrent pour rencontrer les siens, glacial et froid.

« Non, professeur. »

« Alors je vous suggère de vous concentrer ou vous rejoindrez vos amis Gryffindors. » Elle dit le mot Gryffindor comme si c'était du poison sur sa langue, le prononçant avec dégoût.

« Oui Professeur… »

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Alors que le cours approchait de la fin, Harry fit tourner sa tête sur ses épaules, sentant chaque petit os craquer de protestation. Il était resté si longtemps au dessus du chaudron, ses doigts étaient blancs et si engourdis qu'il se demanda si les sensations allaient revenir. Hermione et Ron discutaient entre eux, leur fureur à peine dissimulée.

 « Est-ce que vous voulez que je vous attende ? » demanda Harry, en rencontrant leur yeux et grimaçant avec sympathie.

« Non, ne t'inquiète pas, vas-y et assis-toi près du feu. » suggéra Hermione.

« Oui, j'ai remarqué ta toux ce matin, nous ne pouvons pas nous permettre que tu fasses une rechute de ce que tu as eut le mois dernier. Sneerey te tuerait. » Ron sourit gentiment, regardant son ami acquiescer et leur dire au revoir, disparaissant dans les escaliers. Sneerey les laissa seul,s déclarant que leur potion aurait intérêt à être finie dans dix minutes, où ils auraient des devoirs supplémentaires.

« Oh et bien, au moins, nous sommes en paix ! » les consola Hermione, glissant le Hasherop dans le chaudron.

« Mmm, et elle ne respire pas sur nos coups. Nous devrions vraiment nous entraîner à faire léviter plus de choses. Je veux être capable de jeter des trucs sur sa tête. » dit Ron en souriant malicieusement.

« Nous l'avons pratiquement fait avec le chaudron, mais Harry a perdu sa concentration. »

« Oui, mais si nous continuons, nous serons capables de soulever de grosses choses de façon individuelle. »

Hermione éclata à l'idée du bazar qu'ils pourraient engendrer, jetant un long regard vers son ami. Il se concentrait si durement sur le sang de corbeau, sa langue sortant sur le coin de sa bouche, ses yeux plissés alors qu'il mesurait avec exactitude.

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A son rire, il leva les yeux. « Quoi ? »

« Rien. » répondit-elle, secouant sa tête, se penchant pour ramasser quelque chose se trouvant sur le sol.

Ron la regarda avec un sourcil levé, se demandant quand elle avait grandi. La dernière fois qu'il l'avait vraiment regardé, elle était simplement une jeune fille avec des cheveux en batailles. Mais maintenant, elle était, mignonne, et avait sa propre façon de le montrer.

« Qu'est ce que tu regardes ? » demanda-t-elle, le sortant de ses rêves, et le regardant rougir légèrement.

« Rien, as-tu pratiquement fini ? »

« J'y suis presque. » Elle ajouta l'ingrédient final, regardant la solution devenir indigo et bouillant. « Voilà. »

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Posant les ingrédients sur le côté, elle se reposa sur le bureau, ses sourcils plissés de réflexion. « Qu'est-ce que Harry fait en ce moment à ton avis ? »

« Manger, ou dormir. C'est tout ce qu'il fait ! »

« C'est exagéré ! » s'exclama Hermione, éclatant de rire alors que Ron souriait, ses yeux dansant.

« Pas autant ! » Il regarda sa potion, puis grimaça devant la sienne. « Comment tu as obtenu la bonne couleur ? »

« Par chance je suppose. » Elle se figea alors qu'il regardait par-dessus son épaule, ses yeux passant de la potion à son visage.

« Oui, bien sûr, tu dois avoir un secret, allez dis-moi ! Jen ai besoin ou je vais échouer à mes OWLs.

« Il n'y a pas de secret, honnêtement ! » elle sourit, se demandant pourquoi elle manquait de souffle. Mon dieu, elle l'avait connu depuis des années…

Ron soupira, contournant le dos de Hermione et attrapant un flacon vide, souriant légèrement lorsqu'elle recula.

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« Je déteste interrompre cette scène si touchante. » dit une voix froide de la porte. « Mais le temps est écoulé. »

Ron et Hermione se séparèrent, rougissant sous le regard de Sneerey. Elle marchait vers eux, son visage dur. Elle fixa les deux potions, les reniflant. « Très bien, si bonne en fait que je me demande si vous n'avez pas eut un peu d'aide, sûrement de vos alliés Gryffindors. »

« Qu'est-ce que vous dites ? » cria Hermione, perdant son tempérament sur ses accusations.

« Vous ne prendrez pas ce ton avec moi ! » siffla Sneerey. « Filch a besoin d'aide. Je lui proposerai vos services. »

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Ron retint sa respiration, attrapant la main de Hermione, l'obligeant à le suivre vers la direction du doigt de Sneerey. « Shhhh. Ne dis rien, cela la rendra plus folle. Allons faire la détention, nous pourrons nous plaindre de Sneerey. » Ron sourit essayant de calmer le tempérament de son amie alors qu'il frappait à la porte du gardien.

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« Quoi ? » répondit une voix à l'intérieur, avec son tempérament habituel. La porte s'ouvrit et deux petits yeux fixèrent la paire.

« Vous deux. » Les mots formaient un grondement, plein de rage à cause du souvenir de sa chatte pétrifier, des pas pleins de boue, et du bazar issu des farces. « Vous avez eut ce que vous méritiez n'est ce pas ? »

Le silence qui suivit était empli de colère de dégoût mutuel avant que Filch ne craque. « Très bien, Toi. » dit-il en pointant Ron, et montra l'extérieur dans la nuit froide. « Vas là-bas, prends un sceau et un balai, et reviens une fois que tu as nettoyé le sol de la Salle d'entrée. »

Ron fixa le marbre, essayant de ne pas penser au temps que cela lui prendrait.

« Et toi. » dit Filch en reniflant à Hermione, lui tendant un torchon. « Je veux que chaque armure ici soit polie et brillante. Est-ce que vous comprenez ? »

« Oui. » l'assura Ron avant que Hermione ne puisse ouvrir sa bouche.

Filch sourit et ferma la porte en la claquant, les laissant se regarder avec incrédulité.

« Chaque armure ? Je mourrais en les nettoyant ! » se plaignit Hermione.

« Et bien, nous ferions mieux de commencer, je serais de retour dans une minutes, et résistes. » Il sourit regardant son crâne. « Si le pire arrive, nous pouvons demander de l'aide à Harry. »

Elle sourit, commençant à travailler, sur l'armure alors que Ron sortait rapidement dehors, soupirant alors qu'une minuscule voix riait à l'intérieur de sa tête. Cela allait être une longue soirée.

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Fred et George regardaient Harry écrire son nom sur un morceau de parchemin sans toucher la plume. Il s'était installé en face du feu, ses devoirs faits, et très reposé.

« Je ne sais pas pourquoi on vous enseigne ça et pas à nous. » grogna George, pensant à tout le fun qu'ils auraient pu avoir s'ils savaient faire ça.

« On ne nous l'a pas vraiment enseigné. On a simplement découvert qu'on pouvait le faire. »

« Oui et bien, tu es toujours un enfant bizarre. » Fred sourit, ébouriffant les cheveux de Harry et éclatant de rire à sa complainte.

« Arrête, ils sont assez en bataille comme ça ! »

« Oh oui, et qui essaye tu d'impressionner ? » demanda George. « La magnifique Cho Chang ? »

 « Ou quelqu'un d'autres ? » demanda Fred. « Tu n'as pas dit grand-chose à propos de filles dernièrement. »

Harry soupira, laissant la plume tomber sur le sol. « C'est parce que je n'ai personne de particulier en ce moment. »

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Angelina leva les yeux de son devoir d'Histoire de la Magie, un froncement de sourcils sur son visage. « Mais tu t'occupais de Cho avant le match, je t'ai vu vérifier si elle allait bien. »

« Oui, de manière amicale. » fit remarquer Harry. « Je fais ça pour vous ou n'importe qui. »

Katie était sur le point de dire quelque chose lorsque les sons d'une dispute derrière le tableau d'entrée se firent entendre.

« Qui c'est ? » articula-t-elle regardant les autres avec confusion.

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Harry s'approcha, ouvrant légèrement le portrait pour regarder la scène. Akima se tenait sur le passage au dehors, sa silhouette tremblant d'une rage contenue et de misère. Ses yeux verts brillant de larmes. Il pouvait entendre clairement le ton moqueur de Malfoy.

« Tu ne sais même pas qui ou ce que tes parents étaient. C'est pire que d'être un sang de bourbe. Tu n'es personne, rien. Exactement comme Potter. Une ordure. »

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Harry ouvrit le passage, sortant dans le couloir et se plaçant derrière Draco. Le tapotant sur l'épaule, il serra ses dents formant pour former un sourire, s'amusant en voyant le sang partir du visage du garçon.

« Si j'étais une ordure Draco, alors qu'est-ce que tu es ? Ton père est un Death-Eater, et tu es un menteur, un tricheur et tu es le dernier des minables. Tu ne peux même pas m'insulter moi ou Akima. »

« Oh vraiment, l'écorché ? » Draco se rapprocha de Harry, leurs nez se touchant pratiquement et sa voix reniflant. « Tes parents ont fuit comme des trouillard pour échapper au Seigneur des Ténèbres, ils ont continué de courir et se sont terrés comme des rats, comme la vermine qu'ils sont. »

« Tu ne sais pas de quoi tu parles ! »

« Je vais te faire part d'un petit secret. » Draco se rapprocha de Harry, lui chuchotant avec un triomphe malicieux. « Mon père était là, il me l'a dit. Il les a vu mourir avec satisfaction. Ils ont crié de douleur, mais tu le savais, n'est-ce pas ? Une chose que tu ne savais pas, les secondes avant qu'ils meurent, ils ont promis de te donner au Seigneur des Ténèbres. Tu es à lui. Tu lui appartiens. Une promesse d'un mourrant, fait par ta propre mère. Elle devait vraiment te détester Potter… »

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Harry sentit le feu et la glace se mélanger dans son sang. Draco devait mentir, c'était une limace, il ne méritait pas de vivre, mais quelque chose à propos de son sourire sur son visage le faisait douter.

« Tu mourras Potter, le suppliant de pitié, exactement comme tes parents, ainsi que ta petite sang de bourbe, et je serais là, en train de regarder. »

Harry renifla de rage, un picotement parcourut son bras alors que son poing rencontrait la mâchoire de Draco la faisant ainsi craquer. Malfoy recula, se maintenant contre la balustrade de l'escalier, incapable de croire qu'il l'avait frappé. Akima avait crié et couvert ses yeux, cachant ses larmes et sa peur.

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Harry marcha vers Draco, se rapprochant et grondant. « Dis ce que tu veux sur moi, mais si tu insultes ou blesses Akima d'une façon ou d'une autre, je te tuerais, est-ce que tu comprend ? »

Il n'attendit même pas la réponse et se retourna, se penchant à côté de la jeune fille. « Allez Akima, tout va bien. Retournons dans la salle commune. »

Elle acquiesça, remarquant que ses articulations commençaient à bleuir et à saigner, mais pas comme la rougeur sur la mâchoire de Draco. Ouvrant le tableau, elle entra, regardant Harry envoyer un regard final de colère à son ennemi avant de la suivre à l'intérieur.

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Fred et Georges le regardaient avec incrédulité et choc. Ils avaient tout vu, incapable de résister à la vue offerte par l'entrée partiellement ouverte. « Rappelle-moi de ne pas t'énerver. » Fred avait la bouche ouverte, puis il sourit. « Malfoy a finalement eut ce qui lui pendait au dessus de la tête ! »

« Il était temps ! Si tu ne l'avais pas fait Harry, je l'aurais fait. Saleté de Serpent. » George regarda Katie étreindre Akima, écoutant son histoire.

« Akima, s'il t'importune encore, parles-en à l'un d'entre nous. Aucun Slytherin ne rabaissera un Gryff. » déclara Alicia, son propre visage blanc en essayant d'atténuer sa colère.

« Qu'est-ce qu'il t'as dit Harry ? » demanda Angelina, remarquant son silence.

« La même chose que d'habitude. » répondit-il, frottant ses articulations, cet idiot de Malfoy avait un solide menton.

« En es-tu sûr ? » demanda Lee qui était adossé contre le mur. Il pensait qu'il avait entendu ce que Malfoy avait dit, mais n'osait pas le répéter.

« Positif, il n'y a pas à s'inquiéter. Je vais juste laver ça. Je ne veux pas attraper de microbe à cause de lui. » Harry sourit faiblement, disparaissant dans les escaliers menant au Dortoir. Derrière lui, les autres avaient tous un regard concerné, mais ils décidèrent de le laisser en paix, se tournant à la place vers Akima, il y avait des blessures qu'on pouvait encore soigner.

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Harry s'assit sur son lit fixant vaguement la fenêtre. La serviette trempée qu'il avait posé auparavant sur ses articulations pendait sans bouger dans les airs alors qu'il regardait la lune montrer son visage souriant à l'horizon. Des questions parcouraient son esprit, explosant comme des supernovas, le faisant trembler de peur et d'incrédulité. Ce que Malfoy avait dit ne pouvait pas être vrai. Quelqu'un le lui aurait dit. Il faisait assez confiance à ses parents pour savoir qu'ils ne feraient jamais ce genre de choses. Ils ne pouvaient pas accepter les demandes de Voldemort, ils n'auraient pas permis qu'il devienne une possession du Seigneur des Ténèbres. N'est ce pas ?

« NON ! »

Ce simple refus parcourut la pièce, le faisant mordre sa lèvre pour essayer de le rappeler. Malfoy était un menteur, il l'avait dit lui-même. Le garçon ferait tout pour blesser ceux qu'il détestait, ferait tout pour montrer qu'il était supérieur. Peu importe ce que Draco disait, Harry savait qu'il ne le croirait jamais. Il ne pouvait pas se permettre d'avoir des doutes, pas maintenant.

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Se levant lentement, il alla vers l'évier, envoyant un peu d'eau sur son visage pour éclairer son esprit. S'il écoutait avec attention, il entendrait les bruits de Hogwarts. Fang aboyant dans la hutte de Hagrid, le doux murmure de voix en bas des escaliers, les bruits de choses tombant, qui montrait que Peeves recommençait. Même les hululements des hiboux ne dérangeaient pas le velours de la nuit. C'était si silencieux qu'il pouvait entendre un flocon de neige tomber. C'était ce silence qui lui disait que quelque chose n'allait pas.

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Regardant par-dessus la fenêtre, il fixa l'extérieur, ne voyant rien hors de l'ordinaire. Mais il y avait un problème, une horrible absence de bruit. Penchant sa tête d'un côté, il entendit soudainement le bruit de voix rapides. Descendant les escaliers, il vit Hermione, avec les yeux agrandis et alarmé.

« Herm, qu'est ce qu'il y a ? »

« Est-ce que tu as vu Ron ? »

« Non, pas depuis le cours de Potions, Pourquoi ? »

« Filch l'a envoyer dehors pour un balais et un sceau il y a deux heures, et il n'est pas revenu ! »

« Il est probablement en train de se balader. »

« Mais où ? J'ai regardé partout, ainsi qu'aux cuisines. Harry, il n'est vraiment pas là ! » Sa voix était devenue hystérique lorsqu'elle prononça ces derniers mots, sa respiration s'accéléra légèrement.

« Hermione calme-toi, allez, nous le trouverons. » l'assura Harry. « Je vais chercher dehors. Fred et Georges, vous vérifier les cuisines et la grande Salle. Ceux qui restent regardent dans les autres endroits. Il doit être quelque part. » Le groupe se dispersa dans Hogwarts, suivant les ordres sans aucune question. Chaque âme, cherchant de haut en bas, inconscient des horreurs qui s'étaient déroulées il y a deux heures.

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Harry se dépêcha de sortir, scannant le terrain devant lui. Il pouvait voir la forme du hangar grâce à la lumière provenant de la hutte de Hagrid, avançant vers elle, il fixa le sol. Des mottes avaient été arrachées à la pelouse et des traces de boue se dirigeaient vers la forêt, comme si quelqu'un s'était battu contre quelque chose. Quelque chose qui le tirait… Son pied frappa quelque chose sur la terre froide, ses yeux se posant sur la forme d'une baguette, ne bougeant pas et silencieuse. Il n'eut pas à la soulever pour savoir que c'était celle de Ron, ce n'était pas un cas où son ami évitait une détention. Quelque chose était arrivée, quelque chose de sérieux.

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Cela lui prit quelques secondes pour ramasser la baguette et se dépêcher de rentrer, rencontrant les autres dans l'entrée. « Quelque chose est arrivé, je pense que quelque chose de la forêt l'a attrapé. » Aussitôt que les mots sortirent, il souhaita ne pas les avoir prononcés. Ginny et Hermione était devenu mortellement blanche, et Fred et George étaient devenus fous.

« Quoi ? »

« Je ne comprends pas, il était loin de la forêt ! »

« Qu'est ce que c'est ? »

« Comment le sais tu ? »

« Qu'allons nous faire ? »

Harry inspira, essayant de calmer ses nerfs. « Allons le dire à Dumbledore. Il doit savoir, et il saura quoi faire.

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Comme un corps, le groupe se dirigea vers la gargouille bloquant l'entrée. La faisant se déplacer en murmurant un mot, il n'attendit pas que les escaliers le monte. A la place, il fonça, entrant par la porte de bureau et s'arrêtant.

« Professeur, venez rapidement ! »

« Quelque chose est arrivé ! »

« C'est Ron, il, il a … »

« Disparu ! »

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Le professeur examina le groupe devant lui, voyant de la peur. Levant ses mains, il regarda Harry, disant calmement. « Commencez au début. »

« Hermione et Ron ont eut une détention de Sneerey… »

« Filch a demandé à Ron d'aller dehors pour prendre un sceau et un balai. » l'interrompit Hermione, manquant encore un peu de souffle.

« Oui, c'était il y a deux heures. Nous l'avons cherché, et il n'est nulle part dans le château, mais nous avons trouvé sa baguette dehors. »

Harry plaça la baguette sur le bureau. « Et il semblerait que quelque chose l'ait tiré dans la forêt. Il y avait des traces sur le sol montrant qu'il y a eut une sorte de combat. »

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Dumbledore était devenu pâle, ne doutant pas des mots du garçon. Il se leva brusquement, traversant la pièce et tapant sur un petit écran. Le visage confus de McGonagall apparut. « Minerva, rassemble les professeurs et dirigez-vous dans la forêt, ça a commencé. Cherchez Ron Weasley. »

Le professeur acquiesça, son visage devenu blanc. « Oui, Directeur. » Ils eurent l'impression qu'elle donnait des ordres aux gens autour d'elle alors que l'écran s'assombrissait.

« Que faisons-nous ? » demanda Fred, son visage concerné mais sa voix montrant qu'il était prêt à aider.

« Aussi dur que cela puisse être, vous devez retourner dans la salle commune et attendre. Peu importe ce que vous faites, mais ne vous en occupez pas. Nous trouverons Ron, mais si vous décidez de faire une mission de sauvetage, cela ne ferait qu'empirer les choses. »

« Mais… »

« Non, George, j'insiste. Je dois le dire à vos parents. »

« Mon dieu… » grogna Fred. « Maman va nous tuer ! »

« J'en doute. » Dit Dumbledore essayant de les rassurer, et les poussant vers les escalier et les voyant retourner vers la salle commune. Ils s'installèrent près du feu, pâle et anxieux, trop choqués pour réagir.

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Secouant sa tête il détourna ses yeux, furieux contre lui-même. Comment avait-il pu autant sous estimé Voldemort ? Il n'y avait aucun doute dans son esprit que le Seigneur des Ténèbres étaient à blâmer. Il avait une seule chose à l'esprit, atteindre Harry, détruire le garçon qui a survécu.

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Le Seigneur ne ferait plus de victimes, pas dans cette vie. Trop avait souffert.

Ron Weasley devait être trouvé, à n'importe quel prix, avant qu'il ne soit trop tard !

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LES CHRONIQUES DE DOD

Si certaines personnes veulent êtres mises au courant lorsqu'un chapitre est mis en ligne, il suffit de reviewer et d'en faire la demande.

Chen : moi aussi je passe trop de temps devant. Elle est prévue pour dans moins d'un chapitre.

Miya Black : qu'ajouter d'autres ?

Tolède : tu as trouvé la bonne réponse parmi toutes celles que tu as cité. Nous avons un Riri tourmenté, c'est normal, c'est nécessaire pour la suite (et il l'est beaucoup).

Wynzar : ce n'est rien. Il nous arrive parfois avec Leena de s'envoyer une cinquantaine de mails si c'est pas plus par soir pour le chapitre alors un de plus ou un de moins il n'y avait pas de différence (faut dire qu'elle m'en envoie autant).

Lunenoire: les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Tout peut différer d'un point de vue à un autre. Ce serait plutôt, pour moi, être pelotonné dans mon lit sous ma couette avec mon nounours et une grosse pile de bouquins. Et toi, Leena? (moi j'aime l'idée de Lunenoire faut dire que j'ai un matou qui ronronne tout le temps et est en permanence sur mes genoux, et j'ai plein de livres à lire, alors devant une cheminée c'est le luxe, la tasse de chocolat en supplément)