Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JKR ou à Bliss sauf la traduction

Ahhh vous allez l'aimer ce chapitre ^_^

WARNING : nous allons voir quelqu'un dont nous attendions impatiemment la venue. Youpala youpie

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Chapitre 18

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Harry ouvrit prudemment ses yeux, desserrant la grippe qu'il avait sur la forme d'Akima alors qu'il regardait les alentours. La pluie les trempait, se déversant avec une incroyable persistance sur la chaussée.

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Diagon Alley était silencieux le jour de Noël. Toutes les boutiques étaient fermées, mais il y avait un air d'espérance, comme si les bâtiments semblaient attendre quelque chose. Reculant sous le toit de la boutique la plus proche, il tira Akima après lui, desserrant sa grippe sur le pendentif et le fixant.

« Qu'est-ce que c'est ? » demanda-t-elle, touchant chaque bout de l'étoile.

« Je ne sais pas, je ne sais pas non plus pourquoi nous sommes là. Que se passe-t-il ? »

La jeune fille leva les yeux vers le visage de l'adolescent, voyant quelque chose qu'il ne pouvait pas. « Ta cicatrice. »

« Qu'est ce qu'elle a ? » Harry leva automatiquement une main vers son front, redoutant la chaleur du sang.

« Elle brille. »

Harry sentit quelque chose sur le bout de ses doigts et les retira, fixant la poussière argentée qui se trouvait sur sa peau.

« Je ne pense pas que tout est ce qu'il semble, nous devons être prudent. » l'avertit-il sentant la tension étirer ses muscles et la pluie tombée sur son dos.

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Akima était sur le point de répondre quant des cris de colère et des bruits de pas la firent se retourner, serrant inconsciemment la main de Harry alors qu'une silhouette dans une robe tourna un coin. Elle passa la cape autour d'elle, couvrant sa silhouette, ne laissant que ses yeux de libre pour regarder l'évènement se dérouler.

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La personne qui courrait était blessée, Harry pouvait le dire de son membre qui boitait. Ils étaient terrifiés. L'eau semblait se séparer autour d'eux, évitant de toucher le fugitif. Il rentra dans une allée transversale, disparaissant dans les ténèbres alors que trois silhouettes lentes entraient dans la rue.

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Akima avala nerveusement alors qu'elle reconnaît la peur et la douleur. Deux d'entres elles étaient complètement couverte, de la tête aux pieds, deux spectres. La troisième gardait ses distances par rapport au couple, comme si elle était repoussée par elles. Le noir de ses robes faisait contraste avec le blanc de son masque qui cachait ses traits de la réalité. Dans sa main se trouvait une baguette, brillant d'un rouge de colère et étincelant doucement. Les petits éclairs éclairaient le ciel, chassant le vent, jouant comme des chatons avant d'être engouffré par les mâchoires de la nuit.

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Harry paniquait. Deux Dementors et un Death-Eater. Si lui et la fille restaient là, le serviteur du Seigneur des Ténèbres les dépasserait mais les Dementors pouvaient sentir leurs forces de vie et ils les chasseraient. S'il utilisait « Expecto Patronum. » Leur couverture serait découverte et ils devraient faire face au Death-Eater.

'Mais c'est mieux de cette façon. En plus, plus les Dementors se rapproche, moins tu es rationnel.' Affirma la voix décisive. Sa baguette était déjà remontée alors qu'il préparait un souvenir heureux.

« Lorsque je te le dis, tu cours, d'accord ? »

« Pourquoi, Qu'est ce que tu vas faire Harry ? »

« Me débarrasser de ces monstres, mais tu dois être en sécurité. Prends la cape et cours. Maintenant. »

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Alors qu'elle fonçait, il prononça les mots du sortilège, regardant la silhouette argentée de Prongs sortir du bout de sa baguette, et galoper pour charger les Dementors avant de disparaître dans les airs. Harry le regarda partir, se sentant heureux sans le reste de sentiments. Il souhaitait que le cerf reste, seulement pour lui parler. C'était une balise de lumière dans cet environnement.

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Le Death-Eater s'était arrêté, les yeux derrière son masque brillant follement, l'esprit derrière ses yeux heureux. Le garçon Potter était là, en chair, et si vulnérable. Il était sans les protections d'Hogwarts, sans la présence de Dumbledore, sans la nuisance de spectateur.

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Il leva sa main, saisissant son masque et le retirant.

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Harry fixa le visage de Malfoy, se demandant comment il ne l'avait pas vu avant. Le visage de l'homme avait un sourire froid et maléfique, et lorsqu'il l'avait vu pour la dernière fois, pendant l'été, le mal avait été là. Mais cela avait été bref, changeant alors que de véritables émotions se montraient, lorsque son instinct prenait le dessus et que toute rationalité était perdue.

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 Maintenant il n'y avait aucune santé mentale. Le visage de Malfoy avait un sourire, le genre de sourire que l'on voyait souvent sur un crocodile, juste avant la morsure. Les yeux bleus avaient une étrange lumière, comme si l'âme avait été retirée du corps et que quelque chose sans cœur et froid avait emplie l'espace. L'eau de la pluie traçait ses joues pâles,  courant comme de l'argent en fusion alors que la mâchoire de Lucius se serrait, accentuant le sourire.

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Alors qu'il avançait d'un pas vers Harry, lui reculait, effrayé inexplicablement par le regard qu'il lui envoyait. Aucune persuasion n'arrêterait l'homme. Il espérait être le plus glorieux serviteur le plus prisé des Death-Eater, et ce ticket se tenait devant lui maintenant. Il vit la baguette se lever, prête à fonctionner, voyant les syllabes se former sur les minuscules lèvres de Malfoy, voyant la colère et la haine alors que la furie y répondait. Levant sa baguette, Harry répondit, mais tout ce qui s'échappa de ses lèvres fut un sifflement de douleur.

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Sa baguette tomba sur le sol alors que le feu faisait rage sur la paume de Harry, sa peau criant d'agonie. Lucius ne fit que sourire, voyant sa chance et la prenant.

« Avada Kedavra ! »

La lumière verte sortit alors que Harry levait sa main, essayant de se protéger de la mort. Quelque chose sur sa paume réagit. La furie dans son cœur parcourant ses veines, sortant par son bras.

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Un cri de douleur fit ouvrir les yeux du garçon, fixant les rayons dorés qui sortaient de sa paume, faisant éclater le sortilège, dissipant sa furie et son pouvoir à rien. De la lumière se dirigea vers le Death-Eater, le frappant avec des éclats de colère, le faisant crier et pleurer.

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« Pitié ! »

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Le mot était suspendu dans les airs, flottant comme un fantôme, sortant de la gorge du mal devant lui. Harry serra son poing, tremblant de la tête aux pieds. Il ne comprenait pas ce qui s'était passé. On lui avait toujours dit que le sortilège de la mort ne pouvait pas être arrêté, mais il était encore en vie. Le Death-Eater était agenouillé, son visage entre ses mains alors qu'il se mit en colère, les mots qu'il forma étaient à peine audibles.

« Toi, Potter, tu n'es pas ce que tu sembles être. » Des yeux bleus rencontrèrent des verts alors que Malfoy se remettait sur ses pieds, plaçant sa baguette au dessus de sa tête.

« Tu m'as peut-être battu, mais tout le pouvoir du monde ne peut pas battre mon Maître. Ce qui t'a si bien protégé disparaîtra et à ce moment-là tu mourras. »

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Malfoy éclata de rire puis disparut, l'air sentant son absence alors que la nuit l'avait avalé.

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Harry était confus et choqué. Il se pencha pour ramasser sa baguette, la tenant dans sa main gauche alors qu'il fixait sa main droite. Le cercle avec la croix  était de retour, brillant sur sa chair.

Devant ses yeux, il disparut, s'effaçant alors qu'il était perplexe sur son rôle. Que s'était-il passé ?

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Il avait détruit deux Dementors, réalisé combien Malfoy était mauvais, s'était senti brûlé, avait paniqué, on lui avait envoyé le pire des sortilèges, et il l'avait arrêté.

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C'était dur à croire. Il avait arrêté ce qui ne le pouvait pas. Il avait vu le choc sur le visage du Death-Eater, voyant la douleur alors que la lumière l'avait puni, il ne comprenait simplement pas comment. Pourquoi les choses n'étaient jamais simples ?

Se retournant, il parcouru des yeux la rue vide, ses doigts massant sa paume doucement alors qu'il cherchait Akima. Cela ne lui prit pas longtemps pour la trouver, dans une allée transversale, ses cheveux noirs hérissés et trempés. Elle était agenouillée à côté d'une silhouette sur le sol mouillé. Ses gentilles mains essayait de le réveiller, mais sans résultat.

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Alors qu'il se rapprochait, il remarqua les cheveux noirs et gras familier. Le visage blafard maintenant détendu par l'inconscience, pâle et contrastant avec ses robes déchirées. Severus Snape.

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« Il ne veut pas se réveiller. » dit faiblement Akima, ses mains ne bougeant plus, serrant les robes du Professeur.

« Et bien il est en vie. » lui dit Harry, regardant la poitrine de Snape monter et descendre. « Il est simplement un peu blessé. ». Il avait essayé de ne pas se montrer trop sympathique. Après tout, c'était Severus Snape, le Maître de Potions le plus détesté, avec l'exception du Professeur Sneerey. Snape avait été sur une mission pour Dumbledore, et il semblait que, peu importe ce que cela avait été, elle avait mal tourné.

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« Nous avons besoin de rentrer rapidement à Hogwarts. » décida-il. « Je me demande comment on peut faire marcher cette chose ? » Il tapota le pendentif, qui pendait autour de son cou sur la chaîne. Les pierreries brillèrent légèrement mais il n'y eut pas de changement. Diagon Alley resta solide et trempé autour d'eux.

« Laisses-moi regarder. » Lorsque Akima toucha son poignet, la pierre dorée brilla, l'étoile tourna difficilement, comme si deux voyages comme ça en un jour n'avait jamais eut lieu.

Harry ferma ses yeux, attendant que la sensation le reprenne, se préparant à être transporté là où le pendentif le voulait…

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Tout ce qui arriva fut un 'ping'.

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« Cela n'a pas marché. » cria Akima, le tirant et le serrant alors qu'elle regardait impatiemment le mécanisme.

« Tu m'étrangles ! »

« Désolé. » Elle le relâcha, le fixant avec irritation, puis soupira et dit « C'est la rentrée demain, on peut toujours prendre le Hogwarts Express. »

« Je ne pense pas qu'on devrait rester là aussi longtemps. J'ai l'impression que le Death-Eater sera bientôt de retour, et avec des amis. » répondit Harry, fixant Snape. « Peut-être que nous devons être sur le même lieu de notre arrivé. »

« Superbe. » murmura Akima.

« Cela vaut le coup, allez, aides-moi à le soulever. »

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Ensemble, ils réussirent à traîner Snape (pas très gentiment) là où ils étaient arrivés. Alors qu'il se rapprochait, le pendentif commença à siffler, comme s'il se chargeait.

Posant Snape sur le sol, Harry attrapa le pendentif, le sentant se tordre sur sa peau. Akima le tint avec une main, et les robes de Snape de l'autre. Cela devait marcher. Elle espérait simplement qu'ils finiraient à Hogwarts et pas ailleurs.

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Les formes de l'allée se tordirent et dansèrent, soudainement liquéfié alors que la réalité disparaissait une nouvelle fois. Tout semblait partir, disparaître en un éclat de lumière.

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Peu importe où ils atterriraient, cela serait mieux qu'ici. Ils l'espéraient.

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Arabella jetait des choses dans le feu, regardant les flammes les désintégrer.

« Es-tu sûr que c'est une bonne idée ? » demanda Gus d'une des chaises, attendant l'explosion inévitable qui détruirait le bureau de Dumbledore.

« Nous devons trouver où ils sont partis ! C'est de ta faute si nous les avons perdu en premier lieu ! » cria-t-elle, levant sa main vers lui, lui jetant un sortilège, qui le manqua et disparut.

« Et bien, cela n'avait jamais marché auparavant, je pensais que c'était juste une camelote. » se plaignit le jeune homme, levant les yeux alors que Sirius marcha à côté d'elle, glissant quelque chose dans son verre, ses yeux fatigués et anxieux.

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« Qu'est-ce que c'est ? » demanda Arabella, attrapant le verre de cristal et tournant son contenue.

« Du brandy, mais ne le jettes pas… »

« Reculez ! » cria la sorcière, jetant le cristal dans les flammes, les regardant sauter et gronder. Du pourpre contre du bleu alors que chacun se dissimulait derrière les boucliers qu'ils avaient choisis. Lupin et McGonagall se levèrent, se nettoyant sous le gentil sourire de Dumbledore. Le vieux sorcier se plaça à côté d'Arabella, la regardant, alors que les flammes grandissaient, non perturbé par la petite explosion.

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« Montres Moi La Vérité. » commanda Arabella, regardant les flammes se modifier, obéissant à ses instructions. Une lumière, aussi brillante qu'une larme, tomba dans les flammes, la fumée formant un point d'interrogation. « Qu'est-ce que cela signifie ? » demanda Sirius.

« Cela signifie qu'ils ne peuvent être trouvé. » répondit Lupin, penchant sa tête sur le côté, il y avait quelque chose d'à peine audible, un cri de surprise peut être, ou de douleur.

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Le sneakoscope sur le bureau de Dumbledore revint à la vie, tournant et faisant du bruit. Gus se retourna pour le regarder, et cligna des yeux alors qu'une main l'atteignait pour l'arrêter.

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Les flammes changèrent légèrement, une image commençant à se former. « Elles savent où ils sont. Vite, donne moi des racines de Vita ! »

« Je ne penses pas que c'est ce dont nous avons besoin, ils sont ici. » dit Gus faiblement, regardant les deux enfants se tenant à côté du bureau de Dumbledore, se retenant contre lui. Ils semblaient légèrement épuisés et malades, comme s'ils en avaient trop vu pendant une nuit. Ils se tenaient là complètement trempés, de l'eau tombant de leurs robes. La cape d'invisibilité serrée par Akima comme un bouclier donnait un effet étrange, cela ne couvrait pas sa silhouette mais elle était accrochée autour de ses épaules, et donnait à la scène une étrange apparence. A côté d'eux, se trouvait la forme inconsciente de Severus Snape.

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« Où étiez-vous ? » gronda Sirius qui fixait son filleul, ne remarquant pas Akima qui avait reculer de lui vers Harry.

Harry soupira, massant ses tempes. « Diagon Alley. »

Dumbledore acquiesça, levant une main pour arrêter le flot de question dont les enfants étaient sur le point d'être les victimes.

« Je pense que le plus jeune membre du groupe devrait aller au lit. » Il sourit vers Akima. « Tu sembles très, très fatiguée. Professeur McGonagall, pouvez-vous la ramener à la salle commune ? »

« Bien sûr. » Minerva sourit, murmurant à Arabella. « Tu me raconteras plus tard. »

« Je le ferai. »

« Mais je ne veux pas partir ! Je veux rester là ! » Akima fixa les adultes, essayant d'étouffer un bâillement.

« Je sais que tu le veux, mais vraiment, tu devrais dormir Kim. » souffla Harry. « En plus, j'ai besoin que tu dises à Ron et Herm où nous étions d'accord ? »

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Elle le regarda, sachant qu'elle avait été légèrement roulée, mais soupira pour montrer qu'elle acceptait, retirant la cape d'invisibilité de ses épaules et la lui tendant. « Tu devras me dire ce qui s'est passé. Je mérite de le savoir. »

Harry sourit, l'assurant qu'il le ferait alors qu'elle suivit le Professeur McGonagall. Il entendit la question pratiquement inaudible « Pourquoi Sirius Black est-il là ? » avant que la porte se ferme derrière elle.

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« Très bien, Harry, commences au début. » lui demanda Albus, s'installant dans un fauteuil alors que le garçon expliquait ce qui s'était passé avec le pendentif, son étrange comportement. Sirius Black souleva ses sourcils alors qu'il parlait des Dementors et du Death-Eater, mais sa surprise ne fut rien à côté de celle de Gus lorsqu'il décrivit ce qui était arrivé lorsqu'il avait été attaqué.

« Mais le sortilège est impossible à arrêter, rien au monde n'a le pouvoir de faire ce que tu as décrit ! »

« Tu as dit que la lumière venait de ta main ? » murmura Dumbledore. « Puis-je voir ? »

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Avec obéissance, Harry lui offrit sa paume, regardant les autres se resserrer autour de lui, et examinant la peau non marquée. La marque avait complètement disparue, rien ne montrait qu'elle avait existé. Dumbledore secoua sa tête, semblant en colère. Harry ne pouvait simplement pas dire envers qui.

« Est-ce que tu as vu le visage du Death-Eater ? »

« Oui, c'était Lucius Malfoy. »

« En es-tu sûr ? » demanda faiblement Lupin alors que Arabella examinait Snape.

« Sûr, lui et deux Dementors étaient après Snape, peu importe ce qu'il faisait, il a été découvert. »

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Dumbledore s'installa à son bureau, regardant l'adolescent. Il avait grandit, trop rapidement. Il était plus impliqué dans tous ça que n'importe qui, et il méritait de savoir. « Snape a essayé d'infiltrer le réseau de Death-Eaters de Voldemort, ainsi que de me donner des informations sur son emplacement. Il a réussi il y a quelques semaines, mais il semble que le Seigneur des Ténèbres est plus astucieux que je ne l'avais supposé. »

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Dumbledore eut un petit sourire, souhaitant que quelqu'un d'autre puisse voir ce qu'il pouvait. Harry acquiesça de compréhension, alors que Sirius paraissait en colère et fier. Lupin les regardait tous les deux, en réfléchissant, comme s'il essayait de comprendre quelque chose, quelque chose qui l'avait ennuyé depuis un bon moment.

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Harry était en train de regarder Arabella, avec confusion. Il ne l'avait jamais vu avant dans sa vie, il en était sûr. Mais il y avait quelque chose sur elle, comme s'il l'avait toujours connu. Ses sens lui disaient qu'elle devait être Arabella Figg, mais il y avait quelque chose sur sa façon de bouger, c'était légèrement sauvage, comme un animal garder sous contrôle.

« Est-ce qu'il va bien ? » lui demanda-t-il, la regardant lever les yeux et sourire.

« Oui Harry, je pense qu'il ira bien, il est simplement épuisé, et il a une mauvaise coupure à la jambe, rien qui puisse ne pas être soigné. »

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Alors qu'elle parlait, Snape grogna, ouvrant légèrement ses yeux et plissant son front de confusion.

« Où suis-je ? » demanda-t-il, sa voix croassant.

« De retour à Hogwarts, Severus, dans le bureau de Dumbledore. » l'assura Remus, marchant dans la ligne de vision du Professeur.

« Dumbledore. » L'esprit de Snape sembla se concentrer sur ce morceau d'information. « Le Seigneur des Ténèbres s'est caché, il reconstruit son pourvoir pour attaquer l'école. »

« Est-ce qu'il y a quelque chose que tu peux nous dire ? »

Severus secoua sa tête, semblant très mal. « C'est tout ce que je sais, il semble qu'il a obtenu l'habilité de voir à travers les façades, j'étais dans le cercle intérieur pendant quelque jours, puis j'ai été découvert. »

« Ne t'inquiète pas Severus, tu as fait de ton mieux. Nous serons prêt pour cette attaque. »

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Les yeux de Snape se posèrent sur Harry, quelque chose comme de la sympathie passant dans ses yeux, comme si il savait quelque chose de trop horrible, et trop nuisible pour être décrit. Son visage se tordit de douleur, alors que Arabella posait quelque chose sur la coupure de sa jambe. Black lui tendit un verre avec quelque chose dedans, et il le regarda l'avaler avant de s'endormir.

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« Harry, je pense qu'il est temps pour toi d'aller au lit, il est plus de deux heures du matin. » suggéra Lupin.

« Attendez pas encore. » le garçon se leva, retirant le pendentif de son coup. « Qu'est ce que c'est et qu'est ce que cela fait ? »

Gus sourit, le prenant avec ses doigts. « C'est à moi, je l'ai perdu dans la forêt il y a quelque temps. Je pensais que c'était de la camelote, mais apparemment, d'après le Directeur, c'est un 'Curras'. Un mécanisme qui transporte le porteur d'un point à un autre. »

« Cela ne marche que pour des endroits spécifique. Tu dois te tenir dessus ou proche d'une marque d'une étoile pour que cela marche. » ajouta Dumbledore.

« Mais Akima et moi nous tenions sur la pelouse, il n'y avait rien. » Harry plissa ses sourcils, se rapprochant alors que Sirius lui indiquait la fenêtre. Regardant dans la nuit, il put voir l'éclat du sol enneiger, et à l'intérieur de cette neige, trop grand pour être vu du sol, se tenait une forme d'étoile à cinq branches.

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« Quelqu'un voulait que tu trouves ça Harry, et je te suggère donc de le garder. Gus ne peut pas le faire marcher de toute façon. » Gus grimaça envers les mots de Black et tendit le pendentif à Harry.

« Sois prudent, ce n'est pas très prévisible. » l'avertit-il, regardant le garçon sourire. Les yeux verts osèrent rapidement se poser sur la silhouette de Snape avant que Harry soupire, passant la porte, et leur souhaitant à tous une bonne nuit.

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Aussitôt qu'il était hors d'écoute, les autres se tournèrent vers Arabella.

« Ne demandez pas. » commença-t-elle. « Je ne sais même pas pourquoi il a choisit de marcher. Le cadeau que les muses lui ont donné ne fait pas ce qu'il devrait faire. »

« Et bien, qu'est-ce que cela signifie, mais pour commencer, qu'est-ce qu'elles lui ont donné ? » demanda Sirius.

« Elles lui ont donné une simple marque, qui se montre seulement lorsqu'elle est utilisée, cela lui permet de faire des sortilège sans l'aide d'une baguette. Enfin c'est ce que c'est supposé faire. Je ne comprends pas comment cela a bloqué l'Avada Kedavra, je ne sais même pas comment elle marche. Harry est un garçon très inhabituel, j'ai besoin d'un peu de temps pour découvrir ce qu'il se passe. »

« Tu fais ça, parce que si cela blesse Harry d'une façon ou d'une autre, je te tiendrais pour responsable. » grogna Black. Inconscient des sourire de Gus et de Lupin derrière lui. Arabella acquiesça, partit pour laisser les hommes entre eux.

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« Tu deviens un père. » dit Remus en soupirant.

« Quoi, non c'est faux. » Sirius soupira. « Il me rappelle tellement James, et je sens que j'ai besoin de réussir là où j'ai échoué dans le passé. »

« Tu veux dire qu'en protégeant Harry, tu payes ta dette envers James ? » demanda Gus, secouant sa tête alors que Sirius acquiesçait. « Ne penses-tu pas que nous ressentons tous ça ? Nous ne défendons pas seulement le futur, nous nous réconcilions avec le passé. »

« Peu importe ce que nous faisons. » dit Dumbledore en soupirant. « Je sais que je ne peux pas laisser Voldemort poser ses mains sur Harry, ce garçon est la clé de tout. »

Sirius s'adossa au mur, fermant ses yeux. Le passé est inchangeable, et le futur est incertain. Peu importe ce qui arrivera, la lumière continuera à briller, elle le doit. L'alternative est impensable. Un monde de ténèbres, le mal éternel et la nuit infinie, le paradis de Voldemort.

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« Jamais. » gronda-t-il. « Jamais. »

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LES CHRONIQUES DE DOD

Tiffany : tu es inscrite tu nous as rejointe dans notre cercle (c'est en réalité notre hôpital psychiatrique, mais chut faut pas le dire, on risquerait une invasion) (elle est en train de me tirer toutes mes répliques).

Ocane Potter : cela fait déjà cinq jours qu'elle est créée et elle marche super bien mais c'est surtout grâce à vous tou(te)s (et oui 29 membres, nous inclus).

As-tu trouvé à qui appartiennent les yeux ? (moi je sais)

Ne pleure pas, chipounette, mon copain le dico ne fera que te rendre visite pour vérifier si ta caboche est creuse ou pas et te faire penser à reviewer (aie aie le dico de 500 000 pages).

Cerendy Potter : je me lasserai décidément jamais de le dire : la patience est une vertu (que je ne possède pas).

Phénix20 : si tu ne comprends pas tout c'est normal y'en encore 12 chapitres avant le mot fin.

Chen : si tu nous review, si tu nous suis assidûment comme le prouve tes review ça veut dire que tu es aussi sadique que nous, surtout si tu as rejoint la ML, plus aucune chance de t'en sortir (on a déjà prévu une p't cellule rien que pour toi  sur notre île).

Wynzar : est-elle loin derrière nous ou sommes nous encore en plein dedans, à quelle âge se termine-t-elle parce qu'il y en a ils ont la trentaine voir plus et sont pires que des gosses de 3 ans, alors................. C'est vrai que nous ne percevons aucune somme sonante et trébuchante et que nous ne somme que rétribué par des review (j'espère que l'on verra les 200 avant la fin. T-T) (ça serait quand même vachement bien)

Mara jade : exactement, tremblez, tremblez dans vos chaumières, nul n'est en sécurité (parce qu'on l'a déjà été ?).

Cynore : c'est vrai, Tu l'adores ? Tu es pourtant moins enthousiaste et présente que pour A Father's sin (snif et toujours pas de nouveau chapitre T_T)

Miya Black : c'est beau la ML, hein ? On a des petites images, des petites listes, des petites fics déjà « publiées » et bonheur suprême, on a les nouveau avant tout le monde, na na na na nère (le bonheur… sauf pour moi qui est déjà tout).

Diane23 : Contente que ça te plaise, notre nouveau logo est de Ayashini (c'est ma petite soeur na moi, c'est celle que j'ai choisi, hein, pas la vraie) (tu t'es choisit combien de sœur comme ça ?)

Lunenoire : décidément que des compliments.