Disclaimer : Rien ne m'appartient, Tout est à JKR ou à Bliss, sauf la traduction

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Chapitre 24

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Akima entra dans la salle commune, fatiguée et frigorifiée après le dernier cours de Botanique. Ses yeux verts avaient été dans le vague et rêveur pendant l'heure entière, et les paroles du Professeur Sprout étaient complètement passées au dessus de sa tête. Tout ce à quoi elle pouvait penser était 'une semaine'. Cela faisait une semaine depuis que Dumbledore était parti, un peu moins lorsque Harry avait fuit l'école. Sept jours sans aucun mot, sans aucune nouvelle.

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Les autres levèrent les yeux alors qu'elle s'asseyait en soupirant, attrapant un morceau de parchemin et le griffonnant, des traces d'encre se formant sur sa surface. Les jumeaux se surmenaient, réfléchissaient et planifiaient, mais devait encore trouver un bon plan pour suivre Harry. Karma avait été mise sur sa trace, et avait volé droit vers le bureau de Snape, (encore en désordre) pour se figer et s'asseoir sur le sol poussiéreux, ses cris tranchant le silence de la pièce vide.

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« Et s'il était déjà mort ? » souffla Hermione à Ron. Elle s'était pelotonnée contre lui, plaçant ses bras autour de sa taille, ce qui fit soulever les sourcils des jumeaux.

« Ne dis pas ça, tu sais que ce n'est pas vrai. »

« Je suis simplement si inquiète. »

« Je sais, Herm, moi aussi. Je veux faire quelque chose, mais je ne sais pas quoi. »

« Nous penserons à quelque chose. » affirma Lee. « Nous le devons. »

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Ginny se tenait devant la fenêtre, sa tête reposant contre la pierre alors qu'elle regardait la nuit du mois de mars. Où étaient-ils tous ? Beaucoup était parti, les laissant seul. Elle ne pouvait pas comprendre, pourquoi ne s'étaient-ils pas dresser pour combattre ?

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Sirius était adossé contre le vieil arbre d'If, regardant le vieux mage à travers ses yeux à moitié fermés. Le sorcier se tenait à côté d'une pierre tombale, blanche sous la lumière du crépuscule. Ses lèvres formaient des mots silencieux, se réconfortant lui et l'âme se reposant.

« Pourquoi est-ce qu'il se blâme encore ? » demanda Arabella, mettant ses bras autour de l'arbre, reposant son visage contre le bois.

« Il pense qu'il aurait pu empêcher ça d'une certaine façon. »

« Mais il savait qu'il ne pouvait pas, Sirius. Pas plus que tu ne le pouvais. »

« Mais, il y a toujours le doute. » Black pencha sa tête en arrière, fermant ses yeux, son front se plissant lorsqu'il entendit des voix venir vers eux.

« Mais ce n'est pas bien ! » Le ton de Hagrid était dur. « Fudge n'a pas le droit de nous faire ça ! »

« C'est un fou, Hagrid, vous savez ça. Je redoute de savoir ce qui se passe à l'école en ce moment. »

« Je vous l'ai dit qu'on aurait du prendre un exemplaire du Daily Prophet. »

« Mais nous ne l'avons pas fait, n'est ce pas ? C'était déjà assez dur de devoir marcher jusqu'ici. Nous ne pouvions pas perdre plus de temps.

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« Minerva ? » appela Arabella. « Pourquoi n'êtes vous pas à l'école ? »

« Comme si j'allais rester alors que ce bon à rien détruisait l'école. » Minerva secoua sa tête, ses longs cheveux noirs, libre de restrictions, et tombant dans son dos. « Je vous le dit, il ne pourrait pas trouver son postérieur avec ses deux mains ! »

« Où est Dumbledore ? » demanda Hagrid, sa voix grave formant un petit grondement. Sirius montra silencieusement l'endroit où se tenait le mage, regardant le géant marcher aussi doucement qu'un chat sur la pelouse et s'arrêter près du vieux directeur.

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« Pourquoi êtes-vous là Hagrid ? »

« Je ne pouvais pas rester. Fudge m'a viré. »

« Mais vous auriez pu garder un œil sur Harry. »

« Et qu'aurais-je pu faire s'il quelque chose s'était produit ? Rien. Vous devez être là. »

« Pourquoi combattre, je n'étais pas là pour Lily ou James lorsqu'ils avaient besoin de moi. »

« Vous avez sans doute raison, mais vous étiez là pour Harry jusqu'à maintenant. Et si quelque chose se passe, allez vous tout simplement abandonner ? »

Dumbledore soupira, frottant ses yeux avec une main fatiguée. « Il est en sécurité là où il est. »

« Pour combien de temps ? Quelques semaines avant que Vous-Savez-Qui ne s'en rende compte et l'attaque. Vous devez revenir. »

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« Professeur Dumbledore, Professeur Dumbledore ! » Le petit groupe leva les yeux pour voir Gus et Remus traversant la pelouse. Un exemplaire du journal entre les mains de Gus alors qu'il courait.

« Ils ont… Ils ont… »

« Harry, il est… »

« Calmez-vous tous les deux. » Sirius leur arracha le journal et scanna les grandes lignes, sentant le sang partir de son visage alors qu'il le faisait. « Oh mon dieu. »

Arabella cria d'horreur alors qu'elle lisait par-dessus son épaule. « Cela ne peut pas être vrai, pas Harry ! »

Hagrid prit le journal, le plaçant sous le nez de Dumbledore. « C'est ce qui arrive lorsque vous partez. »

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Dumbledore lut avec attention l'article, remarquant ce qu'il disait et ce qu'il ne disait pas. « Harry n'est pas à Azkaban, il s'est enfui. »

« Mais il a été renvoyé, cela veut dire, plus de baguette, plus de défense. » fit remarquer Minerva.

« J'espérais que cela n'arriverait pas. » Arabella soupira. « La marque ne peut pas être utilisé pendant un combat féroce, elle n'est pas une dernière force. Si le Seigneur des Ténèbres est assez persistant, Harry mourra. »

« Mais si Harry a la Marque des Ténèbres, cela ne signifie-t-il pas… ? » commença Gus.

« NON. » répondit Sirius. « Aucun fils de James Potter ne serait capable d'être aussi mauvais. »

« C'est le cadeau. » murmura Dumbledore, la lumière qui avait disparu durant cette dernière semaine, revenait en force. « Voldemort lui a donné quelque chose durant leur dernière confrontation, sachant que Harry serait suffisamment incertain pour devenir confus, et sachant la réaction de fous comme Fudge. Le Ministre a exactement joué le rôle que lui avait attribué le Seigneur des Ténèbres. Voldemort va attaquer Harry, lorsqu'il est aussi faible que maintenant. »

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« Vous avez raison. » dit d'une voix provenant des ombres, tous se retournèrent pour voir Snape, le visage pâle et malade, tremblant d'épuisement et frigorifié. « Il se dirige déjà vers l'école. »

« Mais Harry n'y est plus. » affirma McGonagall, plissant son front de confusion. « Il s'est enfui. »

« Il a utilisé le 'Curras', ce qui n'était probablement pas la meilleur idée. Ne l'avez-vous pas senti, cette première nuit ? La subtile déformation de l'espace et du temps pour être remis en place ? Vous-Savez-Qui le fait. Il danse pratiquement de joie. Il sait où est Harry, probablement mieux que Harry lui-même.

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« Dumbledore, nous devons revenir. Tous ces enfants sont en grave danger. » Lupin renifla, souhaitant pouvoir pénétrer la misère borné du Directeur.

« Ils mourront, et cette fois, cela sera vraiment vous qui serez à blâmer. »

Les yeux bleus se relevèrent pour en rencontrer des marrons, se fixant, et attendant que l'autre regarde ailleurs.

« Vous avez raison. D'abord, je veux que Sirius et Arabella recherche Harry. Transformez vous, et commencer la chasse, nous devons le trouver. Pour le reste, nous allons rentrer à l'école. La Forêt Interdite est l'endroit le plus facile pour attaquer, nous devons l'atteindre le plus rapidement possible. »

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Dumbledore saisit sa baguette, et tapa deux fois la pierre tombale, fredonnant un petit rythme dans sa barbe, puis il se retourna, ignorant le silence provenant de la pierre tombale blanche en réponse. « Dépêchons nous, le temps est contre nous. Sirius, Arabella, n'arrêtez pas de chercher jusqu'à ce que vous le trouviez. »

Le chien et le loup clignèrent des yeux pour signaler leur accord, se séparant d'eux sans aucun mot alors que la lune montait.

« Le reste d'entre vous, suivez-moi. »

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Le groupe disparut alors qu'un nuage passa devant la lune, laissant le cimetière dans le silence des Ténèbres. Dans un tout petit coin, une chouette blanche comme la neige descendit d'un arbre en If, nettoyant ses plumes délicatement alors qu'elle attendait. Le cerf blanc arriva quelques secondes plus tard, apparaissant de nulle part pour chevaucher. Alors qu'ils sortaient rapidement, un observateur aurait pu voir, avec un petit malaise, la façon dont la scène se déroulait de l'ombre, à travers les créatures, et comment, très brièvement au pied de l'arbre d'If, un lis (lily) se transformant en fleur, sa vie aussi brève qu'un flocon de neige dans un désert, seulement pour disparaître encore une fois en poussière.

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Harry commençait à se demander s'il avait perdu l'esprit, la voix dans sa tête, clairement la sienne, avait le même ton et les mêmes émotions, c'était simplement étrange. Cela ne semblait pas bon, d'avoir une conversation avec soi même.

'Tu es perdu, n'est-ce pas ?' demanda-t-elle curieusement alors qu'il se cognait dans les racines d'un arbre et tombait dans la boue.

'Non, je sais exactement où je suis.' répondit-il silencieusement.

'Allez dis-moi.'

'C'est visiblement un tunnel souterrain, ou un labyrinthe.'

'Oh, visiblement. C'est très sombre.'

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C'était assez vrai. Cet endroit était complètement noir. Il ne pouvait pas voir plus loin que le bout de son nez, et pour ce qu'il en savait, il pouvait être à des kilomètres de la civilisation. Au dessus de lui, une faible lumière brillait, mais au moins c'était de la lumière. Se dirigeant vers elle, Harry cligna des yeux, fixant les murs d'une caverne.

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Est-ce que les pierres sont toujours aussi brillantes ? C'était comme du verre, transparent et fragile. Levant une main pour le toucher, il cria de douleur. La surface bouillonnait et brûlait. Mais la chaleur ne se montrait pas, ni ne se propageait. C'était comme si elle était enfermée à l'intérieur de la pierre elle-même.

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La lumière provenait d'un trou dans le plafond, très, très haut. L'observant, il réalisa que cela devait être la nuit, et la douce lumière qui entrait provenait de la minuscule lune au dessus de lui. Abaissant ses yeux vers le sol, il regarda autour de lui. Une caverne avec des murs chauds, un trou dans le plafond, et le soleil gravé sur le sol.

'Un soleil, ou une étoile ?'

« Et bien, peu importe. » dit-il à haute voix. « Je n'utiliserai pas le 'Curras'. J'ai déjà été partout dans le monde, je pourrais atterrir à des kilomètres d'ici. »

'Si cela te plait. Au fait, regarde derrière toi.'

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Tournant sa tête, Harry poussa un petit cri de frayeur, fixant les orbites vides du crâne avec incrédulité. Reculant, il essaya de reprendre son souffle. C'était gros !

A l'intérieur de la main squelettique se trouvait une faux, brillant dans la faible lumière. La silhouette elle-même était entourée d'une robe sombre, la capuche était placée sur sa tête. Elle se tenait au dessus de lui, lorsqu'elle avait été en vie, elle avait du être très grande.

« Qu'est ce que la Mort fait dans un endroit comme celui-ci ? »

« Elle t'attend. » dit une voix alors que des mains se tendirent, se refermant sur sa bouche et serrant ses bras sur ses côtés. Se débattant comme il le pouvait, Harry ne put se libérer. Celui qu'il le tenait devait avoir la force d'une douzaine d'hommes, ou était fou.

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Une odeur se mit d'un seul coup à remplir la pièce, faisant tourner sa tête, et rouler ses yeux.

'Non ! Ce n'est pas le moment de t'évanouir !' s'exclama la voix dans sa tête.

'Oh ferme la.' Furent les derniers mots qu'il pensa avant de tomber dans les bras l'attendant.

« Finalement, le Maître sera content. » Quelqu'un ricana.

« C'est vrai, reprend ça veux-tu. » Une main montra le squelette. « Il continue de me sourire. »

« Il n'a pas vraiment le choix, n'est-ce pas ? » Alors qu'une main humaine se tendit pour retirer la cape, les os s'écroulèrent, laissant le crâne sur une pile de poussière de la couleur de l'ivoire. Et à l'intérieur du crâne, enfermé dans les mâchoires, se trouvait un œil minuscule. Brûlant douloureusement dans son propre petit monde.

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Ginny sursauta lorsque Karma se mit à grogner, tirant ses cheveux pour attirer son attention, et traversant la pièce.

« Qu'est ce qu'il lui prend ? »

« Elle est simplement bête. » Fred soupira, se penchant sur son plan M2  avec frustration.

« Non, je pense qu'elle peut sentir Harry ! » Hermione sourit, sauta sur ses pieds et se dirigeant vers le tableau cachant l'entrée de la salle commune.

« Pourquoi serait-il de retour ? Il ne peut pas être là, il se ferait attraper ! » rappela Angelina à Hermione.

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La fille l'ignora, ouvrant l'entrée et suivant l'animal qui sortait. Ron la suivit, se penchant sur la balustrade, et regardant un peu plus bas. Dumbledore, McGonagall, Hagrid, Lupin, Gus et Snape se tenaient dans le Hall d'entrée, faisant face à Fudge et Sneerey portant des expressions de dérision sur leurs visages.

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« Qu'est-ce que cela veut dire ? » cria Fudge, serrant inconsciemment sa baguette comme pour se protéger.

« Le conseil semble ne pas vous trouver qualifier pour diriger cette école. » McGonagall renifla. « Vos opinions ont été entendues, et vous êtes libre de partir. »

« Vous ne pouvez pas me faire ça. »

Hagrid sourit froidement et pointa son ombrelle rose vers Fudge. « Allez-vous nous arrêter tapette ? »

Fudge avait la bouche ouverte comme un poisson, l'ouvrant et la fermant alors qu'aucun mot ne sortait.

« Je suggère que vous partiez également, Professeur Sneerey. » dit durement Snape. « Vous avez fait tout ce que vous pouviez ici. »

« Le monde entendra parler de cet… de cet outrage ! » hurla Fudge, devenant rapidement rouge alors qu'il s'éloignait.

« Le monde en sait plus que vous Cornelius. » dit doucement Dumbledore. « Ils peuvent voir le retour du Seigneur des Ténèbres alors que vous vous êtes aveuglé. Maintenant, sortez de mon école. »

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Hermione sauta de joie alors que Fudge et Sneerey marchaient vers la porte principale, Gus et Lupin les escortant à chaque pas. Ron souriait comme un fou alors que les autres les rejoignaient, applaudissant et criant de soulagement. Le professeur fonça dans les escaliers pour les rencontrer, les menaçant avec un regard critique. « Qu'est-il arrivé à Harry ? Nous avons besoin de détails. »

Ginny devint blanche, un regard de douleur traversant son visage. « Vous voulez dire qu'il n'est pas avec vous ? »

« Mais, il devrait l'être, je veux dire, il est parti trouver Dumbledore pour le ramener. » dit Akima, tournant son cou alors que les autres adultes montaient les escaliers.

« Il n'a pas réussi. D'autres… personnes le recherchent en ce moment. »

« Mais il est parti depuis une semaine, quelque chose a pu lui arrivé, nous pensions qu'il était avec vous ! En sécurité ! » dit Ron avec une voix étranglée, passant ses mains dans ses cheveux avec anxiété.

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Karma vola vers le plafond et cria. « DE L'AIDE, MAINTENANT ! HARRY BESOIN D'AIDE MAINTENANT ! »

« Karma, est ce que tu sais où il est ? » demanda Angelina, levant son cou pour regarder.

« Bad Lands ! »

« Bad Lands ? » Le professeur McGonagall fronça des sourcils.

« La Forêt était appelé Bad Lands auparavant. » affirma Hagrid.

« Vous voulez dire que Harry était aussi près pendant tout ce temps ? » demanda Fred d'incrédulité.

« Peut-être pas tout le temps. » dit Hermione. « S'il a utilisé le Curras, il peut avoir été à plein d'endroits différents. »

« Et bien, peu importe ce qui est arrivé, je pense que nous devrions aider Karma, avant qu'elle ne le perde complètement. Que veut dire la couleur verte d'un Wakimi ? » demanda Ginny.

Dumbledore regarda la créature, lui demandant de descendre. « Cela signifie peine et maladie. Nous devons nous dépêcher, quelque chose ne va pas. »

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Harry se réveilla avec la pire migraine qu'il ait eut depuis un bon moment. Sa cicatrice brûlait sur son front, lui donnant un haut le cœur, son estomac était barbouillé, ses yeux continuaient de se fermer. Des voix se firent entendre alors qu'il essayait de déterminer ce qui se déroulait autour de lui.

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Ses mains étaient attachées, ce qui ne signalait jamais de bonnes nouvelles. Ses doigts étaient froids et pâles, et il avait des crampes dans ses bras, suggérant qu'il avait été comme ça pendant au moins quelques heures. L'air froid de la nuit le fit trembler, contrastant énormément avec la chaleur des flammes. Quelqu'un traînait des pieds dans les ombres, parlant avec d'autres à voix basse, attendant quelque chose.

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Des Death-Eaters.

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Et là où il y avait des Death-Eaters, il y avait Voldemort. Les yeux verts s'ouvrir subitement, l'adrénaline affermissant ses sens. Ce qu'il vit refroidit son sang, il avait été là avant, le feu, la peur. C'était une scène de son rêve. Il sentait sa gorge se serrer à cause de la panique, le tonnerre grondait loin de là, comme le rugissement d'un lion, de grosses gouttes d'eau tombant des nuages qui masquaient la lune.

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« Alors, nous nous rencontrons à nouveau, mon garçon. » Voldemort entra dans la lumière projetée par la cheminée. « Moi, le Maître, et toi, l'esclave. » Une main fine et squelettique apparut, se posant sur l'avant bras gauche de Harry, le faisant crier de douleur alors que la Marque noire répondait.

« Tu es mien Potter, tu ne peux plus te battre. Tes amis t'ont trahi, et ils se fichent de toi. Exactement comme tes parents. »

« Menteur. » cria Harry, ignorant la pluie qui le trempait.

« Tu dis cela maintenant, mais peux-tu me résister, cousin ? »

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Harry serra ses dents en entendant ses mots, sentant une étrange certitude passer dans son corps. « Vous ne m'êtes pas apparenté Voldemort. Tom Riddle est mort, vous l'avez tué pour devenir ce que vous êtes maintenant. Je ne sentirai rien lorsque je vous détruirai. »

« Tu en es si sûr ? Alors debout et bats-toi ! »

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Les liens libérèrent Harry, lui permettant de se mettre sur ses pieds. La panique parcourait son sang, il n'avait pas de baguette, aucun moyen de se défendre… Il recula lorsque Voldemort leva sa baguette, sentant quelque chose à l'intérieur de lui vaciller, quelque chose grogner. Ce n'était pas possible, il n'allait pas gagner si facilement. Jamais avant un million d'années !

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« Soumets-toi ou meurs Potter. Soumets-toi ou meurs ! »

« Mon Seigneur. » Harry renifla. « Vous êtes un meurtrier, un menteur, un tricheur et un traître. Je ne vous laisserais pas gagner. »

Voldemort gronda, pointant sa baguette alors que la tempête se rapprochait. « Tu m'as échappé une fois Potter, plus jamais Potter. Plus jamais. »

« N'en soyez pas si sûr. » Harry recula lentement, sa main droite tendue, ne remarquant pas la marque luisante, ne remarquant pas que sous ses pieds, la terre elle-même répondait à l'appel de guerre.

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« Cette fois, c'est toi qui va mourir. »

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LES CHRONIQUES DE DOD

Riri se rebelle !!! (pas étonnant avec cette bande de c***)

Chen : Nous sommes peut-être pas gentille de le cacher mais toi tu n'es qu'une grosse égoïste de vouloir le partager avec personne. (moi aussi ze le veux)

Phénix20 : C'est sur que si notre gentil Riri tournait côté obscur de la force, nous le lui ferions amèrement regretter. (on peut tous aller du côté obscur aussi…)

Miya Black : tes idées sont très intéressantes, elles reçoivent mon approbation, je te laisse le plaisir de les ajouter dans l'encyclopédie.

Mara Jade : Ouep, qu'un seul regret que ce ne soit pas mon dico 500 000 pages qu'elle se soit pris à la place. Avoue que tu aimerais bien regarder les étoiles avec eux et pas qu'une comète. Tes questions trouvent leurs réponses.

Wynzar : tu y es complètement absent, tu veux dire. Maintenant que tu as un gros malheur, je suis sur que tu vas faire dans le préventif. Rien ne remplace le charme de la vraie review (ahhh la review).

Tiffany : Riri nous a fait anticiper un bonheur suprême en martyrisant la Sneerey (yessss) mais pourquoi est-il revenu sur ses pas vérifier si elle était vivant, il aurait du la laisser crever (il a bon cœur Riri, et des remords).

Lunenoire en tête avec 21 review : je ne dis rien tu verras au dernier chapitre je te laisse tourner en bourrique d'ici là (sadique, mais je ne parlerai pas sous la torture). Réponse dans ce chapitre donc plus de questions.

Diane23 : elles sont toujours mimi ces petites bêtes. Riri c un pov opprimé faut lui faire un câlin pour le consoler. Pourquoi casser ton nordi ? (méchant ordi) Tu ne demandes pas ce qui pourrait encore lui arriver de pire ? Qu'est ce qui est le pire : Fudge ou Sneerey ? (faut pas les laisser se reproduire ceux là)Que serait-on prête à faire pour avoir le droit de tripoter un Riri ? (hummm) Mad Eye Moody c'est Maugrey Fol'œil, je sais que tu raffoles pas de l'anglais mais quand même là y a de l'abus (sans commentaire).

Samuel : deux explications : soit il a fait marcher sa caboche et il se dit c mon ali donc je l'aide ou alors j'efface l'étoile comme ça il se retrouvera peut-être prisonnier dans l'un des neuf enfers. Oh, Tazou je l'aime autant que Sevinounet. Mouai, tu pourras toujours d'entraîner avec le frère de Miya avant de passer aux choses sérieuses.