Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JKR ou à Bliss, sauf la traduction

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Chapitre 25

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« Attendez, s'il est dans la forêt… » articula Hermione alors qu'elle courait pour se maintenir à leur niveau. « … ne devrions nous pas nous diriger dans cette direction ? »

« Pas tous. » dit le Professeur McGonagall, sa voix douce, mais subtilement urgente. « Vous serez en sécurité dans le bureau du directeur. Nous allons résoudre ce petit problème. »

« Mais… »

« Pas de discussion, Lee. Entrez. » Elle ouvrit la porte et les poussa à l'intérieur. « Restez ici, et ne bougez pas, peu importe ce que vous entendez, d'accord ? » Lorsque personne ne répondit, ses lèvres formèrent une fine ligne. « D'ACCORD ? »

« Oui, Professeur. » murmurèrent-ils à l'unisson, regardant le sol alors qu'elle souriait et partait.

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« Est-ce que vous pensez qu'elle a ensorcelé la porte ? » demanda Ginny dans le silence.

« Sans aucun doute. » murmura sinistrement Angelina, regardant Karma, Crookshanks et Chaos. Les trois créatures formaient un petit groupe sur le sol, se regardant mutuellement sans bouger, comme s'ils avaient fait la paix, et mis de côté leur dégoût mutuel. Chaos glissa vers Lee, sortant ses crochets et sifflant violemment, faisant reculer son maître de surprise. Il se cogna contre le bureau de Dumbledore, renversant un pot d'encre sur l'acajou. Ecarlate.

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Vaguement, il entendit un cri de douleur résonner dans la pièce, emplies de sentiments et très familier.

« Harry ! » cria Ron, touchant l'encre avec son doigt et tremblant alors que des émotions ne lui appartenant pas traversèrent sa tête. « Qu'est ce que c'est que ça ? »

« Quelque chose que tu ne devrais pas toucher. » le réprimanda Alicia.

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Le visage pâle et effrayé, elle regarda Crookshanks. Il reniflait le bas d'une étagère, sa queue remuant nerveusement alors qu'il grattait le tapis.

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Hermione marcha à ses côtés, le poussant et criant lorsque l'étagère recula lentement, révélant un escalier faiblement illuminé.

« C'est pratique. » dit Fred.

« C'est le Directeur, il a toujours une échappatoire. »

« C'est assez neuf, pas de poussière. » dit Hermione, levant sa baguette et murmurant 'Lumos' alors qu'elle avançait. « Allez, nous devons aider Harry. Je ne le laisserais pas se tuer pour nous, nous n'en valons pas la peine. »

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« Hey, attendez ! » hurla Akima alors qu'elle se tournait pour les suivre. « Qu'est ce que c'est ? » Dans sa main se trouvait une longue plume rouge étincelante. La plume luisait par elle-même, ressortant dans la faible lumière de la pièce.

« Cela ressemble à une plume de phoenix. Elle appartient probablement à Fawkes. » suggéra Katie, fixant le perchoir vide où l'oiseau s'asseyait auparavant.

« Ahhh ! » cria Akima, reculant de surprise lorsque Karma sauta dans sa main, arrachant la plume et se dirigeant vers la fenêtre, ses ailes brillant sous la lumière des éclairs, avant qu'elle ne soit partie. « Pourquoi ? »

« Akima, est-ce que tu viens ? » demanda George, sachant qu'il ne devrait pas l'encourager, mais sachant cela, comme Harry, qu'elle ferait quelque chose d'inconscient si elle était laissée seule.

« Oui, j'arrive. » Elle fonça vers eux, ses yeux ne se détachant de la fenêtre qu'à la dernière minute. Cette plume n'était pas ordinaire, même pas dans un million d'années…

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Harry cria alors que la pluie glaciale tomba sur lui. Des éclairs tombaient sans s'arrêter, alors que le grondement du tonnerre devenait un hurlement. La marque sur sa main brûlait, déchirant les ombres comme une balise, bloquant tout ce que Voldemort lui envoyait sans difficulté. Mais la lumière devenait faible, disparaissant alors que sa force s'épuisait.

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Voldemort renifla lorsque la lueur commença à vaciller. Le visage de son ennemi était pâle, ses traits coléreux, mais derrière ses yeux, il ne pouvait voir que le doute. Potter n'avait plus la force, plus maintenant.

« Un combat de brave, Harry. Et pitoyable, exactement comme avec ton père, ta force est finalement épuisée. » Il ricana comme un fou, levant sa baguette au dessus de sa tête et criant. « Avada Kedavra ! »

Harry recula, tombant alors que le sortilège passait au-dessus de sa tête, disparaissant dans la forêt. Sa main droite se plaça sous lui pour arrêter sa chute, et dès que la marque frappa le sol, la terre répondit à son appel.

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Des profondeurs, un rugissement emplit lentement la forêt. Les arbres tremblèrent en réponse alors que le sol bouillonna.

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Après une grande explosion, la terre commença à se soulever et à tomber, de grandes failles s'ouvrant alors que le plateau remonta. Harry était figé alors que les Death-Eaters tombaient et criaient. Cela n'avait aucun sens, des tremblements de terre, ici ? Que se passait-il ?

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Difficilement, il se leva sur ses pieds, essayant de garder son équilibre alors que le sol devint aussi stable que l'eau. Regardant autour de lui, il ne remarqua pas le Seigneur des Ténèbres levé sa baguette, se retournant uniquement lorsque sa voix emplie les airs. « Crucio ! »

« Non ! » Même avec se refus échappant ses lèvres, il sentit chaque muscle se crisper et se tordre de douleur, sentant sa cicatrice se déchirer et commencer à saigner, sa force de vie de ses veines devenant rose alors qu'elle se mélangeait avec l'eau de pluie. Et dans les profondeurs de son esprit, quelque chose d'indompté et de sauvage, cria de douleur, aveuglé par la haine. Cela frappait les murs qui le maintenaient, essayant de se libérer, essayant d'obtenir l'accès au pouvoir qui était si proche, mais aussi si éloigné.

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« Où sommes nous ? » murmura Hermione, sa voix emplie de peur, serrant Ron inconsciemment, son imagination transformant chaque ombre en cauchemar.

« En sous sol, c'est tout ce que je peux dire. » répondit-il, essayant de regarder plus loin, mais les têtes de Fred et Georges restaient toujours sur sa route.

« Je vous avais dit que nous aurions du aller à gauche. »

« De quoi tu parles ? La lumière est au dessus, aussi claire que le jour, tu peux la voir aussi bien que n'importe qui. »

« Tu appelles ça de la lumière ? C'est simplement un peu plus pâle que les ténèbres ! »

« C'est ça la lumière. » dit Angelina à Georges, sa main se liant à celle de Fred.

« Et bien, je suis d'accord avec Georges. » dit Katie, tirant le plus jeune des jumeaux à ses côtés.

« Eeeeek ! » Alicia sauta dans les airs, attrapant Lee, et montrant quelque chose sur le sol devant elle, « Qu'est ce que c'est ? »

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Akima marcha lentement dans cette direction, le retirant de son lieu de repos et le fixant. « Et bien, je pense que c'était autrefois humain. » Le crâne la regarda, ses dents fixées formant une parodie de sourire. Ron et Hermione marchèrent à ses côtés, le regardant avec dégoût.

« C'est grossier. »

« Ca me regarde. »

« Il y a quelque chose à l'intérieur. » Akima regarda entre les dents, voyant quelque chose de couleur rouge à l'intérieur.

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Hermione tendit sa main silencieusement, et l'acceptant, essayant d'ouvrir la mâchoire. « C'est collé. »

« Utilise ça. » Ron vit la faux gisant sur le sol, et prit la lame, l'insérant dans les mâchoires et la poussa vers le bas.

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Centimètre par centimètre, les dents se séparèrent, lui permettant d'entrer pour retirer le minuscule objet chaud de son nid.

« Et bien ? » demanda Fred.

« C'est un œuf. » Ron le fixa, essayant de ne pas se brûler. Il était de la même taille qu'un œuf de poule, peut-être un peu plus large, mais la coquille était orange et sa surface trop chaude pour être touché.

« Est-ce qu'il y a de petits coups ? » demanda Alicia, penchant sa tête pour écouter, alors que le groupe devint silencieux. Bien sûr, il y avait un petit rythme rapide parcourant sa surface.

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« Ca bouge ! »

« Je ne veux pas que cela bouge, je ne sais même pas ce que c'est ! »

« Et bien, tu es sur le point de le découvrir, Ronnykins ! » dit remarquer Lee alors que la coquille se brisait en deux, relâchant un minuscule lézard dans ses paumes.

« Horrible. » s'exclama-t-il, le regardant ouvrir les yeux et cligner.

« Ahhh, il est si mignon ! » Hermione sourit, caressant sa tête de la même couleur que le saphir. « Et définitivement étrange. »

« Ca ressemble à un dragon. » dit Akima, se tenant sur la pointe de ses pieds, pour pouvoir mieux regarder.

« Les dragons sont plus grand que ça. » répondit Hermione, se souvenant de Norbert.

« Et bien, il a des ailes. » Une fine paire d'ailes était pliée sur son dos.

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Le petit lézard fredonna une note de bonheur alors que Ron le caressait doucement, puis s'arrêta lorsqu'il se roula pour recevoir plus d'attention.

« Et bien, il semble qu'il t'aime bien. » Katie sourit. « Comment vas-tu l'appeler ? »

« Je ne garderai pas ça ! »

« Ron, tu dois le faire. » affirma Ginny. « Tu ne peux pas le laisser ici. »

« Au cas où tu aurais oublié, petite sœur, nous devons aider Harry. » cria Ron, essayant de retirer l'animal de ses robes. Il enfonça un peu plus ses griffes, sifflant vers quelque chose derrière lui.

« Qu'est ce que… Argh ! »

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Ron hurla alors que des mains dures l'attrapaient, le fixant au sol et couvraient sa bouche avec du tissu. Essayant de regarder autour de lui, il vit les autres succomber au même traitement.

« Des gamins se mêlant à tout. » gronda une voix.

« Et bien, ils sont comme morts maintenant. » répondit quelqu'un, grondant légèrement alors que son captif se débattait avant de s'évanouir sous l'effet d'un anesthésique.

« Allez, dépêchons-nous. Le Seigneur des Ténèbres est en train de gagner, et tout ce que nous faisons est de rester là ! Je veux être là pour la victoire. »

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Un boom résonna au dessus d'eux, les Death-Eaters se regardant. « Il semble qu'on l'ait déjà loupé. Dépêchons nous ! »

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La prise du sortilège sur Harry fut abruptement retirée, le laissant reprendre son souffle.

« Qu'est-ce que c'est ? » gronda Voldemort, son visage devenu un masque de colère.

« S'il vous plaît Mon Seigneur, nous avons trouvé ces enfants… » Un Death-Eater s'inclina, révélant les enfants au Seigneur des Ténèbres.

« Bien, bien, bien. Des amis à toi, Potter ? »

Harry palit lorsqu'il reconnut Ron et Hermione, ainsi que tous les autres. Que faisaient-ils ici ? « Laisses-les partir ! »

« Non Potter, ils mourront, je ne les libérerais pas. Je n'ai pas de pitié. Je n'en ai jamais eut. Ta mère m'a supplié Potter, pour sa vie et la tienne. »

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Harry se sentit malade, enragé. Comment pouvait-il être si cruel, pour lui balancer ça en plein visage ? Il le faisait à chaque fois et c'était si… Ses pensées furent interrompues lorsque Akima se réveilla en grognant, ouvrant ses yeux et regardant son entourage. Alors que ses yeux se fixèrent sur son visage pâle, elle fronça les sourcils, son regard se tournant vers le Seigneur des Ténèbres, voyant son visage cruel, ses yeux fous, et le bout de sa baguette pointée droit sur son cœur.

« Ahh oui, Akima Montgoméry, toi et moi avons quelques problèmes non résolus. »

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« Riddle, arrête ça ! » hurla Harry, se mettant sur ses pieds, et se plaçant devant ses amis, l'empêchant ainsi de les ensorceler.

« Comment m'as-tu appeler ? » demanda Voldemort.

« Riddle. Tom Riddle, c'est le nom que vous détestez tant. » répondit Harry, son visage sans émotion.

Il retint sa respiration lorsqu'il entendit les autres se réveiller et réaliser dans quelle situation désespérée ils étaient, et qui les défendaient avec une telle facilité.

« Personne ne m'appelle comme ça. Jamais. Tu vas payer, Potter. »

Harry ferma ses yeux, attendant ce qui allait se produire, levant sa main droite alors que la peur envoyait des frissons dans son épine dorsale. Il s'était échappé déjà trois fois, mais est ce que sa chance avait disparu ?

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Mais à la place du sortilège de la mort, ce fut un Crucio qui déchira son pouvoir, le forçant à s'agenouiller sur le sol éclaté. Il entendit faiblement des cris d'horreur provenant de ses amis, mais tout ce à quoi il pouvait penser, était à la chose à l'intérieur de lui, essayant de s'échapper, essayant de tuer et de détruire ceux qui osaient l'attaquer.

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« Libera ! » gronda une voix familière, détruisant la lumière douloureuse qui avait engouffré Harry, le faisant ouvrir les yeux, et voir la réalité qu'il souhaitait être un mensonge.

« Sirius, non. » Ses mots étaient faibles et rauques, cela ne pouvait pas arriver, il ne pouvait pas perdre la dernière personne qu'il pouvait considérer comme sa famille aux mains de ce monstre, pas maintenant, pas encore ! Il se leva difficilement sur ses pieds, ignorant le sang et la douleur, ignorant la sensation étrange de pulsation qui semblait diriger son mental. Il ne pouvait penser qu'au futur proche, et comment il devait l'arrêter.

« Laisse-le, tu n'as aucune raison de le tuer, Voldemort ! »

« Oh mais si Potter, il te connaît, et tout le monde que tu connais doit mourir. »

« Pourquoi ? »

« Parce qu'il n'y aura plus personne pour me trahir. » répondit Voldemort, son visage de serpent formant un sourire. « Tu l'as fait Potter, ne le savais tu pas ? Tes parents t'ont donné à moi, tu m'appartiens, et pourtant tu es allé vers la lumière… »

« Harry, il ment, tes parents ont fait le contraire. » cira Sirius. « Ils ont juré que tu ne seras jamais à lui. Harry ne le crois pas ! »

« Je ne le crois pas. »

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Voldemort cria de fureur, levant sa baguette et la pointant vers la poitrine de Black. L'homme se figea, devenant pâle comme la glace.

« Dis que tu es de mon côté Potter, ou ton parrain va rejoindre tes parents. »

« Non, Harry, ne le fais pas. Dès que tu l'auras dit, cela sera comme un serment, tu seras à lui à jamais, tu ne seras plus toi-même, tu n'existeras plus ! » hurla Sirius, regardant son filleul à travers la pluie. Les poings du garçon étaient serrés de fureur. Sa silhouette tremblait d'une rage difficilement retenue.

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Hermione le regarda, ses yeux marron s'agrandissant. Fred et George fixaient sans bouger Sirius, ignorant les faibles mots de Ron « Il est de notre côté. »

« Harry, ne le fais pas, ne l'écoutes pas, s'il te plait. » murmura-t-elle, le voyant plisser son front, voyant la compréhension passée sur son visage.

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« Laisses le partir et je le ferai. »

« NON ! »

« Oui ! » Voldemort sourit, détournant sa baguette et la pointant à la place sur Harry.

« Non, Harry s'il te plait ! » cria Black, incapable de bouger, incapable de respirer alors que des ténèbres sortirent de la baguette de Voldemort, se dirigeant droit sur le garçon.

« Ater Capu ! »

Ame Noire.

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LES CHRONIQUES DE DOD

Commentaire du jour : on est pas dans la panade. (quelle surprise)

Tiffany : Scène de combat première.

Miya Black : C'est vrai ça maintenant qu'on en a viré deux que va-t-on faire du troisième : Surprise (tous les tuer…).

Chen : tu es sur qu'il n'y a que la fic qui te fait stresser (chocolat ?). Calme, détends-toi, zen. Respire la vie à plein poumon. Super copains à la rescousse ! Mer** c'est un faux numéro.

Wynzar : Riri en force. Fous un coup là où je pense à tonton Voldie (cousin Voldie maintenant… nannn Tonton c'est mieux).

Diane23 : on va créer une salle pour le cas de déprime, ne t'en fais pas. La petite voix ? Pourquoi ? Il n'est pas schizophrène ? (pas encore)

Lunenoire : pourquoi faire les choses à moitié quand on peut les faire pleinement ?

Samuel : Mon seigneur, c'est ironique c'est pour se foutre pleinement de sa gueule (faut bien qu'il fasse quelque chose). Tu connais quelqu'un qui se transforme en cerf, quelqu'un dans le nom est apparenté à une fleur et tu ne connais pas une chouette qui a été offert un jour d'anniversaire à un petit sorcier de onze ans (sinon retourne dans tes livres plus particulièrement le 1 et 3). Je n'ai pas besoin d'en dire plus, faut faire marcher la caboche. Tazou est rangé momentanément au placard. Si tu veux, tu préfères Pettigrow version humaine ou version animagus ? (aucune, sont aussi moche et con l'un que l'autre) Le vrai ou le modèle en papier carton ?? (Je suis bête c'est sur cible mouvante, oublie ma deuxième question) Ton dessin il est super mais (jeu de mots à 2 francs si sous) c'est Leena et Dod car nous ne dodelinons pas. (Dod et Leena = dodeliner. Désolé fallait que je la sorte c'est la première chose qui m'est venu à l'esprit quand j'ai cherché à associer nos deux noms) (je ne commenterai pas)

Ray : je crois te l'avoir déjà dit, ce n'est que de la traduction nous n'avons aucun contrôle sur les évènements. (on ne modifie pas… sinon ça serait pire)

Je sais la chronique est courte mais fait trop chaud pour faire cogiter les neurones. (et pis y'avais plus de review…)