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Hermione Granger travaillait dans sa chambre. Il était plus de minuit et la flamme de la bougie posée sur le bureau de la sorcière vacillait et la cire coulait sur le bois sans qu'elle s'en rende compte. Le devoir de soins aux créatures magique était décidément trop dur. Ses yeux piquaient et la fatigue commença à se faire sentir. Les douze coups de minuit sonnèrent aux cloches de la tour ouest de poudlard et Hermione soupira. Un souffle froid se propagea soudain dans la pièce, comme un courant d'air. La bougie s'éteignit sur le bureau et Hermione sursauta. Ce qu'elle vit la figea. Une forme humaine s'était dessinée dans la pièce et un halot de lumière blanche l'enveloppait. Au bout de quelques instants, la lumière disparue et Hermione put voir plus en détails la silhouette. C'était un homme grand. Ces yeux étaient petits et il avait une bouche pulpeuse très belle. Hermione n'avait pas bougé depuis l'apparition de la silhouette. Elle se leva brusquement : « eh qui êtes vous ? » L'homme se détourna vers elle et la jeune fille put voir son visage. Le choc fut si violent qu'elle poussa un cri sourd et ses yeux s'ouvrirent grand. La silhouette eu une expression de frayeur et s'évapora d'un coup. Hermione était restée les yeux ouvert, debout au milieu de sa chambre de préfet.
Hermione ouvrit les yeux. Elle était assise à son bureau et s'était assoupit sur ses cours. La pièce était plongée dans le noir. Elle alla se coucher au ralentit . Elle se mit sous les draps et fixa le plafond de son lit à baldaquins. Des larmes lui coulaient sur les joues tant ce qu'elle venait de voir l'avait choquée.
Il était quatre heures du matin et dans sa chambre, Fleur de la cour non plus ne dormait pas. Elle s'était levée pour regarder à travers le carreau vitreux de la fenêtre et elle chantait tout bas :
Juste un regard
Une sensation
Un rien d'espoir, une attention de toi
Me revenaient parfois
Un sentiment
D'amour intense
Ne plus contrôler aucun sens en moi
Me trouble comme autrefois
Sans toi, je n'étais qu'un soleil sans chaleur
Une flamme de douleur
Qui se gèle quand je te vois
N'entends tu pas ma voix?
Prends ma main et je sécherai mes pleurs
Prends ma vie et je ferai ton bonheur
Laisse-moi te garder près de moi
Prends mon amour et offre-moi ton c?ur
Prends-moi dans tes bras je n'aurai plus peur
Laisse-moi te garder près de moi
Juste une envie
Comme un besoin
Sentir ma vie qui glisse entre tes mains
T'abandonner mon destin
Ce long silence
Comme une trêve
Cette impatience qui monte comme une fièvre
Qui fait vibrer tes lèvres
Pour toi je ferai tout un monde de douceur
Un rêve en couleur, une vie pour toi et moi
Où je guiderai tes pas
Savoir que tu m'aimes
Pour pouvoir effacer tes peines
Te blottir contre moi
Sûre que plus rien ne nous séparera
Elle s'arrêta soudain et fondit en sanglot.
Hermione Granger travaillait dans sa chambre. Il était plus de minuit et la flamme de la bougie posée sur le bureau de la sorcière vacillait et la cire coulait sur le bois sans qu'elle s'en rende compte. Le devoir de soins aux créatures magique était décidément trop dur. Ses yeux piquaient et la fatigue commença à se faire sentir. Les douze coups de minuit sonnèrent aux cloches de la tour ouest de poudlard et Hermione soupira. Un souffle froid se propagea soudain dans la pièce, comme un courant d'air. La bougie s'éteignit sur le bureau et Hermione sursauta. Ce qu'elle vit la figea. Une forme humaine s'était dessinée dans la pièce et un halot de lumière blanche l'enveloppait. Au bout de quelques instants, la lumière disparue et Hermione put voir plus en détails la silhouette. C'était un homme grand. Ces yeux étaient petits et il avait une bouche pulpeuse très belle. Hermione n'avait pas bougé depuis l'apparition de la silhouette. Elle se leva brusquement : « eh qui êtes vous ? » L'homme se détourna vers elle et la jeune fille put voir son visage. Le choc fut si violent qu'elle poussa un cri sourd et ses yeux s'ouvrirent grand. La silhouette eu une expression de frayeur et s'évapora d'un coup. Hermione était restée les yeux ouvert, debout au milieu de sa chambre de préfet.
Hermione ouvrit les yeux. Elle était assise à son bureau et s'était assoupit sur ses cours. La pièce était plongée dans le noir. Elle alla se coucher au ralentit . Elle se mit sous les draps et fixa le plafond de son lit à baldaquins. Des larmes lui coulaient sur les joues tant ce qu'elle venait de voir l'avait choquée.
Il était quatre heures du matin et dans sa chambre, Fleur de la cour non plus ne dormait pas. Elle s'était levée pour regarder à travers le carreau vitreux de la fenêtre et elle chantait tout bas :
Juste un regard
Une sensation
Un rien d'espoir, une attention de toi
Me revenaient parfois
Un sentiment
D'amour intense
Ne plus contrôler aucun sens en moi
Me trouble comme autrefois
Sans toi, je n'étais qu'un soleil sans chaleur
Une flamme de douleur
Qui se gèle quand je te vois
N'entends tu pas ma voix?
Prends ma main et je sécherai mes pleurs
Prends ma vie et je ferai ton bonheur
Laisse-moi te garder près de moi
Prends mon amour et offre-moi ton c?ur
Prends-moi dans tes bras je n'aurai plus peur
Laisse-moi te garder près de moi
Juste une envie
Comme un besoin
Sentir ma vie qui glisse entre tes mains
T'abandonner mon destin
Ce long silence
Comme une trêve
Cette impatience qui monte comme une fièvre
Qui fait vibrer tes lèvres
Pour toi je ferai tout un monde de douceur
Un rêve en couleur, une vie pour toi et moi
Où je guiderai tes pas
Savoir que tu m'aimes
Pour pouvoir effacer tes peines
Te blottir contre moi
Sûre que plus rien ne nous séparera
Elle s'arrêta soudain et fondit en sanglot.
