Je sais qu'il n'y a pas 10 reviews comme j'avais demandé, mais je pars en vacances, alors voici mon cadeau de départ ! ! !

A oui au fait, ouvrez bien vos mirettes, il se pourrait bien que je sorte une nouvelle fic à la fin de mes vacances ! ! ! ! ! ! Mais je dis rien pour le moment…

Mangemort

Le dernier chapitre. Sortez les mouchoirs. Peut être que certain s'était attendu à cette fin, d'autre peut être pas. En tout cas, maintenant c'est fini.

Je sais pas quoi dire. Je remercie bien sur tous ceux qui ont reviewé depuis le début :

Varda

Aria Lupin

Linalyna Malfoy

Vilya

ZOÏD

Kim

Mymy

Alician

Paprika Star

Naw_el

Did

KaiHei.

Tous n'ont pas forcément reviewé tous les chapitres, mais j'espère qu'ils ont tout lu !

Et J'aimerai remercier tout particulièrement :

Maria Ferrari, qui m'a fait comprendre qu'il était mieux que je mette plus de temps pour uploader que d'envoyer des chapitres bourrés de fautes ! !

Merci !

Et Raph, avec qui j'ai pensé aux scénarios les plus bidons possibles pour mes futures fics ! (Alors ce Sirius/Harry, c'est pour quand ?) Et avec qui j'ai discuté des Feux de l'Amour ! (Tu verras si ça, c'est pas un chap. FdlA ! !)

Merci, Raph ! D'être une super fanficeuse !

Voilà c'est tout !

Off you go !

Chapitre 5

… de la bataille finale.

J'ai fait un arrêt cardiaque suite à la réalisation. J'ai vraiment cru que j'allais y passer à un moment :

------- Flash Back -------

Je vois ma vie défiler devant mes yeux : les séances de torture de mon père, mes années à l'école, mon initiation, ma femme, mon enfant, son enfance et tout le reste… Je reste sur cette pensée la tout un coup. Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas ce qu'il se passe autour de moi. Peut être ma femme m'a-t-elle découvert et décidé d'organiser une partie pour fêter l'événement… je ne sais vraiment pas. Tout ce que je sais, tout ce que à quoi je pense, est ce que j'ai manqué et que j'allais manquer.

Mon fils, je l'ai vu grandir mais de loin, je l'ai aimé mais de loin. Et plus tard, je verrais son mariage mais de loin encore une fois. Je le verrai d'en haut, ou plutôt dans mon cas, d'en bas ! Ses enfants, sa vie, son mari et le reste, je ne serai jamais à ces côtés, je ne l'ai jamais été. J'ai l'impression pour la première fois de ma vie de me réveiller, d'ouvrir les yeux. Et la vérité fait mal, très mal : je ne suis qu'un raté. Un raté car j'ai tout raté : ma vie, mon mariage, mon enfant…

Je sens une secousse dans tout mon corps, je ne sais pas ce que c'est, mais ça me fait peur. Peut être est-ce mon âme, en supposant que j'en aie une, qui s'arrache de mon corps. Tout à coup, étrange je sais, je me suis souviens d'une chanson moldu. Qu'est-ce qu'elle disait déjà… à oui :

Dîtes à ma mère et mes frères que je les ai aimés,

Ce mot de vocabulaire, je l'avais oublié.

Je n'ai jamais été un garçon parfait,

La délinquance m'a touché,

Mais je n'étais pas mauvais.

J'ai fait des tas de choses qui ne serait pas bonnes à dire.

Que personne ne s'oppose si je parle d'un mauvais délire.

Ma vie en quelque sorte, j'ai toujours bien aimé cette chanson. Il y avait une autre partie de cette chanson qui m'a toujours fait réfléchir : et si c'était vrai ? :

La vie passe si vite,

Et la mienne ce soir est stoppée.

Doucement elle me quitte,

Je ne l'ai pas volé.

C'est sûrement le jugement de toutes mes bêtises.

J'avais oublié que Dieu sur mon âme avait main-mise.

J'ouvre difficilement les yeux, des médicomages sont à mes côtés utilisant toutes leur machines. J'ai envie de lever une main, de les arrêter, de leur dire que je le mérite. Mais je ne peux pas, je suis trop faible pour ça. J'entrevois une dernière chose :

Médecin, femme, beauté, étoiles.

Ca y est maintenant,

Je n'entends plus rien.

Il y a plein de gens,

Je me sens plutôt bien.

Des médecins s'agitent

Tout autour de moi.

Ca bouge et ça s'excite,

Je ne comprends pas pourquoi.

Je ne veux plus calculer,

Je regarde le ciel.

La soirée est étoilée,

La lune étincelle.

J'n'aurai jamais imaginé

Qu'la nuit était si belle.

C'est dans ces moments là que tout d'un coup tout s'émerveille.

Je ferme les yeux, je me sens glisser. C'est la fin.

Oh ! ça y'est,

Je me sens glisser,

Sur le chemin de la paix,

Je vais vous quittez.

L'étincelle, la flamme

Va me consumer.

Ne crachez pas sur mon âme,

Je n'l'ai pas mérité.

Voilà, c'est mon heure

Et tout devient noir.

Le dernier jour d'un voleur,

C'était mon dernier soir.

Je ne vois plus qu'une chose, maintenant. Mon fils. Et moi. C'est une photo de lui et moi à sa naissance. C'est une des seules photos où l'on peut me voir sourire. J'étais le plus heureux des hommes ce jour là : j'étais papa.

--------- Fin du Flash Back. ---------

Je me réveille une semaine plus tard. Je suis dans une chambre d'hôpital, Ste Mangouste, probablement. J'ouvre un œil, puis deux. La lumière me fait mal. Je me demande ce qui m'est arrivé. Je ne comprends pas.

Puis soudain, tout me revient. Comme une douche froide.

Comptes,

3653 galions,

Chèque,

Draco,

Soiton,

Vêtements,

Garde robe,

Pauvre,

Petit ami,

WEASLEY ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

Je me sens nauséeux. Vite vomir ! Je me tourne sur le côté et vomi tout ce que j'ai et n'ai pas dans mon ventre. Je m'affale sur le lit. Je me sens mal.

J'entends des bruits de pas. Des talons, claquer sur le sol. Je sens une odeur, un parfum. Orchidée. Le même que ma femme. Un sifflement et un murmure se suivent. Je sens, j'entends, mais je ne vois pas, je ne réagis pas. Je suis dans mon monde. Mon monde de stupeur. Mon monde de réalisation.

Une personne s'assied à mes côtés sur le lit. Cette personne a le même parfum que ma femme. Elle passe sa main sur ma joue, mon front, puis caresse doucement mes cheveux. Elle chantonne quelque chose. Je me focalise sur cette chanson, elle m'est familière. Je l'ai reconnue ! C'est une chanson que Cissa chantait à Draco quand il était petit. Je ne me souviens plus des paroles, alors je fredonne l'air.

La personne s'arrête de chanter et murmure à mon oreille :

" Ça va aller, maintenant. Tu vas voir, tout va bien. Il n'y a plus de problèmes, maintenant. Tu t'en es sorti. "

Je murmure :

" Cissa ? " Ma voix est rauque.

" Oui, Luc. C'est moi, je suis là, avec toi. "

Je rapproche mon corps d'elle comme un bébé vers sa mère.

" S'est passé, quoi ? "

" Je ne sais pas trop, honey. J'étais en train de lire, quand j'ai entendu un hurlement. Ton hurlement. Je me suis précipité vers ton bureau, et je t'ai vu là, allongé, presque mort. J'ai appelé les médicomages immédiatement. Et ils t'ont soigné. Crise cardiaque, ils ont dit. Choc émotionnel. Et… et… " Elle commence à pleurer. Je me mets dans une position assise, et l'entoure de mes bras. Je ne savais qu'un geste aussi simple que celui-ci pouvait être aussi dur. La douleur est partout dans mon corps. Engourdi, je pense. Elle continue :

" Ils m'ont dit qu'il y avait très peu de chance que tu survives et… et… que je devais m'attendre au pire. Et puis tu as ouvert les yeux tu m'as regardé avec ses yeux si… si… désespéré, si triste. Et tu as eut une autre attaque. Heureusement les médicomages étaient là et en faisant rebattre ton cœur, ils ont réussi à le faire rebattre à la normale. Oh Lucius j'ai eu si peur. "

Un frisson me parcoure l'échine.

" C'est bon, ça va bien maintenant. Je vais mieux. "

" Je t'aime tellement Lucius "

Aimer. Un mot que je n'ai jamais vraiment compris. Que je n'ai jamais dit. Mais en ce moment, ce que je ressentais, c'est de l'amour. Ca ne pouvait être que cela. Je bégaie :

" Je… je t'aime au…aussi, Cissa. "

Ses pleurs redoublent. Je me demande pourquoi. Décidément, je ne comprendrai jamais les femmes.

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Je sors un mois et demi plus tard. C'est maintenant la mi-avril. J'ai passé les meilleurs moments de ma vie à l'hôpital. Ma femme était là, pour moi. Elle prenait soin de moi. Plusieurs personnes du ministère sont passé me voir, dont Fudge. J'ai dû prétexter un mal de tête pour qu'on le fasse sortir. Pas un de mes collègues de mon autre travail ne sont venu me voir. Si ce n'est… Severus Rogue. Ce bon vieux Severus. J'ai été un peu surpris. J'ai toujours pensé qu'il me détestait. J'ai bien aimé sa visite, mais j'ai été surpris de ne pas voir Draco avec lui. Je lui aie demandé pourquoi il n'était pas là. Il est devenu nerveux et m'a dit qu'en vu des examens, il ne pouvait quitter le collège. Qu'il en était désolé, mais qu'il ne pouvait pas. Je crois que c'est le plus gros mensonge que quelqu'un ait pu me donner.

Je n'ai fait semblant de rien devant Severus. Mais après qu'il soit parti et qu'il n'ait eu plus personne dans la chambre, j'ai laissé mon masque tomber. Mon fils me détestait. Il n'était pas venu non pas parce qu'il ne pouvait pas mais parce qu'il ne voulait pas. Finit toutes mes belles illusions d'une famille parfaite.

Tout compte fait, ce n'était pas les meilleurs moments de ma vie, mais les pires.

Je retourne voir Voldemort peu après. Je sens que mon retour n'est pas très apprécié. Bien sûr, tous ceux ici me veulent mort pour pourvoir ma place de bras droit. Je ne sais pas quoi en penser. Je ne sais plus quoi en penser. La haine de mon fils m'a complètement retourné l'esprit. Alors je prends la solution la plus simple : la haine.

Voldemort a l'air content de me revoir. Evidemment, sans moi, il ne serait vraiment entouré que de débiles ! Enfin, il est tellement content, qu'il m'ouvre les portes de ses cachots. J'ai quartier libre. Je peux y faire ce que je veux. Alors je me défoule. J'ai eut plus de sang sur mes mains en un mois que dans toute une vie.

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Mi-mai.

C'est LE jour. C'est l'heure de la bataille finale. Voldemort a décidé d'attaquer à 2OH00, c'est la fin de journée, donc les élèves et les professeurs seront fatigués. Je n'ai pas osé lui dire qu'un espion (pour ne pas dire Severus) les a déjà avertis, et que, probablement, ils seront plus frais que nous, et mieux préparés.

Si je l'avais fait, Il aurait probablement pensé que je veux lui donner des ordres, et je me serais pris une demi-douzaine de doloris. Si je dois me battre, autant être intact.

Je sais que je ne passerai pas la nuit. Il y aura les professeurs, l'Ordre du Phénix, les aurors sûrement et les élèves qui ne sont pas à négliger. Alors, j'ai laissé une lettre à ma femme, lui expliquant mon geste. Ces derniers nous n'avons jamais été aussi proche et j'ai retrouvé la Narcissa d'antan. Je lui aie demandé de me pardonner pour mes crimes passés et ceux de ce soir. Et que je l'aimais. Ma lettre s'est finit comme ça.

Voldemort m'appelle. Je m'approche. Il me dit tout bas.

" Nous allons les laisser avec le gros des "troupes " ennemies. Toi et moi, Lucius allons pêcher un plus gros poisson… "

Oh ! Ca y'est, j'y suis ! Je pari mon coffre en banque : Potter !

" … Harry Potter ! Cette vermine mourra ce soir de mes mains. Je veux que tu sois là, Lucius. Ce soir, nos rêvent vont devenir réalité. "

Pauvre fou. Il ne réussira jamais à tuer Potter ! Mais je me garde bien de le dire. Si je dois mourir, ce sera au combat, et certainement par mon maître parce que j'ai la langue aussi fourchue qu'un serpent !

Je reprends ma place. IL donne le signal. Nous transplanons.

Je me retrouve dans la forêt interdite. Je suis à la droite du maître et une partie des troupes est avec nous. Une autre arrivera par le lac, une troisième par le terrain de Quidditch et une dernière à l'opposé de la notre, donc au sud de l'école.

Nous avançons. La marche prends plusieurs minutes.

Enfin nous arrivons au bout. Chacun sort sa baguette et fait une dernière prière. Enfin, nous apparaissons. Comme prévu, toute l'armée de Dumbledore est là. Mon fils est juste en face de moi, entre Potter et Weasley. La baguette prête, sans aucune expression sur le visage, prêt à se battre. Ca fait drôle de voir une expression comme celle-ci sur le visage d'un enfant. Mon enfant.

Non, je n'ai pas d'enfant, pas de famille, pas d'ami. Sur le champ, j'oublie tout. Et ces deux derniers mois, mon expression s'est durci, ma volonté et mes sentiments aussi. Mon cœur est devenu aussi froid et inexpressif que de la pierre. Enfin, excepté quand ma femme était là. Mais maintenant, toute sa joie et tout son amour se sont évaporé de moi, et je suis devenu une bête, une machine à tuer.

La bataille commence. Je me lance dans le tas avec tous les autres. J'observe mon maître. Au moment venu, je le suivrais pour coincer Potter. J'ai presque pitié de lui. Presque.

C'est bon, IL me donne le signal. IL a coincé Potter sur le terrain de Quidditch. Je vais sur la pelouse et me place derrière mon maître. Je n'écoute pas ce qu'ils disent. Leurs enfantillages ne m'intéressent pas. Enfin si, j'écoute d'une oreille distraite. Pour savoir quand je dois rire, et quand je dois sortir ma baguette.

Je dois sortir ma baguette. Potter L'a insulté. Je m'apprête a lancé un sort lorsque quelqu'un bondit devant le survivant. La silhouette fière, droite, et la baguette pointée à mon maître et moi. Je reconnais ce quelqu'un. La peau pâle, les cheveux blond, et des yeux d'argent.

Draco.

Je grogne.

Voldemort parle : " Mon petit Dragon. Ça alors… qui l'aurait cru. De mèche avec l'ennemi… Que s'est-il passé Dragon ? Tu l'as tellement surveillé pour moi que, quoi ? Tu es devenu son ami, son amant peut être ? "

IL rit à l'idée grotesque.

En réalité… pas si grotesque que ça. Et si ce n'était pas Weasley… et si c'était Potter, le petit ami de Draco. Je me souviens de Potter en seconde année… et surtout ses… vêtements… ce serait donc pour lui que Draco a acheté une nouvelle garde robe.

Tout a un sens !

Mais il est trop tard maintenant, trop tard. Pour moi. J'ai définitivement tout raté, et la vie de mon … non je n'ai pas de… de mon fils a été gâchée en prime. Il mourra ce soir et je ne pourrais rien y faire.

Je m'entends dire : " pousse-toi Draco. "

" Certainement pas, si vous voulez le tuer il faudra passer sur mon corps d'abord. "

Potter ouvre la bouche : " Dray, reste en dehors de ça. Tu savais que ça arriverai. Laisse le destin faire son choix. Je ne veux pas avoir ton sang sur mes mains en plus de celui des autres ! Surtout ton sang ! "

" Oui, oui Dragon ! Fait ce que ton petit copain t'ordonne, pousse-toi de là, et admire le spectacle ! "

Ma baguette est toujours droite, mais ma main tremble. Pas celle de mon fils. Il reste là, sans bouger d'un poil.

" J'ai dit sur mon corps " rugit-il.

Voldemort lance un sortilège. J'en ai déjà entendu parler…. Ah oui. Magie ancienne. Il interdit à Potter de faire de la magie, IL le place sous un dôme.

IL me regarde, et ses yeux lancent des éclairs il a comprit que je lui aie menti tout du long. Je ne passerai définitivement pas la nuit.

Il s'approche de mon fils, pointe sa baguette à lui et murmure : " endoloris. "

Draco tombe à terre, terrassé par la douleur, mais ne hurle pas. IL envoie une nouvelle vague de puissance, redoublant les effets du sort. Draco ne cri toujours pas, mais reste au cloué au sol, son corps secoué de spasmes.

Et une nouvelle vague.

Encore une autre. Cette fois ci, il ne peut se retenir et hurle. Hurle à plein poumon. Un cri désespéré, de haine, de faiblesse et de force.

J'ai envie de hurler. Je détourne les yeux et observe Potter. Il est encore sous le dôme, hurlant lui aussi, ses points frappant les parois machinalement, comme un désespéré. Cela ne devrait pas arriver. Il détourne lui aussi le regard, et me fait face. Une expression de pure haine barre son visage. C'est indescriptible, et terrifiant. Une sueur froide perle le long de mon dos. Je baisse le regard devant lui, et fixe Voldemort.

Tiens, il n'est plus "mon maître " maintenant. Il est redevenu simplement Voldemort. Je le scrute plus profondément.

Il sourit, il rit, même, à la vue de mon fils mourant presque devant ses yeux. Il relâche un peu la pression du sort, et je le vois bouger ses lèvres. C'est imperceptible, mais c'est là.

Une incantation.

Et vu sa longueur, une incantation mortelle.

Je ne peux pas.

Je ne peux pas laisser mon fils mourir.

Je réfléchis, vite. Un sort, n'importe lequel…

Je pointe ma baguette vers Potter et celui-ci me regarde presque avec crainte. Il croit que je vais le tuer probablement.

Je respire : " disparaît ".

Les parois du dôme flanchent et commencent à disparaître peu à peu.

Je reporte mon attention sur Mon fils et Voldemort.

Merde, l'incantation est presque finie. C'est une question de seconde.

Je ne réfléchi pas.

Mon choix est fait.

Je cours.

Je cours.

Aussi vite que je peux.

Enfin j'arrive.

Je me place devant Draco.

Et me prend les cinquante poignards.

Voldemort hurle.

Draco hurle.

L'un de rage, l'autre de peur et d'incompréhension.

Une cinquantaine de poignards se dirigent vers Voldemort maintenant.

Le miroir.

Le meilleur sort que je sois capable de faire.

Mais pas assez puissant cette fois ci.

Je me suis pris l'initial de plein fouet.

Voldemort évite certain des couteaux, mais certains l'atteignent.

Jambe gauche, il tombe.

Bras gauche, il le ramène contre sa poitrine.

Abdomen, il se pli en deux sous le choc.

Poumon droit, il crache du sang.

Je laisse le soin à Potter de finir le travail.

Liquide,

Chaud :

Sang.

Je saigne de partout.

Nez.

Bouche.

Oreilles.

Yeux.

Ma tête est reposée sur des genoux.

Un goût salé atteint ma bouche.

Larmes.

Draco, larmes.

" Pourquoi ? "

" Pour toi. " Je réponds. " Et lui ". Je montre Potter.

" Depuis quand tu sais ? "

" année dernière. Mais savais pas qui c'était. "

Ma voix faiblit.

" Merci "

" Tu dois pas "

Mes muscles se détendent.

Pour se retendre.

Une dernière vague de douleur puis plus rien.

Le trou noir.

J'entends juste : " je t'aime, papa. "

Voilà, c'est mon heure,

Et tout devient noir.

Le dernier jour d'un voleur,

C'était mon dernier soir.

FIN.

Disclaimer :

Pour les petits mots de la fin :

La chanson moldue en question : La confession de Manau.

Elle illustrait bien mon Lucius, alors voilà.

J'avais dit au premier chapitre que je m'étais inspiré d'un film : le scénario est simple : un père ennemi de son fils, mais lorsque celui-ci est sous la torture du Big méchant, le père prends tout à la place du fils, et meurt des conséquences. Le père et le fils sont réuni dans le même camp à la fin : du côté lumineux … de la force !

Et oui, c'était bien Star Wars : Le retour du Jedi ! !

Bravo à ceux qui avaient deviné avant que je l'écrive !

Aurum Potestas Est (Le pouvoir c'est l'or) vient de Artemis Fowl III et c'est la devise des Fowls.

Je tiens à dire qu'il n'y aura pas de suite du POV de Lucius, et il n'y en aura pas non plus du POV d'un autre. Désolée, si je déçois quelqu'un.

Et pour finir, C'EST PAS PARCE QUE C'EST FINI QUE VOUS POUVEZ VOUS ABSENTER DE REVIEWER ! !

Donc petit bouton go, MAINTENANT

Enfin, après les réponses aux reviews ! !

Naw_el : et bien, j'espère que tu as aimé ce chapitre, et qu'il était assez long à ton goût ! ! ! Quoique je n'ai pas trop compris tout ce que tu as écrit, j'en ai compris assez pour dire : moi non plus je l'aime pas ! Comment aurais-je pu OSER mettre une personne aussi délicieuse que Draco Malfoy, avec ce pouilleux de Weasley ? C'est tout bonnement inconcevable ! ! ! Merci en tout cas !

Maria Ferrari : Je suis ravie que tu aies aimé le dernier chapitre ! Et j'espère que tu adoré celui-ci ! J'ai changé les fautes dans le dernier chapitre, décidemment, même si je veux le contraire, je peux pas m'empêcher de faire des fautes bêtes et stupides ! Pour la phrase " ce garçon aura ma mort ", c'était de son fils qu'il parlait… peut être que c'était pas si ''obvious'' tout compte fait ! Lucius pensait effectivement que son fils sortait avec Ron ! ! Tu peux t'imaginer l'hoorreur ! ! Alors évidemment il a été tout contant quand il a vu que c'était Harry l'hooooooomme de sa vie ! ! Merci d'avoir reviewer et pour tes conseils, à bientôt, j'espère, et met vite la suite de ta fic! J'aimerai vraiment savoir pourquoi Lucius déteste tellement les moldus… à cause de sa sœur, OK, mais je vois pas pourquoi ! ? Bye et merci pour tout.

Did : oui, je suis très contante, merci ! ! Et oui, je fais du chantage ! Je suis née avec ça, c'est pas ma faute ! ! !

Kim : good comment ? Merci d'avoir reviewer à chaque chapitre ! J'espère qu'on se retrouvera bientôt sur FFNet ! Bye. (un dernière ch'tit review p'tet ?)

KaiHei : " Ravie que ça vous plaise " ! ! ! J'ai corrigé mes fautes du dernier chapitre (*honte* cours et part se cacher) merci de me les avoir signalée ! ! J'espère que ce chapitre t'as plus aussi ! ! Et merci pour la review !

Aria Lupin : Et bien, désolée, mais ce n'est pas un weasley ! J'espère que tu n'as pas été trop déçue… Pour moi, c'est préférable comme ça, mais j'espère que ça ne te gène pas trop… Merci encore pour avoir reviewé tous les chapitres ! A bientôt.

Varda : Hey, comment ça va ? J'espère que j'ai pu définitivement te renseigner sur le bon vieux football français ! ! ! (enfin la c'est modiale, mais bon…) Moi aussi je déteste les Dray/Ron, je suppose qu'un gros poids a été enlevé de ta poitrine maintenant ! Dray/Harry est tellement mieux ! ! En ce qui concerne les 750 galions… après tout, les Malfoys sont une des familles des plus riches ! ! Pour eux c'est à peine quoi 1/100 000 000 de leur compte en banque ! (et encore le compte en banque suisse, seulement ! Je ne parle de celui des îles Caîmen ou les fonds placés à Cuba… ou la je m'emporte moi ! ! !) Merci d'avoir reviewé chaques chapitres ! On se retrouvera bientôt, du moins je l'espère !

Message spéciale pour Raphaelle, si elle le lit : t'es passée où ? Si t'es en vacances t'aurais pu me le dire (*prend un air indigné*) ! ! En tout cas si c'est le cas : bonne vacances ! ! ! ! Je serais pas là pour les deux semaines à venir, mais on se verra (parlera ?) après… si t'es là bien sûr ! Dis, c'est pas trop tombé dans les Feux de l'Amour, quand même ? (*a peur*)