Un long frisson parcouru le dos d'Hermione lorsqu'elle sentit les mains de Fred glisser sur sa taille. Ah! Comme il était beau sans son chandail rouge et or. La faible lueur que procuraient les lanternes faisait danser les ombres sur le magnifique torse du batteur. Il la guida vers un banc, sans arrêter de la caresser et, avec milles précautions, l'aida à s'allonger sur celui-ci. Il fit glisser ses mains le long de son corps, sous la robe de sa victime. Il la débarrassa de cette inutile pièce de tissus, et se releva pour pouvoir admirer la magnifique jeune fille qui se trouvait sous lui. Il laissa courir son regard sur celle-ci, admirant la finesse avec lequel se dessine son cou et en regardant plus bas, les rondeurs qui apparaissent sous ses sous-vêtements. Après un instant de stupeur, il se pencha à nouveau, et l'embrassa tendrement. Le désir montait en lui, ses mains ne caressaient plus le dos de Mme Granger, mais parcourait maintenant le ventre de celle-ci, explorant les courbes, qui un instant auparavant, l'avait bouche bé. Puis, ses mains se rejoignirent pour enlever ce qui restait de vêtements et qui l'empêchait d'accéder aux plaisirs charnels qui l'attendaient.

Hermione, qui jusque là appréciait d'être aussi intime avec un garçon si séduisant, fut gênée par sa nudité soudainement révélée. Elle s'attendait à une réaction négative de la part de Fred, mais celui-ci, à en voir son air, semblait apprécier la vue qu'elle lui avait offerte. Il recommença à l'embrasser, et Hermione se dit qu'elle devait faire quelque chose, mais elle était figée de se retrouvée nue devant (ou plutôt sous) lui.

Qu'as-tu donc Hermione? Tu ne veux plus?

Fred tenta de se dégager mais c'est à ce moment précis qu'Hermione décida
de surmonter sa gêne et elle referma l'étreinte qui enlaçait les deux
élèves. Hermione soulagea le batteur de la présence de ses vêtements et
les deux se retrouvèrent nus. Hermione regarda le séduisant jeune homme
et dis :

Je croyais m'être faites assez claire, Frederik Weasley, je veux que tu me fasses l'amour, maintenant.

Fred n'attendait rien d'autre, il entreprit d'embrasser chaque centimètres du corps d'Hermione ce qui eu pour effet de la faire frémir de plaisir. Elle sentait le désir enfler en elle, elle ne pouvait plus attendre. Maintenant, chaque baiser, chaque caresse lui arrachait des gémissements, elle était prête, elle le voulait maintenant, c'était une urgence. Mais Fred prolongeait l'attente, caressant les parties les plus intimes de sa belle, ses mains allant de la poitrine de la jeune femme jusqu'au bas du ventre, explorant la source du feu de la passion qui consumait la raison d'Hermione, pour ensuite caresser son dos, faisant redescendre la tension créée. Il recommençait ensuite son manège en glissant ses mains vers le bas du dos faisant à nouveau gonfler le désir en lui. Hermione, sous cet assaut de tendresse et de caresses exquises, semblait flotter sur un nuage. Elle avait jusque là été passive, étant emportée par l'attention que lui donnait son partenaire, elle fit donc descendre ses mains d'autour du cou de Fred et apprécia de ses mains les épaules bien faites du joueur de Quidditch. Elle fit ensuite une descente vers le torse de celui-ci, caressant les muscles finement ciselés qui le forme. Elle s'intéressa longuement aux épaules et aux bras, qu'elle couvrit de baisers alors que ses mains couraient le long du torse de son amant. Elle continua ainsi pour un moment et elle pris alors le sexe de Fred et le massa avec des raffinements qu'il n'avait jamais imaginé, causant un faible gémissement de la part de celui- ci. De son côté, Fred ne se contenait plus, il n'avait pas assez de ses deux mains pour montrer à Hermione à quel point il l'a désirait. Il tremblait dans l'attente d'assouvir ses désirs. Puis, ne tenant plus, il repoussa délicatement les mains d'Hermione et entra en elle aussi doucement qu'il le pu. La belle brune se cabra et une interrogation s'imposa à l'esprit du rouquin. L'avait-elle déjà fait avec Ron? Ce dernier ne parlait jamais de ses ébats avec son ex-compagne, mais était-ce parce que, justement, il n'y avait rien à dire? Toutes ces questions tournoyaient dans la tête du jeune homme et il en oublia ce qu'il était en train de faire, ce qu'Hermione remarqua.

Qu'y a-t-il mon beau? demanda Hermione. Je ne te conviens pas? Tu ne veux pas vraiment de moi? Je suis désolé c'est moi qui t'es forcé, si tu veux, on peut arrêter.

Non, non. tout est parfait, répondit Fred en reprenant ses esprits.

Il déposa un doux baiser sur le front de la demoiselle et avec une tendresse infinie, entreprit de faire l'amour à la préfète des Gryffondors. Et il le fit avec habileté, car au bout de quelques instants, la jeune femme fut parcourue de longs frissons de plaisirs. Elle ne voulait plus que faire un avec lui elle le serrait si fort qu'on aurait cru qu'elle voulait se briser contre lui. La brûlure aigue qu'elle avait ressentie s'était transformée en un feu qui la rongeait lentement, qui montait en elle. Elle émit une plainte sourde qui venait du plus profond de son être, puis entre deux halètement, murmura à l'oreille de Fred :

Continue, c'est si bon.

Elle fut interrompue par un autre petit cri, et alors que Fred accélérait la cadence, elle fut submergée par une intense sensation de plaisir, elle ne se contenait plus, disant des bouts de phrases incohérentes à l'endroit de son amant dans le but de l'encourager à continuer. Quant à lui, Fred était au septième ciel, jamais auparavant il n'avait procuré autant de plaisir à une fille. Il ne voulait pas que ça cesse immédiatement alors il ralentit un peu le mouvement, dans le but de se contenir plus longtemps. Hermione semblait être plus calme, laissant échapper de faibles cris. Fred cru que le moment était venu pour lui d'en finir. Il se laissa donc aller, et dans un dernier mouvement, toute la tension qui s'était bâtie depuis le début tomba, laissant les deux amants dans un état second, où chacun d'eux repensait à ce qu'ils venaient d'accomplir.

Fred contempla Hermione, qui était étendue sous lui, toujours frémissante, les yeux fermés, le regard serein. Il regarda son visage qui trônait au milieu de la cascade que formait sa chevelure. Il se promit de ne jamais oublier cette image, d'une si belle femme, nue et .satisfaite.