Désolée, je ne maîtrise pas encore bien fanfiction.net, ce qui fait que je ne me suis pas présentée avant mon premier chapitre. Cette histoire est une aventure de nos amis si connus, initialement un tome cinq, mais ça n'a pas beaucoup d'importance. Il y a divers couples, que je vous laisse découvrir et deviner (c'est vraiment pas dur ! lol !). Je tiens à vous dire que la longueur de mes chapitres et la fréquence de parution de mes chapitres ne dépendent que de moi, ou plutôt de mon inspiration, qui malheureusement, tombe souvent en pane. J'espère e vous allez aimer, si vous avez des conseils ou des critiques, voir même des encouragements (on peut toujours rêvez ! lol !), faites m'en part !

Disclaimer : Ces perso ne sont bien sur pas à moi mais à JK Rowling, à part Silvera, dont je suis un peu fière, quand même !

Chapitre 2 : Le plus beau cadeau.

Harry se réveilla avec une impression de malaise qui disparu bien vite, chassé par le soleil qui filtrait par la fenêtre. Harry jeta un regard à sa nouvelle montre : il était 8H30. Cette montre était le cadeau d'Hermione, une amie de Poudlard, son école. Ronald Weasley, dit Ron, lui avait offert un paquet de bestioles en plastique qui bougeaient, une invention de ses frères qui étaient passés maîtres dans l'art des farces et attrapes. Rubeus Hagrid, professeur et garde chasse de Poudlard lui avait, quant à lui, offert un chapeau de l'équipe d'Angleterre de Quidditch, un sport entre le foot et le basket qui se joue sur balais et Sirius un sac de bombabouses de Pré-au-lard, une ville peuplée uniquement de sorciers. Malgré le plaisir que ces cadeaux lui avaient fait, Harry continuait de penser que le plus beau d'entre eux était le simple mot du professeur Dumbledore, le directeur de l'école :

Cher Harry, Comme je sais que tu n'aimes pas rester chez ton oncle et ta tante, je leur ai écrit ainsi qu'aux Weasley. Tu iras donc, si tu es d'accord, chez ton ami le dimanche 7 août à 13H30. Je joins à cette lettre la liste de fournitures de cette année ainsi qu'une certaine carte qui, je crois, t'appartient. A la rentrée
Le professeur Dumbledore.

Avec ce mot, Harry avait effectivement reçu « la carte du maraudeur », une carte crée par son père lorsque celui-ci était à Poudlard. Il suffisait de prononcer une certaine formule pour que la carte révèle tout Poudlard avec les passages secrets et les personnes s'y trouvant. Une autre formule et ces informations disparaissaient. Le c?ur de Harry n'avait fait qu'un bond : il détestait en effet la seule famille qui lui restait : les Dursley. Ses parents étaient morts il y a 14 ans, tués par un sorcier noir qui faisait trembler tout le monde à l'époque et il s'était retrouvé chez son oncle et sa tante. Malheureusement ceux-ci détestaient tout ce qui pouvait les faire paraître comme anormaux. Ils avaient donc caché à Harry qu'il était un sorcier jusqu'à ses onze ans où celui-ci avait reçu une lettre de Poudlard et où Hagrid était venu le chercher pour le conduire à Poudlard. Harry avait trouvé là-bas des amis... et des ennemis. Cependant, pendant sa troisième année d'école, il avait découvert l'existence d'un parrain, Sirius Black, qui passait pour l'assassin d'un certain Peter Petttigrow, dit Queudver. En réalité, Queudver avait livré ses parents à Voldemort et Sirius l'avait poursuivit. Harry repensait à tout ça en observant son visage dans une glace : ses yeux verts et ses cheveux noir en bataille, impossibles à coiffer. Son seul signe distinctif était une mince cicatrice en forme d'éclair que lui avait laissé Voldemort. Il était venu alors qu'il était dans toute sa puissance et avait tué ses parents : d'abord son père qui essayait de le retenir, puis sa mère qui s'était sacrifiée pour Harry, le rendant intouchable. Le sort que le mage noir avait alors lancé à Harry s'était retourné contre lui : il avait disparu. Cependant, Harry l'avait affronté plusieurs fois alors que celui-ci essayait de retrouver sa forme. Il y était finalement arrivé l'année dernière grâce au sang d'Harry, aux os de son père, (qu'il avait lui-même tué), et la main d'un de ses serviteurs Queudver lui-même. Il était revenu. Harry détourna le regard ; inutile d'avoir des pensées sombres ! Tout à l'heure, il allait retourner au Terrier, la maison de Ron, loin de son oncle, sa tante et son cher cousin. Ce dernier, nommé Dudley avait depuis sa naissance pris régulièrement du poids et était devenu assez gros pour occuper toute la place autour de la table, si bien que l'on avait du rajouter une rallonge. La tentative de régime que sa tante avait mis en place pour toute la maison l'année dernière avait lamentablement échoué : Dudley était plus gros que jamais.