Update : 12/11/03, remise en page.

Ce chapitre a été écrit sur papier, contrairement à la majorité des autres. Les paragraphes sont donc moins longs, le texte aussi. Oh, et ne faîtes pas attention aux répétitions, j'en ai repéré une bonne quantité ! Au fait, ce chapitre est dédié aux fans de Draco Malfoy. Pour ceux de Severus Rogue, il apparaîtra bientôt (le chapitre suivant ou un petit peu plus loin).

J'ai demandé si vous vouliez un résumé des chapitres précédents. Je n'ai qu'une seule réponse et elle était positive. Ce qui fait donc 100% de voix m'encourageant à le faire ! Pour ce chapitre, comme c'est la première fois que je le fais, le résumé portera sur toute la fic (il est donc assez long). Dites-moi si vous voulez que je continue les résumés !

Résumé général : James Potter, Lily Evans, Sirius Black, Remus Lupin et Peter Pettigrow ont trouvé un moyen de visiter le futur tout en continuant inconsciemment leur vie à leur époque. Ils partent donc pour l'an 2000, sachant que lorsqu'ils reviendraient après une année, ils n'auront aucun souvenir de leur voyage. En arrivant, ils sont dirigés vers Harry Potter qui leur explique toute leur situation, avec l'aide de Dumbledore. Peter est enfermé aux cachots du château en attendant leur retour. Ils passent donc les vacances à Poudlard. Après quelques péripéties (dont un anniversaire où Harry reçoit un pendentif particulier), la rentrée arrive. Dumbledore leur présente la remplaçante du Maître des Potions qui ne sera là que le début de l'année : Melle Glam. Cette fille est très bizarre, elle donne l'impression de lire les émotions et les pensées d'autrui. le nouveau prof de DFCM est Arthur Weasley qui a jugé plus utile d'apprendre à se défendre aux élèves plutôt que de rester à son poste du ministère. On apprend également que Harry, Ron et Hermione ont un lien sensitif cad qu'ils peuvent ressentir les émotions et sensations fortes de chacun d'eux. Le clan des 7 (maraudeurs(+Lily-Peter)+trio) décide de prendre des cours en + de DFCM. Moony (le vieux Remus) se dévoue. Ils commencent donc à apprendre l'Aura ou Ame de Feu mais n'arrivent à rien encore (seul Sirius arrive à créer de la chaleur) tandis qu'en cours, ils apprennent les patroni. Différentes formes des patroni : -Sirius : éclair (Harry : pardon) -James : licorne (qui l'a sauvé dans sa jeunesse) -Lily : loup (Remus : espoir de tolérance) -Remus : phénix (devinez.) -Ron&Hermione : lion (ça n'a pas de rapport avec l'héritier de Gryffondor !)

Ils trouvent un moyen de tenir compagnie à Remus et Moony à la Pleine Lune (les maraudeurs ne sont pas encore des animagi). Ils se métamorphosent donc à l'aide de Moony et Dumbledore pour une nuit : -Hermione : panthère -Ron : tigre -Lily : phénix (immortel comme son amour) -Harry : lion (ce n'est pas l'héritier de Gryffondor !) -les autres.ben leur forme.

Assez parlé, bonne lecture !


Chapitre 15 : Animaux, fatigue et prémonition

Harry s'étira et bailla. Puis, il ouvrit paresseusement un oeil. Il ne reconnut pas tout de suite où il se situait. Apparemment, il faisait encore nuit car la pièce était plongée dans les ténèbres. Malgré cela, Harry y voyait aussi bien qu'en plein jour. Un bruit se fit entendre, puis des éclats de voix suivirent. Harry sursauta, ne sachant plus s'il devait être sur ses gardes ou pas. Avant qu'il ne regarde autour de lui, il entendit un rugissement lointain, et un froissement de plumes. Harry se demandait réellement ce qui se passait. Il essaya de se mettre sur ses jambes mais perdit l'équilibre et tomba en arrière. Il jura et entendit en même temps un grognement rauque.

Puis, il comprit. Il se lança sur un débris de verre au sol et s'observa. Son reflet habituel n'y figurait pas. A la place, il vit l'énorme gueule d'un lion à la crinière emmêlée.




***



Lily vola près de la fenêtre. Elle voyait les rayons du soleil à travers les planches de bois clouées sur la vitre incassable. Le sort avait duré plus longtemps, semblait-il. Elle se souvenait vaguement de la nuit qu'ils avaient passé.cela ressemblait à un zoo moldu en pleine fête ! Le tigre et la panthère se battaient gentiment à coups de pattes mais sans les griffes tandis que le chien jouait avec le petit loup, Lily volait joyeusement autour du loup-garou adulte et le cerf poussait le lion avec ses bois. Bref, des vrais gamins ! Mais les jeunes animaux étaient toujours très joueurs, se remémora Lily. Tout à coup, elle remarqua que son esprit ne fonctionnait plus de façon primitive, mais humaine. A priori, le charme de durée allait bientôt se dissiper.



***





On frappa à la porte. James entrouvrit les yeux, puis observa deux grandes silhouettes pénétrer dans la pièce.

« Avez-vous passé une bonne nuit ? »

Dumbledore les regardait, les yeux pétillants. James essaya de répondre mais ne put qu'émettre un braillement.

Un braillement ?

« Ne vous donner pas la peine de répondre, dit le directeur en laissant échapper un petit rire. Je crois que Moony, dans sa crainte de vous voir redevenir humain avant l'aube, a un peu trop prolongé le Charme de Durée. »

James jeta un coup d'oeil autour de la salle. Au fond, un tigre et une panthère dormaient profondément, la tête dans les pattes l'un de l'autre. plus loin, un lion était assis bien droit et un petit phénix, perché sur la fenêtre, épiait attentivement la scène. Enfin, au milieu, se trouvait un chien noir au poil soigné au pied de Remus et Moony, endormis enlacés.

Doucement, les derniers s'éveillèrent, les yeux brumeux et ne comprenant pas vraiment la situation.

« Messieurs Lupin, il est temps de rentrer à l'infirmerie, dit Mme Pomfresh. »

Quelques minutes plus tard, l'infirmière avait placé les deux loups-garous sur des brancards et les avait sortis de la Cabane Hurlante. Pendant ce temps, Dumbledore s'était approché d'Harry.

« Puis-je vérifier quelque chose ? murmura-t-il. »

Au consentement de son jeune protégé, le directeur souleva la crinière du lion et découvrit que la cicatrice en forme d'éclair était toujours là. Pensif, Dumbledore replaça les mèches désordonnés sur la gueule du lion.

Soudain, James sentit une douleur lui parcourir le corps. Il baissa la tête, ferma les yeux et attendit que sa souffrance s'apaise. au bout d'un temps indéfinissable, il rouvrit les yeux et se passa la main sur le front. Et il réalisa qu'il n'avait plus ni poils, ni sabots !

Au moment où il croyait qu'il s'était définitivement transformé et avait repris sa forme initiale, il laissa échapper un cri. Sa tête semblait se déchirer, comme si quelqu'un enfonçait une épée dans son cerveau. Et la douleur disparût aussi vite qu'elle était apparue. Apparemment il avait perdu ses bois.

Puis, il observa ses amis et vit qu'ils avaient tous des grimaces sur leurs visages humains.

« Miss Granger, dit le vieux directeur, vous ne leur avez pas dit que la seconde transformation était douloureuse ? »

Hermione rougit violemment. A bien y réfléchir, elle y avait probablement fait allusion. Mais Hermione avait le don de se lancer dans des explications longues et fastidieuses, qui n'intéressaient absolument pas James. Harry n'avait as non plus l'air d'être au courant de cette souffrance prévue et James se souvint qu'il était dans les étoiles ce jour- là.

« Pour information, vos cours commencent dans une demi-heure, déclara le professeur. Et ne croyez pas que vous en êtes dispensé ! »

Sirius marmonna quelque chose comme 'c'est inhumain' et le directeur parût amusé de l'expression. ironique lorsqu'ils venaient de passer une nuit entière sous la forme d'animaux divers et variés. Ronchonnant, les six amis se levèrent et suivirent le professeur.



***





Harry, la tête dans les bras, somnolait sur ses manuels que Hagrid avait acheté pour lui cet été. Le professeur Binns lisait d'une vois morne ses notes sur l'éternelle révolte des Gobelins.

Harry sentit tout à coup un papier lui chatouiller la nuque. Il leva sa tête alourdie par la fatigue et s'aperçut qu'Hermione utilisait le sort de lévitation pour lui faire parvenir un morceau de parchemin. On aurait dit qu'elle n'arrivait pas à le manier de façon à ce qu'il se place sur le bureau d'Harry. L'épuisement lui faisait réellement un drôle d'effet. Harry soupira et dit 'Accio parchemin' tout bas. Il attrapa le mot et le déplia. Cela commençait par l'écriture de Ron, légèrement déformée.

'C'est mortel d'avoir Binns deux jours d'affilée ! Ils n'ont aucune pitié pour nous, à croire qu'ils veulent qu'on devienne comme le prof !'

Puis, il y avait une rature, comme si Ron avait tenté de poursuivre mais qu'Hermione l'en avait empêché.

'Harry, as-tu remarqué l'intensité de la douleur, tout à l'heure ?'

Et en effet, Hermione avait pris la place du rouquin.

'Ca doit être notre lien sensitif. La souffrance atteignait quasiment celle de Juin dernier. Selon moi, si nous sommes réellement liés, nous avons du sentir tous les trois le triple de ce que nous aurions du ressentir. Qu'est- ce que tu en penses ?'

Le message s'arrêtait là. Elle avait raison, Harry avait cru subir le Doloris une fois de plus. Il n'y avait absolument pas été préparé. Mais il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même. Il se fit une note mentale pour éviter de se perdre dans ses pensées lorsque Hermione expliquait quelque chose. Il fallait aussi qu'il réfléchisse plus à cette nouvelle condition.

Un mal de tête fit son entrée avec fracas et Harry, épuisé, laissa à nouveau tomber sa tête entre ses bras et fit un petit signe à Hermione. Si tout se passait comme il l'avait prévu, elle devrait l'interpréter comme un 'on verra plus tard, pour l'instant, je dors. Bonne nuit.'



***



Lily s'effondra sur son lit. Si Remus était toujours dans cet état après la Pleine Lune, elle comprenait aisément sa nécessité de passer quelques jours à l'infirmerie après la nuit maudite. Au moment où elle s'endormait, un effroyable cri retentit dans son dortoir. Deux autres similaires, mais plus masculins, s'étaient fait entendre en même temps un peu plus loin.

Lily sursauta et se précipita vers le lit voisin. Hermione, l'air choquée, s'était redressée sur son matelas, en sueur. Depuis leur petite discussion sur les priorités (n/a : voir chapitre 12), elle était effrayée d'un rien. Elle était presque devenue paranoïaque.

« Hermione ! Que se passe-t-il ? cria Lily. »

La brune déglutit péniblement et tourna son visage blafard vers son amie.

« Je... j'ai vu un meurtre se dérouler devant mes yeux..., dit-elle. »

Et Hermione éclata en sanglots.



***



James tenait la main de son fils tandis que Sirius étreignait Ron. Seamus et Dean, l'air hagard et perdu, observaient la scène et Neville était parti chercher un professeur. Le pauvre devait éternuer tout en courant dans les couloirs de Poudlard : il était toujours sous l'effet de l'allergie et aucun remède magique ne le guérissait.

« Ron ? Tu l'as senti ? demanda Harry, inquiet. »

« Pas seulement, répondit Ron en secouant la tête. Je l'ai aussi vu. »

James fronça les sourcils. De quoi parlaient-ils ?

McGonagall pénétra dans la pièce en robe de chambre écossaise et le chignon défait, suivie de Flitwick en costume d'elfe (nda : clin d'oeil à Ally McBeal, pour ceux qui connaissent) et de Bibine, la tête couverte d'un bonnet de nuit d'où pendait un vif d'or en peluche. Ç'aurait été comique si ça n'avait pas été autant déroutant. Neville avait du réveiller tous le personnel du château avec ses crises d'éternuement.

McGonagall s'approcha du lit d'Harry, et, d'une voix douce que James ne lui connaissait pas, demanda :

« Un nouveau cauchemar ? »

Harry hocha la tête, mi gêné, mi anxieux.



***



« Harry, peux-tu nous donner ta version ? demanda le directeur. »

Harry soupira mais obéit.

« Je venais de m'endormir, commença-t-il. J'ai été transporté dans la forêt interdite. Il n'y avait aucun sentier, aucune clairière, j'en ai donc déduit que c'était du côté de Pré-au-Lard : personne ne s'y risque à cause de ça. Draco Malfoy courait. Je l'ai suivi mais il était trop rapide pour moi, je peinais vraiment à le rattraper. Finalement, il a trébuché sur une racine et j'ai réussi à parvenir à sa hauteur. Au moment où j'allais lui demander ce qu'il faisait là, j'ai entendu des voix. Et en me retournant, je m'aperçut que Voldemort se tenait là avec ses mangemorts. Ils n'avaient pas de masque, alors j'ai pu en reconnaître quelques uns. Il y avait bien évidemment Queudver. »

Harry retint une mimique dégoûtée et poursuivit.

« Il était derrière Voldemort, à sa gauche. J'ai aussi vu McNair, le bourreau de la Comission et le Professeur Rogue un peu plus loin. Et à la droite de Voldemort, Lucius Malfoy tenait sa femme par le bras. Quand Draco les a vu, il a reculé mais Voldemort l'a empêché d'aller ailleurs avec un sort. Puis Lucius a fait venir son fils près de lui et il a sourit... mais d'une façon... si morbide... comme s'il était satisfait de la situation. »

Harry fronça les sourcils à ce souvenir. Il jeta alors un coup d'oeil à côté de lui. Ron fixait le mur d'un air absent et hermione avait enfoui sa tête dans ses bras, ne laissant entrevoir que sa masse de cheveux redevenus broussailleux à cette heure tardive de la nuit.

- « Continue, s'il te plaît, le pria Dumbledore. »




***





*Flash-back dans le rêve d'Harry*



« Draco, mon petit dragon, dit Voldemort de sa voix froide et étrangement aiguë. J'avais de grands projets pour toi, le sais-tu ? Ton père également mais il ne fait office que d'éleveur, pas de penseur. Quoiqu'il en soit, mes projets ont été ralentis. Sais-tu pourquoi ? »

Lord Voldemort observa Draco avec ses yeux de serpent. Ce dernier détourna le regard et fit non de la tête, craintivement.

« Tout simplement parce que le petit dragon n'a pas voulu devenir grand. Il s'est tout à coup demandé s'il ne préférait pas devenir un hippogriffe. Très fier, l'hippogriffe, mais sans aucun avenir parce qu'il est au centre de la chaîne alimentaire. Pourquoi ne veux-tu pas trôner au sommet de la chaîne alimentaire, petit dragon ? »

Draco resta silencieux, les yeux baissés. Où était donc passé son arrogance légendaire ? Le Seigneur des Ténèbres, sans quitter Draco des yeux, fit un léger signe de la main. Et Lucius, immédiatement, dit un mot, terrible : Endoloris.

Aussitôt, Draco s'écroula sous la puissance du sortilège.

« Je vais te poser pour la dernière fois ma question, reprit Voldemort. Veux-tu devenir mangemort ? »

Draco peina à se redresser mais demeura muet.

« C'est toi qui décides..., poursuivit Voldemort. Si tu rejoins mes rangs, tu auras le pouvoir et le suprême honneur de me servir. Si tu t'opposes à moi, je te pourchasserais et t'infligerais la plus terrible des punitions. Choisis ! »

Draco regarda autour de lui. Tous restaient impassibles. Il observa son père. Celui-ci le lui rendit avec des yeux gris et froids comme la pierre. Devant son hésitation, Voldemort secoua la tête, méprisant.

« Lucius, ordonna-t-il. »

Mr. Malfoy se retourna face à Narcissa. Et il répéta le sortilège : Endoloris ! Cette fois, ce fut le corps de Mrs Malfoy qui fut secoué de spasmes de douleur sous le regard horrifié de son fils.

« Maman ! cria-t-il. »

Voldemort esquissa un sourire cruel. Puis, il leva la main et la douleur sembla cesser : Narcissa se relevait déjà, appuyée contre son mari qui restait indifférent.

« Choisis, Draco, répéta Voldemort, amusé. Mais fais vite. Il ne te reste qu'une minute. »

Draco ouvrit de grands yeux effrayés et on put voir l'espace d'un instant ce que cachait habituellement l'acier : deux reflets torturés.



50 secondes

Un mangemort continua le compte à rebours

40

Draco posa la tête sur le tronc d'un arbre situé derrière lui.

30

Il regarda son père, puis sa mère, puis Rogue.

20

Draco inspira doucement et observa à nouveau le Maître des Potions.

10

Draco, angoissé, se mordit la lèvre, attendant une réponse, un espoir dans les yeux impénétrables de son mentor.

5

4

3

2

1

« Choisis ! »

Draco ne bougea pas, ne dit rien, comme paralysé.

« Avada Kedavra ! »




***




« Et Mrs Malfoy s'est écroulée pendant que Draco hurlait à s'en casser la voix. Ma cicatrice m'a tellement brûlé à cet instant que je me suis réveillé. Vous connaissez la suite. »

Dumbledore hocha la tête, visiblement inquiet.

« Cela correspond en effet aux récits de Mr Weasley et de Miss Granger. Je vous remercie tous les trois, cela n'a pas du être facile pour vous. Minerva, Nebula (n/a : Sinistra), pouvez-vous ramener ces élèves à leur dortoir, je vous prie ? Ils seront dispensés de cours demain. »



***





Lily se rongeait les sangs. Elle se rappelait exactement l'attente interminable qu'elle avait subi dans le dortoir des garçons pendant que le trio se faisait interrogé par le directeur. Et leur tête... en particulier celle d'Hermione, si ravagée. Son amie lui avait raconté brièvement son rêve avant de se coucher. D'après ce que leur avait dit Dumbledore, les rêves de Harry, quand ils avaient un rapport avec Voldemort, étaient prémonitoires. Et, combiné avec leur lien sensitif, Ron et Hermione voyaient également ses cauchemars et souffraient autant que lui lorsque sa cicatrice en forme d'éclair lui faisait mal.

« Si j'avais su ce que c'était réellement..., s'était lamentée Hermione. Toutes ces horreurs qu'il a du vivre. Ron et moi ne sommes que des compagnons de route. Il fait toujours la fin du trajet seul et c'est uniquement lui qui voit le pire et doit en supporter les conséquences. »

Hermione était réellement en phase de déprime. Et ce qui inquiétait Lily était qu'elle n'était pas la seule : tout le monde, plus ou moins, avait ses périodes de spleen en ce moment. Il fallait trouver le moyen de leur remonter à tous le moral.



Fin du chapitre !

Le prochain chapitre est entamé mais pas tapé. Je ne sais pas si j'aurais le temps de le taper ce week-end alors attendez vous plutôt à l'avoir la semaine prochaine ! Merci à tous les reviewers !