Dragon Ball Z et aucun de ses personnages ne m'appartiennent. Cette histoire a été écrite par mon amie Manue (momiiji@free.fr), je vous en supplie fait la revue ok elle est vraiment bonne alors c'est d'accord, bonne lecture!
LA SOURCE MAUDITE
Tout commença alors que Végéta s'entraînait dans la salle spéciale. Il avait envoyé une boule d'énergie un peu trop forte et avait détruit une grande partie de la salle. Bulma avait entendu le bruit et se précipitait dans sa direction. Lorsqu'elle vit le chantier, elle fut d'abord éberluée mais entra vite dans une colère noire. Elle se rendait compte que des mois de travail et d'effort avaient été détruits en quelques secondes.
Bulma : C'est pas vrai ! Quel goujat ! Regardez-moi ce travail ! J'en ai pour des semaines pour tout réparer !
Végéta : Et, bulma ! Tu pourrais t'inquiéter pour moi quand même !
Bulma : M'inquiéter pour toi ? Tu te fous de moi en plus ? Tu as vu ce que tu as fait ? Tu n'as aucun respect pour mon travail !
Végéta : Je suis désolé.
Bulma : C'est bien temps d'être désolé ! T'aurais pu y penser avant. Pour la peine, tu iras t'entraîner ailleurs. J'en ai marre de toujours réparer tes dégâts.
Végéta : Non, Bulma ! S'il te plait. Répares la salle et je ferai ce que tu veux.
Bulma : Ce que je veux ? Tu es sur ?
Végéta : Oui, tout.
Bulma : D'accord. Dans un premier temps tu vas ranger le grenier. Il en a grand besoin.
Végéta : Quoi ? Le grenier ? Tu ne peux pas me faire ça ?!
Bulma : C'est ça ou rien. Et tout de suite, pas demain.
Végéta (complètement dépite) : D'accord....
Végéta monta au grenier. D'ailleurs, on ne pouvait pas appeler cet endroit un grenier, c'était un vrai cafarnaum. Il y avait un nombre incroyable d'objets hétéroclites : des vieilles inventions que Bulma avait laissé tomber, des livres,... Enfin tout ce qu'on pouvait trouver dans un lieu pareil. Mais ce qu'il y avait le plus, c'était encore les livres. Alors il décida de commencer par ça. En plus ça lui semblait être le plus facile. Mais il déchanta très vite. C'était plus difficile qu'il le pensait et un livre c'est lourd. Pourtant il continua et il tomba sur un livre qui semblait ancien et surtout usé. Végéta s'installa, intrigué, et commença à le lire. Il parlait d'un vieux sage chinois qui connaissait des techniques de concentration qui permettaient de développer sa force de façon incroyable. Cette lecture intéressait beaucoup Végéta. Mais il se demandait si le vieux sage vivait encore. C'était peu probable, vu l'age que semblait avoir le livre. Mais il se renseignerait. Après tout, comme était justement un vieux sage, il n'y avait pas de raison qu'il ne vive pas encore. Mais avant, il fallait quand même finir de ranger le grenier. Végéta se résigna et continua. Au bout de plusieurs heures, il avait enfin fini. Il put enfin s'installer devant un des ordinateurs de Bulma et fit les recherches voulues. A sa grande surprise, le vieux sage vivait encore et il continuait même à enseigner ses fameuses techniques a qui voulait les apprendre. Végéta ne perdit pas de temps et se précipita chez Sangoku. Il lui raconta toute l'histoire et lui demanda s'il voulait y aller. Sangoku était aux anges, enfin une opportunité de développer ses forces.
Mais il y avait un mais. Ils devaient prévenir leurs femmes respectives car ça prendrait sûrement un certain temps. La réponse était celle qu'ils redoutaient : un non catégorique. Pourtant, à force de supplication, Bulma et Chichi cédèrent. A une condition, qu'ils prennent les transports normaux pour y aller et non par la technique de transport instantané de Sangoku.
Végéta : On irait pourtant plus vite avec la technique de Sangoku.
Bulma : C'est ça ou vous ne partez pas. "Vengeance, vengeance"
Végéta : D'accord, mais j'aime pas l'avion.
Bulma : Je sais, c'est ta punition.
Végéta et Sangoku n'étaient vraiment pas enchantés de prendre l'avion. Car si Végéta, ça le rendait nerveux, Sangoku lui, ça le rendait malade. Pendant ce temps, Chichi s'était occupée des passeports et Bulma des billets d'avion. Et le grand jour arriva enfin. Ils allèrent tous à l'aéroport et nos deux amis prirent l'avion. A peine avaient-ils décolle que les poignets du siège de Végéta ne ressemblaient déjà plus a des poignets. Sangoku, lui, devenait de plus en plus vert, jusqu'au moment ou il vomit tout son déjeuner sur le voisin d'en face. Il ne savait plus ou se mettre. Au bout de quelques heures, ils arrivèrent enfin a destination. Ils devaient maintenant aller à l'endroit où habitait le vieux sage. ET pour cela il devait y aller en car. Heureusement ce fut rapide.
Végéta : Enfin on est arrive. Bulma me paiera ça.
Sangoku : Arrêtes, c'était pas si déplaisant.
Végéta : C'est pas l'impression que tu donnais dans l'avion.
Sangoku : Regarde Végéta, le vieux sage est là bas. Vieux sage ! C'est nous, vos nouveaux disciples !
Le vieux sage : Mes nouveaux disciples, c'est bien. Sangoku et Végéta, c'est ça ?
Végéta : Oui, c'est ça
Sangoku : Moi c'est Sangoku. Coucou !
Le vieux sage : Je ne vous voyais pas si vieux.
Végéta : On n'est pas vieux !
Le vieux sage : Eh bien alors, on va commencer tout de suite.
Sangoku : Super.
Le vieux sage : Mais avant, il faut que je vous prévienne au sujet d'une chose très importante. Non loin d'ici, il y a une source. C'est une source maudite. Il ne faut surtout pas s'en approcher.
Végéta : En quoi elle est maudite ?
Le vieux sage : Ca, je ne peux pas vous le dire.
Justement, qu'est ce qu'il n'avait pas dit. Il avait fait l'effet contraire sur eux. A partir de ce moment la, Végéta et sangoku n'avaient qu'une idée en tête, aller voir cette fameuse source maudite. Mais ils n'eurent pas le temps avant un bon moment. L'entraînement que leur imposait le vieux sage ne leur laissait pas une minute de répit. Pourtant, un jour, ils purent s'éclipser. Ils trouvèrent facilement la source et s'en approchèrent.
Sangoku : Alors c'est ça la fameuse source ? Elle n'a pourtant pas l'air d'avoir quoi que ce soit de spécial.
Végéta : Le vieux sage nous aura raconté des histoires.
Mais Sangoku s'approcha dangereusement près du bord de la source. Il glissa et tomba. Dans sa chute il voulut se rattraper à Végéta qui tomba aussi. Ils sortirent très vite de l'eau. Consternes, ils comprirent très vite en quoi la source était maudite. Sangoku se retrouvait dans le corps de Végéta et Végéta dans celui de Sangoku.
Sangoku V : Mais qu'est ce que je fais dans ton corps ?
Végéta S : Je voudrais bien le savoir. Maintenant je comprends mieux pourquoi le vieux sage ne voulait pas qu'on s'en approche.
Sangoku V : Et qu'est ce qu'on fait maintenant ? Je ne veux pas rester comme ça moi ?
Végéta S : Et moi donc !!
Sangoku V : Et si on replongeait ? Ça ferait peut-être l'effet inverse ?
Végéta S : Oui, c'est une bonne idée. Dommage que ce ne soit pas plus souvent.
PLOUF . Les revoilà tous les deux à nouveau dans l'eau. Mais quand ils en ressortirent, rien ne s'était produit. Ils étaient dans la même situation.
Végéta S : Il faut aller voir le vieux sage. Il pourra sûrement nous dire quoi faire.
Sangoku V : Oui, allons-y.
Ils se mirent à courir pour aller plus vite. Mais Végéta n'était pas habitue au corps de Sangoku. Il s'emmêla les jambes et se retrouva à plat ventre. D'ailleurs, Sangoku ne tarda pas à se trouver dans la même position.
Végéta S : Je crois qu'il vaut mieux qu'on marche. On ira tout aussi vite.
Ah, il est là. Vieux sage, on a un problème.
Vieux sage : Oui, je vois ça.
Végéta S : Comment ça vous voyez ?
Vieux sage : Il suffit de vous regarder. Vous êtes allés à la source maudite. Je vous avais pourtant prévenu.
Sangoku V : J'ai pas fait exprès de tomber dedans et d'entraîner Végéta avec moi.
Vieux sage : Peut-être, mais le résultat est la. Je suis désole mais je ne peux rien faire pour vous. Il re vous reste plus qu'a rentrer chez vous.
Végéta S : Argh !!!! Mais je ne veux pas rester comme ça toute ma vie !
Sangoku V : Moi non plus !
Mais le vieux sage était déjà parti. Ils rentrèrent donc chez eux. Leurs amis auraient peut-être une idée. Ce trajet de retour fut pire que tout. Cette fois, dans l'avion, c'est tous les sièges que Végéta détruisit. Quand à Sangoku, il aspergea tous les voyageurs. A croire que Végéta a un plus grand estomac que lui. Après bien des ennuis, ils arrivèrent enfin à destination. Ils ne voulaient pas rentrer directement chez eux. D'ailleurs, comme leur problème avait nettement raccourci leur séjour, Bulma et Chichi ne pouvaient pas savoir qu'ils étaient rentrés. Ils préféraient aller chez Sangohan. Heureusement, il n'habitait plus chez ses parents depuis longtemps. Lorsqu'ils eurent fini de raconter leur mésaventure et ce qui en avait résulté à Sangohan, ce dernier se mit tellement a rire qu'il en était tombé à la renverse.
Végéta S : C'est pas drôle, Sangohan. Tu ferais mieux de trouver une solution.
Sangohan : Excuses-moi. Mais je t'imagine mal dans la peau de mon père.
Et il se remit à rire de plus bel. Au bout de quelques minutes, il se remit enfin de son hilarité. Il essaya de trouver une solution mais il n'avait pas idée
Sangohan : Je ne sais vraiment pas ce que l'on peut faire. Mais je vais continuer à chercher. Vous allez rester la et essayer de vous habituer à votre nouveau corps. C'est vraiment trop drôle.
Et le temps passa jusqu'au jour ou ils étaient supposes rentrer. Ils étaient obliges de rentrer chez eux. Mais ils ne voulaient rien dire. Végéta S alla donc rejoindre Chichi et Sangoku V Bulma. Végéta S souffrait beaucoup. Les plats de Chichi étaient délicieux mais elle, il ne l'avait jamais beaucoup aime. Et elle aurait bien voulu faire certaines choses avec lui. A ces moments la, il partait les jambes a son coup, une Chichi déconfite le regardant faire. Il espérait que Sangoku n'essaierait pas de profiter de Bulma, sinon il le paierait très cher. Il est vrai que Bulma aurait bien voulu, elle aussi, faire certaines choses. Mais pour ça, Sangoku avait la même réaction que Végéta. Le seul bon coté c'est qu'il pouvait profiter de la salle spéciale a volonté. Malheureusement, comme il ne maîtrisait pas très bien son nouveau corps, il ne pouvait pas l'utiliser comme il voulait. Pourtant, in jour, Végéta S n'y tint plus. Il avoua toute la vérité a Chichi. Cette dernière se mit dans une colère noire. Elle comprenait mieux le comportement de son suppose mari. Elle prit Végéta S par le bras et l'emmena de force jusqu'à Capsule Corp. Là, elle raconta tout à Bulma. Elle n'en revenait pas. Elle aussi comprit tout. Mais a l'inverse de Chichi, elle se mit tellement à rire que, comme Sangohan, elle en tomba à la renverse. Végéta S et Sangoku V ne savaient plus où se mettre.
Bulma : Mais pourquoi n'avoir rien dit plus tôt ?
Végéta S : Pour justement éviter ta réaction de tout à l'heure.
Bulma : Avoue que c'est drôle.
Végéta S : Non ! Je te jure que ce n'est pas drôle !
Bulma : Et à qui avez vous demandé conseil ?
Végéta S : A Sangohan. Et il n'a rien trouvé cet idiot !
Sangoku V : Traite pas mon fils d'idiot !
Végéta S : Si, c'est un idiot ! Il n'a pas été fichu de trouver une solution, il est comme son père !
Bulma : Arrêtez de vous disputer. Moi je sais ce que vous devez faire.
Végéta S : Quoi ?
Bulma : Allez voir Dundé. Si lui ne sait pas quoi faire, personne ne saura.
Végéta S : Mais biensur ! Que je suis bête de ne pas y avoir pense !
Sangoku V : Là, c'est toi qui l'as dit.
Végéta S : Ferme ta grande bouche ou c'est moi qui vais m'en occuper !
Bulma : Arrêtez ! Vous n'allez pas recommencer ! Allez, on y va.
Végéta S : On va être obligé d'y aller en avion.
Bulma : Pourquoi ?
Végéta S : On ne maîtrise pas nos corps, donc on ne sait plus voler.
Bulma : Ahahaha, c'est vraiment trop drôle
Et ils prirent l'avion au grand dam de Sangoku et de Végéta. Là encore, Végéta détruisit tous les sièges et Sangoku vomit tout son déjeuner. Bulma n'en revenait vraiment pas. Elle n'en pouvait plus tellement elle riait. Chichi, elle, était de plus en plus en colère. Ce serait vraiment temps qu'ils arrivent au palais de Dundé. D'ailleurs ils arrivèrent quelques minutes après et ce dernier les attendait.
Végéta S : Dundé, je suppose que tu es au courant pour nous. On n'a pas besoin de tout te raconter ?
Dundé : Non, j'ai tout vu et c'était vraiment très drôle.
Et rien que d'y penser, il se remit à rire et il en tomba à nouveau à la renverse accompagné de Bulma.
Chichi : Arrêtez de rire ! Ce n'est pas drôle !
Végéta S : Non, c'est pas drôle ! Tu as la solution au moins !
Dundé : Pardon. Oui j'ai la solution et la voila : La fusion !!
Végéta S : La fusion ? T'es pas un peu fou ?!! On ne maîtrise pas nos nouveaux corps ! Comment tu veux qu'on fasse la danse de la fusion ? De toute façon, je veux pas fusionner.
Dundé : Je suis désole, mais c'est la seule solution. Il va falloir vous y mettre.
Végéta S : J'en ai marre. Ca finit toujours comme ça.
Sangoku V : Allez Végéta, arrête de bougonner. On commence.
Et ils s'entraînèrent. Au bout de plusieurs heures, ils eurent droit à un Gogeta gros puis un maigre. Mais ils finirent quand même par réussir la fusion parfaite. Bizarrement, ce Gogeta là semblait plus fort que jamais. Mais là n'était pas le problème du moment. Il fallait attendre maintenant une demi-heure qu'ils défusionnent ce qui devrait leur rendre leur corps respectifs. La demi-heure était passée et ils défusionnèrent. A leur grand désespoir, ils étaient comme avant.
Dundé : Je ne comprends pas. Ca aurait du marcher.
Végéta S : Qu'est ce qu'on va faire maintenant ? J'ai pas envie de finir ma vie dans ce corps horrible et stupide !!
Sangoku V : T'as fini de m'injurier comme ça ? Tu crois peut être que ça me fait plaisir à moi d'être un nain de jardin ?!
Végéta S : Là, tu vas trop loin ! Je ne suis pas un nain de jardin !
Sangoku V : Si ! Tu es un nain de jardin ! Et moi je suis pas stupide !
Végéta S : Si, tu es stupide et.....
Dundé : Arrêtez !! J'ai peut être une autre solution. Attendez moi là.
Végéta S : Je vois vraiment pas où on pourrait aller.
Dundé : .......
Et il disparut. Quelques minutes après.....
Dundé : Voilà, j'ai des potaras.
Végéta S : Encore mieux. Maintenant, tu veux qu'on reste collé l'un à l'autre toute notre vie. L'échange de corps ne te suffit pas.
Dundé : Ecoute-moi bien, Végéta. Si tu dis encore un mot comme ça, vous vous débrouillez sans moi.
Végéta S : .......
Dundé : Allez, mettez les, tous les deux. Si cette fois ça ne marche pas, je ne saurais plus quoi faire.
Végéta S : Pitié, mon dieu! Sangoku, mets ça qu'on en finisse.
Ils mirent chacun une boucle d'oreille et fusionnèrent instantanément. Mais ils défusionnèrent tout aussi vite. Dundé croisait les doigts. qu'allait-il se passer ?
Sangoku : Youpi !! Ca a marché ! J'ai enfin retrouvé mon beau corps ! Je ne suis plus un nain de jardin !
Végéta : Attends ! Tu vas voir ce qu'il va te faire le nain de jardin !
Et ils se mirent à se battre. La vie avait enfin repris son cour normal. Dundé était heureux, ça avait marché. Bulma et Chichi aussi étaient heureuses. Elles retrouvaient enfin leurs hommes. La bataille allait être longue. Mais tout le monde, pour une fois, appréciait de les voir se battre. C'était enfin le vrai Sangoku et le vrai Végéta
FIN
