La cape
Le bruissement feutrer d'une cape Dans le long couloir désert Les flambeaux, dont la flamme vassille Éclaire faiblement celui qui se faufille dans le noir
Le hulument d'un hibou résonne dans le silence La lune, haute dans le ciel Étend sa lumière Comme de longs bras vous enlacant
Oh, une ombre, mystérieuse Le couloir désert renferme un secret Quelqu'un, seul sous sa cape À la recherche d'une âme charitable
La nuit noir ne peut ressentire Les sentiments douloureux du fugeur Masquer par sa longue cape Il fuit la réaliter
Regoindre la lune Son but, son idéal Dans se monde ou il est abandonner Il souhaite sa fin, ne plus avoir de fardeau à suporter
Il passe devant les tableaux endormie Tous savent qui se cache sous les reflets argenter de la cape Le bruit d'une larme qui s'écrase au sol Brisse dans un frémissement, le silence de plomb
Son but, sa destination Au somment de la tour il se tien Le rebord de la fenêtre l'acceuille Il est près à plonger
Il laisse tomber sa cape Mais seul son ombre s'étire sur le mur Il regarde une dernière fois la lune Son coeur se sère à l'idée de quiter ses amis
Il ferme ses yeux et plonge Le vide défile autour de lui L'aire sifle à ses oreille Il oublit tout et attend de choc final
Un bruit sourd retenti, personne n'y prête vraiment attention Vacant à leur occupation Pendant que l'âme du fugueur s'élève vers l'éterniter
La lune, brillant haut dans le ciel Couvre le corps innanimer Ses yeux ouvert Fixe une dernière fois les étoiles de la nuit.
Un bruissement de feuille, brisse le silence Une créature, tapis dans le noir S'avance à pas de loup Vers la silouhette étendu sur le sol
Un chien noir, au yeux d'ambre S'aproche, la lune guide ses pas Une voix dans sa tête résonne Une sourde terreure envahie son esprit.
Quand son regard croisa celui du fugueur Son coeur, s'arrêta Il se mit a hurler à la lune On venait de lui enlever un de ceux qui l'avait aider
Les porte s'ouvrit Dans une tempête de sanglot que le sage Dumbledore Pointa sa baguette sur le corps sans vie essayant en vain de le ramener.
Une larme coula sur sa joue rider Il couvrit son corp avec la banière du lion Les couleur du courage pour celui qui aurra vécu Toute sa vie dans l'ombre du survivant
Le bruissement feutrer d'une cape Dans le long couloir désert Les flambeaux, dont la flamme vassille Éclaire faiblement celui qui se faufille dans le noir
Le hulument d'un hibou résonne dans le silence La lune, haute dans le ciel Étend sa lumière Comme de longs bras vous enlacant
Oh, une ombre, mystérieuse Le couloir désert renferme un secret Quelqu'un, seul sous sa cape À la recherche d'une âme charitable
La nuit noir ne peut ressentire Les sentiments douloureux du fugeur Masquer par sa longue cape Il fuit la réaliter
Regoindre la lune Son but, son idéal Dans se monde ou il est abandonner Il souhaite sa fin, ne plus avoir de fardeau à suporter
Il passe devant les tableaux endormie Tous savent qui se cache sous les reflets argenter de la cape Le bruit d'une larme qui s'écrase au sol Brisse dans un frémissement, le silence de plomb
Son but, sa destination Au somment de la tour il se tien Le rebord de la fenêtre l'acceuille Il est près à plonger
Il laisse tomber sa cape Mais seul son ombre s'étire sur le mur Il regarde une dernière fois la lune Son coeur se sère à l'idée de quiter ses amis
Il ferme ses yeux et plonge Le vide défile autour de lui L'aire sifle à ses oreille Il oublit tout et attend de choc final
Un bruit sourd retenti, personne n'y prête vraiment attention Vacant à leur occupation Pendant que l'âme du fugueur s'élève vers l'éterniter
La lune, brillant haut dans le ciel Couvre le corps innanimer Ses yeux ouvert Fixe une dernière fois les étoiles de la nuit.
Un bruissement de feuille, brisse le silence Une créature, tapis dans le noir S'avance à pas de loup Vers la silouhette étendu sur le sol
Un chien noir, au yeux d'ambre S'aproche, la lune guide ses pas Une voix dans sa tête résonne Une sourde terreure envahie son esprit.
Quand son regard croisa celui du fugueur Son coeur, s'arrêta Il se mit a hurler à la lune On venait de lui enlever un de ceux qui l'avait aider
Les porte s'ouvrit Dans une tempête de sanglot que le sage Dumbledore Pointa sa baguette sur le corps sans vie essayant en vain de le ramener.
Une larme coula sur sa joue rider Il couvrit son corp avec la banière du lion Les couleur du courage pour celui qui aurra vécu Toute sa vie dans l'ombre du survivant
