Chapitre 13
Le doute persiste.
-J'étais sûr de te trouver ici, Harry. Harry sursauta, il se retourna. Remus venait d'apparaître dans l'encadrement de la porte.
-Remus! Comment as-tu su ?
-Harry! Tu sembles plus perturbé que d'habitude! Je m'en veux de t'avoir laissé seul pour affronter Voldemort!
-Je l'ai pas affronté! Il est venu me parler...
-Il ne t'a pas menacé?
-Pas moi! Mais il a menacé mes amis et ... surtout Sirius.
-Sirius est une grande personne, qui est très bien capable de se défendre contre Voldemort!
-Comme mon père!
-Harry!
-Je ne veux pas perdre la seule personne que j'aime vraiment! J'ai attendu 13 ans pour trouver quelqu'un qui avait de l'affection pour moi!
-Harry!
-Je m'en suis rendu compte, quand je me suis disputé avec lui, l'autre jour, que je l'aimais vraiment...comme un père. Et le voir souffrir, ça non jamais! Il a tellement souffert déjà, je veux le protéger; comme Ron et Hermione qui sont mes meilleurs amis. Si jamais par ma faute, il leur arriverait quelque chose... Jamais, je ne me le pardonnerais...JAMAIS! Tu entends Remus.
-Je comprends, Harry! Dans ce cas, si je ne peux pas te convaincre; je vais au moins t'aider, et te protéger. Je sais, que jamais, tu ne deviendras un nouveau Voldemort!
Harry se sentit rassuré par ses paroles de Remus, il avait l'impression qu'il était le seul à comprendre la situation.
-je suis désolé de t'impliquer dans mes histoires, Remus, alors que je sais que tu as tes propres ennuis!
-T''inquiète! C'est de la pacotille comparée au tien!
-Comment mon père a fait face à Voldemort?
-Il a essayé de le vaincre, et il s'est rendu compte qu'il ne pouvait pas. Voldemort a voulu tuer ta mère, et il s'est passé quelque chose, il s'est mis dans l'idée de tuer le bébé qu'elle portait, et elle s'est défendue. Puis tes parents se sont cachés, et tu es né. Ils n'ont pas arrêté de fuir. Dumbledore est arrivé et à parler à tes parents, ils ont acceptés une proposition. Puis ils sont mort en te protégeant!
-Quelle proposition?
-Je n'en sais rien! Même Sirius! Car Dumbledore leur a fait gardé le secret!
-Pourquoi Dumbledore cache t-il autant de choses?
-Ca, je ne sais pas!
Harry regarda dans les yeux Remus et il vit qu'il ne mentait pas.
-Harry! Tu devrais retourner à l'infirmerie avant que quelqu'un découvre que tu es revenu ici.
-D'accord!
-Et, promets moi d'en parler à Sirius!
-Non! Je ne veux pas lui faire encore de la peine!
-Tu préfères qu'il l'apprenne après?
-Non, bien sûr! J'aimerais trouver une autre solution.
-Tu n'es pas encore un vrai sorcier, Harry! Tu es loin de tout savoir! C'est normal que de penser aux autres, et à leur vie; mais si tu n'es pas encore capable de les protéger. Ton père aurait fait pareil, s'il avait été dans ta situation.
Décidément les paroles de Remus, lui semblaient alléger son c?ur!
-Je te remercie, Remus!
-Oh! Mais de rien, Harry!
-Je retourne auprès de Sirius, et j'essayerais de lui parler.
Harry arriva discrètement dans à l'infirmerie. A peine fut-il allongé, qu'il vit arriver Rogue et Dumbledore; mais il avait prit cette fois de la potion de Mme Pomfresh, et commençait s'endormir.
-Je vous assure, Peeves a vu un Griffon. Il a eut une peur bleue... Enfin façon de parler! Je suis sûr que c'est un coup de Potter...
Mais Harry n'entendit pas la suite car la potion avait agit. Le lendemain matin, il se réveilla tout frais; et il s'était juré de parler à Sirius de ses attentions! Mais Sirius n'était plus dans l'infirmerie. Il entendait des voix dehors.
-Harry semble avoir fait le bon choix, cependant les sages de l'Ordre du Ph?nix ont un doute!
-Il est jeune, Professeur Dumbledore. Et personne ne lui dit rien, comment voulez-vous qu'il sache où il en est?
-Il n'a pas besoin de le savoir, pour le moment.
-Mais...Voldemort va en profiter...
-Voldemort ne peut ABSOLUMENT plus venir à Poudlard! Nous avons refait, entièrement, la protection de l'école, et il faudrait vraiment être un dieu pour arriver à entrer!
-Très bien!
-Demain, Harry reprendra les cours avec Ambre. Je ne veux plus de problème!
Sirius retourné auprès de Harry, et veillez sur son sommeil! Harry entendit des pas s'éloigner, Sirius entra dans la pièce et vit son filleul, qui le regardait.
-Ah! Harry, tu es déjà réveillé.
-J'ai entendu la fin de votre conversation.
-Hum!
-Je t'adore, parrain! Tu m'as encore défendu.
A ces mots, Sirius lui souria. Le regard inquiet qu'il avait eut hier, sur Harry, avait complètement disparu comme les cernes sous ses yeux. Mais Harry était décidé de parler à son parrain.
-Sirius! Hier, j'ai eu une conversation avec Remus....
-Tu as dû la rêver, car tu avais pris la potion, coupa Sirius.
-Non! Répliqua Harry. J'ai fait semblant et je suis retourné à la cabane.
-Quoi! Tu n'as pas fait ça! Et si Vold...
-Il ne reviendra pas, coupa Harry. Enfin, pas tout de suite, Sirius...
-Comment ça, pas tout de suite? Harry, que...
-Comme tu le sais, il est venu discuter, et ...
-Et quoi?
-J'ai décidé de protéger ceux que j'aime.
-Tu lui as dit non?
-Je ne lui ai rien répondu encore, je ne suis pas encore assez fort pour te protéger.
-Harry!
-Je tiens à toi, plus que tu ne le penses, Sirius. Tu es comme un père, comme je le disait à Remus; jamais, je ne me le pardonnerais si jamais il t'arrivait quelque chose par ma faute! Je sais que je ne fais pas le bon choix, enfin, pour le moment, mais je le fais pour protéger ceux que j'aime. Je veux pas faire la même erreur que mon père !
-La même erreur? Je comprends, Harry. Mais je ne pense pas que tu fasses le bon choix.
-Et Dumbledore qui me cache toujours la vérité, il me manipule comme un jouet!
-Harry! dit Sirius, dont le timbre de la voix exprimait son inquiétude.
-Je veux bien croire que l'Ordre du Ph?nix soit important pour les héritiers de Godric, mais moi je n'ai pas eu une vie heureuse. Et je ne veux pas, que les seules personnes à laquelle je tiens, soient tuées par un fou.
-Harry, je ne savais pas, que pour toi, c'était si important!
-Je n'ai pas une véritable famille, je n'ai que toi, Ron, Hermione et Remus.
-Remus!
-Oui! Remus, il est aussi important pour moi! Sinon, tu crois que je me serais confié à lui. Lui aussi, je ne veux pas qui lui arrive quelque chose.
-Harry! Je me sens rassuré, tu ne pourras jamais être comme Voldemort, même si...
-Chut Sirius! On pourrait nous entendre, je veux que tu me promettes de ne le répéter à personne. Surtout pas à Dumbledore, et encore moins à l'Ordre du Ph?nix.
-Mais Harry, ils sont là pour toi!
-Ils sont là pour moi? Pour mes dons naturels, oui! Ils me protégent car je suis pas comme les autres, ils ont un intérêt dans l'histoire et tant que je n'ai pas mis les points sur les "i", je ne pourrais pas savoir ce que je dois faire .
-Mais tu prends un risque!
-Pour le moment, on va dire que je suis neutre!
-Mais, Voldemort!
-Voldemort m'a dit qu'il me laisserait tranquille pour le moment. Et je sais qu'il tiendra sa promesse, je l'ai vu avec Peter; même s'il l'a laisser souffrir, mais bon, c'est un sadique ce sorcier!
-Harry! Je ne pense pas que Voldemort tienne longtemps sa promesse.
-Je sais, il est dangereux, mais...
-Tu veux protéger ceux que tu aimes!
-Tant que je ne serais pas capable de vous protéger par moi-même, je ne veux pas prendre de risque de vous perdre.
-D'accord Harry, je te suis! Mais si, jamais il ne lève le doigt sur toi, je le tue même si j'y laisse ma peau! Je me suis promis de ne plus perdre, moi non plus, ceux que j'aime!
-Sirius! Je suis désolé de t'imposer ça, mais je voulais te le dire. Et surtout, je voulais que tu comprennes que je ne fais pas ça sur un coup de tête.
-Merci Harry! Et si on allait manger?
-Bonne idée!
Et ils s'en allèrent, de l'endroit où ils avaient discuté, bien à l'abri des regards indiscret. Au moment de sortir, Mme Pomfresh avertissa Harry, que le directeur l'attendait dans son bureau.
-Je t'accompagne, dit Sirius.
-Le professeur Dumbledore a demandé à le voir seul, expliqua Mme Pomfresh, gênée.
-D'accord, j'y vais! Sirius, on se retrouve plus tard!
-Attends, Harry le mot de passe est "passe muraille". Ils l'ont changé hier à cause de Tu-Sais-Qui, expliqua Sirius.
-D'accord! Mme Pomfresh, je tenais à m'excuser pour les frayeurs...
-C'est pas grave, Harry. Albus m'a expliqué...pas t'inquiétude.
-Merci !
-J'étais sûr de te trouver ici, Harry. Harry sursauta, il se retourna. Remus venait d'apparaître dans l'encadrement de la porte.
-Remus! Comment as-tu su ?
-Harry! Tu sembles plus perturbé que d'habitude! Je m'en veux de t'avoir laissé seul pour affronter Voldemort!
-Je l'ai pas affronté! Il est venu me parler...
-Il ne t'a pas menacé?
-Pas moi! Mais il a menacé mes amis et ... surtout Sirius.
-Sirius est une grande personne, qui est très bien capable de se défendre contre Voldemort!
-Comme mon père!
-Harry!
-Je ne veux pas perdre la seule personne que j'aime vraiment! J'ai attendu 13 ans pour trouver quelqu'un qui avait de l'affection pour moi!
-Harry!
-Je m'en suis rendu compte, quand je me suis disputé avec lui, l'autre jour, que je l'aimais vraiment...comme un père. Et le voir souffrir, ça non jamais! Il a tellement souffert déjà, je veux le protéger; comme Ron et Hermione qui sont mes meilleurs amis. Si jamais par ma faute, il leur arriverait quelque chose... Jamais, je ne me le pardonnerais...JAMAIS! Tu entends Remus.
-Je comprends, Harry! Dans ce cas, si je ne peux pas te convaincre; je vais au moins t'aider, et te protéger. Je sais, que jamais, tu ne deviendras un nouveau Voldemort!
Harry se sentit rassuré par ses paroles de Remus, il avait l'impression qu'il était le seul à comprendre la situation.
-je suis désolé de t'impliquer dans mes histoires, Remus, alors que je sais que tu as tes propres ennuis!
-T''inquiète! C'est de la pacotille comparée au tien!
-Comment mon père a fait face à Voldemort?
-Il a essayé de le vaincre, et il s'est rendu compte qu'il ne pouvait pas. Voldemort a voulu tuer ta mère, et il s'est passé quelque chose, il s'est mis dans l'idée de tuer le bébé qu'elle portait, et elle s'est défendue. Puis tes parents se sont cachés, et tu es né. Ils n'ont pas arrêté de fuir. Dumbledore est arrivé et à parler à tes parents, ils ont acceptés une proposition. Puis ils sont mort en te protégeant!
-Quelle proposition?
-Je n'en sais rien! Même Sirius! Car Dumbledore leur a fait gardé le secret!
-Pourquoi Dumbledore cache t-il autant de choses?
-Ca, je ne sais pas!
Harry regarda dans les yeux Remus et il vit qu'il ne mentait pas.
-Harry! Tu devrais retourner à l'infirmerie avant que quelqu'un découvre que tu es revenu ici.
-D'accord!
-Et, promets moi d'en parler à Sirius!
-Non! Je ne veux pas lui faire encore de la peine!
-Tu préfères qu'il l'apprenne après?
-Non, bien sûr! J'aimerais trouver une autre solution.
-Tu n'es pas encore un vrai sorcier, Harry! Tu es loin de tout savoir! C'est normal que de penser aux autres, et à leur vie; mais si tu n'es pas encore capable de les protéger. Ton père aurait fait pareil, s'il avait été dans ta situation.
Décidément les paroles de Remus, lui semblaient alléger son c?ur!
-Je te remercie, Remus!
-Oh! Mais de rien, Harry!
-Je retourne auprès de Sirius, et j'essayerais de lui parler.
Harry arriva discrètement dans à l'infirmerie. A peine fut-il allongé, qu'il vit arriver Rogue et Dumbledore; mais il avait prit cette fois de la potion de Mme Pomfresh, et commençait s'endormir.
-Je vous assure, Peeves a vu un Griffon. Il a eut une peur bleue... Enfin façon de parler! Je suis sûr que c'est un coup de Potter...
Mais Harry n'entendit pas la suite car la potion avait agit. Le lendemain matin, il se réveilla tout frais; et il s'était juré de parler à Sirius de ses attentions! Mais Sirius n'était plus dans l'infirmerie. Il entendait des voix dehors.
-Harry semble avoir fait le bon choix, cependant les sages de l'Ordre du Ph?nix ont un doute!
-Il est jeune, Professeur Dumbledore. Et personne ne lui dit rien, comment voulez-vous qu'il sache où il en est?
-Il n'a pas besoin de le savoir, pour le moment.
-Mais...Voldemort va en profiter...
-Voldemort ne peut ABSOLUMENT plus venir à Poudlard! Nous avons refait, entièrement, la protection de l'école, et il faudrait vraiment être un dieu pour arriver à entrer!
-Très bien!
-Demain, Harry reprendra les cours avec Ambre. Je ne veux plus de problème!
Sirius retourné auprès de Harry, et veillez sur son sommeil! Harry entendit des pas s'éloigner, Sirius entra dans la pièce et vit son filleul, qui le regardait.
-Ah! Harry, tu es déjà réveillé.
-J'ai entendu la fin de votre conversation.
-Hum!
-Je t'adore, parrain! Tu m'as encore défendu.
A ces mots, Sirius lui souria. Le regard inquiet qu'il avait eut hier, sur Harry, avait complètement disparu comme les cernes sous ses yeux. Mais Harry était décidé de parler à son parrain.
-Sirius! Hier, j'ai eu une conversation avec Remus....
-Tu as dû la rêver, car tu avais pris la potion, coupa Sirius.
-Non! Répliqua Harry. J'ai fait semblant et je suis retourné à la cabane.
-Quoi! Tu n'as pas fait ça! Et si Vold...
-Il ne reviendra pas, coupa Harry. Enfin, pas tout de suite, Sirius...
-Comment ça, pas tout de suite? Harry, que...
-Comme tu le sais, il est venu discuter, et ...
-Et quoi?
-J'ai décidé de protéger ceux que j'aime.
-Tu lui as dit non?
-Je ne lui ai rien répondu encore, je ne suis pas encore assez fort pour te protéger.
-Harry!
-Je tiens à toi, plus que tu ne le penses, Sirius. Tu es comme un père, comme je le disait à Remus; jamais, je ne me le pardonnerais si jamais il t'arrivait quelque chose par ma faute! Je sais que je ne fais pas le bon choix, enfin, pour le moment, mais je le fais pour protéger ceux que j'aime. Je veux pas faire la même erreur que mon père !
-La même erreur? Je comprends, Harry. Mais je ne pense pas que tu fasses le bon choix.
-Et Dumbledore qui me cache toujours la vérité, il me manipule comme un jouet!
-Harry! dit Sirius, dont le timbre de la voix exprimait son inquiétude.
-Je veux bien croire que l'Ordre du Ph?nix soit important pour les héritiers de Godric, mais moi je n'ai pas eu une vie heureuse. Et je ne veux pas, que les seules personnes à laquelle je tiens, soient tuées par un fou.
-Harry, je ne savais pas, que pour toi, c'était si important!
-Je n'ai pas une véritable famille, je n'ai que toi, Ron, Hermione et Remus.
-Remus!
-Oui! Remus, il est aussi important pour moi! Sinon, tu crois que je me serais confié à lui. Lui aussi, je ne veux pas qui lui arrive quelque chose.
-Harry! Je me sens rassuré, tu ne pourras jamais être comme Voldemort, même si...
-Chut Sirius! On pourrait nous entendre, je veux que tu me promettes de ne le répéter à personne. Surtout pas à Dumbledore, et encore moins à l'Ordre du Ph?nix.
-Mais Harry, ils sont là pour toi!
-Ils sont là pour moi? Pour mes dons naturels, oui! Ils me protégent car je suis pas comme les autres, ils ont un intérêt dans l'histoire et tant que je n'ai pas mis les points sur les "i", je ne pourrais pas savoir ce que je dois faire .
-Mais tu prends un risque!
-Pour le moment, on va dire que je suis neutre!
-Mais, Voldemort!
-Voldemort m'a dit qu'il me laisserait tranquille pour le moment. Et je sais qu'il tiendra sa promesse, je l'ai vu avec Peter; même s'il l'a laisser souffrir, mais bon, c'est un sadique ce sorcier!
-Harry! Je ne pense pas que Voldemort tienne longtemps sa promesse.
-Je sais, il est dangereux, mais...
-Tu veux protéger ceux que tu aimes!
-Tant que je ne serais pas capable de vous protéger par moi-même, je ne veux pas prendre de risque de vous perdre.
-D'accord Harry, je te suis! Mais si, jamais il ne lève le doigt sur toi, je le tue même si j'y laisse ma peau! Je me suis promis de ne plus perdre, moi non plus, ceux que j'aime!
-Sirius! Je suis désolé de t'imposer ça, mais je voulais te le dire. Et surtout, je voulais que tu comprennes que je ne fais pas ça sur un coup de tête.
-Merci Harry! Et si on allait manger?
-Bonne idée!
Et ils s'en allèrent, de l'endroit où ils avaient discuté, bien à l'abri des regards indiscret. Au moment de sortir, Mme Pomfresh avertissa Harry, que le directeur l'attendait dans son bureau.
-Je t'accompagne, dit Sirius.
-Le professeur Dumbledore a demandé à le voir seul, expliqua Mme Pomfresh, gênée.
-D'accord, j'y vais! Sirius, on se retrouve plus tard!
-Attends, Harry le mot de passe est "passe muraille". Ils l'ont changé hier à cause de Tu-Sais-Qui, expliqua Sirius.
-D'accord! Mme Pomfresh, je tenais à m'excuser pour les frayeurs...
-C'est pas grave, Harry. Albus m'a expliqué...pas t'inquiétude.
-Merci !
