Harry était enfermé dans le placard sous l'escalier, il était épuisé et aurai voulut dormir, mais la douleur infligée par les coups de son oncle, l'empêchait de se reposer, il avait mal partout, chaque parcelle de son corps le faisait extrêmement souffrir. Il se souvint comment cela était arrivé :

A son arrivé, devant le 4 privet drive, son oncle l'avait tiré hors de la voiture, l'avait entraîné dans la maison, l'avait jeté sur le sol et s'était mis à le frapper, d'abord en le martelant de coups de pied, puis en le frappant à l'aide de sa ceinture. Puis, son oncle l'avait enfermé dans le placard, où il avait passé les trois quarts de sa vie.

Et, depuis ce moment, sa vie était devenu un enfer, cela devait faire une semaine qu'il était nourrit seulement de pain sec et d'eau, qu'il obtenait après que son oncle se soit défouler sur lui en frappant,martelant de coups.

Harry pensait, en faite il avait pas grand-chose d'autre à faire, il voulait partir d'ici, ce venger et faire souffrir son oncle comme il souffrait en cet instant.

Une douleur traversa sa cicatrice, c'était la première fois depuis le début des vacances. Soudain, il entendit des cris d'affolement, puis une voix glaciale ordonnée qu'on tue son oncle, sa tante et son cousin et également qu'on le trouve.

Harry fut parcouru d'un frisson Voldemort était ici et il allait le tué, les secondes passaient cela semblait des heures Harry essayait de ne pas faire de bruit, pour pas qu'on le trouve. Qui pourrait pensé qui était dans un placard ?

Un mangemort parlait, il ne saisi pas tout, mais il comprit qu'il disait qu'il ne se trouvait pas dans la maison. Un silence se fit, puis Voldemort ordonna à ses mangemort de partir, il entendait des pas passaient devant la porte du réduit où il était. Puis plus rien, il ne pu empêcher un soupir de soulagement, mais il s'était trompé Voldemort n'était pas parti et il venait d'ouvrir la porte du placard avec la ferme intention de tuer Potter, quand il vit dans quelle état de trouvait le jeune sorcier.

Le seigneur des ténèbre regardait Potter, cette vue lui rappela un souvenir qu'il croyait enfouit pour toujours : C'était quand, il était dans cet horrible orphelinat plein de ces moldus, il s'était trouvé dans la même situation.

Il pouvait lire de la peur dans les yeux de celui qu'on appelait le survivant. Il sortit sa baguette pour le tuer, mais au dernier moment se ravisa et lui lança un sort simple de sommeil. Puis il se pencha, le pris dans ses bras et transplana vers son manoir. Lorsque Harry se réveilla, il se trouvait dans un lit très confortable. Il ouvrit les yeux, et découvrit que tout était à l'enseigne des Serpentards. Le lit, était en bois sculpté, et, dans le bois était gravés des petits serpent verts et argents. La ousse de couette arborait un énorme serpent noir et qui bougeait, les draps l'oreillé et le traversin était pareil. Il se demanda se qu'il faisait là, puis, tout revint, les cris affolés de son oncle, l'ordre de Voldemort de les tués, le départ des Mangemorts, et l'arrivée de Voldemort dans le placard. Mais, pourquoi ne l'avait-il pas tué ? Pourquoi l'avait-il amené dans cet endroit ? Après tout, il n'avait qu'une chose à faire, attendre la suite des évênements. A peine venait-il de penser à cette dernière solution, que la porte de la chambre où il était s'ouvrit, laissant place au Seigneur Des Ténèbres. --Ah, Potter est enfin réveillé, dit le mage noir. --Ouais, çà se voit non ? --Ouais. Puis, Harry dit une chose qu'iil n'aurait jamais pu imaginer de dire avant ces évênements : --Euh, je. je vous remercie. --Très bien, dit Voldemort de son habituelle voix glaciale. --Mais. euh. pourquoi ne pas m'avoir tué ? --Je t'en poses des questions ? --Non. Petite précision, je vous remercie de m'avoir débarassé de ces Moldus, et rien d'autre. --Tu aurait préféré mourir Potter ? --Vu les blessures que j'ai. --Bien Potter, dit Voldemort en s'avançant vers lui la baguette tendue, très bien. Harry se contracta. Il venait de pousser Voldemort à le tuer. Enfin c'est ce qu'il croyait. Voldemort agita sa baguette, et tous les émathomes disparurent avec leurs douleurs . --Merci Voldemort. --De rien. --Mais, qu'est-ce que vous allez faire de moi ? --Harry, je vais te prendre sous mon aile. --Comment çà ? Je vous remercie, c'est pas pour cela que je veux être en permanance avec vous et vos horribles serviteurs ! --Harry calme-toi, je. --Non ! C'est pas parce que j'ai dit un mot en votre faveur que je suis devenue un vieux singlé ! --De toutes les façons, tu ne sortira pas d'ici Harry. --Je m'en fiche ! Mais alors à un point que vous ne pouvez pas imaginer ! --Je te veux Potter, je te veux. Dans mes rangs serait le minimum, mon propre fils serait mon rêve. --Je suis le fils de James et Lily ! Pas de Tom Elvis Jeudusort ! --Je ai le nom de Tom ! Ne t'avise plus de m'appeler ainsi ! --Et pourquoi Tom ? --Endoloris ! La douleur s'empara de Harry, mais il faisait tout son possible pour ne pas crier. Puis, Voldemort baissa enfin sa baguette, et la douleur s'effaça. --Tu me rejoindra Potter ! Puis, le mage noir tourna les tallons et claqua la porte. Harry commençait à s'énerver. ***Queudver rentrait au manoir Jeudusort, avec la ferme intention de régler ses contes avec Lucius Malefoy, lorsque ce dernier apparut devant lui. --Ah, Queudver ! dit l'homme blond. --Endolo. --Expéliarmus ! Alors, t'es mal barré ! Tous çà pour dire que le maître te demande. --Très bien j'y vais, répondit Queudver en ramassant sa baguette. ***Voldemort attendait Queudver dans le fauteil directorial, le sien qui était couvert de dessins de serpents vert et argents.Quelqu'un frappa enfin à la porte. --Entrez, dit Voldemort. La porte s'ouvrit, et Queudver était dans son embrasure. --Entre, entre Queudver ! Queudver avança d'un pas mal assuré en direction de Voldemort. --Queudver, amène-moi Sirius Black vivant. --B. bien maî. maître. --Aurais-tu peur Queudver ? C'est de moi ou de ta mission ? --C'est de.Q.. de Sirius. --Va t'en vaincre ta peur, espèce de trouillard. Queudver sortit de la pièce. Il sortit du manoir, et se rendit dans le cimetière qui était en bas de la coline. C'était le seul point de transplanage le plus proche. ***Harry faisait les cent pas dans sa chambre, lorsque Voldemort ouvrit la porte et entra. --Potter tu va me rejoindre ou je tue Sirius Black. --Bon, d'accord je viens. --Suis moi, je vais te former. --Oui Voldemort, mais je veux que Sirius soit en parfaite sécurité. --Très bien, vous serez tous deux dans cette chambre vu que qu'elle est assez vaste. --Oui, et je ne veux personne d'autre. --D'accord. --Et, je veux le voir tout de suite. --Bien Potter. Il suivit Voldemort dans un dédale de couloirs et d'escaliers. Arrivé devant une port, Harry entendit des cris de douleur poussés par la voix de Sirius. Sans attendre, il prit sa baguette et ouvrit la porte. Il découvrit alors Sirius qui se tordait de douleur sous les Endoloris d'un homme blond : Lucius Malefoy. --Arrête Lucius ! ordona Voldemort. Mais le Mangemort l'ignora. Harry se précipita et donna un vigoureux coup de pied dans le ventre de Lucius qui eu le souffle coupé, et qui lacha sa baguette. L'expression de douleur qui était tracée sur les traits de Sirius s'évanouit alors.

J'espère que cela vous a plu ! Dites le moi !