Lut ! me revoici avec un nouveau chapitre !
Bon, les review maintenant :
Mimi, Harry est content car son oncle l'a vraiment mal-traité pendant
l'été. Mais qui c'est ? Peut-être n'en veut-il pas aux autres.
Saael, je suis désolée, mais cette histoire ne sera pas un slach.
Kim, je suis contente que çà te plaise.
Euh. iavais qui d'autre ? Bah je remercie tout le monde ! sans exeption !
Et, si la prochaine fois vous voulez vraiment que je vous cite, dites-le
moi dans vos reviews.
Ainsi que si vous avez des idées pour la suite !
Bon, le chapitre.
Bonne lecture !*
Chapitre 5 :
Harry aterit en plein milieu du salon des Dursleys. --Qu'est-ce que tu fiche ici toi ! hurla Vernon. Donc, Voldemort ne les avaient pas tués. --Je t'es posé une question ! L'homme m'a dit que tu ne reviendrais pas si je ne faisait que de.
--Quoi ! Voldemort vous a parlé ?
--Oui !
--Très bien.
Il pointa sa baguette magique vers son oncle. Mais quelque chose l'empêcha de lancer l'Endoloris. Il n'avait pas le droit de faire de la magie en dehors de Poudlard. Si le manoire de Voldemort était protèger du ministère, le 4 Privet Drive ne l'était pas. Harry le savait mieux que quiconque. Il se dit alors que c'était ce que voulait Voldemort, l'exclure de Poudlard. Mais, d'un côté, il voulait se vanger de son oncle. Que faire ? Fallait-il risquer l'exclusion de Poudlard, ou la colère de Voldemort ? Harry resta là, la baguette en l'air. Lorsqu'il sentit quelqu'un s'approcher derrière lui. Il fit volte face, et vit Lucius. --Qu'est-ce que tu fais là ordure de Malefoy ! Je te hais ! Dégage! C'est pas ta mission! --Eh eh ! Potter se rebelle ! Harry n'y teint plus, il prit le bras de Malefoy et celui de son oncle, puis posa son pied sur le Portoloin. Ils atterirent dans la pièce Seignoriale, où Voldemort était assit dans son fauteuil. --Ah ! Harry ! Qu'est-ce que tu fais là Lucius ? --Maître, je suis désolé. --Tu n'avais pas à accompagner Potter ! Voldemort claqua des doigts, et des elfes arrivèrent. --Emmener ce blond dans la salle de torture, et attendez-moi. --Voldemort ? risqua Harry d'une voix mal assurée. --Appelle-moi maître ! --Non. --Si ! Endoloris ! Harry parvint à éviter le trait rouge de justesse, grace à ses réflexes de Quidditch, le sport des sorciers. --Non ! ma salle ! hurla Voldemort. Harry fit un geste de sa baguette, et le trait rentra dans cette dernière. --Comment as-tu. fais ? --Je ne sais pas trop, un reflexe. --Bon, je t'emmene dans la salle de torture avec ton oncle.
--Ok.
--Allez, viens ici Vernon ! dit Harry, d'une voix glaciale qu'il ne se connaissait pas.
--C'est çà.
--Impero ! Suis moi.
Harry suivit Voldemort, Vernon sur ses tallons. Mais, il se souvint de sa tante et de son cousin.
--Je. pourrais pas plutôt aller voir Sirius ? Et avez-vous libérer Lupin ?
--Ton ami est hors de ce manoir.
Je peux aller le voir ? --Si tuveux, je m'occuperais de ton oncle. Harry sortit du manoir, et transplana au quatre Privet Drive. Mais, comment avait-il transplané ? Il n'en avait aucune idée. Il atterit encore une fois dans le salon des Dursleys. --Tante Pétunia ! pars avec Dudley ! hurla-t-il. --Pourquoi ? demanda sa tante. --J'ai ordre de vous tuer mais je ne veux pas le faire, allez suivez moi ! --Il y aura une télé où on sera ? --Oui, dit Harry. Il pensa que personne ne lui reprocherai de faire un peu de magie pour sauver quelqu'un. Il pointa sa baguette sur la télé et murmura : --Reducto. La télé devint aussi petite qu'un timbre poste. Harry la débrancha d'un autre coup de baguette, et la fit fonctionner sans couran puis la tendit à Dudley. --Magnifique ! dit-il. --Bon aller, on part. Donnez-moi la main. Il empoigna la main de sa tante, et mit son autre main sur l'épaule de Dudley, puis transplana vers l'ancienne cachette de Sirius à Pré-au-lard. --Il ne faut surtout, surtout pas bouger d'ici, prévint Harry. --Mais Harry, comment allons-nous faire pour vivre ? --Hum, je viendrais vous apporter à manger, et j'essayerais de vous enseigner la magie pour que vous sachiez vous défendre en cas d'attaque. Harry avait une petite idée derrière la tête. Mais, il laissa sa famille et retourna auprès de Voldemort. --Tiens Harry, je t'attendais, dit le Lord. --Ah ? J'ai une petite faveur à vous demander m. maître. --N'hésite pas à m'apeler maître, et c'est quoi ta faveur ? --Je voudrais, que vous alliez chercher mon cousin et ma tante, essayez de remener mon cousin, et faite ce que vous voulez de ma tante. --Tu veux faire quoi de ton cousin ? --Un sorcier, mais je le veux sans l'influence de ses parents, et peut-être sera-t-il un Mangemort. Ces derniers mots eurent de l'effet. --Un Mangemort de plus ! Oui, je vais faire toute la mise en scène. --Et je ferais semblant de vous combattre. --Très bien. Aufait, trouve toi un nom de Mangemort, je les appelle par leurs noms de famille sinon, mais je préfère les surnoms car cela ne vous révèle pas trop aux espions. --J'y réfléchirai. Harry pensa à Cornedrue son père. Mais, il chercha plus loin. James ? Dobby ? tant pouvaient convenir. --Bon, va vers ta tante, j'arrive Harry. --D'accord. Et il transplana là-bas. Dudley regardait son minuscule écran de télévision, tandis que Pétunia lisait un journal. --Harry ! Par ta faute Dudley. --Arrête maman ! Laisse le ! Harry entendit du bruit. --Oh non. murmura-t-il d'une voix tremblante. --Quoi ! hurla la tante Pétunia. --Chut, dit Harry entre ses dents c'est Voldemort. l'assassin de tous pleins de gens... Harry pointa sa baguette sur Dudley, prononça une formule, et son gros cousin devint d'une grosseur normale, moins gros que d'habitude ! Puis, il se retourna vers l'entrée. Il vit une ombre se glisser dans la grotte. --Ah ! Bonjour Harry Potter ! -Voldemort? --Bien! Endoloris! Harry ne chercha pas à éviter le sort, car sinon sa tante n'aurait pas vu l'effet. Il se tordit donc sur le sol, tout de même en évitant de hurler. Puis, Voldemort stopa enfin l'effet du sort. --Attendez Voldemort, mettez u mur enti son, si vous êtes intelligent. --Bonne idée Potter ! Merci ! Pétunia se leva et se mit à côté de Voldemort, face à Harry. --Gente dame, tu veux tuer Harry avec moi ? lui proposa Voldemort. --Oui ! s'exclama Pétunia. Dudley se précipita alors à côté de Harry, face aux deux adultes. --Dudley ! Pense à la magie ! hurla Harry, penses-y très fort. Puis Harry dit magicus en pointant sa baguette sur Dudley. Aussitôt Dudley en savait autant que lui et avait une baguette magique dans la main. Le soucis, c'est que c'était un effet temporaire de deux heures.Sauf que Voldemort fit de même avec Pétunia. Mais elle ne savait pas tout. --Impero, dit'elle la baguette visant son neuveu. Dudley regarda avec attention. --Etrangle Dudley, reprit-elle. C'était le meilleur moment. Harry fit un clin d'?il dicscet à son maître, puis avança vesrsson sousin les mains en avant. Il le saisit au cou, puis transplana hors de la grotte. Ils atterrirent devant Honeidukes, la boutique de bonbons. --Hum, fit Dudley en regardant la boutique. --Suis moi discrètement, dit Harry à son cousin. Ils se glissèrent dans le magasin, et Harry se glissa discrètement derrière le gichet, suivit de Dudley. Il se glissa dans la cave de la confiserie, et ouvrit la trappe qui menait au passage secret qui reliait le magasin à Poudlard. Mais, s'il allait à Poudlard pourrait-il retourner avec Voldemort, et revoir Sirius vivant ? Il referma donc la trappe et remonta, aillant toujours Dudley sur ses tallons. Harry acheta quelques bonbons, puis transplana à nouveau dans la grotte. Voldemort était partit. --Ouf, fit Dudley. --Tu l'as dis ! --Et maintenant ? --Je ne sais pas moi ! Restons ici, en attandant la prochaine agitation. --Ouais, dit Dudley perplexe.Mais Harry sentit soudain une présence. --Tiens, Tom tu es toujours là ? lança-t-il. Une silhouette sortit de l'ombre. --On dirait bien Potter ! Répondit Lord Voldemort. --Tu veux un autre duel Tom ? --Ne me tutoie pas, et ne m'appelle pas Tom ! Je te veux dans mes rangs de Mangemorts ! hurla Voldemort, apparemment il refaisait tout pour la mise en scène. --Jamais ! hurla Harry. --Alors je tue Black ! --Ok Tom, tu as gagné. --NE M'APPELLE PLUS JAMAIS TOM ! ENDOLORIS ! hurla Voldemort lus en colère que jamais. En plus d'être un mage noir redoutable, c'était aussi un brillant acteur. Harry se tordait de douleur sous les yeux horrifiés de son cousin. Puis Voldemort baissa sa baguette, prit les deux jeunes par le bras et transplana vers son manoir.
Voilou ! il a mi le temps à venir celui là hein ? Ouais mais ul est plus long ! Et jsuis dsl pour les sauts de lignes mais j'y peux rien.
Chapitre 5 :
Harry aterit en plein milieu du salon des Dursleys. --Qu'est-ce que tu fiche ici toi ! hurla Vernon. Donc, Voldemort ne les avaient pas tués. --Je t'es posé une question ! L'homme m'a dit que tu ne reviendrais pas si je ne faisait que de.
--Quoi ! Voldemort vous a parlé ?
--Oui !
--Très bien.
Il pointa sa baguette magique vers son oncle. Mais quelque chose l'empêcha de lancer l'Endoloris. Il n'avait pas le droit de faire de la magie en dehors de Poudlard. Si le manoire de Voldemort était protèger du ministère, le 4 Privet Drive ne l'était pas. Harry le savait mieux que quiconque. Il se dit alors que c'était ce que voulait Voldemort, l'exclure de Poudlard. Mais, d'un côté, il voulait se vanger de son oncle. Que faire ? Fallait-il risquer l'exclusion de Poudlard, ou la colère de Voldemort ? Harry resta là, la baguette en l'air. Lorsqu'il sentit quelqu'un s'approcher derrière lui. Il fit volte face, et vit Lucius. --Qu'est-ce que tu fais là ordure de Malefoy ! Je te hais ! Dégage! C'est pas ta mission! --Eh eh ! Potter se rebelle ! Harry n'y teint plus, il prit le bras de Malefoy et celui de son oncle, puis posa son pied sur le Portoloin. Ils atterirent dans la pièce Seignoriale, où Voldemort était assit dans son fauteuil. --Ah ! Harry ! Qu'est-ce que tu fais là Lucius ? --Maître, je suis désolé. --Tu n'avais pas à accompagner Potter ! Voldemort claqua des doigts, et des elfes arrivèrent. --Emmener ce blond dans la salle de torture, et attendez-moi. --Voldemort ? risqua Harry d'une voix mal assurée. --Appelle-moi maître ! --Non. --Si ! Endoloris ! Harry parvint à éviter le trait rouge de justesse, grace à ses réflexes de Quidditch, le sport des sorciers. --Non ! ma salle ! hurla Voldemort. Harry fit un geste de sa baguette, et le trait rentra dans cette dernière. --Comment as-tu. fais ? --Je ne sais pas trop, un reflexe. --Bon, je t'emmene dans la salle de torture avec ton oncle.
--Ok.
--Allez, viens ici Vernon ! dit Harry, d'une voix glaciale qu'il ne se connaissait pas.
--C'est çà.
--Impero ! Suis moi.
Harry suivit Voldemort, Vernon sur ses tallons. Mais, il se souvint de sa tante et de son cousin.
--Je. pourrais pas plutôt aller voir Sirius ? Et avez-vous libérer Lupin ?
--Ton ami est hors de ce manoir.
Je peux aller le voir ? --Si tuveux, je m'occuperais de ton oncle. Harry sortit du manoir, et transplana au quatre Privet Drive. Mais, comment avait-il transplané ? Il n'en avait aucune idée. Il atterit encore une fois dans le salon des Dursleys. --Tante Pétunia ! pars avec Dudley ! hurla-t-il. --Pourquoi ? demanda sa tante. --J'ai ordre de vous tuer mais je ne veux pas le faire, allez suivez moi ! --Il y aura une télé où on sera ? --Oui, dit Harry. Il pensa que personne ne lui reprocherai de faire un peu de magie pour sauver quelqu'un. Il pointa sa baguette sur la télé et murmura : --Reducto. La télé devint aussi petite qu'un timbre poste. Harry la débrancha d'un autre coup de baguette, et la fit fonctionner sans couran puis la tendit à Dudley. --Magnifique ! dit-il. --Bon aller, on part. Donnez-moi la main. Il empoigna la main de sa tante, et mit son autre main sur l'épaule de Dudley, puis transplana vers l'ancienne cachette de Sirius à Pré-au-lard. --Il ne faut surtout, surtout pas bouger d'ici, prévint Harry. --Mais Harry, comment allons-nous faire pour vivre ? --Hum, je viendrais vous apporter à manger, et j'essayerais de vous enseigner la magie pour que vous sachiez vous défendre en cas d'attaque. Harry avait une petite idée derrière la tête. Mais, il laissa sa famille et retourna auprès de Voldemort. --Tiens Harry, je t'attendais, dit le Lord. --Ah ? J'ai une petite faveur à vous demander m. maître. --N'hésite pas à m'apeler maître, et c'est quoi ta faveur ? --Je voudrais, que vous alliez chercher mon cousin et ma tante, essayez de remener mon cousin, et faite ce que vous voulez de ma tante. --Tu veux faire quoi de ton cousin ? --Un sorcier, mais je le veux sans l'influence de ses parents, et peut-être sera-t-il un Mangemort. Ces derniers mots eurent de l'effet. --Un Mangemort de plus ! Oui, je vais faire toute la mise en scène. --Et je ferais semblant de vous combattre. --Très bien. Aufait, trouve toi un nom de Mangemort, je les appelle par leurs noms de famille sinon, mais je préfère les surnoms car cela ne vous révèle pas trop aux espions. --J'y réfléchirai. Harry pensa à Cornedrue son père. Mais, il chercha plus loin. James ? Dobby ? tant pouvaient convenir. --Bon, va vers ta tante, j'arrive Harry. --D'accord. Et il transplana là-bas. Dudley regardait son minuscule écran de télévision, tandis que Pétunia lisait un journal. --Harry ! Par ta faute Dudley. --Arrête maman ! Laisse le ! Harry entendit du bruit. --Oh non. murmura-t-il d'une voix tremblante. --Quoi ! hurla la tante Pétunia. --Chut, dit Harry entre ses dents c'est Voldemort. l'assassin de tous pleins de gens... Harry pointa sa baguette sur Dudley, prononça une formule, et son gros cousin devint d'une grosseur normale, moins gros que d'habitude ! Puis, il se retourna vers l'entrée. Il vit une ombre se glisser dans la grotte. --Ah ! Bonjour Harry Potter ! -Voldemort? --Bien! Endoloris! Harry ne chercha pas à éviter le sort, car sinon sa tante n'aurait pas vu l'effet. Il se tordit donc sur le sol, tout de même en évitant de hurler. Puis, Voldemort stopa enfin l'effet du sort. --Attendez Voldemort, mettez u mur enti son, si vous êtes intelligent. --Bonne idée Potter ! Merci ! Pétunia se leva et se mit à côté de Voldemort, face à Harry. --Gente dame, tu veux tuer Harry avec moi ? lui proposa Voldemort. --Oui ! s'exclama Pétunia. Dudley se précipita alors à côté de Harry, face aux deux adultes. --Dudley ! Pense à la magie ! hurla Harry, penses-y très fort. Puis Harry dit magicus en pointant sa baguette sur Dudley. Aussitôt Dudley en savait autant que lui et avait une baguette magique dans la main. Le soucis, c'est que c'était un effet temporaire de deux heures.Sauf que Voldemort fit de même avec Pétunia. Mais elle ne savait pas tout. --Impero, dit'elle la baguette visant son neuveu. Dudley regarda avec attention. --Etrangle Dudley, reprit-elle. C'était le meilleur moment. Harry fit un clin d'?il dicscet à son maître, puis avança vesrsson sousin les mains en avant. Il le saisit au cou, puis transplana hors de la grotte. Ils atterrirent devant Honeidukes, la boutique de bonbons. --Hum, fit Dudley en regardant la boutique. --Suis moi discrètement, dit Harry à son cousin. Ils se glissèrent dans le magasin, et Harry se glissa discrètement derrière le gichet, suivit de Dudley. Il se glissa dans la cave de la confiserie, et ouvrit la trappe qui menait au passage secret qui reliait le magasin à Poudlard. Mais, s'il allait à Poudlard pourrait-il retourner avec Voldemort, et revoir Sirius vivant ? Il referma donc la trappe et remonta, aillant toujours Dudley sur ses tallons. Harry acheta quelques bonbons, puis transplana à nouveau dans la grotte. Voldemort était partit. --Ouf, fit Dudley. --Tu l'as dis ! --Et maintenant ? --Je ne sais pas moi ! Restons ici, en attandant la prochaine agitation. --Ouais, dit Dudley perplexe.Mais Harry sentit soudain une présence. --Tiens, Tom tu es toujours là ? lança-t-il. Une silhouette sortit de l'ombre. --On dirait bien Potter ! Répondit Lord Voldemort. --Tu veux un autre duel Tom ? --Ne me tutoie pas, et ne m'appelle pas Tom ! Je te veux dans mes rangs de Mangemorts ! hurla Voldemort, apparemment il refaisait tout pour la mise en scène. --Jamais ! hurla Harry. --Alors je tue Black ! --Ok Tom, tu as gagné. --NE M'APPELLE PLUS JAMAIS TOM ! ENDOLORIS ! hurla Voldemort lus en colère que jamais. En plus d'être un mage noir redoutable, c'était aussi un brillant acteur. Harry se tordait de douleur sous les yeux horrifiés de son cousin. Puis Voldemort baissa sa baguette, prit les deux jeunes par le bras et transplana vers son manoir.
Voilou ! il a mi le temps à venir celui là hein ? Ouais mais ul est plus long ! Et jsuis dsl pour les sauts de lignes mais j'y peux rien.
