Chapitre 6 Un plan contre le traître

Le trio atterri dans la pièce où était le trône de Voldemort . --Qu'est-ce que c'est ici ? demanda Dudley. --C'est ma salle personnelle, répondit Voldemort. --Vous êtes un vieux roi ? --Quoi ? un vieux roi ? Je suis le plus puissant sorcier du monde ! hurla Voldemort. Endoloris ! hurla-t-il de nouveau. Dudley évita le sort de justesse. Le trait se dirigeait rapidement vers un serpent sculpté en argile. --Noooooon ! hurla le Seigneur Des Ténèbres. Harry essaya de récupérer le sort, mais en vain. Le serpent fut brisé, et le trait continua sa course. Harry se précipita alors sur la trajectoire. Il se le prit de plein fouet, mais Voldemort fit cesser la douleur très vite et ainsi rien d'autre ne fut cassé. --Ton cousin ne me plaît pas ! Je vais le tuer ! Harry ne voulait pas voir çà, mais il semblait qu'il ne pouvait éviter de ne point assister à la scène. Mais quelqu'un frappa à la porte. --Entrez, dit Lord Voldemort. C'était Sirius. --Mon Lord, pourrais-je vous emprunter Harry ? questionna Sirius sur un ton vraiment glacial. --Biensûr Black , répondit l'héritier de Serpentard entre ses dents. Harry se précipita aux côtés de Sirius et sortit de la salle de Voldemort. --Harry ? --Oui Sirius. --Hum. euh. c'est-à-dire que Voldemort à capturé Hermione, comme c'est une soit disante Sang-De-Bourbe. --Quoi ? Mais que va-t-il en faire ? --Je ne sais pas. --Ah, ah, la petite Granger ? demanda une voix derrière eux. C'était. --Encore toi Lucius ? hurla Harry hors de lui. Mais tu es un petit toutou ou quoi ! Tu me suit tout le temps partout ! J'en ai marre ! --C'est çà, moi un toutou ? Si tu avait connu tes parents Potter, tu saurais vraiment ce qu'est une ordure ou un chien ! lança Malefoy. Harry s'avança vers Lucius et lui donna un vigoureux coup de pied dans le ventre, puis il enchaîna des coups de poings de tête. il se défoulait sur le blond, mais il s'apperçut bientôt qu'un gros chien noir et hirsute venait de mordre la jambe de Malefoy Seignor de toutes ses forces. Harry recula, laissant Sirius à son ?uvre, préférant regarder le spectacle de loin. Le blond recula, mais fut vite plaqué contre le mur. Il n'avait pas d'issue, si ce n'est que Voldemort sortit par hasard de sa salle, et pour éviter des ennuis à Sirius, Harry siffla le chien pour faire croire que l'animagus était un simple chien dressé. Sirius vint aux pieds de Harry. --Potter ? Justement c'est toi que je cherchais. Dit Voldemort. --Oui m.. euh. oui ? que me voulez vous ? demanda Harry. --Tu étais bien partit Potter ! J'exige que tu m'appelle maître. Harry essaya de nouveau. --Oui maît. mon lord ? --N'essaie rien d'autre pour te sortir de là ! J'exige maître ! -Maît --Je t'ordonne d'aller jusqu'au bout ! Maître, prononça Harry avec difficulté. --Bien potter ! Bon tu retournera biensùr à Poudlard, mais il faut acheter tes affaires scolaires. Qu'est-ce qui te ferait plaisir aussi ? --Que Black soit libre. --Exécution ! hurla Voldemort. --Et avec qui j'irais au chemin de traverse ? --Tu iras avec Queudver. --D'accord, répondit Harry. En entendant cette conversation et le nom de Queudver, le chien commençait à grogner. --Je monte dans ma chambre. --D'accord Harry, et réfléchit à ton surnom. --Oui. Et Harry tourna les tallons et prit la direction de sa chambre, patmol sur ses tallons. Une fois dans la pièce, Sirius reprit son apparence normale. --Avec Queudver ! Et toi tu accepte d'aller avec cet ordure de traître, tu va faire confiance à l'assassin de James ! Mais qu'est-ce qui t'as pris d'accepter ! Je. -Calme toi Sirius ! J'ai une petite mise en scène à faire, l'interrompit Harry. --Comment çà ! --Tu sais que le père de Ron travaille au ministère, je n'aurais qu'à m'arranger pour tomber sur lui au bon moment, et puis après tu pourrais être innocenté ! Et puis il ira a Azkaban, on pourra aller le voir et lui faire tout ce que l'on voudra ! Il faut seulement que je m'assure qu'il ne prendra pas la fuite en se transformant en rat.. --Harry, tu es un génie ! s'exclama Sirius. --Je vais essayer d'aller voir Ron, mais il ne faut pas que ce Lucius me suive sinon çà ira très mal pour moi. --Tu n'as pas la cape de James ? demanda Sirius.

--Non, je n'ai aucune affaire, Voldemort m'a amener lui-même, et il ne m'a rien amener comme affaires. Je porte des robes qu'il m'a prêtées. --Je vois. --Bon reste ici, je vais aller chercher mes affaire à Privet Drive, et je reviens ensuite puis j'irais voir les Weasleys. --D'accord, cela marche ! Harry sortit de la chambre laissant Sirius seul derrière lui. Il descendait vers le point ou l'on pouvait transplaner. Il était arriver à bon port, lorsqu'il entendit son nom. --Potter ? Il fit volte-face, et ne vit personne, si ce n'est qu'un papillon. « J'ai dù rêver, pensa-t-il ». Mais il entendit un plissement de cape à sa gauche. Il s'en moquait après tout, il transplana donc. Dans la maison des Dursleys, Harry trouva Ron et sa famille. --Qu'est-ce que vous faites ici ? demanda Harry surprit. --On est venu te chercher, pourquoi ? demanda Ron. --Mais... --Harry, on t'as écrit et on a eu aucune réponse, on s'inquiétait. --Mr Weasley ? demanda Harry. --Oui Harry? --Demain, je vais au chemin de traverse avec un assassin qui sera surement déguisé. Je voudrais que vous le capturiez avec le ministère, comme çà, un autre homme, un innocent, sera libérer. --Bien Harry ! dit Arthur Weasley. --Harry, cet homme... c'est Queudver ? questionna Ron. --Oui Ron. --Mais que va-tu faire avec lui ? --C'est une longue histoire, je te la raconterais plus tard. --D'accord, alors tu peux venir chez moi ? --Je suis désolé Ron, mais je ne peux pas. Demain je pense que tu comprendra avec les revélations que le ministère tirera de Queudver. --D'accord Harry. --Bon, je venais juste prendre mes affaires, et je repart. --Voilà tes affaires. Harry les prit, fit un signe d'au raeoir, et transplana dans sa chambre. ou plutôt en bas du manoir, mais il rejoint très vite sa chambre.

Voilà ! Alors ? Comment c'est ? Merci à tous les revieweur ! Si iavait pas de review, j'aurais arrêter ! lorsque t'as des review, je te jure que tu te presse d'écrire ! Sorry pour le trtard, mais avec les grêves les profs ont un tic de donner le double de travail. Aller salut et reviewez !Et mon Mail, vous pouvez l'ajouter dans vos msn, j'y suis pour ceux qui me le demande ! Bon, c vré que le chapitre a été plus court, dsl.

Zorbas