7 L'héritier

Le lendemain, se fut une voix stridente qui réveilla Harry.

--Allez Potter, il faut qu'on aille au chemin de traverse aujourd'hui ! C'était Queudver. Harry se dépêcha de se laver et de s'habiller pour que Sirius ne se trouve pas en face de Queudver, sinon, il l'étranglerais sûrement sur place. Puis, Harry sortit de la chambre, suivit de son accompagnateur. Il regarda sa montre, MR Weasley et sa troupe du ministère devaient être au chaudron Baveur à présent, en route pour le magasin Fleury et Bott, où Harry leur avait donné rendez-vous. --Suivez moi, Potter ! Exigea la voix de Queudver. Harry le suivit sans faire d'histoire, il ne voulait pas attirer les soupçons. Les deux hommes se rendirent devant la salle Seigneurial de Voldemort, mais Harry vit un banc devant la porte. Harry et Queudver s'y assirent ensemble, puis Harry ressentit la sensation que lui donnaient habituellement les Portoloins. Cela lui rappela l'an passé, la mort de Cedric, et la renaissance de cet homme, que beaucoup appelait leur maître. Se fut Queudver qui sortit Harry de ses pensées. Il regarda l'homme, et s'aperçu qu'il avait modifié son apparence, il avait maintenant l'apparence de la mère de Ron. --C'est plus discret comme cela, je sais que tu venait souvent ici accompagné de cette femme. --Ouais c'est vrai. --Par quel magasin on commence ? questionna Queudver. --Je m'en fiche. --Les livres tiens, suggéra Queudver --Oui, on sera débarassé comme çà, renchèrit Harry. Queudver le poussa en direction de la librairie Fleury et Bott, et il rentra dans le magasin à sa suite. Harry jeta un coup d'?il circulaire, et apperçut Ron, Fred, George, Percy, et Mr Weasley dans un coin, qui s'avançaient vers lui. Harry fit signe à Queudver de le suivre, et alla voir l'étagère des livres de divination, celle qui était le plus proche des rouquins. Alors, MR Weasley fit un signe, et plusieurs hommes avançèrent vers eux, les encerclant . Ils prirent Queudver, puis l'un d'eux murmura une formule que Harry ne comprit pas. Mais, aussitôt, Queudver redevint Peter Petigrow, l'homme que tout le monde croyait mort. Les hommes du ministère furent plus que surpris, mais ne réagissant pas assez vite, Peter eu le temps de se transformer et de s'enfuir. Harry poussa un cri de désespoir, alors que le rat se faufilait entre les pieds des occupants de la librairie. Ainsi, Queudver c'était échappé une fois de plus. Mais, le ministère avait vu Petigrow, et peut-être qu'ils allaient en prendre conte. Harry, trop abattu pour réagir à l'appel de son nom qui persistait, perdit connaissance. Lorsque Harry ouvrit les yeux, il vit que tout était blanc. Il était dans une infirmerie. Il remarqua que quelqu'un lui avait ôté ses lunettes, donc, il les chercha à tâtons, et fini par les trouver. Il les mit, et tout redevint plus net. Il était à l'infirmerie de Poudlard. Harry se demanda comment il était arriver là, mais au même moment la porte s'ouvrit sur un homme aux cheveux gras. C'était Severus Rogue. --Potter est réveillé ? Grommela le professeur. --On dirait bien, répliqua Harry. --Vous allez rester ici, sous ma surveillance, annonça Rogue. --Ici ? --Dans le château quoi. Il semblerait que vous ayez retrouvé toutes vos forces. --Qu'est-ce qu'il c'est passé ? --Et bien, d'après ce que j'ai compris, vous vous êtes évanoui sur le chemin de traverse. M'étant rendu au manoir de Voldemort, « il m'a dit que Queudver était rentré sans vous, et m'a ordonné d'aller vous chercher. Je lui ai suggéré que je pourrais vous surveiller à Poudlard, et il a accepter. Et, jouant bien mon rôle de double espion, j'ai avertis le directeur, qui m'a permis de vous surveiller. --Hum hum, murmura Harry, ne trouvant pas de réponse plus pertinente. --Mais, entre temps j'ai tout de même été obliger de vous emmener à Lord. Et. hum. disons que. il vous a laisser un petit cadeau au bras. J'en suis sincèrement désolé Potter, ajouta Rogue. Harry regarda son bras, et faillit retomber dans le comma. La Marque Des Ténèbres était tracée sur sa peau. --Oui, cela doit faire un choc. Harry, je suis sùr que l'on pourrait apprendre à mieux nous connaître pendant que je dois te surveiller. --Ouais, c'est çà, lança Harry sur un ton de défit. Rogue n'insista pas, il sortit de l'infirmerie. Harry fixa le plafond de l'infirmerie. Il allait devoir passer tout le reste de ses vacances avec Rogue sur le dos, la marque sur le bras, et de la culpabilité vis-à-vis de Sirius. Oui, il se sentait coupable d'avoir encore permis à Peter Petigrow de s'échapper une fois de plus. Mais, au fond de lui, il savait bien qu'il n'y pouvait rien, et que c'était le destin. Mais voilà, c'était dur pour lui d'accepter cette épreuve de plus. Il se leva du lit, prit sa baguette magique et sortit de l'infirmerie. Il se dirigea vers la tour de Gryffondor, lorsqu'il remarqua une tapisserie étrange, au détour d'un couloir. Il remarqua alors que c'était un passage secret. Mais, Harry ne l'avait jamais vu sur la carte du Maraudeur. Il fini tout de même par s'y engager. Il arriva dans une petite salle carré ou quatre bloques de marbres étaient disposés. Il s'approcha du plus proche, rouge et or où était gravé GAUDRIC GRYFFONDOR. Un papier était par terre. Harry le ramassa et lut :

Toi élève de poudlard, qui est rentré dans ce passage, tu peux comtempler, de tes yeux étonnés, nos tombeau à nous quatre, Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Touche l'un de nous, et si tu es notre héritié, une tête sortira, non ne recule pas. Si tu ne correspond pas du tout, attention, car celui que tu aura touché, te propulsera sur le mur. Voilà, le message est passé, maintenant je m'en vais.

Et le papier redevint vierge. Harry s'approcha de la tombe de Gryffondor, et la toucha. Aussitôt, une tête sortit de nul part.

Toi mon héritié, oui toi qui m'a touché, tu es très puissant, cela se sent. Touche mes compagnons, et si à leur tour il te parlent, cela voudra dire, que tu es l'héritié des quatre maisons.

Harry s'avança vers la tombe d'Elga Poufsouffle, et la toucha. Aussitôt une autre tête sortit de nul part.

Toi, ô toi mon héritié, continue ton inspection, pour savoir si tu es l'élu héritié des quatre maisons.

Quelques peu étonné, Harry s'approcha de Serpentard :

Tu es mon héritié, mais un autre aussi l'est. Mais si toi aussi en est un, tu sera l'élu de demain.

Harry se tourna finalement vers Serdaigle, comme les trois autres fois, une tête sortit de nul part :

Bonjour, il fal lait bien que tu l'aprenne un jour, oui mon garçon, tu es l'héritié des quatre maisons.

--Mais tu es avant tous mon héritié, reprit Gryffondor. Comment t'appelle- tu ? Tu es un Potter non ? --Euh. oui. c'est. c'est çà. Je suis Harry, Harry Potter. --Tu seras puissant Harry, très puissant. Encore plus si tu prend cette baguette que nous t'offrons, la baguette magique des quatre maison. Gryffondor fit un signe de sa tête vers un morceau de bois. Harry s'en approcha, et le ramassa. --Garde quand même l'ancienne baguette, car n'utilise celle-ci que pour faire la justice, ou si tu t'en sens obligé. --D'accord. --Maintenant, reviens ici souvent, car nous nous ennuyons, et n'apparraissons qu'en la présence du vrai héritié, continua Elga Poufsouffle. --Et maintenant retourne là-haut, en cachant bien cette baguette, finirent les quatres fondateurs. Harry rangea la baguette des quatre maisons dans sa poche, ce qui fut simple, étant donné qu'elle faisait au plus 10 centimètre. Puis, faisant un signe d'au revoir aux quatre têtes, Harry reprit le passage secret à l'envers, et continua son chemin vers le tableau de la grosse dame qui gardait l'entrée de la tour de Gryffondor. Mais arrivé à son but, il s'apperçut qu'il n'avait pas le mot de passe pour y pénétrer. Il repartit donc dans l'autre sens, ne sachant trop que faire lorsque soudain, son bras gauche fut pris d'une brûlure insoutenable. C'était la marque des Ténèbres. Le seul pouvant l'aider en cet instant était malheuresement Rogue. Il se mit donc à courir pour essayer de surpasser la douleur, et s'effondra sur la porte du bureau du professeur de potions. La porte fini par s'ouvrir. Rogue non plus ne semblait pas aller très bien, mais tout de même mieux, après tout il était habituer. --Qu'est-ce qu'il y a Harry ? questionna-t-il. --Est. est-ce que la v. la votre aussi. --Oui, il dois faire une réunion. Je me demandais si il fallait y aller d'ailleur. Harry plongea son regard dans celui de son professeur. Ce dernier avait l'air grave et soucieux. --Bon, allons-y Harry, sinon je pense qu'il aura des soupçons. --Oui professeur, car désormais nous sommes deux doubles agents. --Quoi ? --Vous n'allez tout de même pas croire que j'allais rester avec ce vieux singlé ? --C'est bien Harry. Bon allons-y. Harry suivit Rogue dans les prondeurs de la forêt interdite, et se laissa faire, lorsque Rogue lui posa sa main sur l'épaule pour transplaner. Les autres étaient déjà tous là. --Ah, les retardataires sont enfin arrivés, je peux commencer ! dit Lord Voldemort. Harry et Rogue se mirent dans le cercle à l'endroit ou un espace grand pour accueillir deux personne brisait le cercle. --Queudver a été prit par le ministère, annonça Voldemort. Harry fut parcourut d'une sensation de chaleur. --Il nous faut donc trouver un nouveau bras droit, poursuivit Voldemort. Hum aufait toi, fit-il en se tournant vers Harry. As-tu chercher ? --Oui maître, répondit Harry. --Alors ? ----Gaudrigry. --D'accord, ce problème est réglé. Alors, c'est moi qui désignera mon nouveau bras droit. Il y aura une épreuve à passer, celui qui ce raproche le plus de moi. Serpent Sortia. A ces deux derniers mots, un serpent sortit de la baguette de Voldemort. --Celui qui ce raproche le plus de moi est capable de parler Fourchelant. C'est alors que Harry comprit la terrible chose qui arrivait, il était le seul à pouvoir parler aux serpents. Il jeta un bref regard à Rogue, qui lui fit un signe d'encouragement. --Hum, Gaudrigry viens en premier, et c'est le premier qui réussit qui est accepter, annonça Voldemort. Harry s'avança jusqu'à se trouver à cinquante centimètres de Voldemort. --Aller, parles-lui ! ordonna le terrible mage. --Qu'est-ce. euh. je lui dis quoi ? questionna Harry. --Dis lui de fuir au plus loin d'ici. Harry essaya de ne pas parler Fourchelang, mais il ne put empêcher l'inévitable : --File loin, très loin d'ici, dit-il. Mais les autres Mangemort n'entendirent que : --Si sa sé sliting assacass srarouls. Le serpent s'en fut, et Voldemort se tourna vers Harry. --Bien, c'est toi désormais, mon nouveau bras droit, lança-t-il. --Non, je ne veux pas, répondit Harry sur un ton de défit. --Quoi ! Endoloris ! Harry, qui ne s'attendait pas à avoir affaire au sortilège Doloris, ne l'évita pas. Une fois de plus, il tomba sous la douleur, mais ne se tordit pas comme les autres. En revanche, il hurla comme jamais il n'avait crié. On devait l'entendre à des kilomètres à la ronde. Harry n'avait plus aucune notion du temps, il était toujours sous le Doloris, et Voldemort n'avait pas l'air de vouloir arrêter de si tôt. Il ne voulait plus qu'une chose, mourir pour effacer cette douleur atroce. Mais, Voldemort cessa enfin. --Lèves toi ! ordonna Voldemort. Mais Harry avait toujours mal. Il essaya de se mettre debout, mais ses jambes refusaient de le porter. --Bon, d'accord. Severus, emmène-le à Poudlard, et arrange toi pour finir le travaille là-bas, je vais attirer Dumbledore autre part. --Oui maître, répondit Rogue. Harry sentit qu'on le portait, et qu'on l'étendait sur un lit. Mais, il n'arrivait toujours pas à avoir l'esprit très clair. La douleur commençait quand-même enfin à s'estompée, mais cependant, il était comme engourdit. Il voyait Rogue assis à un bureau en face du lit en train de faire quelque chose que Harry ne comprenait pas. Au bout d'un petit moment, il réussit enfin à ouvrir la bouche et demanda à Rogue : --Que s'est-il passé ? --Le sortilège de Doloris, il est resté trop longtemps sur vous. Vous allez mieux Harry ? --Hum. et que voulait-il dire par. finir le travaille ? --Hum, il voulait surrement que. non je ne sais pas enfait. Mais je ne ferais rien. --D'accord professeur. Puis, Rogue dit une formule, et Harry s'endormit aussitôt.

Quand Harry se réveilla parfaitement en forme, il était une heure du matin. Il tourna la tête et s'apperçut que Rogue dormait dans un lit à côté de lui. Et au-dessus, des lettres lumineuses étaient tracée : « Réveille-moi dès que tu es réveillé Harry ». Harry hésita puis murmura : --Professeur ? euh. pro. professeur ? Rogue fini par ouvrir les yeux. --Ah, c'est toi Harry. Bon, veux-tu manger quelque chose? --Non, ça va. Mais croyez-vous que. --Plus de vouvoiement entre nous Harry. --Alors. crois-tu que. que je dois accepter la proposition de. de Voldemort ? --Oui, son bras droit a l'accessibilité à beaucoup plus de détails sur les plans de Voldemort, cela sera donc plus facile pour nous. --D'accord, à la dernière réunion. mais Harry ne put achever sa phrase, la marque des Ténèbres se manifesta. --Vite ! il me faut des bleus pour faire croire que vous m'avez tapé ! hurla Harry. Rogue était resté parfaitement calme. --Oui. comment. Harry, au prix d'un effort fulgurant, parvint à se saisir de sa baguette magique la pointa vers lui, et aussitôt un tas de plaies et de bleus apparurent sur son corps. Puis, Rogue lui marcha sur la main en transplanant. Harry atterris aux pieds de Lord Voldemort. --Ah, Gaudrigry. Je vois que Severus à fait du bon travail ! Maintenant un Doloris aura beaucoup plus d'effet ! Alors je te veux comme bras droit ! Tu entend ? --Oui maître j'entends, je. je suis d'accord. --Hé hé ! Tu as réussis à faire rentrer quelque chose dans le crâne de ce gamin Severus ! Félicitation ! --Merci maître, répondit Rogue. --Hum, hum, hum. Gaudrigry, rentres à Poudlard avec Severus, ta mission est de me ramener Drago Malefoy, et de recruter le plus de monde possible susseptible de devenir Mangemort. --Bien maître, dit Harry. Et Severus toucha Harry en transplanant.

Re ! Alors jsuis dsl du retard, mais sa aide pas d'être puni d'ordi pendant 1 mois ! J'ai été déçu du petit nombre de review, mais bon. Bon jvous laisse, et si vous avez des suggestions ou autre chose, reviewez ! Salut