Chapitre 8

--Pourquoi ramener Drago Malefoy ? Hein professeur Rogue ? dit Harry dès de retour dans le bureau de son professeur de potion. --Aucune idée, je pense qu'il doit devenir Mangemort mais qu'il s'est enfuit avant. Enfait je n'en sais rien du tout ! ***Drago Malefoy marchait dans les rues de Londres, sans but précis. Il avait été chassé du manoir Malefoy par son père, et avait la vague idée de retourner à Poudlard, ou au Chaudron Baveur. Il marchait toujours, lorsqu'une main puissante l'attira en arrière, vers un coin obscure de la ruelle. --Drago Malefoy ! Quelle bonne surprise ! Drago essaya de se retourner mais n'y parvint pas. --Qui êtes-vous ? questionna-t-il. --Qui je suis ! Tu le saura bien assez tôt ! Il vit que la personne le poussait vers une boutique abandonnée, qu'il fracassa la vitre et l'entraîna à l'intérieur de la cheminée du magasin. Le jeune garçon se débattit, mais trop tard. Il s'envolait avec son mystérieux accompagnateur dans le réseau de cheminette. Ils atterrirent tant bien que mal sur un sol froid. Drago en profita pour se retourner brutalement, et pu voir qui c'était. --Potter ? --On dirait bien Malefoy ! --mais. mais. --Pas de discutions ! Suis-moi ! --Où m'emmène-tu Potter ? --Pas de temps ! Suis-moi un point c'est tout !Malefoy, boyant que Potter partait vraiment sans lui, se résigna à le suivre. Potter poussa une porte, et l'invita à entrer. C'est avec plaisir que Drago reconnu le bureau du professeur Rogue. ** Harry avait enfin réussit à ramener Drago à poudlard. Il venait de l'inviter à entrer dans le bureau de Rogue. --Drago, entama le professeur. --Oui ? --Veux-tu vraiment devenir Mangemort ? --Euh pas vraiment enfait. --Alors deviens-le quand même, pour le conte de Dumbledore. --Ouais ok ! --Je peux faire genre d'avoir fait ce que j'avais à faire alors ? demanda Harry. --Oui. Harry prend moi la main. non fait comme si tu tenait drago de force. Le jeune gryffondor s'exécuta. Ils arrivèrent dans la pièce de Voldemort. Ce dernier était en train de lire un gros volume.Harry s'éclaircit la gorge. --Hum. maître ? Harry vit Drago sursauter en entendant sa phrase. Vo Ldemort leva les yeux de son livre ; --Ah Gaudrigry ! Tu m'as ramené Drago ! Merci ! Ta mission est accomplit ! Oh, vous deux, je veux que vous ayez la marque aujourd'hui ! Même que je vais m'en occuper tout de suite !Voldemort se leva.O h et puis, opcupe-t-en Severus. Bien maître. Rogue prit l'objet qu'avait prit Voldemort. --Hum, à qui le tour en premier ? questionna le maître des potion, une pointe d'amusement dans la voix. Harry s'avança. Voldemort fit soudain apparaître une cloison entre lui et les trois autres. --Bon, dit Rogue en s'asseyant sur un espèce de canapé dépourvu de docier. --Approche. Harry immita son professeur, se plaçant à califourchon sur le canapé. --D'abord, la source viens du dos ! Donc le plus gros est ici ! Rogue s'avança, coinçant Harry entre ses genoux. Harry décgutit avec peine, sans raison valable à son esprit. Mais il comprit rapidement lorsque Rogue commença ! C'était encore pire que le Doloris ! Il essaya d'échapper à la prise de son professeur de potion, mais se dernier tint bon. Il essaya alors de combattre la cdouleur tout en criant de toutes ses forces. --N'essaye pas de combattre Harry, sinon tu va devenir fou. Habitue toi plutôt à elle. Le gryffondor essaya de suivrle consei, et peu à peu, cela devint plus agréagbe en effet. Il fut presque déçu lorsque cela s'arrêta . --La source est toujours invisible. murmura Rogue entre ses dents. Aller maintenant place au bras ! Harry tendit son bras gauche à Rogue. L'adultereleva la manche de sorcier de son élève et prit le fer chauffé au rouge qui représentait le tatouage. --Ateendez ! Vous allez tout de même pas me mettre çà sur le.. Professeur. Pourquoi. mais je l'avais déjà ! --Hum, mais tu était évanouis. C'était une version à effet temporelle ! Je suis obliger de. --Oui c'est bon ! Faites le et voilà c'est tout ! Rogue tint le bras de Harry dans une main tremblante, approchant la marque des Ténèbre en fer de l'autre. Harry lui, avait tous ses muscles tendu au maximum. Et soudain, prenant une grande inspiration, Rogue appliqua le tatouage. --Aaaaargh!!!! --C'est bon, c'est terminé! Dit Rogue. --Ouais, mais quand même ! Vous êtes complètement singlé ! dit Harry, qui c'était un peu calmé. --Allons Harry ! Tiens, vol un peu dans la pièce pour te détendre ! dit Rogue en tendant son Eclair de Feu à Harry. --Comment. --Aucune importance ! Fais un peu de vol ! Et maintenant à toi Drago ! Harry enfourcha son balai, décola et aussitôt toute douleur disparu, tous sentiments désagréable s'effacèrent. Il regarda Drago s'avancer vers le canapé. Il ne devait pas être tranquille, ayant vu un gryffondor hurler de la sorte juste avant lui. Rogue recommença son manège, et Drago ne parvint apparemment pas à s'habituer. Et puis tempis ! Qu'il aille au diable ce Malefoy ! Harry détourna les yeux, et fit toutes sortes d'accrobaties avec son balai. Il se sentait sous une cloche, presque dans un autre monde, son monde à lui. Rien ne le préoccupait, il ne réagissait même pas à l'appelle de son prénom. Rogue fut obligé de prendre son propre balai et de lui rentrer dedans exprès pour le faire redescendre de son petit nuage. --Quoi quoi quoi quoi quoi ! --Le petit temps de détente est fini Harry ! Harry regarda en bas. La cloison que Voldemort avait dressée auparavant avait disparu, et le mage semblait l'attendre. Il amorça donc sa descente en piqué, s'arrêtant juste à temps pour ne pas se fracasser sur le sol . Il sauta à bas de l'engin, et regarda Voldemort. --Ah, te voilà enfin au sol ! Bon, c'est que je n'ai pas que çà à faire ! Il faut que je lance quelques Doloris, comme je le faisais ce matin ! --Eh ! sur qui le fesiez-vous ? --Black ! --Quoi ! mais vous n'avez pas suivit le pact que nous avions conclu ! s'exclama Harry rouge de colère. --Oh, cela lui fait le plus grand bien. --Ne touchez plus à mon parrain ! Et dire que je me suis rangé de votre côté ! Harry remonta sur son balai, et avec toute la puissance de celui-ci il sortit de la salle. Il pensa d'abord aux cachots, et il s'y rendit. Des dizaines de sorciers y étaient enfermés. Harry reconnu plusieurs d'entre eux, mais c'était des gens dont il avait des rancunes. Il ne vit pas Sirius. Il essaya alors de jeter un coup d'?il dans la chambre où ils étaient. Il la trouva enfin. Harry essaya de tourner la poignée, mais c'était fermé à clé. --Alloomora ! Et la porte s'ouvrit. Il chercha Sirius des yeux, et le trouva enfin, dressé fier dans un coin. --Viens Sirius ! --Ouais, pour que tu m'emmène à ton maître ! --Non, je te le jure ! --C'est bon Harry, je ne veux pas d'autres Doloris dans la tête ! Dit à ton cher maître. --Arrête tes bêtises Sirius ! J'ai pas beaucoup de temps ! Il va arriver dans pas longtemps ! --Cours toujours ! Je préfère encore que çà soit lui qui me tue ! Salut ! A dieu Harry ! Je te haie ! --Sirius! Non! Tu es ma seule famille! Et je ne te veux pas de mal ! --Parce que cinq Doloris de 10 minutes chacun c'est ne pas me vouloir de mal ? --Quoi ? cinq. 10 minutes. --Eh oui ! Alors maintenant laisse moi pendant que je ne suis pas sous ce sort ! --Sirius ! Refuser ainsi le fils de ton meilleurs ami ? Il avait touché le point sensible de Sirius. Ce dernier était devenu rouge de colère, et brandissait ses poings. --ET TU CROIS QUE James voudraIS QUE SON FILS SOIT AVEC Voldemort ! Hors de ma vue ! Sinon je te règle ton conte ! --Je suis désolé Sirius, mais il le faut. Petrificus Totalus ! Puis il mit le corps pétrifié de son parrain à califourchon sur son balai avant de monter lui même, tenant Sirius entre lui et le manche, ce qui, était plutôt simple, vu la maigreur de Sirius. Puis Harry se concentra et prononça : --Accio cape d'invisibilité ! Sa cape n'arriva que deux minutes après, ce qui donna le temps à des pas de retentir dans le couloir. Vite, il s'enveloppa lui le balai et Sirius dans la cape, et décolla silencieusement. La porte s'ouvrit sur Voldemort, qui le chercha des yeux. Harry risqua quelque chose. Il monta jusqu'au plafond, et passa au dessus de Voldemort avec toute la puissance de son éclaire de feu. Voldemort ne s'apperçut de rien, et Harry poursuivit son chemin. Il se dit qu'il pouvait réveiller Sirius. --Finite incantatem ! Sirius remua. --Chut Sirius! Murmura Harry. --Enroule la cape magiquement! Cela sera plus sùr, et si tu es fatigué. Passe moi ta baguette . répondit Sirius. Apparement, son parrain avait reprit confiance en lui. Harry lui donna sa baguette, et Sirius prononça une formule. La cape d'invisibilité s'enroula alors autour d'eux comme un enfant s'enroule dans un drap. Nda : sauf que là c'est le drap qui bouge ! lol. Sdh : Sirius se laissa tomber sous le manche, come sur un hamaque géant et invisible. Harry volait toujours au ras du plafond à toute vitesse. Mais un souffle rauque parvint jusqu'à ses oreilles. Il baissa les yeux. Et vit un détraqueur. Les cris dans sa tête. --Pas Harry ! Prenez moi à sa place ! --Pousse toi idiote ! Un rire. Et : --Spero Patronum ! hurla Harry. Aussitôt Cornedrue, le cerf argenté qui avait été autrefois la forme Animagus de son père sortit de sa baguette magique, et fonça sur le détraqueur, passant à travers la cape d'invisibilité comme au travers d'un simple courrant d'air. Le Détraqueur s'en fut, et Cornedrue revint vers Harry. --Argh ! Tu vol dans mon manoir maintenant ! Le cri de Harry et la présence du Patronus brillant de mille feux n'avaient pas passés inapperçus aux yeux du Seigneur des Ténèbres qui venait de repérer Harry. Le jeune Gryffondor s'empressa de changer de direction pour échapper à Voldemort , mais ce dernier monta sur son propre balai et rejoignit Harry dans les airs. Le dernier avantage de Harry était sa cape d'invisibilité. Il fut grandement surprit de voir Voldemort magner le balai à merveille. Pas aussi bien qu'un joueur expérimenté, mais il se débrouillait assez bien. Sirius fit un mouvement comme pour monter sur le balai. Harry se laissa tomber au fond du hamac voyant que Sirius voulait tout diriger seul. De plus, n'ayant pas pu lancer son Patronus immédiatement, le Détraqueur lui avait pompé beaucoup d'énergie. Il voyait au travers de la cape Voldemort décrire des cercles, tel un aigle cherchant sa proie. Sirius piqua soudain, et fila en direction d'une fenêtre. --Tu es fou ! chuchota Harry. Mais la fenêtre se raprochait. Deux mètres. un mètre. cinquante centimètres. chplaschhhhhhpingpapao ! Le choc fit voler la fenêtre en éclat. Sirius avait l'air un peu sonné, mais il essaya de ne pa trop le montrer à Harry. --Tu es.. Tu.. Complèment. --Dingue, je sais. Maraudesquement dingue ! dit Sirius. --Maraudesquement ? --Adverbe de marraudeur ! --Ah. euh oui. et maintenant ? --Maintenant on se réfugi à Poudlard. --Ouais, mais c'est très loin d'ici ! On est je crois en Albanie. Ah non. je sais qu'il y a une centaine de kilomètres entre Privet Drive et ici. --Aucune importance Harry, on va pas rester avec lui ! --Mais Sirius. je crois que Hermione est prisonière là-bas. Va-t-en avec mon Eclair de Feu et moi je reste ici. --Non Harry. --Si Sirius c'est comme çà ! Va-t-en ! Sirius se posa au sol et défit le dôme formé par la cape. Harry mit pieds à terre, et reprit sa cape d'invisibilité. Il s'en recouvrit et rentra dans le manoir. Il retourna dans la salle où il avait quitté Rogue et Malefoy auparavant. Ces derniers étaient toujours là. Harry retira sa cape et s'adossa à un mur. --Je crois que Voldemort n'est pas très content de toi Harry ! ironisa Rogue. --Je m'en fiche ! Il a qu'à aller au diable ! Dire que j'en ai fait mon maître ! Non mais je suis devenu fou ou quoi ? Je n'en reviens pas ! Il veut que je vienne de son côté et me menace de tuer Sirius si je ne le fait pas et quand je le rejoint il ne respecte plus notre arrangement, il lance des Doloris à tour de bras sur Sirius comme sur une vulgaire araignée ! Non mais par Merlin ! Mais non ! Mais non ! C'est un cauchemardesque cauchemar ! Mais il est complètement. --Oh ! Calme toi Harry ! l'interrompit Rogue. --Me calmer ? Mais vous êtes complètement irréaliste mon pauvre Rogue ! Vous êtes insensible parce que c'est Sirius ! Juste parce que c'est Sirius ! Pour vous il serait mieux à Azkaban ! Mais ça se passera pas comme çà ! De toute façon il est partit ! --Harry ! Harry ! Harry ! Je ne souhaite absolument pas la mort de Sirius! Met toi çà dans la tête ! --Non ! Vous lui voulez plus que la mort ! Vous voulez qu'on lui arrache son âme ! Juste à cause d'une vieille rancune de collégiens ! Vous êtes abominable ! Vous êtes horrible ! Je vous déteste ! Un Mangemort reste toujours ce qu'il est ! Dire que j'ai eu confiance en vous ! C'est du joli ! Je rêve ! Oui je rêve ! Personne ne touchera plus a Sirius tant que je serais sur cette Terre ! --Harry ! Tu te rends compte de ce que tu dis ?

66Eh oui ! Il n'y a que la vérité qui blaisse ! --Calme toi ça va passer. --Je vois que c'est vrai que l'espoir fait vivre ! Je règle mes comptes avec ce déchet et je pars d'ici à jamais ! Je ne veux plus entendre parler de vous Severus Rogue ! --Harry. Harry ! Harry ? Harry, c'est moi Sever... --Dites plutôt c'est moi le mangemort! --Je t'interdis ! De. --Ne te fatigue pas Mangemort ! Je ne répondrais plus ! --Tu es aussi un Mangemort ! --Severus ! Rogue ! Tu es devenus Mangemort de par ta volonté ! Personne ne t'as menacé de tuer un être que tu aimais ! Remarque çà aurait été difficile vu que tu déteste tout le monde ! --Je vous interdis de me parler sur ce ton Potter ! --Qu'est-ce qui se passe ici ? c'était Voldemort. --Toi laisse nous tranquille Tom ! Sors je suis en rtrin de discuter ! --Petit Potter se révolte ? --Petit Potter vou dit que vous êtes un déchet, un sorcier qui ne sert à rien, un moins que rien quoi ! --Oh ! Mais petit Potter va se calmer ! Petit Potter va mourir ! --Je vous rappelle que vous étiez bien content que j'accepte de venir avec vous ! --Je te rappelle que tu es sensé m'obéir ! --Je vous rappelle que vous n'êtes que Tom Elvis Jedusor, fils d'une sorcière et d'un Moldu ! --Arrgh ! Plus jamais ça ! Plus jamais ! Jamais ! Jamais de jamais gamain !

--Oh ! Mais c'est vrai que la vérité blesse ! Maintenant je n'ai pas que ça à faire, je pars ! Et Harry fonça vers la porte, Si vite qu'il renversa Voldemort. Le Seigneur des Ténèbres le releva aussi vite que possible et commença à poursuivre Harry. --Tu ferais mieux de m'aider Severus ! lança Voldemort. Rogue se mit à courir nonchalamment derrière Harry. Harry, lui, courrait comme jamais. Il ne prêtait aucune attention au monde extérieur, si bien qu'il ne l'entendit pas arriver. Le sort de stupéfixion le frappa de plein fouet. Ce n'était en aucun cas ce qu'il avait imaginer, d'être Stupéfixier. Certes, il ne pouvait faire un geste, mais en revanche, il entendait, voyait et pensait. --Laisse-nous Severus, je vais m'amuser avec ses souvenirs, dit la voix glaciale de Lord Voldemort. Mais que voulait-il dire par jouer avec ses souvenirs ? Voulait-il lui lancer le sort d'oubli ? Harry commença à paniquer. Si vraiment Voldemort lui faisait tout oublier, il oublirait donc qu'il ne fallait pas ce fier à certaines personnes. Non il fallait qu'il trouve une solution pour se tirer de là. Mais il ne pouvait pas bouger. Comment brandir une baguette magique tout en étant immobilisé ? Voldemort s'avança vers lui la baguette à la main.

Ah ah ! Suspense ! Un énormissime merci aux reviewer! Ouais très grand merci ! Je remercie aussi les lecteurs silencieux. Et qu'avez-vous donc pensé de ce chapitre ? Laissez-moi vos impressions ! Je publi les chapitre très espacés, mais je ne peux pas faire autrement. Et je vous le dit, je n'abendonnerais pas ! Même si jfaisais un silence bcp plus long que les autres, j'abendonnerais pas ! Je suis déterminée !