Série : Les G-Boys à Sherwood
Auteur : Lyrashin, la Mort incarnée, alias la Maîtresse du Temps !
Genre : Yaoï, Lime, Délirium temporel de l'autrice qui écrit ce truc alors qu'elle est en conférence sur le suicide ( Lylyth : Conférence qui te fait bien marrer d'ailleurs !) , Couple original, OOC mineur des persos. . . Méchant Shérif de Nottingham !
Couples : 2x1, 2+1+2, pourquoi je le précise encore ?! PJ x RB !
Disclamer : Aucun des persos ne m'appartient . . . mais je ne leur fais aucun mal !
Lylyth : Oui ! C'est moi qui joue avec ! Et je les rendrai pas en bon état !!!
Remerciements : A tous les gentils reviewers qui m'ont laissé un message : MERCI !!!! On a dépassé les 60 reviews ! On va peut-être finir par atteindre les 100 !!!!
LOST IN THE TIME
Chapitre 8 : Heero Yuy, Prince des Voleurs
Dans la forêt de Sherwood, deux hommes marchaient rapidement, évitant adroitement tous les buissons qui auraient pu ralentir leur allure.
_ Dépêche toi Petit Jean ( PJ) ! Il faut rejoindre le campement ! Les autres nous attendent !
Le second sourit ironiquement et répliqua :
_ Si tu n'avais pas tant tenu à manger des framboises, nous ne serions pas en retard ![1] N'est ce pas Robin ?
Le dit-nommé rougit violemment en se remémorant ce qu'il avait ressenti en barbouillant de fruits rouges la bouche de son compagnon. Mais il devait le cacher au plus profond de lui : tout le monde était certain qu'il finirait par épouser Marianne, son amie d'enfance , mais il ne pouvait ignorer ses sentiments pour le grand brun qui combattait à ses côtés, préférant l'usage d'un bâton à une épée. Il en était honteux : il ne pourrait jamais lui avouer son amour au risque de perdre son amitié.
Un bruit au dessus de leurs têtes attira leur attention, et le cri qui suivit leur vrilla les tympans :
_AAAUU SEEECCOOOOUUUUUUUURRRRRRRSSSSS !!!!!!
En levant les yeux, les deux hors la loi aperçurent une forme indistincte tomber du ciel, traversant un feuillage, et se séparant en deux parties. Chacun des hommes réceptionna l'un des colis et ils furent stupéfaits en découvrant qu'il s'agissait de jeunes garçons à demi nus !!!
_ J'ai mal à la tête !
Celui que Robin tenait s'était cogné le crane contre une branche lors de sa chute et un fin filet de sang s'écoulait le long de sa tempe droite, salissant la magnifique tresse châtain qu'il portait. Le deuxième s'extirpa vivement des bras de Petit Jean pour se précipiter sur son camarade qui venait juste de perdre connaissance :
_ Duo ! Duo ! Tu vas bien ?!
Le jeune homme ne réagit pas et son compagnon commença à s'inquiéter : et si Duo s'était trop gravement blessé ?!
Une main se posa sur son épaule et il perçut les bribes d'une conversation :
_ Qui sont-ils ? des espions du Shérif ?
_ Je ne pense pas Petit Jean ! Ils ne seraient pas tombés du ciel si c'était le cas ! Et ils ont l'air trop jeunes pour ce genre de choses !
La pression sur l'épaule de Heero se fit plus forte et, au moment où il acceptait enfin de quitter son frère d'armes des yeux un instant pour se retourner, une grosse voix retentit :
_ Tu ferais mieux de me donner ton nom, petit ! Je ne sais pas qui tu es et je n'ai aucune raison d'avoir confiance en toi ! Nous devrions peut-être même vous abandonner ici avec ton ami !
Les yeux pleins de fureur, le Japonais fit face au grand Petit Jean qui n'avait parlé ainsi que pour l'intimider, et, sans que celui-ci s'y attende, lui balança un violent coup de pied dans la cage thoracique. Le géant se retrouva projeté contre un arbre et, comme un malheur n'arrive jamais seul, une autre lumière apparut dans le ciel et un étrange paquet lui tomba sur la tête, l'assommant pour le coup. Heero, sans s'inquiéter le moins du monde du sort de son assaillant, s'approcha de l'objet et remarqua une feuille de papier à l'écriture facilement reconnaissable : celle de Duo.
Salut Heero !
Ne t'inquiète pas pour ma version plus jeune : il a juste une légère commotion cérébrale ! Bon, comme vous êtes partis un peu précipitamment ( oubliant d'ailleurs la moitié de vos vêtements sur le sol, t'aurais vu la gueule de la femme de ménage après !), nous vous expédions un colis contenant toutes les affaires qui vous seront nécessaire durant le reste de votre périple.
Comme il y avait trop de choses, nous les avons stocké avec le système Capsule : réduits aux maximum dans de petites capsules, les objets reprennent une taille normale lorsqu'on appuie sur le capuchon, et ils se rétractent en appuyant sur la surface marron qui les orne.[2]
Alors je vous souhaite un bon voyage et amusez vous bien !
Duo Maxwell Yuy
PS : Le lourdaud que l'on a assommé ne se réveillera que dans une heure ! Et Duo dans trois heures !
Heero leva les yeux au ciel, se demandant s'il devait bénir ou maudire l'Américain, avant de se décider à rechercher la capsule marquée « trousse à pharmacie » dans tout le fatras qu'on leur avait envoyé. Il finit par la trouver dans la poche d'un gilet dont le tissu formait de petits compartiments adaptés à la taille de minuscules bouteilles. Il enfila le vêtement sans attendre et appuya sur le capuchon de la capsule qui se transforma immédiatement en une boite blanche imprimée d'une grosse croix rouge.
Sous le regard ahuri de Robin, l'adolescent récupéra Duo de ses bras et commença à lui bander la tête avec soin après avoir désinfecté sa blessure. Il se retourna ensuite et lança au brun qui l'observait comme s'il s'agissait de l'une des choses les plus naturelles qui soient :
_ Ton compagnon reprendra connaissance sous peu, le mien mettra davantage de temps pour recouvrer conscience. Tu connais un endroit où les abriter pendant ce temps ?
L'autre, légèrement déboussolé, lui répondit automatiquement en désignant l'emplacement d'une grotte non loin de là. Sans ajouter une parole, Heero lui fit signe porter Petit Jean tandis qu'il chargeait son amant sur ses épaules et ils se dirigèrent vers ce lieu plus sûr pour les blessés.
Arrivés à l'abri, le Soldat Parfait commença à observer toutes les étiquettes des capsules pour savoir de quoi se composerait leur équipement à présent. Il fut ravi de découvrir des munitions et de l'artillerie, mais se mordit les doigts en voyant marqués les mots « chaîne hi-fi et les disques qui vont avec ! » : Duo allait lui casser les oreilles !!! Quoique depuis leur départ ils n'étaient jamais parvenus à aller jusqu'au bout de leur -blush instantané- acte d'amour, il serait peut-être agréable de le faire sur une musique classique et. . .
Heero se frappa la tête du poing : Mais qu'est ce que c'était encore que ces putains d'idées romantiques à la con ?! Il détourna son attention sur le dénommé Robin et le regarda plus minutieusement : vert. . . entièrement habillé de vert sauf pour ses chaussures qui ressemblaient à celles des lutins dans un des seuls contes pour enfants qu'il ait réussi à camoufler à J quand il était petit ! Il portait un arc en bandoulière et des flèches apparaissaient à l'extrémité de son carquois. . . encore l'époque médiévale. . . et merde ! Les deux fois où ils s'étaient retrouvés au Moyen Age, les habitants avaient tenté de les traduire devant l'Inquisition (tout en mariant Duo au passage) où de les brûler comme sorciers ! Mais pourquoi ça tombait toujours sur eux ?!
_ Qui. . . qui es tu ?
L'homme avait visiblement hésité avant de lui poser la question. Nerveux . . . et c'était normal quand on y songeait : il avait vu son compagnon le plus puissant se faire étaler en un coup de pied par un gamin qui tombait du ciel !
L'adolescent laissa un petit sourire effleurer ses lèvres et répondit malicieusement[3] :
_ Heero Yuy. . . je suis un. . . voyageur !
L'autre eut un petit rire sarcastique :
_ Drôle de façon de voyager dans ce cas ! Je suis Robin de Locksley[4], plus connu sous le pseudonyme de Robin des Bois !
Heero ferma les yeux tout en se demandant si son cauchemar ne terminerait jamais : après Marie-Antoinette, Jules César et Hitler. . . Robin des Bois. . . manquait plus qu'Astérix pour que son palmarès soit complet !
_ Et ton ami, quel est son nom ?
_ Duo. Duo Maxwell.
_ Il a l'air gentil . . .
Heero se mit à sourire comme un dément en jouant avec la pensée : « lui dit que c'est un assassin ou lui dit pas. . . » jusqu'à ce que l'archer se rende compte qu'il devait y avoir quelque chose de drôle dans ses propos dont il n'avait pas saisit le sens. Il finit par poser une question, ne supportant plus de rester dans le silence avec le regard scrutateur du garçon sur lui ; c'était bien la première fois qu'il se sentait mal à l'aise devant un adolescent mais ses pupilles cobalt glacier auraient fait trembler le roi Richard lui même !
_ Et d'où venez vous tous les deux ?
L'avertissement visuel qu'il reçut en réponse le dissuada rapidement de reprendre la parole et il préféra largement s'occuper de Petit Jean, toujours évanoui, plutôt que d'affronter une nouvelle fois le regard- de- la- mort- qui- tue- la- vie- sans- laisser le- temps- de- dire-ouf (marque déposée) du gamin aux vêtements si étranges. Vêtements qu'il ne tarda pas à ôter d'ailleurs pour enfiler une autre tenue plus étrange encore. . . des grandes braies noires très serrées, avec un surcot très ajusté de même couleur qui laissait les bras nus et une paires de chausses bizarres qui se fermait avec des lanières d'une matière autre que le cuir. . . vraiment très étrange[5]. . .
Le géant commença à maugréer dans son sommeil et Heero ne put que remarquer la façon dont le brun le couvait des yeux, tout en prenant note de conseiller à Duo d'arranger la situation entre ces deux là s'ils avaient le temps. Il ne pouvait pas le faire lui même : ce n'est pas parce que le glaçon s'était dégelé qu'il allait se mettre à jouer les entremetteurs ! Il avait une réputation à tenir tout de même !
Un bruit retentit non loin de la caverne et le Soldat Parfait revint au galop, l'arme à la main, prêt à faire feu au moindre signe d'agression. Une jeune femme habillée de rouge, parfait pour faire une cible dans la foret songea-t-il, apparut et se rua sur Robin en poussant de petits miaulement plaintifs :
_ Oh ! Mon Robin ! Pourquoiestupartisilongtempsetqu'estcequetufaisaisetoùtuétais ?! Je me suis inquiétée pour toi, si tu savais combien tu m'as manqué et. . .
Heero n'eut aucun mal à la cataloguer dans le rang « des débiles genre Réléna » tout en remerciant le ciel que ce ne soit pas encore sur lui que ça tombe ! Une troupe de hors la loi suivit la fille et proposa spontanément de les emmener, lui et Duo, à leur campement puisque Robin semblait les accepter et les considérer comme des alliés. . . enfin, alliés était un bien grand mot. . .
On transporta les inconscients sur des civières de fortunes mais Heero resta à côté de son petit ami pour le cas où le travois lâcherait, ce qui ne manqua pas d'arriver, et le jeune natté tomba dans ses bras, toujours évanoui. Mais il ne put réprimer un éclat de rire en voyant Petit Jean se réveiller après sa chute sur le sol et Robin, la fille rouge, qui s'appelait en réalité Marianne, accrochée à son avant-bras, se précipiter vers lui.
Arrivés au camp, deux heures plus tard, le héros de Sherwood avait fini par convaincre le géant qu'il ne valait mieux pas dévoiler l'origine des deux étrangers et qu'il fallait les laisser tranquilles sous peine d'avoir de sérieux ennuis. . . ce qui n'était pas faux d'ailleurs !
Heero fut installé dans une hutte, avec Duo, après avoir longuement tergiversé avec un des hommes de l'archer qui voulait mettre le blessé dans une autre cabane. Il ne céda d'ailleurs que lorsque le garçon, excédé, lui planta, au sens figuré du terme, un couteau de son compagnon sous le nez en le menaçant clairement du regard d'une mort certaine et douloureuse s'il continuait à lui prendre la tête comme ça !
Au bout de quelques temps, Duo ouvrit finalement les yeux pour apercevoir une mer cobalt inquiète au dessus de lui. Il se releva à demi, constatant qu'il ne portait que son pantalon, et se remémorant des derniers évènements, sa première question fut tout simplement :
_ Où on est Hee-chan ?
Heero n'eut pas le loisir de lui répondre puisqu'une voix forte se fit entendre et qu'un moine extrêmement gras entra à la vitesse de l'éclair dans la hutte pour crier au miracle de Dieu en prenant Duo dans ses bras :
_ Mon fils ! C'est un miracle que le diable t'ait épargné ! Le Seigneur est avec toi ![6]
_ Euh. . . oui. . . et vous êtes, mon frère ?
_ Frère Toc jeune miraculé ! Frère Toc !
Le déclic de son ami fut presque visible pour Heero qui le vit tourner vers lui un regard plein d'interrogation en formant silencieusement les lettres : « Robin des Bois ? » auquel il répondit par un acquiescement : il fallait vraiment qu'il relise ses classiques !
Le prêtre leur fit la causette pendant un petit moment puis finit par s'éclipser en sentant l'odeur de poulet grillé servi au dîner. Les garçons restés seuls, le Japonais fit le récit de ce qui s'était produit depuis leur arrivée à cette époque et se tut, attendant la réaction de son amant. Celle ci ne le fit pas languir : un sourire mutin aux lèvres, Duo s'approcha de son compagnon en faisant glisser ses doigts sur son tee- shirt, et lui murmura à l'oreille, déclenchant immédiatement des frissons dans le corps du Soldat Parfait :
_ J'aime beaucoup ton nouveau look. . .
Et comme pour confirmer ce qu'il venait de dire, le jeune homme passa une main sur l'arrière du jeans en cuir noir, remontant lentement, très lentement, le long des fesses du pilote de Wing gémissant, puis se faufilant sous l'encombrant débardeur noir pour atteindre sa peau. Doucement, leurs lèvres se lièrent dans un baiser qui succéda à une lutte pour son contrôle, lutte que Duo remporta sans le moindre problème en faisant glisser sa main sous la ceinture de son partenaire. Heero, quasiment fiévreux, sentit vaguement son frère d'arme le prendre dans ses bras pour le porter sur l'un des lits de la petite pièce mal éclairée, et lui ôter son tee-shirt dans un mouvement lascif. Un torse nu se cola contre le sien et le métis asiatique laissa une totale liberté d'actes à son amant, profitant uniquement des sensations de plus en plus grisantes qu'il lui offrait.
La bouche de Duo se dirigea son cou pour y déposer une série de petits baisers plus légers que des papillons qui eurent pour effet de tirer des gémissements incontrôlés de son petit ami. Mais il lui en fallait plus, remontant vers sa gorge, l'Américain commença à sucer la peau fine et tendre sur un point particulièrement sensible de son partenaire, mais ses mains ne restèrent pas inactives non plus : alternant caresses et effleurements sur le torse offert du garçon, elles ne faisaient que rajouter un degré de plaisir supplémentaire aux deux jeunes gens qui échangeaient les plus intenses sensations qui soient. . .
Duo descendait vers l'un des mamelons du Japonais lorsqu'il entendit une cri étouffé suivi d'un autre. Ouvrant les yeux, il darda les deux intrus d'un regard encore pire que celui de son amant, tandis que celui ci déclarait d'une voix tranchante où se devinait de multiples sous entendus très douloureux :
_ Robin, Petit Jean, vous avez vraiment intérêt à avoir une excellente raison d'être ici. . .
A Suivre. . .
Vous connaissez ma règle : je veux mes 5 reviews ! Sinon pas de suite !
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Lyra *Je veux voir Heero en tunique verte moulante !* Shin
Duo : Mais pourquoi on nous empêches toujours d'aller jusqu'au bout ?!!!!
Lyra : Ca m'amuse toujours autant, ça te suffi comme raison ?
Duo : T_T
Heero : Dites, je suis vachement OOC dans ce chapitre !
Lian : Et t'as pas encore vu le prochain !
Duo : Pourquoi ? Qu'est ce qui s'y passe ?
Ly-chan : Un duel d'adresse entre Robin et Hee-chan avec leurs armes favorites ! Et un entre Petit Jean et Duo aussi !
Lyra : Plus un sermon de Frère Toc sur l'homosexualité totalement contrecarré par une démonstration en règle de l'art ( du discours, je précise. . .) de Duo !
Heero : Pourquoi deux chapitres sur cette époque ?
Lyra : Je suis inspirée, alors je fais plus long que prévu ! Au fait, pour les lecteurs : je ne fais pas d'update en retard, c'est juste que j'ai trop de fics en cours même temps et pas seulement sur Gundam Wing !
Lian : Et je ne sais pas combien en préparation. . .
Duo *sort un bout de papier * : 15 en prépa !
Lyra : Eh ! Mais où t'as trouvé ma liste toi ?!
Duo : Je suis ton fils ! N'oublie pas !
Lyra : Ah oui, c'est vrai. . .
Review please !
Les petites notes de l'autrice en manque de sa drogue :
[1] Moi, aimer les framboises ? NAAAAAANNNNNNN !!!!^________________^
Lian * ouvrant le frigo * : Elle en mange même des surgelées. . .
Lyra : C'est meilleur froid et glacé !
Ly-chan : De toute façon la seule à demander des glaces ou des sorbets à la cafétéria en plein mois de Décembre , c'est ELLE !!!
Lyra : ^__________________________^
[2] J'ai piqué cette idée dans Dragon Ball Z si vous voulez tout savoir !
Lian : Tu les regarde encore ?!
Lyra : Non, mais mon frère m'a piqué ces mangas et je les ai feuilleté en les récupérant et . . .
Lian : Et merde !
[3] Y a pas à dire, Duo déteint sur lui !
Lian : Dixit celle qui ressemble au baka natté comme deux gouttes d'eau !
Ly-chan : Au niveau physique ou mental ?
Lyra et Lian : Les deux ! Et c'est contagieux !
Duo : -_-°. . . . . . je suis vraiment comme ça ?
Wufei : Oh oui !
[4] Lyra : Pardon pour l'orthographe s'il y a des fans de Robin des Bois ! Mais j'écris au phonétique moi, alors. . .
[5] Lyra : Pffffffffff !!!!!! MDR !!!!!
Lian : Lyra !!!!
Lyra : Quoi ?!
Lian : J'en reviens pas que t'ai osé faire une chose pareille ! Comment tu veux que tes lecteurs, ils comprennent comment Hee-chan est habillé si tu parles en langage du XII ° siècle ?!
Lyra * mode traducteur * : Il porte un superbe jeans moulant à souhait d'adorables petites fesses, un tee-shirt serré où on distingue tous les muscles et des baskets noires à lacets synthétiques pour mieux pouvoir courir. Satisfaite ?
Lian : Il déconne ton traducteur, non ?
Lyra : Lylyth l'a bidouillé la dernière fois. . . pourquoi ?!
Lian : Pour rien, pour rien. . . -_-°
[6] Navrée s'il y a des catholiques qui lisent cette fic mais j'ai un peu beaucoup horreur de la religion étant donné que le curé chez qui j'allais quand j'étais petite était un vieux vicieux qui nous regardait nous déshabiller lorsque c'était notre tour de faire les enfants de c?ur !
Lian : De toute façon, je crois qu'aucun lecteur de fic yaoï ne peut se dire complètement croyant s'il lit des lemon ou TES fics !
Lyra : Ah, oui, c'est vrai !
Auteur : Lyrashin, la Mort incarnée, alias la Maîtresse du Temps !
Genre : Yaoï, Lime, Délirium temporel de l'autrice qui écrit ce truc alors qu'elle est en conférence sur le suicide ( Lylyth : Conférence qui te fait bien marrer d'ailleurs !) , Couple original, OOC mineur des persos. . . Méchant Shérif de Nottingham !
Couples : 2x1, 2+1+2, pourquoi je le précise encore ?! PJ x RB !
Disclamer : Aucun des persos ne m'appartient . . . mais je ne leur fais aucun mal !
Lylyth : Oui ! C'est moi qui joue avec ! Et je les rendrai pas en bon état !!!
Remerciements : A tous les gentils reviewers qui m'ont laissé un message : MERCI !!!! On a dépassé les 60 reviews ! On va peut-être finir par atteindre les 100 !!!!
LOST IN THE TIME
Chapitre 8 : Heero Yuy, Prince des Voleurs
Dans la forêt de Sherwood, deux hommes marchaient rapidement, évitant adroitement tous les buissons qui auraient pu ralentir leur allure.
_ Dépêche toi Petit Jean ( PJ) ! Il faut rejoindre le campement ! Les autres nous attendent !
Le second sourit ironiquement et répliqua :
_ Si tu n'avais pas tant tenu à manger des framboises, nous ne serions pas en retard ![1] N'est ce pas Robin ?
Le dit-nommé rougit violemment en se remémorant ce qu'il avait ressenti en barbouillant de fruits rouges la bouche de son compagnon. Mais il devait le cacher au plus profond de lui : tout le monde était certain qu'il finirait par épouser Marianne, son amie d'enfance , mais il ne pouvait ignorer ses sentiments pour le grand brun qui combattait à ses côtés, préférant l'usage d'un bâton à une épée. Il en était honteux : il ne pourrait jamais lui avouer son amour au risque de perdre son amitié.
Un bruit au dessus de leurs têtes attira leur attention, et le cri qui suivit leur vrilla les tympans :
_AAAUU SEEECCOOOOUUUUUUUURRRRRRRSSSSS !!!!!!
En levant les yeux, les deux hors la loi aperçurent une forme indistincte tomber du ciel, traversant un feuillage, et se séparant en deux parties. Chacun des hommes réceptionna l'un des colis et ils furent stupéfaits en découvrant qu'il s'agissait de jeunes garçons à demi nus !!!
_ J'ai mal à la tête !
Celui que Robin tenait s'était cogné le crane contre une branche lors de sa chute et un fin filet de sang s'écoulait le long de sa tempe droite, salissant la magnifique tresse châtain qu'il portait. Le deuxième s'extirpa vivement des bras de Petit Jean pour se précipiter sur son camarade qui venait juste de perdre connaissance :
_ Duo ! Duo ! Tu vas bien ?!
Le jeune homme ne réagit pas et son compagnon commença à s'inquiéter : et si Duo s'était trop gravement blessé ?!
Une main se posa sur son épaule et il perçut les bribes d'une conversation :
_ Qui sont-ils ? des espions du Shérif ?
_ Je ne pense pas Petit Jean ! Ils ne seraient pas tombés du ciel si c'était le cas ! Et ils ont l'air trop jeunes pour ce genre de choses !
La pression sur l'épaule de Heero se fit plus forte et, au moment où il acceptait enfin de quitter son frère d'armes des yeux un instant pour se retourner, une grosse voix retentit :
_ Tu ferais mieux de me donner ton nom, petit ! Je ne sais pas qui tu es et je n'ai aucune raison d'avoir confiance en toi ! Nous devrions peut-être même vous abandonner ici avec ton ami !
Les yeux pleins de fureur, le Japonais fit face au grand Petit Jean qui n'avait parlé ainsi que pour l'intimider, et, sans que celui-ci s'y attende, lui balança un violent coup de pied dans la cage thoracique. Le géant se retrouva projeté contre un arbre et, comme un malheur n'arrive jamais seul, une autre lumière apparut dans le ciel et un étrange paquet lui tomba sur la tête, l'assommant pour le coup. Heero, sans s'inquiéter le moins du monde du sort de son assaillant, s'approcha de l'objet et remarqua une feuille de papier à l'écriture facilement reconnaissable : celle de Duo.
Salut Heero !
Ne t'inquiète pas pour ma version plus jeune : il a juste une légère commotion cérébrale ! Bon, comme vous êtes partis un peu précipitamment ( oubliant d'ailleurs la moitié de vos vêtements sur le sol, t'aurais vu la gueule de la femme de ménage après !), nous vous expédions un colis contenant toutes les affaires qui vous seront nécessaire durant le reste de votre périple.
Comme il y avait trop de choses, nous les avons stocké avec le système Capsule : réduits aux maximum dans de petites capsules, les objets reprennent une taille normale lorsqu'on appuie sur le capuchon, et ils se rétractent en appuyant sur la surface marron qui les orne.[2]
Alors je vous souhaite un bon voyage et amusez vous bien !
Duo Maxwell Yuy
PS : Le lourdaud que l'on a assommé ne se réveillera que dans une heure ! Et Duo dans trois heures !
Heero leva les yeux au ciel, se demandant s'il devait bénir ou maudire l'Américain, avant de se décider à rechercher la capsule marquée « trousse à pharmacie » dans tout le fatras qu'on leur avait envoyé. Il finit par la trouver dans la poche d'un gilet dont le tissu formait de petits compartiments adaptés à la taille de minuscules bouteilles. Il enfila le vêtement sans attendre et appuya sur le capuchon de la capsule qui se transforma immédiatement en une boite blanche imprimée d'une grosse croix rouge.
Sous le regard ahuri de Robin, l'adolescent récupéra Duo de ses bras et commença à lui bander la tête avec soin après avoir désinfecté sa blessure. Il se retourna ensuite et lança au brun qui l'observait comme s'il s'agissait de l'une des choses les plus naturelles qui soient :
_ Ton compagnon reprendra connaissance sous peu, le mien mettra davantage de temps pour recouvrer conscience. Tu connais un endroit où les abriter pendant ce temps ?
L'autre, légèrement déboussolé, lui répondit automatiquement en désignant l'emplacement d'une grotte non loin de là. Sans ajouter une parole, Heero lui fit signe porter Petit Jean tandis qu'il chargeait son amant sur ses épaules et ils se dirigèrent vers ce lieu plus sûr pour les blessés.
Arrivés à l'abri, le Soldat Parfait commença à observer toutes les étiquettes des capsules pour savoir de quoi se composerait leur équipement à présent. Il fut ravi de découvrir des munitions et de l'artillerie, mais se mordit les doigts en voyant marqués les mots « chaîne hi-fi et les disques qui vont avec ! » : Duo allait lui casser les oreilles !!! Quoique depuis leur départ ils n'étaient jamais parvenus à aller jusqu'au bout de leur -blush instantané- acte d'amour, il serait peut-être agréable de le faire sur une musique classique et. . .
Heero se frappa la tête du poing : Mais qu'est ce que c'était encore que ces putains d'idées romantiques à la con ?! Il détourna son attention sur le dénommé Robin et le regarda plus minutieusement : vert. . . entièrement habillé de vert sauf pour ses chaussures qui ressemblaient à celles des lutins dans un des seuls contes pour enfants qu'il ait réussi à camoufler à J quand il était petit ! Il portait un arc en bandoulière et des flèches apparaissaient à l'extrémité de son carquois. . . encore l'époque médiévale. . . et merde ! Les deux fois où ils s'étaient retrouvés au Moyen Age, les habitants avaient tenté de les traduire devant l'Inquisition (tout en mariant Duo au passage) où de les brûler comme sorciers ! Mais pourquoi ça tombait toujours sur eux ?!
_ Qui. . . qui es tu ?
L'homme avait visiblement hésité avant de lui poser la question. Nerveux . . . et c'était normal quand on y songeait : il avait vu son compagnon le plus puissant se faire étaler en un coup de pied par un gamin qui tombait du ciel !
L'adolescent laissa un petit sourire effleurer ses lèvres et répondit malicieusement[3] :
_ Heero Yuy. . . je suis un. . . voyageur !
L'autre eut un petit rire sarcastique :
_ Drôle de façon de voyager dans ce cas ! Je suis Robin de Locksley[4], plus connu sous le pseudonyme de Robin des Bois !
Heero ferma les yeux tout en se demandant si son cauchemar ne terminerait jamais : après Marie-Antoinette, Jules César et Hitler. . . Robin des Bois. . . manquait plus qu'Astérix pour que son palmarès soit complet !
_ Et ton ami, quel est son nom ?
_ Duo. Duo Maxwell.
_ Il a l'air gentil . . .
Heero se mit à sourire comme un dément en jouant avec la pensée : « lui dit que c'est un assassin ou lui dit pas. . . » jusqu'à ce que l'archer se rende compte qu'il devait y avoir quelque chose de drôle dans ses propos dont il n'avait pas saisit le sens. Il finit par poser une question, ne supportant plus de rester dans le silence avec le regard scrutateur du garçon sur lui ; c'était bien la première fois qu'il se sentait mal à l'aise devant un adolescent mais ses pupilles cobalt glacier auraient fait trembler le roi Richard lui même !
_ Et d'où venez vous tous les deux ?
L'avertissement visuel qu'il reçut en réponse le dissuada rapidement de reprendre la parole et il préféra largement s'occuper de Petit Jean, toujours évanoui, plutôt que d'affronter une nouvelle fois le regard- de- la- mort- qui- tue- la- vie- sans- laisser le- temps- de- dire-ouf (marque déposée) du gamin aux vêtements si étranges. Vêtements qu'il ne tarda pas à ôter d'ailleurs pour enfiler une autre tenue plus étrange encore. . . des grandes braies noires très serrées, avec un surcot très ajusté de même couleur qui laissait les bras nus et une paires de chausses bizarres qui se fermait avec des lanières d'une matière autre que le cuir. . . vraiment très étrange[5]. . .
Le géant commença à maugréer dans son sommeil et Heero ne put que remarquer la façon dont le brun le couvait des yeux, tout en prenant note de conseiller à Duo d'arranger la situation entre ces deux là s'ils avaient le temps. Il ne pouvait pas le faire lui même : ce n'est pas parce que le glaçon s'était dégelé qu'il allait se mettre à jouer les entremetteurs ! Il avait une réputation à tenir tout de même !
Un bruit retentit non loin de la caverne et le Soldat Parfait revint au galop, l'arme à la main, prêt à faire feu au moindre signe d'agression. Une jeune femme habillée de rouge, parfait pour faire une cible dans la foret songea-t-il, apparut et se rua sur Robin en poussant de petits miaulement plaintifs :
_ Oh ! Mon Robin ! Pourquoiestupartisilongtempsetqu'estcequetufaisaisetoùtuétais ?! Je me suis inquiétée pour toi, si tu savais combien tu m'as manqué et. . .
Heero n'eut aucun mal à la cataloguer dans le rang « des débiles genre Réléna » tout en remerciant le ciel que ce ne soit pas encore sur lui que ça tombe ! Une troupe de hors la loi suivit la fille et proposa spontanément de les emmener, lui et Duo, à leur campement puisque Robin semblait les accepter et les considérer comme des alliés. . . enfin, alliés était un bien grand mot. . .
On transporta les inconscients sur des civières de fortunes mais Heero resta à côté de son petit ami pour le cas où le travois lâcherait, ce qui ne manqua pas d'arriver, et le jeune natté tomba dans ses bras, toujours évanoui. Mais il ne put réprimer un éclat de rire en voyant Petit Jean se réveiller après sa chute sur le sol et Robin, la fille rouge, qui s'appelait en réalité Marianne, accrochée à son avant-bras, se précipiter vers lui.
Arrivés au camp, deux heures plus tard, le héros de Sherwood avait fini par convaincre le géant qu'il ne valait mieux pas dévoiler l'origine des deux étrangers et qu'il fallait les laisser tranquilles sous peine d'avoir de sérieux ennuis. . . ce qui n'était pas faux d'ailleurs !
Heero fut installé dans une hutte, avec Duo, après avoir longuement tergiversé avec un des hommes de l'archer qui voulait mettre le blessé dans une autre cabane. Il ne céda d'ailleurs que lorsque le garçon, excédé, lui planta, au sens figuré du terme, un couteau de son compagnon sous le nez en le menaçant clairement du regard d'une mort certaine et douloureuse s'il continuait à lui prendre la tête comme ça !
Au bout de quelques temps, Duo ouvrit finalement les yeux pour apercevoir une mer cobalt inquiète au dessus de lui. Il se releva à demi, constatant qu'il ne portait que son pantalon, et se remémorant des derniers évènements, sa première question fut tout simplement :
_ Où on est Hee-chan ?
Heero n'eut pas le loisir de lui répondre puisqu'une voix forte se fit entendre et qu'un moine extrêmement gras entra à la vitesse de l'éclair dans la hutte pour crier au miracle de Dieu en prenant Duo dans ses bras :
_ Mon fils ! C'est un miracle que le diable t'ait épargné ! Le Seigneur est avec toi ![6]
_ Euh. . . oui. . . et vous êtes, mon frère ?
_ Frère Toc jeune miraculé ! Frère Toc !
Le déclic de son ami fut presque visible pour Heero qui le vit tourner vers lui un regard plein d'interrogation en formant silencieusement les lettres : « Robin des Bois ? » auquel il répondit par un acquiescement : il fallait vraiment qu'il relise ses classiques !
Le prêtre leur fit la causette pendant un petit moment puis finit par s'éclipser en sentant l'odeur de poulet grillé servi au dîner. Les garçons restés seuls, le Japonais fit le récit de ce qui s'était produit depuis leur arrivée à cette époque et se tut, attendant la réaction de son amant. Celle ci ne le fit pas languir : un sourire mutin aux lèvres, Duo s'approcha de son compagnon en faisant glisser ses doigts sur son tee- shirt, et lui murmura à l'oreille, déclenchant immédiatement des frissons dans le corps du Soldat Parfait :
_ J'aime beaucoup ton nouveau look. . .
Et comme pour confirmer ce qu'il venait de dire, le jeune homme passa une main sur l'arrière du jeans en cuir noir, remontant lentement, très lentement, le long des fesses du pilote de Wing gémissant, puis se faufilant sous l'encombrant débardeur noir pour atteindre sa peau. Doucement, leurs lèvres se lièrent dans un baiser qui succéda à une lutte pour son contrôle, lutte que Duo remporta sans le moindre problème en faisant glisser sa main sous la ceinture de son partenaire. Heero, quasiment fiévreux, sentit vaguement son frère d'arme le prendre dans ses bras pour le porter sur l'un des lits de la petite pièce mal éclairée, et lui ôter son tee-shirt dans un mouvement lascif. Un torse nu se cola contre le sien et le métis asiatique laissa une totale liberté d'actes à son amant, profitant uniquement des sensations de plus en plus grisantes qu'il lui offrait.
La bouche de Duo se dirigea son cou pour y déposer une série de petits baisers plus légers que des papillons qui eurent pour effet de tirer des gémissements incontrôlés de son petit ami. Mais il lui en fallait plus, remontant vers sa gorge, l'Américain commença à sucer la peau fine et tendre sur un point particulièrement sensible de son partenaire, mais ses mains ne restèrent pas inactives non plus : alternant caresses et effleurements sur le torse offert du garçon, elles ne faisaient que rajouter un degré de plaisir supplémentaire aux deux jeunes gens qui échangeaient les plus intenses sensations qui soient. . .
Duo descendait vers l'un des mamelons du Japonais lorsqu'il entendit une cri étouffé suivi d'un autre. Ouvrant les yeux, il darda les deux intrus d'un regard encore pire que celui de son amant, tandis que celui ci déclarait d'une voix tranchante où se devinait de multiples sous entendus très douloureux :
_ Robin, Petit Jean, vous avez vraiment intérêt à avoir une excellente raison d'être ici. . .
A Suivre. . .
Vous connaissez ma règle : je veux mes 5 reviews ! Sinon pas de suite !
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Lyra *Je veux voir Heero en tunique verte moulante !* Shin
Duo : Mais pourquoi on nous empêches toujours d'aller jusqu'au bout ?!!!!
Lyra : Ca m'amuse toujours autant, ça te suffi comme raison ?
Duo : T_T
Heero : Dites, je suis vachement OOC dans ce chapitre !
Lian : Et t'as pas encore vu le prochain !
Duo : Pourquoi ? Qu'est ce qui s'y passe ?
Ly-chan : Un duel d'adresse entre Robin et Hee-chan avec leurs armes favorites ! Et un entre Petit Jean et Duo aussi !
Lyra : Plus un sermon de Frère Toc sur l'homosexualité totalement contrecarré par une démonstration en règle de l'art ( du discours, je précise. . .) de Duo !
Heero : Pourquoi deux chapitres sur cette époque ?
Lyra : Je suis inspirée, alors je fais plus long que prévu ! Au fait, pour les lecteurs : je ne fais pas d'update en retard, c'est juste que j'ai trop de fics en cours même temps et pas seulement sur Gundam Wing !
Lian : Et je ne sais pas combien en préparation. . .
Duo *sort un bout de papier * : 15 en prépa !
Lyra : Eh ! Mais où t'as trouvé ma liste toi ?!
Duo : Je suis ton fils ! N'oublie pas !
Lyra : Ah oui, c'est vrai. . .
Review please !
Les petites notes de l'autrice en manque de sa drogue :
[1] Moi, aimer les framboises ? NAAAAAANNNNNNN !!!!^________________^
Lian * ouvrant le frigo * : Elle en mange même des surgelées. . .
Lyra : C'est meilleur froid et glacé !
Ly-chan : De toute façon la seule à demander des glaces ou des sorbets à la cafétéria en plein mois de Décembre , c'est ELLE !!!
Lyra : ^__________________________^
[2] J'ai piqué cette idée dans Dragon Ball Z si vous voulez tout savoir !
Lian : Tu les regarde encore ?!
Lyra : Non, mais mon frère m'a piqué ces mangas et je les ai feuilleté en les récupérant et . . .
Lian : Et merde !
[3] Y a pas à dire, Duo déteint sur lui !
Lian : Dixit celle qui ressemble au baka natté comme deux gouttes d'eau !
Ly-chan : Au niveau physique ou mental ?
Lyra et Lian : Les deux ! Et c'est contagieux !
Duo : -_-°. . . . . . je suis vraiment comme ça ?
Wufei : Oh oui !
[4] Lyra : Pardon pour l'orthographe s'il y a des fans de Robin des Bois ! Mais j'écris au phonétique moi, alors. . .
[5] Lyra : Pffffffffff !!!!!! MDR !!!!!
Lian : Lyra !!!!
Lyra : Quoi ?!
Lian : J'en reviens pas que t'ai osé faire une chose pareille ! Comment tu veux que tes lecteurs, ils comprennent comment Hee-chan est habillé si tu parles en langage du XII ° siècle ?!
Lyra * mode traducteur * : Il porte un superbe jeans moulant à souhait d'adorables petites fesses, un tee-shirt serré où on distingue tous les muscles et des baskets noires à lacets synthétiques pour mieux pouvoir courir. Satisfaite ?
Lian : Il déconne ton traducteur, non ?
Lyra : Lylyth l'a bidouillé la dernière fois. . . pourquoi ?!
Lian : Pour rien, pour rien. . . -_-°
[6] Navrée s'il y a des catholiques qui lisent cette fic mais j'ai un peu beaucoup horreur de la religion étant donné que le curé chez qui j'allais quand j'étais petite était un vieux vicieux qui nous regardait nous déshabiller lorsque c'était notre tour de faire les enfants de c?ur !
Lian : De toute façon, je crois qu'aucun lecteur de fic yaoï ne peut se dire complètement croyant s'il lit des lemon ou TES fics !
Lyra : Ah, oui, c'est vrai !
