Coup de foudre et conséquences
suite de coup de foudre à Poudlard
Auteur : la pieuvre du désert ou kurapika
Disclaimer : l'univers d'Harry Potter me m'appartient pas mais toujours a j.k. Rowling. Les titres toujours a Calogéro et De Palmas
Remerciements : à tous ceux qui m'ont laisser des revieuws sur coup de foudre à Poudlard, plus spécialement, Enishi, Céline, Saael', Lululle, Cheilin, Célina, Vivi, Alex voici la suite, avec plus de détails^___^, donc si vous n'aimez pas les slash allez ailleurs. avec ma bénédiction ^o^, il y a 10 chapitres en tout.
Chapitre 1 : Je vis où tu m'as laissé ( Calogéro)
Cela faisait maintenant deux semaines qu'Harry était en vacances, il vivait avec Sirius son parrain. Ce matin Harry avait reçu une lettre de Draco, et depuis il l'avait lu, relu, re relu jusqu'à la connaître par c?ur.
«Je vis où tu m'as laissé Comme étranger à moi-même L'amour à perpétuité Je m'étais pris à en rêver
J'en suis où tu m'as laissé C'est une absence qui m'enchaîne Les pieds et les poings liés Je m'étais pris dans tes filets » (je vis où tu m'as laissé Calogéro)
Il s'ennuyait de son amoureux, il ne devait le revoir que le 31 juillet pour son anniversaire, en attendant ils communiquaient avec Draco par hibou. Harry lui répondit que lui aussi se sentait seul et qu'il se languissait de lui, toutes les lettres que les deux garçons s'étaient échangées étaient de se style.
La relation amoureuse entre Harry et Draco n'avait pas évolué comme ils l'avaient souhaité, car ils avaient du être séparés à cause des vacances, bien sur dans le train pendant le retour à Londres, ils avaient laissé libre cours à leur imagination, ils s'étaient découverts mutuellement, mais depuis cela faisait deux semaines qu'ils étaient séparés, et chacun de son côté s'impatienté.
Draco lui s'ennuyait à mourir dans le manoir familial, il avait déjà demandé à son père la permission de passer la fin des vacances chez un ami d'école, sans avoir précisé lequel. Bientôt il irait à l'anniversaire de son amour, le 31 juillet, mais il n'avait pas encore trouvé de cadeau à la mesure de son amour pour lui. Il avait déjà fait beaucoup de magasins, et demandait conseille aux amis d'Harry, mais Ron et Hermione, n'avaient pas été d'une aide précieuse, en effet ils s'étaient mis en tête qu'Harry devait être aurore, et s'étaient décidaient à lui offrir tous les livres sur ce sujet, voir même les accessoires du parfait aurore, mais en pensant à Maugrey, Draco ne voulait pas que l'être qu'il aimait soit recouvert de cicatrices. Il aurait bien demandé conseille à son père, mais comment lui dire sans préciser que son amoureuse, était un garçon de plus son ex pire ennemi, Harry Potter, à sa mère c'était encore plus dur puisqu'elle ne parlait quasiment pas.
Après avoir écrit sa dernière lettre à Harry, Draco retourna dans sa chambre, là il eu la surprise d'avoir un hibou, c'était une lettre de Dumbledore, le directeur de son collège Poudlard. Il fut très surpris, il ne devait pas recevoir de lettre de son école avant début août, mais il se rendit compte que ce n'était pas une lettre officielle que le directeur lui avait envoyé mais plutôt privé.
« Draco, je tiens à te féliciter d'avoir eu le courage de lui avouer tes sentiments, je te souhaite de vivre un grand amour. Harry m'a dit que tu devais le rejoindre au mois d'août et que vous alliez passer le reste de vos vacances ensembles, chez Sirius. N'oublie pas de réviser un peu. Si tu cherche une idée de cadeau, je peux te conseiller une montre, en effet celle qu'il avait à été cassé lors de la seconde tâche du tournoi des trois sorciers. »
Une montre se dit Draco, qu'est ce que c'est ? ce doit être un objet de moldu, mais à quoi cela doit bien servir, et où en trouver.
Au repas du midi, ce samedi les Dursley étaient très contents, cela faisait deux semaines qu'ils vivaient sans Harry et cela les avaient rendus de très bonne humeur, la seule ombre au tableau était qu'il restait des affaires à Harry dans la petite chambre.
_Tu te rends compte qu'ils se sont embrassés sur la bouche devant toute la gare dit Mr Dursley à sa femme, rien que d'y penser j'en ai honte, Harry me dégoûte comment à t'il pu aimer un autre garçon, et en plus il s'est donné en spectacle, heureusement qu'il vit chez ce criminel, tu te rends compte de ce qu'il se serait passer si les voisins avaient appris que notre neveu était homosexuel.
_Tu as raison, lui répondit sa femme, rien que de penser qu'il ai embrasé un autre garçon me répugne, mais qu'allons nous faire de ses affaires, je ne veux pas y toucher.
Dudley arriva dans la cuisine avec une lettre d'Harry.
_Tiens papa ! le pédé nous à écrit, dit il avec mépris.
Puis il lui donna la lettre que son père prit avec beaucoup de dégoût, mais la lu quand même.
_Que nous veut il donc ?
« cher oncle et tante, j'espère que vous allez bien , ainsi que Dudley, moi je vais très bien depuis que je vis chez mon parrain, je souhaiterais passer le 16 juillet dans l'après midi afin de récupérer mes affaires, et après vous n'entendrez plus parlez de moi, si c'est ce que vous voulez, Harry ».
_Il est culottait quand même, dit l'oncle Vernon, le 16 c'est aujourd'hui, il aurait pu prévenir plutôt, on aurait pu s'absenter.
il fut surpris par une sonnette.
_Ce dois être lui, dit dudley.
Puis il alla ouvrir la porte, en effet c'était bien Harry.
_Papa ! Harry la pédale est là.
Harry le regarda de travers.
_Moi aussi, je suis content de te revoir, cher cousin, je viens juste chercher le reste de mes affaires, dit il en entrant dans la maison.
Dudley recula effrayé.
_Ha ! tu ne me touches pas, dit il apeurait, je ne t'aime pas, ne te trompe pas de garçon, je suis normale moi.
_Comment veux tu que je te confonde avec mon Draco, dit méchamment Harry, il est beau lui pas comme toi.
Oncle Vernon sorti de la cuisine quand il reconnu la voix de son neveu.
_C'est toi, dit il, tu aurais pu nous prévenir plutôt, et ne touche pas à mon fils chéri, si jamais tu essaye de faire quelque chose, je te garanti que tu le regretteras. Comme si tu n'étais pas assez bizarre en étant sorcier, il faut qu'en plus tu sois pédé, tu fais honte à notre famille, et dire que tu as vécu 15 ans sous notre toit, Dieu sait ce que tu aurais pu faire à ton cousin, lui qui est sans défense.
_De ce côté vous n'avez rien à craindre, dit Harry, Dudley n'est pas vraiment mon genre, et puis qui en voudrait, il est tellement moche, méchant et égoïste que personne ne pourra l'aimer, de plus il est loin d'être sans défense.
Mr Dudley regarda Harry de travers, il avait beaucoup changé depuis la dernière fois où il l'avait vu, il avait maintenant des vêtements neufs et à sa taille, car avant il avait les vieux vêtements de son cousin qui étaient trop grand pour lui. Puis il remarqua que Harry n'était pas seul, derrière il y avait un homme, c'était celui qui était sur le quai le jour où il était venu chercher Harry, Black Sirius.
_Ne les écoutes pas, dit il, ils sont méchants de nature, va chercher tes affaires et après on rentre à la maison.
Pendant qu'Harry alla chercher ses affaires, Sirius resta seul avec les Dursley.
_Que je vous entende plus traiter Harry de pédé, dit il en colère, il est aussi normal que n'importe qui, et même plus que vous, il est facile de juger quelqu'un, si je n'avais pas promis à Harry de ne rien vous faire, je vous aurai bien lancer un sort, histoire de vous remettre les idées en place. Je vous conseille quand même de vous excusez, je peux revenir seul un jour.
Harry ne mit pas beaucoup de temps à rassembler ses affaires, il n'en avait pas beaucoup, puis il redescendit.
_Harry, dit Sirius, ton oncle a quelque chose à te dire.
_Excuse-moi, je n'aurais pas du te juger sur tes préférences, cela ne me regarde pas, dit l'oncle Vermon, sans vraiment y croire, maintenant que tu as toutes tes affaires tu peux t'en aller, et surtout ne revient plus et ne nous écrit plus.
Harry regarda son parrain, et se douta que ce dernier leur avait fait la morale pendant qu'il était dans son ancienne chambre.
_Si c'est ce que vous voulez, alors je ne reviendrais plus, et j'accepte vos excuses bien qu'elles ne me semblent pas sincères, et bien adieu.
Les 15 jours qui suivrent passèrent vite.
Hermione bien qu'ayant finie première aux BUSES, n'était pas contente de ses notes et se mit à réviser encore plus tôt que d'habitude. Neville obtenu plus de BUSES qu'il ne l'aurait cru, et il fut félicité par toute sa famille, notamment de sa grand mère après la réception d'une lettre de Dumbledore, où il félicitait Neville de ses bons résultats scolaire, et ses performances en tant que préfet. Ron lui eu des résultats assez moyens, tu aurais du réviser avec plus de sérieux, lui dit Percy, tu dois donner l'exemple à Ginny, elle va bientôt passer ses BUSES. Draco reçu lui aussi ses résultats, il était second, juste derrière Hermione, il fut félicité par son père qui lui donna la permission d'aller chez son ami, a condition de le retrouver le 29 août afin de se rendre sur le chemin de traverse dans le but d'acheter les fournitures scolaires. Harry eu des notes assez convenables, mais il y avait encore des lacunes que Sirius aidera à combler.
_Quand ton ami sera là, tu auras moins de temps pour réviser, dit Sirius avec un sourire complice.
Le 31 juillet, dans le manoir des Malefoy, Draco alla voir son père.
_Père, je dois me rendre à l'anniversaire de mon ami, je pars aujourd'hui, je te retrouves sur le chemin de traverse, comme convenu.
_C'est vrai ! mais tu ne m'as pas dit de qui il s'agit, ce n'est ni Crabbe ni Goyle puisqu'ils sont nés en novembre.
_.
_D'après la tête que tu fais ce n'est pas un ami, mais une amie, je la connais ?
_Euh. Non.
_C'est bien d'être jeune, je suis content que tu sois amoureux, mais j'aimerais qu'un jour tu me la présente, je t'ai assez retardé va la rejoindre.
Draco reparti, il voulait arrivé tôt pour faire une surprise à Harry, si son père savait de qui il s'agissait il serait sûrement moins content, pensa t'il, tout en sachant que sa relation ne pourrait resté, même si actuellement peu de personnes connaissaient la vérité.
Il était 10h00 quand il arriva devant la nouvelle maison d'Harry, c'est Sirius qui ouvrit la porte.
_Bonjour Draco, tu es matinale, Harry va être content de te voir, il est dans la cuisine.
Draco fut très surpris quand il vit Harry dans la cuisine, cela ne faisait qu'un mois qu'ils s'étaient quittés, mais il avait beaucoup changé, sûrement parce que aujourd'hui il avait des vêtements à sa taille, il n'en fallut pas plus pour que Draco lui saute dessus pour l'embrasser.
_Bon anniversaire mon amour, dit il avant de rependre de façon plus approfondit son baiser.
_Tu m'as manqué, dit Harry.
_Je sais, répondit Draco, tu es vraiment très sexy dans ces vêtements, mais tu dois y être plus sans vêtements du tout, et si tu me montrais ta chambre.
Les parents d'Hermione la déposèrent en voiture, vers les midi.
_Amuse-toi bien, lui dirent ils, au moins aujourd'hui tu vas oublier tes livres.
Ron et Ginny arrivèrent ensuite et allèrent rejoindre Hermione dans la chambre d'Harry, Fred et George eux allèrent dans le jardin. Pendant qu'Harry leur faisait faire la visite, Draco lui alla mettre ses affaires dans la chambre d'ami, sans avoir l'intention d'y dormir, puis il alla dans le jardin.
_Tu as une jolie chambre, dit Ron.
_Mais tu n'as pas de bibliothèque, dit Hermione, où as tu mis tes livres ?
_Hermione, arrête avec tes livres, dit Ron, pense à autre chose, amuse toi de temps en temps.
Fred et George croisèrent Draco dans le jardin.
_Malefoy ! qu'est ce que tu fais ici, chez Harry ?
_Comment ça qu'est ce que je fais ici, mais je suis invité à l'anniversaire d'Harry, répondit Draco.
_D'abord tu ne l'appèle pas Harry, ensuite tu n'es pas le bienvenu, dit Fred.
_Ouais, pas du tout bienvenu, rajouta George.
Puis ils allèrent voir Harry dans sa chambre.
_Harry, Malefoy est dans ton jardin en ce moment, dit Fred avec mépris.
_Je sais, dit Harry, Draco va passer le reste de ses vacances avec moi.
_Hein ! ! !
_Ron, ne vous a pas prévenu que Draco était notre ami.
_Enfin ,plus le tient que le nôtre, dit Ron en souriant.
_Il aurait du nous dire quoi, demanda George.
_je veux bien vous le dire, mais il faudra garder le secret, d'accord, demanda Harry.
_Oui, dirent Fred et George.
_Voilà, Draco et moi, nous sortons ensembles.
_Sortir, comme des amis.je vois, petit vilain, tu as bien caché ton jeux. Alors maintenant on est les cons de services, quand on a dit à Malefoy qu'il n'était pas le bienvenu.
Fred et George durent s'excusaient auprès de Draco.
_Ce n'est pas grave, après tout vous n'étiez pas au courant, Harry préfère que cela reste encore secret.
_Pour Harry, d'accord ! on gardera le secret.
Au repas du soir Bill, Charlie, Percy ainsi qu Mr et Mme Weasley arrivèrent.
Ron donna un nouveau livre sur les aurores à Harry, ce qui déclencha les foudres de Draco.
_C'est pas un peu fini, non ! je ne veux pas que mon Harry soit recouvert de cicatrice. Il y eu des soldes sur les livres sur les aurores ou quoi.
Hermione lui offrit un livre sur le Quidditch, et Draco une belle montre rouge et or.
_Super, dit Harry, mais comment a tu devinais ?
_C'est un secret dit Draco.
Harry l'embrassa tendrement pour le remercier, puis lui chuchota à l'oreille « je te remerçirai comme il se doit ce soir »
Draco devena très rouge.
_Draco, tu es tout rouge, dit Sirius tu as de la fièvre, tu iras au lit de bonne heure ce soir.
Pendant le repas Harry expliqua aux frères de Ron que Draco était un ami, sans donner plus de détail, ce qui les rassura, ils semblaient ravi à la nouvelle de leur réconciliation. Le repas se passa bien, bien que la table sauta de temps en temps.
_Il doit y avoir un esprit frappeur ici, dit Bill.
_Je crois même qu'il y en a deux, reprit Sirius en rigolant.
Ce qui fit rougir Harry.
_Harry, mon chéri tu es tout rouge, dit Mme Weasley, tu ne te sens pas bien, je te conseille de te coucher tôt.
Ce qui fit rire Hermione, Draco, Ron, Fred, George et Harry.
_Ce n'est pas drôle d'être malade, dit Ginny surtout le soir de son anniversaire.
_Je vais très bien, dit Harry, alors Hermione, tu vois Krum pendant les vacances, tu vas chez lui ?
_Non, cette fois ci, c'est lui qui vient me voir, répondit Hermione.
_Alors, je suis le seul à ne pas être cassé, dit Ron.
_Mais Ron, Harry n'ont plus n'as pas de petite amie, dit Ginny.
Ce qui fit rire Hermione, Draco, Ron, Fred, George et Harry.
_Mais vous allez arrêter de rire à chaque fois que je dis quelque chose.
A la fin du repas Mme Weasley alla voir Harry.
_Tu as l'air heureux, c'est bien d'être amoureux.
_Euh ! !, dit Harry qui ne savait pas quoi dire.
_Ne t'inquiète pas, l'amour qu'il éprouve pour toi est vraiment sincère, j'ai bien vu de quelle façon dont il t'a regardé pendant le repas.
_Vous avez devinez de qui il s'agit ? demanda Harry très rouge.
_Oui, c'est Draco Malefoy. Tu sais Harry, je ne te juge pas, tu as le droit d'aimer qui tu veux, tout ce que je veux c'est ton bonheur, et d'après ce que j'ai vu, il veut lui aussi ton bonheur.
Le soir venu la famille Weasley reparti, Hermione resta coucher, avec l'accord de ses parents.
_Mais il n'y a qu'une chambre d'ami, dit elle.
_Je n'ai pas l'intention d'y aller, dit Draco, je vais aller dans celle d'Harry.
_Tu risque de ne pas beaucoup y dormir.
_Qui a dit que j'avais sommeil !
suite de coup de foudre à Poudlard
Auteur : la pieuvre du désert ou kurapika
Disclaimer : l'univers d'Harry Potter me m'appartient pas mais toujours a j.k. Rowling. Les titres toujours a Calogéro et De Palmas
Remerciements : à tous ceux qui m'ont laisser des revieuws sur coup de foudre à Poudlard, plus spécialement, Enishi, Céline, Saael', Lululle, Cheilin, Célina, Vivi, Alex voici la suite, avec plus de détails^___^, donc si vous n'aimez pas les slash allez ailleurs. avec ma bénédiction ^o^, il y a 10 chapitres en tout.
Chapitre 1 : Je vis où tu m'as laissé ( Calogéro)
Cela faisait maintenant deux semaines qu'Harry était en vacances, il vivait avec Sirius son parrain. Ce matin Harry avait reçu une lettre de Draco, et depuis il l'avait lu, relu, re relu jusqu'à la connaître par c?ur.
«Je vis où tu m'as laissé Comme étranger à moi-même L'amour à perpétuité Je m'étais pris à en rêver
J'en suis où tu m'as laissé C'est une absence qui m'enchaîne Les pieds et les poings liés Je m'étais pris dans tes filets » (je vis où tu m'as laissé Calogéro)
Il s'ennuyait de son amoureux, il ne devait le revoir que le 31 juillet pour son anniversaire, en attendant ils communiquaient avec Draco par hibou. Harry lui répondit que lui aussi se sentait seul et qu'il se languissait de lui, toutes les lettres que les deux garçons s'étaient échangées étaient de se style.
La relation amoureuse entre Harry et Draco n'avait pas évolué comme ils l'avaient souhaité, car ils avaient du être séparés à cause des vacances, bien sur dans le train pendant le retour à Londres, ils avaient laissé libre cours à leur imagination, ils s'étaient découverts mutuellement, mais depuis cela faisait deux semaines qu'ils étaient séparés, et chacun de son côté s'impatienté.
Draco lui s'ennuyait à mourir dans le manoir familial, il avait déjà demandé à son père la permission de passer la fin des vacances chez un ami d'école, sans avoir précisé lequel. Bientôt il irait à l'anniversaire de son amour, le 31 juillet, mais il n'avait pas encore trouvé de cadeau à la mesure de son amour pour lui. Il avait déjà fait beaucoup de magasins, et demandait conseille aux amis d'Harry, mais Ron et Hermione, n'avaient pas été d'une aide précieuse, en effet ils s'étaient mis en tête qu'Harry devait être aurore, et s'étaient décidaient à lui offrir tous les livres sur ce sujet, voir même les accessoires du parfait aurore, mais en pensant à Maugrey, Draco ne voulait pas que l'être qu'il aimait soit recouvert de cicatrices. Il aurait bien demandé conseille à son père, mais comment lui dire sans préciser que son amoureuse, était un garçon de plus son ex pire ennemi, Harry Potter, à sa mère c'était encore plus dur puisqu'elle ne parlait quasiment pas.
Après avoir écrit sa dernière lettre à Harry, Draco retourna dans sa chambre, là il eu la surprise d'avoir un hibou, c'était une lettre de Dumbledore, le directeur de son collège Poudlard. Il fut très surpris, il ne devait pas recevoir de lettre de son école avant début août, mais il se rendit compte que ce n'était pas une lettre officielle que le directeur lui avait envoyé mais plutôt privé.
« Draco, je tiens à te féliciter d'avoir eu le courage de lui avouer tes sentiments, je te souhaite de vivre un grand amour. Harry m'a dit que tu devais le rejoindre au mois d'août et que vous alliez passer le reste de vos vacances ensembles, chez Sirius. N'oublie pas de réviser un peu. Si tu cherche une idée de cadeau, je peux te conseiller une montre, en effet celle qu'il avait à été cassé lors de la seconde tâche du tournoi des trois sorciers. »
Une montre se dit Draco, qu'est ce que c'est ? ce doit être un objet de moldu, mais à quoi cela doit bien servir, et où en trouver.
Au repas du midi, ce samedi les Dursley étaient très contents, cela faisait deux semaines qu'ils vivaient sans Harry et cela les avaient rendus de très bonne humeur, la seule ombre au tableau était qu'il restait des affaires à Harry dans la petite chambre.
_Tu te rends compte qu'ils se sont embrassés sur la bouche devant toute la gare dit Mr Dursley à sa femme, rien que d'y penser j'en ai honte, Harry me dégoûte comment à t'il pu aimer un autre garçon, et en plus il s'est donné en spectacle, heureusement qu'il vit chez ce criminel, tu te rends compte de ce qu'il se serait passer si les voisins avaient appris que notre neveu était homosexuel.
_Tu as raison, lui répondit sa femme, rien que de penser qu'il ai embrasé un autre garçon me répugne, mais qu'allons nous faire de ses affaires, je ne veux pas y toucher.
Dudley arriva dans la cuisine avec une lettre d'Harry.
_Tiens papa ! le pédé nous à écrit, dit il avec mépris.
Puis il lui donna la lettre que son père prit avec beaucoup de dégoût, mais la lu quand même.
_Que nous veut il donc ?
« cher oncle et tante, j'espère que vous allez bien , ainsi que Dudley, moi je vais très bien depuis que je vis chez mon parrain, je souhaiterais passer le 16 juillet dans l'après midi afin de récupérer mes affaires, et après vous n'entendrez plus parlez de moi, si c'est ce que vous voulez, Harry ».
_Il est culottait quand même, dit l'oncle Vernon, le 16 c'est aujourd'hui, il aurait pu prévenir plutôt, on aurait pu s'absenter.
il fut surpris par une sonnette.
_Ce dois être lui, dit dudley.
Puis il alla ouvrir la porte, en effet c'était bien Harry.
_Papa ! Harry la pédale est là.
Harry le regarda de travers.
_Moi aussi, je suis content de te revoir, cher cousin, je viens juste chercher le reste de mes affaires, dit il en entrant dans la maison.
Dudley recula effrayé.
_Ha ! tu ne me touches pas, dit il apeurait, je ne t'aime pas, ne te trompe pas de garçon, je suis normale moi.
_Comment veux tu que je te confonde avec mon Draco, dit méchamment Harry, il est beau lui pas comme toi.
Oncle Vernon sorti de la cuisine quand il reconnu la voix de son neveu.
_C'est toi, dit il, tu aurais pu nous prévenir plutôt, et ne touche pas à mon fils chéri, si jamais tu essaye de faire quelque chose, je te garanti que tu le regretteras. Comme si tu n'étais pas assez bizarre en étant sorcier, il faut qu'en plus tu sois pédé, tu fais honte à notre famille, et dire que tu as vécu 15 ans sous notre toit, Dieu sait ce que tu aurais pu faire à ton cousin, lui qui est sans défense.
_De ce côté vous n'avez rien à craindre, dit Harry, Dudley n'est pas vraiment mon genre, et puis qui en voudrait, il est tellement moche, méchant et égoïste que personne ne pourra l'aimer, de plus il est loin d'être sans défense.
Mr Dudley regarda Harry de travers, il avait beaucoup changé depuis la dernière fois où il l'avait vu, il avait maintenant des vêtements neufs et à sa taille, car avant il avait les vieux vêtements de son cousin qui étaient trop grand pour lui. Puis il remarqua que Harry n'était pas seul, derrière il y avait un homme, c'était celui qui était sur le quai le jour où il était venu chercher Harry, Black Sirius.
_Ne les écoutes pas, dit il, ils sont méchants de nature, va chercher tes affaires et après on rentre à la maison.
Pendant qu'Harry alla chercher ses affaires, Sirius resta seul avec les Dursley.
_Que je vous entende plus traiter Harry de pédé, dit il en colère, il est aussi normal que n'importe qui, et même plus que vous, il est facile de juger quelqu'un, si je n'avais pas promis à Harry de ne rien vous faire, je vous aurai bien lancer un sort, histoire de vous remettre les idées en place. Je vous conseille quand même de vous excusez, je peux revenir seul un jour.
Harry ne mit pas beaucoup de temps à rassembler ses affaires, il n'en avait pas beaucoup, puis il redescendit.
_Harry, dit Sirius, ton oncle a quelque chose à te dire.
_Excuse-moi, je n'aurais pas du te juger sur tes préférences, cela ne me regarde pas, dit l'oncle Vermon, sans vraiment y croire, maintenant que tu as toutes tes affaires tu peux t'en aller, et surtout ne revient plus et ne nous écrit plus.
Harry regarda son parrain, et se douta que ce dernier leur avait fait la morale pendant qu'il était dans son ancienne chambre.
_Si c'est ce que vous voulez, alors je ne reviendrais plus, et j'accepte vos excuses bien qu'elles ne me semblent pas sincères, et bien adieu.
Les 15 jours qui suivrent passèrent vite.
Hermione bien qu'ayant finie première aux BUSES, n'était pas contente de ses notes et se mit à réviser encore plus tôt que d'habitude. Neville obtenu plus de BUSES qu'il ne l'aurait cru, et il fut félicité par toute sa famille, notamment de sa grand mère après la réception d'une lettre de Dumbledore, où il félicitait Neville de ses bons résultats scolaire, et ses performances en tant que préfet. Ron lui eu des résultats assez moyens, tu aurais du réviser avec plus de sérieux, lui dit Percy, tu dois donner l'exemple à Ginny, elle va bientôt passer ses BUSES. Draco reçu lui aussi ses résultats, il était second, juste derrière Hermione, il fut félicité par son père qui lui donna la permission d'aller chez son ami, a condition de le retrouver le 29 août afin de se rendre sur le chemin de traverse dans le but d'acheter les fournitures scolaires. Harry eu des notes assez convenables, mais il y avait encore des lacunes que Sirius aidera à combler.
_Quand ton ami sera là, tu auras moins de temps pour réviser, dit Sirius avec un sourire complice.
Le 31 juillet, dans le manoir des Malefoy, Draco alla voir son père.
_Père, je dois me rendre à l'anniversaire de mon ami, je pars aujourd'hui, je te retrouves sur le chemin de traverse, comme convenu.
_C'est vrai ! mais tu ne m'as pas dit de qui il s'agit, ce n'est ni Crabbe ni Goyle puisqu'ils sont nés en novembre.
_.
_D'après la tête que tu fais ce n'est pas un ami, mais une amie, je la connais ?
_Euh. Non.
_C'est bien d'être jeune, je suis content que tu sois amoureux, mais j'aimerais qu'un jour tu me la présente, je t'ai assez retardé va la rejoindre.
Draco reparti, il voulait arrivé tôt pour faire une surprise à Harry, si son père savait de qui il s'agissait il serait sûrement moins content, pensa t'il, tout en sachant que sa relation ne pourrait resté, même si actuellement peu de personnes connaissaient la vérité.
Il était 10h00 quand il arriva devant la nouvelle maison d'Harry, c'est Sirius qui ouvrit la porte.
_Bonjour Draco, tu es matinale, Harry va être content de te voir, il est dans la cuisine.
Draco fut très surpris quand il vit Harry dans la cuisine, cela ne faisait qu'un mois qu'ils s'étaient quittés, mais il avait beaucoup changé, sûrement parce que aujourd'hui il avait des vêtements à sa taille, il n'en fallut pas plus pour que Draco lui saute dessus pour l'embrasser.
_Bon anniversaire mon amour, dit il avant de rependre de façon plus approfondit son baiser.
_Tu m'as manqué, dit Harry.
_Je sais, répondit Draco, tu es vraiment très sexy dans ces vêtements, mais tu dois y être plus sans vêtements du tout, et si tu me montrais ta chambre.
Les parents d'Hermione la déposèrent en voiture, vers les midi.
_Amuse-toi bien, lui dirent ils, au moins aujourd'hui tu vas oublier tes livres.
Ron et Ginny arrivèrent ensuite et allèrent rejoindre Hermione dans la chambre d'Harry, Fred et George eux allèrent dans le jardin. Pendant qu'Harry leur faisait faire la visite, Draco lui alla mettre ses affaires dans la chambre d'ami, sans avoir l'intention d'y dormir, puis il alla dans le jardin.
_Tu as une jolie chambre, dit Ron.
_Mais tu n'as pas de bibliothèque, dit Hermione, où as tu mis tes livres ?
_Hermione, arrête avec tes livres, dit Ron, pense à autre chose, amuse toi de temps en temps.
Fred et George croisèrent Draco dans le jardin.
_Malefoy ! qu'est ce que tu fais ici, chez Harry ?
_Comment ça qu'est ce que je fais ici, mais je suis invité à l'anniversaire d'Harry, répondit Draco.
_D'abord tu ne l'appèle pas Harry, ensuite tu n'es pas le bienvenu, dit Fred.
_Ouais, pas du tout bienvenu, rajouta George.
Puis ils allèrent voir Harry dans sa chambre.
_Harry, Malefoy est dans ton jardin en ce moment, dit Fred avec mépris.
_Je sais, dit Harry, Draco va passer le reste de ses vacances avec moi.
_Hein ! ! !
_Ron, ne vous a pas prévenu que Draco était notre ami.
_Enfin ,plus le tient que le nôtre, dit Ron en souriant.
_Il aurait du nous dire quoi, demanda George.
_je veux bien vous le dire, mais il faudra garder le secret, d'accord, demanda Harry.
_Oui, dirent Fred et George.
_Voilà, Draco et moi, nous sortons ensembles.
_Sortir, comme des amis.je vois, petit vilain, tu as bien caché ton jeux. Alors maintenant on est les cons de services, quand on a dit à Malefoy qu'il n'était pas le bienvenu.
Fred et George durent s'excusaient auprès de Draco.
_Ce n'est pas grave, après tout vous n'étiez pas au courant, Harry préfère que cela reste encore secret.
_Pour Harry, d'accord ! on gardera le secret.
Au repas du soir Bill, Charlie, Percy ainsi qu Mr et Mme Weasley arrivèrent.
Ron donna un nouveau livre sur les aurores à Harry, ce qui déclencha les foudres de Draco.
_C'est pas un peu fini, non ! je ne veux pas que mon Harry soit recouvert de cicatrice. Il y eu des soldes sur les livres sur les aurores ou quoi.
Hermione lui offrit un livre sur le Quidditch, et Draco une belle montre rouge et or.
_Super, dit Harry, mais comment a tu devinais ?
_C'est un secret dit Draco.
Harry l'embrassa tendrement pour le remercier, puis lui chuchota à l'oreille « je te remerçirai comme il se doit ce soir »
Draco devena très rouge.
_Draco, tu es tout rouge, dit Sirius tu as de la fièvre, tu iras au lit de bonne heure ce soir.
Pendant le repas Harry expliqua aux frères de Ron que Draco était un ami, sans donner plus de détail, ce qui les rassura, ils semblaient ravi à la nouvelle de leur réconciliation. Le repas se passa bien, bien que la table sauta de temps en temps.
_Il doit y avoir un esprit frappeur ici, dit Bill.
_Je crois même qu'il y en a deux, reprit Sirius en rigolant.
Ce qui fit rougir Harry.
_Harry, mon chéri tu es tout rouge, dit Mme Weasley, tu ne te sens pas bien, je te conseille de te coucher tôt.
Ce qui fit rire Hermione, Draco, Ron, Fred, George et Harry.
_Ce n'est pas drôle d'être malade, dit Ginny surtout le soir de son anniversaire.
_Je vais très bien, dit Harry, alors Hermione, tu vois Krum pendant les vacances, tu vas chez lui ?
_Non, cette fois ci, c'est lui qui vient me voir, répondit Hermione.
_Alors, je suis le seul à ne pas être cassé, dit Ron.
_Mais Ron, Harry n'ont plus n'as pas de petite amie, dit Ginny.
Ce qui fit rire Hermione, Draco, Ron, Fred, George et Harry.
_Mais vous allez arrêter de rire à chaque fois que je dis quelque chose.
A la fin du repas Mme Weasley alla voir Harry.
_Tu as l'air heureux, c'est bien d'être amoureux.
_Euh ! !, dit Harry qui ne savait pas quoi dire.
_Ne t'inquiète pas, l'amour qu'il éprouve pour toi est vraiment sincère, j'ai bien vu de quelle façon dont il t'a regardé pendant le repas.
_Vous avez devinez de qui il s'agit ? demanda Harry très rouge.
_Oui, c'est Draco Malefoy. Tu sais Harry, je ne te juge pas, tu as le droit d'aimer qui tu veux, tout ce que je veux c'est ton bonheur, et d'après ce que j'ai vu, il veut lui aussi ton bonheur.
Le soir venu la famille Weasley reparti, Hermione resta coucher, avec l'accord de ses parents.
_Mais il n'y a qu'une chambre d'ami, dit elle.
_Je n'ai pas l'intention d'y aller, dit Draco, je vais aller dans celle d'Harry.
_Tu risque de ne pas beaucoup y dormir.
_Qui a dit que j'avais sommeil !
