Bonjour à vous ! Me voici avec le deuxième chapitre, qui est un peu plus long que le précédant. J'ai mit pas mal de temps à le publier, mais j'ai commencé une autre fic entre-temps, ça s'appelle Qui a dit sexe faible ?, c'est l'histoire de Harry qui se retrouve transformé en fille. C'est un peu différends de celle-ci, mais allez voir, vous allez aimer ! (Petite pub !)
Ce chapitre est moins hot que le premier, je trouve, mais je vous promets que le prochain sera très très chaud. Dans ce chapitre, la relation entre Hermione et les garçons avance beaucoup, le slash Ron/Harry se fait sentir, mais le Ron/Ginny est… inexistant dans ce chapitre. Désolé. Mais le prochain chapitre lui sera entièrement consacré, et comme j'ai promis que ça serais très hot… :)
Je n'ai pas pu m'empêcher de vous mettre une petite scène Ginny/Hermione, mais rien de bien méchant. C'est un petit bonus quoi ! :)
Merci beaucoup aux reviewers :
g perdu la mémoire : Je continue, lentement mais sûrement…
chipie : je pense que j'ai fait toutes les rectifications nécessaires dans le résumé pour répondre à ta question :) (suite à ta review d'ailleurs) Oui j'aime bien les slash, mais je préfères les slahs féminins. Ça ne m'empêche pas d'écrire un Ron/Harry remarque. Merci !
cedokun : pareil, j'ai rectifié le résumé pour répondre à tes questions. Du bout du monde ? T'es au Japon ? Si oui, la chance !
Snivellus Tonks : Tu va voir, Hermione est un peu plus coincée que tu ne le penses ! Merci pour les compliments.
Maryange : C'est cool moi j'adore décrire des scènes X. )
Pissenlit : C'est bon, c'est fait ! :)
Hiroshima : Merci beaucoup !
virginie : Pour Ginny et son frère il va falloir attendre le prochain chapitre, mais tu vas être servie !
energyser : Wow ! Merci pour cet enthousiasme. Mais niveau hot je pense m'être un peu relâché dans ce chapitre, va falloir que je me rattrape au prochain.
Comme un gâteau
2. On est amis, non ?
La lune avait pris sa place dans le ciel depuis un bon moment déjà – la nuit régnait sur les alentours du Terrier, peuplée par les cris des insectes et les bruissements de feuilles, dus au vent léger qui balayait les branches des arbres. C'est vrai qu'il faisait frisquet. Hermione serra ses bras autour de sa poitrine pour se tenir chaud. Son corps était parcouru de frissons, mais était-ce dû au froid ou à l'excitation ? Elle devait avouer que ce qu'ils allaient faire l'excitait un peu, mais, pour l'instant, ce qu'elle ressentait était plutôt de l'angoisse.
« Eh ! Les garçons ! » héla-t-elle, « On est encore loin ? »
« Ça fait déjà six fois que tu nous pose cette question, Hermione. » répondit Harry en se retournant, « Plus tu parles, moins on avance. »
'Et ça fait six fois que tu me répètes ça…' pensa Hermione.
« De toute façon, on est bientôt arrivés » intervint Ron, qui se trouvait quelques mètres devant eux, « c'est juste derrière cette colline. »
Hermione se tut, mais continua à pester intérieurement. Qu'est-ce qui l'avait pris d'accepter de les accompagner ? Si elle avait su qu'elle devrait marcher pendant près d'une heure au milieu de nulle part, s'écorchant les jambes en gravissant des collines infestées de ronces, exposée au vent, en compagnie de deux sportifs infatigables, elle aurait sûrement refusé de venir. En fait, non, elle n'aurait pas refusé, mais elle aurait sans doute été moins enthousiasmée par cette petite escapade nocturne.
Bientôt, toute sa rancune s'évanouit.
« On est arrivés » déclara Ron en balayant le paysage de la main, s'égayant de la réaction de ses amis.
Hermione était émerveillée. Le paysage qui s'offrait à elle était digne de figurer sur une carte postale. Au pied de la colline sur laquelle ils se trouvaient, demeurait une petite plaine, une mer calme de verdure, d'herbes grasses, au milieu de ses vagues de ronces qui se découpaient sur le ciel obscur. Les reflets de la lune scintillaient à la surface du petit lac qui trônait au centre de la plaine. On aurait dit un petit paradis.
En tout cas, Ron avait raison, c'était l'endroit idéal pour un bain de minuit.
Ils descendirent le versant de la colline en silence, puis, une fois en bas, ils marchèrent dans l'herbe, savourant la texture molle du sol, pour pouvoir rejoindre le lac.
« Tu es le seul à connaître cet endroit ? » demanda Harry à Ron.
« Non, c'est Fred et Georges qui me l'ont montré la première fois. Je devais avoir dans les dix ans. On a passé toute la journée à se baigner. Mais je n'étais pas revenu depuis. En fait, je n'étais même pas sûr de pouvoir retrouver le chemin. »
« Quoi ? » fit Hermione, « mais on aurait pu se perdre, on aurait- »
Elle s'interrompit en voyant les grimaces que ses amis faisaient. Bon, d'accord, ce n'était pas le moment. Mais quand même…
« Bon ! » dit Ron, « on y va »
Les deux autres acquiescèrent. Ils commencèrent tous trois à se déshabiller. L'angoisse que ressentait Hermione doubla d'intensité. Qu'allaient-ils faire ? Qu'allait-elle faire ? Lorsqu'elle avait voulu prendre son maillot de bain, Ron lui avait dit que ça ne servirait à rien, qu'il ferait noir et qu'on ne pourrait rien distinguer, mais là, il ne faisait pas noir du tout. Enfin, si, mais pas assez à son goût. La lune brillait assez intensément dans le ciel pour pouvoir distinguer des formes. Elle était capable de montrer certaines parties de son corps pour le plaisir de ses deux amis, mais de là à ce mettre entièrement nue ! Elle n'était plus tout à fait sûre de vouloir le prendre, ce bain de minuit.
Elle réalisa soudain que Ron et Harry étaient dévêtus, alors qu'elle, il lui restait encore ses sous-vêtements et son short. Et elle avait raison : on pouvait en distinguer, des formes ! Elle voyait leurs silhouettes se découper sur le paysage, et, de profil, elle pouvait clairement voir le gabarit de leurs « engins. » D'ailleurs ils étaient plus gros que ce qu'elle avait imaginé – imaginé en état normal, pas en fantasmant, où, là, ils semblaient pouvoir rivaliser avec des chevaux. Ron semblait être mieux doté que Harry - où peut être était-il tout simplement plus excité ?
« Bah alors, Hermione? » fit Harry en se tournant vers elle « Dépêche-toi! »
« Euh, oui, j'arrive. Allez-y, je vous rejoins dans une minute. »
Les deux garçons se regardèrent, échangeant des regards interrogateurs, mais ne dirent rien et se mirent à courir en direction de l'eau. Hermione s'assit dans l'herbe, appuyant son menton sur ses genoux, pour pouvoir les regarder à son aise. Ils ressemblaient à deux petits chiots courant après une balle. En entrant dans l'eau, ils provoquèrent plusieurs éclaboussures, et s'aspergèrent en riant. Hermione sourit en les regardant. C'était deux grands gamins. Et elle ne pouvait s'empêcher de les aimer. Alors pourquoi n'était-elle pas capable de se mettre nue devant eux ? Pas par pudeur – elle savait se montrer provocante sans ressentir la moindre gêne.
Ron et Harry, eux, ne semblaient pas embarrassés. Ils s'amusaient, s'exhibaient, et sans le moindre remord. Ou alors ils ne le montraient pas. Avait-elle peur de se rapprocher encore plus d'eux ? Leur relation lui semblait avoir dépassé le stade de l'amitié depuis si longtemps. S'ils continuaient à brûler les barrières entre l'amitié et l'amour, elle n'était pas sûre de pouvoir se contrôler. Elle était tellement attachée à eux…
Elle distinguait leurs silhouettes au milieu du lac - elle avait envie de les rejoindre. Et après tout, pourquoi pas ? Pourquoi rester ici à se poser des questions au lieu de profiter de la vie aux côtés de ceux qu'elle aimait le plus au monde ? Si leur relation devait évoluer, elle évoluerait, et aux chiottes les conséquences ! Hermione se leva, enfin décidée, et se débarrassa de ses derniers vêtements. Elle se dirigea ensuite vers le lac d'un pas déterminé. Elle plongea un pied à la surface noire de l'eau. Elle était gelée ! Elle mit du temps pour rentrer, et, alors qu'elle en était déjà à la taille, les garçons la remarquèrent enfin.
« Eh, Hermione ! » héla Ron, « Tu vas voir, elle est bonne une fois que tu es entièrement dedans ! »
« Et bien pour l'instant elle est vraiment froide ! Tu t'es bien gardé de nous en parler ! »
Ron éclata de rire. Les garçons se dirigèrent vers elle. Plus ils approchaient, mieux elle les distinguait – et eux aussi, devaient sûrement la voir de mieux en mieux. Elle eut tout d'abord le réflexe de se couvrir la poitrine de ses bras, mais elle les rabaissa aussitôt. Elle avait pris une décision, elle la respecterait. Ron et Harry s'arrêtèrent à environ un mètre d'elle – elle pouvait voir clairement leur jeune torse à la lueur de la lune. Et c'était une vision plus qu'agréable. Seulement, elle sentait leurs regards glisser sur elle comme des mains avides de procurer du plaisir, elle pouvait sentir la chaleur de leur désir s'insinuer entre ses seins, glisser sur son ventre pour échouer sur la surface froide et calme de l'eau. Aucuns d'eux ne parla durant ce qu'il lui sembla être une éternité.
Hermione brisa ce moment, qu'elle ne pouvait qualifier, en tapant de sa main dans l'eau, aspergeant d'eau le visage de Ron. Celui-ci lui lança un regard surpris, et elle ne put s'empêcher d'éclater de rire. Il se lança aussitôt à sa poursuite, tentant de la submerger, sous les rires moqueurs de Harry. Ils passèrent ainsi plusieurs heures à s'amuser ensemble, tous les trois, profitant du temps qui leur restait à passer sous les étoiles.
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« Combien y a-t-il d'étoiles dans le ciel, à votre avis ? » demanda Ron.
Il entendit Harry pouffer de rire et se redressa aussitôt.
« Quoi ? Qu'est-ce que j'ai dit d'aussi drôle ? »
« On aurait dit un vieux film romantique complètement ringard. » répondit Hermione, le visage rieur.
Ron se recoucha, marmonnant quelque chose dans sa barbe. La jeune fille savait qu'il n'aimait pas être « traité » de romantique. Il avait son honneur de « mâle. » Harry, lui, était différend. Il était plus efféminé, plus sensible. Mais les deux avaient leurs charmes.
Elle s'étira, savourant la sensation peu commune de l'herbe contre son corps. Après avoir passé plusieurs heures à faire les fous dans le lac, ils avaient décidé de s'allonger dans l'herbe pour se reposer un peu. C'est ainsi qu'Hermione se retrouva allongée complètement nue entre ses deux meilleurs amis. D'ici une heure, tout au plus, le soleil allait commencer à se lever, et ils pourraient apprécier à leur aise les moindres détails de son corps. Bizarrement, ça ne la dérangeait pas le moins du monde. Plus aucune petit angoisse, plus aucune appréhension – rien d'autre qu'une étrange impression de satisfaction. Elle avait enfin réussi à se débarrasser de sa timidité.
Hermione jeta un regard à ses amis, et manqua de s'étouffer.
« Eh ! Bande de petits cochons, vous étiez en train de me mater ! »
« Hein ? » s'exclama Harry, « Mais non ! »
« C'est ça ! Et d'où vous viennent ces belles érections, alors ? »
A la vue de ses deux amis tentant, désespéramment, de cacher leur entrejambe de leurs mains, Hermione éclata de rire. Ron et Harry la regardèrent, incrédules. Elle passa ses mains sous leurs nuques et les attira contre elle.
« Bande d'idiots… » murmura-t-elle en souriant.
Ils ne dirent rien, se contentant de poser leur tête contre elle. Ils étaient tous les trois serrés les uns contre les autres, dans une embrassade plus qu'amicale – Hermione ne se soucia même pas de la main posée sur sa poitrine, ou des sexes durs de ses deux amis, appuyés contre ses cuisses – et ils finirent par s'endormir, chacun d'eux s'émerveillant de la présence des deux autres.
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Lorsque Ron se réveilla, le soleil brillait déjà bien haut dans le ciel. Il se frotta les yeux et, une fois qu'ils furent habitués à la clarté, il remarque que ce n'était plus Hermione à qui il était accroché, mais Harry. Le jeune homme lui avait passé les bras autour de la taille, et dormait paisiblement. Ron le regarda longuement, absorbé par l'air d'ange qu'arborait le visage de son ami.
« Eh bien, Ron ! Je ne savais pas que tu aimais Harry à ce point. »
Ron ouvrit la bouche pour riposter, mais dès qu'il aperçut Hermione, les mots lui manquèrent. La seule chose qu'il fut capable de faire fut de secouer Harry pour le réveiller. Celui-ci se redressa en s'étirant.
« Pourquoi tu me réveille comme ça, Ron ? » demanda-t-il entre deux bâillements, les yeux encore mi-clos.
« Regarde. » murmura Ron.
Harry ne dit rien, mais Ron sut qu'il avait vu.
Hermione se trouvait en face d'eux, nue dans la lumière du soleil. Elle se tenait telle une statue de cire, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées – elle avait la majesté d'une reine, et elle les dominait comme telle. Ils ne purent que l'admirer, toute entière, en insistant sur sa poitrine qui se dressait, ferme et bien formée, chacun de ses seins couronnés par un téton rose qui appelait à être excité et sur son sexe, où une fine toison brune s'évanouissait en approchant de sa vulve, dont les chairs roses paraissaient vibrer d'une chaleur si forte qu'elle semblait pouvoir les atteindre. Elle les regardait, les yeux rieurs, un sourire provocateur sur le visage – et son regard à elle était concentré sur leurs sexes maintenant dressés, gonflés de sang, sous l'emprise du désir.
« Et bien, les garçons ! Qu'est-ce qui vous arrive ? »
« Tu- Tu es toute nue, Hermione ! » s'exclama Ron.
« Oui, et vous aussi ! » dit Hermione en rigolant.
« Mais, mais… »
« Mais ? »
« Mais tu as toujours refusé de te mettre nue devant nous ! »
« Ah bon ? Et tu crois qu'hier j'avais mon maillot de bain ? »
« Hier il faisait nuit ! »
« Bon, mais ça n'a pas l'air de vous déranger à ce que je vois. »
« Bien sûr que non » fit Harry. « C'est juste que… comment se fait-il que tu ais changé d'avis aussi subitement ? »
Hermione réfléchit un petit moment avant de lui répondre :
« Eh bien, on est amis, non ? »
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Ginny sortit de sa chambre et tendit l'oreille. Il y avait bien du bruit à l'étage, ils avaient enfin dû rentrer. Cela faisait plusieurs heures qu'elle s'était réveillée, mais elle était restée couchée à guetter leur retour. Elle se demanda si elle devait aller directement les rejoindre ou si elle devait aller d'abord s'habiller convenablement – elle opta pour la deuxième option. Elle retourna chercher ses affaires dans sa chambre et alla ensuite à la salle de bains. Il y avait déjà quelqu'un, elle pouvait l'entendre bouger dans son bain. Inconsciemment, elle espérait que ce soit Ron.
Elle poussa la porte et entra dans l'atmosphère humide de la pièce. Elle jeta un regard en direction de la baignoire, dans laquelle Hermione était étendue, au milieu de nombreuses bulles de savon.
« Le bain de minuit ne t'a pas suffit ? » demanda Ginny, un sourire au coin des lèvres – elle savait à quel point son amie aimait les bains de mousse.
« Si, mais quand tu t'allonge toute mouillée dans l'herbe tu dois t'attendre à ne pas te relever entièrement propre. »
« Vous vous êtes allongés dans l'herbe, tout nus ? »
« Je te raconterais. »
« Je peux te rejoindre ? » demanda Ginny.
« Bien sûr, la baignoire est assez grande pour nous deux. »
« Sinon, on se serrera. » ajouta la jeune Weasley en commençant à se déshabiller.
Lorsqu'elle eut retiré le dernier morceau de tissu qui la recouvrait, elle entendit un léger gémissement. Elle ne put s'empêcher de sourire à la vue de son amie, les yeux fermés, la bouche entre-ouverte, les bras disparaissant sous la mousse au niveau de son entre-jambes. Ginny n'avait jamais été attirée par les filles, mais elle nourrissait envers Hermione une sorte de fascination, d'admiration, aussi bien sur un point psychique que physique. Et elle la trouvait irrésistible, surtout quand elle se donnait de petits plaisirs solitaires. A ces moments là, elle semblait émergée dans un bain de sensualité chaque mouvement de ses mains, chaque caresse sur ses seins provoquait en Ginny un frisson de plaisir. Jamais elle ne se lasserait de ce spectacle.
Ginny pénétra dans l'eau du bain, se plaçant en face d'Hermione. Elle semblait plongée dans d'intenses fantasmes, le bain de minuit avait dû être agité. Ginny saisit le savon posé sur le rebord de la baignoire, et se frotta les mains avec, tout en regardant son amie. Puis elle fit glisser une main sur l'épaule de Hermione, bientôt rejointe par l'autre, et entreprit de caresser tous les centimètres émergés de sa peau. Elle termina par sa poitrine, qu'elle saisit fiévreusement, qu'elle choya, provoquant toujours plus de gémissements de la part d'Hermione.
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« Je ne sais pas quoi faire Hermione ! » se plaignit Ginny.
« Bien, c'est vrai que la situation est compliquée. » répondit Hermione, en descendant les escaliers qui menaient à la cuisine.
« Ça n'arrive qu'à moi, ce genre de choses ! »
« Mais non, c'est déjà arrivé plusieurs fois par le passé. Il y a même eut des cas de mariages. Enfin, chez les sorciers, parce que chez les moldus… »
« Mais je ne veux pas me marier avec lui ! Je veux juste qu'il… qu'il me… » Ginny ne parvenait pas à formuler ce qu'elle ressentait.
« Tu es sûre que tu ne l'aime pas ? Enfin, je veux dire, que tu n'es pas amoureuse de lui ? »
« Oui, j'en suis sûre. J'ai déjà été amoureuse, je sais ce que c'est, et ce n'est pas ça que je ressens envers Ron. »
Hermione s'appuya contre la table, réfléchissant à une solution au problème de son amie. Elle souhaitait de tout son cœur l'aider, mais elle n'était pas sûre que Ginny accepte la seule solution qu'elle avait à lui proposer. Au moment où elle allait lui en faire part, Harry entra dans la pièce par la porte du jardin.
« Salut Ginny ! » fit-il.
« Salut » répondit Ginny sans trop d'enthousiasme.
« Houla ! » fit Harry, « Tu n'as pas l'air bien, qu'est-ce qui se passe ? »
« Laisses tomber, Harry » intervint Hermione. « Où est Ron ? »
« Sûrement dans sa chambre, j'allais le rejoindre. »
« Ok, vas-y alors… »
« C'est bon, j'ai compris, vous voulez parler en tête-à-tête. » dit Harry en montant les escaliers. « Fallait le dire ! »
« Les mecs… » soupira Hermione.
Ginny ne dit rien, elle semblait absorbé dans ses pensées.
« Ginny ? » demanda Hermione en la tirant de sa rêverie, « Tu es toujours vierge n'est-ce pas ? »
Elle acquiesça.
« Dans ce cas j'ai peut être la solution. »
« C'est vrai ? Oh, Hermione, vas –y, dit-la moi ! »
« Et bien… je pense que… que tu dois coucher avec Ron. »
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Harry ne s'attendait pas à ça en ouvrant la porte de la chambre de Ron. Ron non plus, apparemment. Harry s'apprêta à refermer brusquement la porte en bredouillant des excuses, mais il remarqua que Ron continuait. Il ne semblait pas gêné par sa présence, bien qu'il eut lancé un regard surpris lorsque Harry était rentré dans la pièce maintenant il lançait à Harry un regard amusé, en souriant. Harry décelait dans son expression comme une lueur de défi. Comme s'il disait « T'es pas capable de rester, de baisser ton froc, et de m'imiter. » Il avança dans la pièce, ne quittant pas Ron du regard. Il ne savait pas ce qui lui arrivait – normalement il n'aurait jamais osé. Mais il y avait quelque chose qui avait changé entre eux, cette nuit. Entre lui, Ron et Hermione.
Harry s'assit sur son lit, juste en face de Ron qui, assis sur son lit, entièrement nu, continuait à se masturber de manière provocante. Harry, toujours sans le quitter des yeux, baissa son pantalon et son caleçon, révélant son sexe déjà gorgé de plaisir. Il le saisit fermement, et le caressa de haut en bas, dévoilant un peu plus de sa verge à chaque fois qu'il descendait le poing, le cachant à chaque fois qu'il le remontait – comme une torture infligée au regard avide de Ron. Celui-ci était plus vif, ses mouvements étaient plus brefs et plus rapides, et il semblait qu'il allait se lâcher à tout moment.
Ce fut pourtant Harry qui céda le premier. Il souleva son T-shirt au-dessus de sa poitrine juste à temps pour que sa semence vienne se répandre sur son ventre, en même temps que le plaisir se répandait dans ses parties génitales. Ron sourit et Harry se sentit un peu idiot, ne sachant que faire, reposant sur ses deux bras, du sperme chaud répandu sur son ventre. Il continua alors à admirer Ron. Il savait que ce n'était pas très normal, mais il le trouvait très… attirant. Il s'empressa de camoufler cette idée au plus profond de lui. Il n'était pas question qu'il…
Ron saisit une serviette qui était posée à côté de lui, l'étala sur son ventre, et se répandit dessus, en poussant un gémissement de plaisir. Il nettoya ensuite son sexe, se leva et, à la grande surprise de celui-ci, se dirigea vers Harry. Sans dire un mot, il commença à nettoyer le ventre de Harry avec la serviette, puis son sexe Harry ne put l'empêcher de raidir lorsque son meilleur ami saisit sa virilité entre ses mains.
« Il faut toujours penser à la serviette, Harry. Toujours. »
Harry ne savait pas quoi dire. Ron se dirigea ensuite vers la sortie, et ajouta avant de sortir :
« Je vais laver la serviette à la main moi-même. Je ne suis pas sûr que Ginny serait enchantée de le faire. »
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Et voilà ! Le deuxième chapitre est fini. Il se finit sur une scène sympa, je trouve, non ? Pauvre Harry, il est tout gêné.
Bon, je vous laisse, je ne voudrais pas vous déranger pendant que vous me laissez une review :)
LITTLE HORN