COUCOU, Bon j'ai eu la flemme de relire alors m'en veuillez pas pour les fautes de frappes et autres fautes de français mais surtout pour la faute du verbe « acquiesser », je n'ai pas la moindre idée de comment ça peut s'écrire ! BONNE LECTURE ET BONNES VACANCES !!!

.SUITE .

Carol va-t-elle accepter de dormir avec Doug ? c'est ce que vous découvrirez après la pub ! lol, vive TF1 !

Carol ouvre de grands yeux. «T'es sérieux là ? Parce que si oui, t'as un sacré culot ! » « Tu trouves aussi ! » Carol lève ses sourcils, faisant ainsi comprendre à Doug qu'elle attend une réponse sérieuse. « Je rigole Carol, enfin ! Mais maintenant je sais sur quelle longueur d'onde tu es ! » « Avoue que t'as été un peu direct sur ce coup là. » Doug hoche la tête : « Bon, je persiste et signe : je prends le canapé un point c'est tout. » « Puisque tu y tiens tant. » Doug soupire. « Eh, mais je pense à une chose. » Carol lève la tête et le questionne du regard. « Imagine, si ta mère n'était pas partie, on aurait été obligé de dormir ensemble ! » « Dommage qu'elle ne soit pas restée n'est ce pas ?! » Doug adopte un air surpris : « Tu es du même avis que moi pour une fois ! » Ils se regardent longuement et, Doug. s'installe sur le canapé.

Le lendemain matin

Carol, étant réveillée la première, se dirige vers le canapé pour réveiller le beau gosse. Elle se place juste au-dessus de sa tête et murmure, s'approchant de l'oreille de Doug, « Debout ! ». Puis de plus en plus fort, voyant qu'il ne se réveille pas. Doug finit par émerger, en sursautant. Il ouvre les yeux et voit le visage de Carol juste au-dessus du sien. Elle a la bouche tout proche se son oreille. Sentant qu'il est réveillé (à son haleine, lol, je déconne George Clooney ne pue pas de la gueule, non mais!), elle chuchote sensuellement « Bonjour monsieur ! ». Il lui répond d'une voix rauque. Carol dépose un doux baiser dans le cou de Doug en se relevant pour aller préparer le petit déjeuner. Doug demande, surpris : « Euh, c'était quoi ça ? » « Une revanche de tes allusions sexuelles d'hier soir ! » «Oulà, madame est rancunière ! Tu vas voir moi aussi je le suis ! » « Hou, j'ai peur ! Qu'est ce que tu vas me faire ? » « Tu le sauras bien assez tôt, la vengeance est un plat qui se mange froid ! » « Pff, si tu crois m'impressionner tu te mets le doigt dans l'?il. J'ai l'Unagi moi ! (spéciale dédicace à Ross Geller !!) » Le jeune homme se lève et va aider Carol dans la cuisine, continuant à la taquiner. « Arrête de faire la maligne, je vais te ridiculiser devant toutes tes copines ! » « Quoi ?! T'as l'intention de refaire tes allusions devant tout le personnel ?! Je me demande bien lequel de nous deux sera le plus ridicule ! » « Qui vivra verra ! » Ils s'installent à la table et déjeunent. Doug reprend «Tu m'accompagnes à mon appart' tout à l'heure ? » « Si tu veux. Enfin ça dépend à quelle heure tu y vas. » « Le temps de déjeuner et de me préparer et je file. » « D'accord. Tu commences à quelle heure ce matin ? » « 8.00 et toi ? » « 8.30. t'as toujours l'intention de casser une fenêtre ? » « Ouep ! P'être qu'avec un peu de chance j'ai une fenêtre déjà ouverte et j'arriverai à entrer sans problèmes. » « Suspense ! » Ils boivent leur café, buvant et bavardant.

Devant l'appart' de Doug

Doug frappe la vitre avec son coude, elle se brise. « Je crois qu'on va enfin pouvoir rentrer chez moi ! » « Oui, grâce au petit Jésus la vitre s'est cassée et pas ton coude ! » « Tu rigoles ! Le petit Jésus n'a rien à voir là-dedans, tout ça c'est grâce à ma puissance extraordinaire ! » « Ouah ! Rambo-LE RETOUR !! » « T'as tout compris ! (Pause) Bon Rambo va passer par la fenêtre et tel un parfait gentleman, il va ouvrir la porte à sa chère et tendre dulcinée ! » « Je ne pensais pas Rambo si galant ! T'es sûr que c'est pas le petit Jésus plutôt ?! » « Oui, sûr et certain. Je sais que le petit Jésus te fait fantasmer mais je te jure que Rambo est nettement plus excitant ! » « Ah oui ? Je suis curieuse de voir ça ! » « Arrête tes allusions c'est moi qui suis censé les faire, okay ?! » « Tes désirs sont des ordres. » Ils se taisent. Doug se faufile par la fenêtre cassée et va ouvrir à Carol. « Putain, je suis dégouté, il y a des bouts de verre partout. Tu veux pas tout nettoyer s'te plaît ?! » « Tu te fous de moi ? Je ne suis pas ta boniche ! » « Mais oui, je te fais marcher, et toi tu cours ! » « Ah, ah !(rire sarcastique) » (AN : spéciale dédicace à Gaby, trop bon trip !!) « Bon, je te laisse, je vais changer de vêtements et on part au boulot. » « Ben, tu ne fais pas changer la fenêtre ? » « Si, je vais appeler quelqu'un quand on sera à l'hôpital. Comme ça au moins je ne paye pas la com' ! Pas folle, la guêpe ! » « T'as dû te gourer, t'es pas Rambo, t'es Picsou ! » « Vas-y, rigole, rigole. Rira bien qui rira le dernier quand je te ridiculiserai devant tes copines ! » « T'as encore cette idée dans le crâne ?! » « Ouais, mon plan est en train de mijoter, t'inquiète ! » Il entre se changer dans sa chambre. Carol l'attend, elle écoute la radio. Doug sort de sa chambre. Ils se dirigent vers la porte d'entrée. Au moment où Doug s'apprête à refermer la porte, Carol s'exclame : « Eh, n'oublie pas tes clés cette fois, gros malin ! » « Ah, ah ! » (même rire sarcastique que Carol précédemment.)

Aux Urgences

Doug et Carol arrivent ensemble. Doug se dirige vers la salle de repos tandis que Carol, elle, s'assoit contre la table du bureau des admissions (AN : je ne sais pas comment ça s'appelle, c'est l'endroit où Jerry et les autres infirmières traînent souvent.). Jennie s'approche de Carol en souriant : « Salut, alors comment s'est passée ta soirée ? » « C'était très sympa. Je te raconterai un peu plus tard si tu veux. » « Okay ! Je suis toujours aussi curieuse ! » Pendant ce temps, le Dr Ross sort de la salle de repos accompagné du Dr Greene. Ils discutent. En passant près de Carol, Doug murmure : « Les carottes sont cuites ma petites infirmières ! » Elle répond, l'air perplexe : « Quoi ? » « L'heure de ma vengeance a bientôt sonné ! » « Si tu voulais faire un effet de surprise, t'as raté ton coup mon p'tit père ! » Doug hoche les épaules et part en salle de réa. Un peu plus tard dans la matinée, Doug cherche parmi les dossiers un cas pédiatrique. Carol le rejoint. L'hôpital est presque vide de patients, pas mal d'infirmières rodent autour du bureau des admissions. Carol informe Doug: "Y a un enfant au rideau 3 qui se plaint de douleur crânienne. Tu peux venir l'examiner ? » Doug lui répond sur un ton affectueux : « Mais bien sûr, tout ce que tu voudras. Dis donc, tu m'as vraiment tout donné hier soir, je comprends maintenant pourquoi tu m'as invité à passer la nuit chez toi ! Mais dis moi, t'étais autant en manque que ça ?! Parce que si t'as besoin, je recommence tant que tu veux ! (Pause) Au fait la prochaine fois, n'oublie pas les capotes ! » Il réarrange son stéthoscope et marche d'un pas assuré vers le rideau 3. En passant devant Carol, il lui pose une main sur les fesses et la regarde droit dans les yeux avec un demi sourire aux lèvres avant de continuer son chemin. Une fois Doug hors de vue, toutes les infirmières accourent autour de Carol, les yeux ecarquillés et lui posant tout un tas de questions. Elle, a la bouche grande ouverte d'un air « Comment il a osé faire ça ?! ». Jennie, à son tour, s'approche de Carol : « Ah, oui, alors tout à l'heure quand tu m'as dit que ta soirée était très sympa, c'était. enfin c'était de sexe dont tu parlais quoi ! Ce que j'ai pu être naïve, je te jure ! » Elle a un air amusé. Carol finit par réagir : « Ah, le salaud putain j'arrive pas à le croire ! » Jennie : « Quoi ? » « En fait, il ne s'est rien passé entre Doug et moi. Tout ce qu'il a dit c'était pour m'emmerder ! Il a bien réussi son coup cet enfoiré ! » « Oulà, je suis perdue là, il va falloir que tu m'expliques. » « Ouais, je t'expliquerai plus tard, il faut que j'y aille là. » Elle va au rideau 3. « Doug je peux te parler en privé vite fait ? » Ils se dirigent vers une salle vide. Doug prend la parole d'un air innocent : « Ben qu'est-ce qui se passe Carol ?! » « Comment t'as pu me faire ça Doug, c'est vraiment dégueulasse ! V'là la réputation que je vais avoir maintenant. » « Bon, okay, je suis désolé, c'est vrai que j'y suis peut-être allé un peu fort mais c'est toi qui me provoquais ! » « Ah bon ? » « Oui, avec tes : 'j'ai pas peur de ce que tu vas dire' et tout. C'est comme-ci tu m'avais lancé un défi tu comprends ? » Carol, l'air désabusé : « Oh, oui je comprends très bien, tout ça c'est de ma faute ! Je suis vraiment désolée d'avoir réveillé la bête qui sommeillait en toi. Tu me pardonnes ?! » « Ah, ah ! » « Ecoute, tu peux être sûr qu'il va y avoir des représailles de ma part. Alors je serai toi je ferai gaffe à mon joli petit cul ! » « A mon quoi ?! » « T'as très bien entendu ! Ma vengeance sera foudroyante ! » « Plus foudroyante que ce que je t'ai balancé ?! Ca va être difficile à battre ma chère ! » « C'est ça vante toi ! Quand je pense que t'as même pas la descence de t'excuser. » « Arrête, je me suis excusé. » Carol réfléchit « Pfff tu m'énerves ! » Elle sort de la pièce sans demander son reste. Doug la mate de haut en bas, puis de bas en haut, un sourire d'envie aux lèvres.

Quelques heures plus tard, toujours aux Urgences

Doug est assis sur l'un des comptoirs du bureau des admissions, il lit un magazine de golf. Jerry est devant un des ordinateurs et les infirmières discutent. Carol sort de la salle de repos, elle se dirige vers le bureau des admissions et s'approche de Doug. Elle lui enlève son magazine des mains et se place entre ses jambes. (AN : Vous imaginez la scène car je ne sais pas trop comment l'expliquer.) Tout le monde témoin de cette scène se retourne pour ne pas en manquer un morceau. Doug regarde Carol avec de grands yeux. Elle déclare d'une voix de perverse : « Doug, quand tu disais que tu reviendrais chez moi dès que je serai en manque, t'étais sérieux ? » Doug la regarde d'un air indécis et finit par répondre, feignant l'assurance : « Bien sûr que j'étais sérieux. » « Alors avant que tu ne reviennes, j'ai quelques petites remarques à te faire. » « Ah ? Vas-y, dis moi. » « Sache que ton statut de précoce m'a légèrement dérangé ! Et quand je dis légèrement c'est pour ne pas te froisser ! Et si je rajoute à ça le coup de la panne que j'ai enduré, sache que la soirée n'a pas été aussi torride que je le souhaitais ! Tu m'as profondément déçu Doug ! Parce que le fait que tu sois précoce, passe encore, mais en plus que tu me fasses le coup de la panne, et tout ça dans la même soirée. Comprends mon mécontentement. Enfin bon, il paraît que ça peut arriver à tout le monde, alors je passe l'éponge pour cette fois ! » Elle lui caresse la joue de sa main et l'embrasse sauvagement pendant quelques courtes secondes. Carol reprend : « C'est bien ce que je craignais : t'embrasse aussi mal que tu fais l'amour ! » Elle recule d'un geste de dégoût et s'avance d'un pas assuré vers les toilettes. Dans les toilettes des Urgences : Doug entre en furie, Carol est en train de recoiffer sa tignasse. Elle a le visage serein. Doug hurle : « C'est ça ta vengeance ?? Me faire passer pour un impuissant devant tout le personnel ? » « Parce que passer pour une nympho devant tout le service tu crois que c'est mieux ?! Un partout, la balle au centre, on est quitte maintenant. » Doug balance sa tête d'un côté sur l'autre, pesant le pour et le contre. «Mouais, tu dois avoir raison je suppose. » « Evidemment ! » « Au fait, ce que t'as dit à propos de ma façon d'embrasser, tu le pensais vraiment ou ça faisait partie de ton plan ? » « Ca faisait partie de mon plan, cela dit pour répondre plus précisément à ta question, je dois dire que j'ai pas vraiment fait attention à ta façon d'embrasser tout à l'heure. Mon but, c'était juste de te casser ! » Doug s'approche 'dangereusement' de Carol. Leurs pieds sont presque collés et Doug regarde Carol droit dans les yeux. Il murmure d'une voix douce : « Si t'as pas fait attention à ma façon d'embrasser tout à l'heure, on peut recommencer sans problème tu sais ! Parce qu'en fait, ton avis sur la question m'importe vraiment ! » Il a un léger sourire et des yeux de coquins ! (AN : Y a des fois, j'aimerai bien être Carol moi !) Carol répond sur le même ton : « Si c'est important pour toi je veux bien faire un petit effort ! » Doug pose ses mains sur le visage de Carol et lui caresse les joues de ses pouces. Il avance doucement son visage vers celui de Carol puis l'embrasse doucement. Le baiser gagne en intensité et les 2 auteurs se voient dans l'obligation de se séparer pour reprendre leur souffle. Doug regarde à nouveau Carol fixement, attendant une réponse à sa question. Pour toute réponse, Carol initie un second baiser, celui-ci nettement plus sauvage. Ils continuent leur jeu de baisers jusqu'à ce qu'une intrusion les interrompent : Jennie. Elle se racle la gorge pour indiquer sa présence, Doug et Carol se tournent alors vers elle, un peu gênés. La jeune femme déclare : « Un AVP en salle 1, Dr Ross, on a besoin de vous. » Il acquiesse sans terminer l'étreinte qu'il partage avec Carol. Jennie s'apprête à refermer la porte des toilettes mais ajoute: « Excusez moi ! » d'un air désolé avant de disparaître. Doug et Carol sont de nouveau seuls. Ils se regardent avec envie. Doug embrasse Carol une nouvelle fois, avant de sortir des toilettes, lui jetant un dernier regard.

Au bureau des admissions : Doug et Carol sont à l'écart du reste du personnel. Ils discutent. Pendant ce temps-là, les infirmières les observent avec intérêt. Doug chuchote à Carol : « Ecoute, le plus simple c'est qu'on fasse une petite impro' leur expliquant le topo histoire qu'ils arrêtent de nous mater à longueur de temps comme si on était des bêtes de foire. ! » « La faute à qui ? » « C'est bon, c'est aussi de ta faute alors assume, et viens ! » Doug et Carol s'avancent de façon à faire face au personnel. Doug prend la parole d'une voix forte : « Carol et moi-même espérons que vous avez apprécié notre jeu de scène d'aujourd'hui. » « En fait, on prend des cours d'art dramatique dans le même club et on avait à s'entraîner pour une représentation future. » « Alors on s'est dit qu'on ferait ça devant un vrai public qui sera en mesure de nous donner son avis sur notre jeu. » « En vous remerciant ! » Doug et Carol saluent leur public. Carol reprend : « Alors on est crédible en tant que comédiens ? » Jennie rétorque : « Oui, très ! J'ai été bluffée! Et la scène dans les toilettes ça faisait partie du spectacle aussi ? » Carol acquiesse en souriant : « Bien sûr ! » « Ouah, vous aviez vraiment tout prévu alors ! J'espère que je suis invitée à la représentation ? » Doug bafouille : « Euh. on essaiera de te trouver une place Jennie ! » Un blessé arrive sur un brancard. L'attention se détourne de Doug et Carol qui soufflent de soulagement.