Je suis super contente de voir que cette fic vous plait ! merci bcp à toutes celles qui m'ont écrit, et aux autres pour quand même avoir pris le temps de la lire !
Merci à Coccinelle, Lololeduc, Didjii, Sumiré et hhp pour leur review ! je ne répond pas personnellement, juste une chose, voici la suite ! j'espère qu'elle vous plaira !
Chapitre 2
" J'te déteste ! "
Pendant les jours qui suivirent, puis les semaines, Drago et Ginny s'étaient revus plusieurs fois pour parler, le soir, et sans en parler à personne. Au fil des semaines, ils s'étaient énormément rapprochés, et s'en se l'avouer, ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre, mais se contentaient toujours de discuter. Jusqu'au jour où Drago reçut une lettre, et du jour au lendemain, il évita de lui parler, ni même de la croiser, ce qui l'attrista énormément, ne sachant pourquoi il l'évitait ainsi.
De leur côté, Harry et Hermione étaient toujours amoureux l'un de l'autre, même plus qu'avant car pouvant en profiter. Le soir, Harry allait très souvent retrouver Hermione dans son dortoir, vêtu de sa cape d'invisibilité, et ensemble ils sortaient, soit dans la salle commune soit dans une des salles vides du château.
Pendant ces quelques instants, ils étaient heureux, ensembles. Ils passaient leur temps à s'embrasser, se murmurer des mots doux, oubliant tout, le danger, leur vie, leur amis, ou quiconque qui pourrait les surprendre.
Un matin, alors qu'ils étaient tous réunis dans la grande salle pour déjeuner, le courrier arriva. Drago paru alors très agité, scrutant le ciel avec crainte, comme s'il redoutait de recevoir du courrier. C'est alors qu'un hibou s'approcha et lui déposa une lettre. Ginny l'observait, attendant sa réaction. Drago paru soulagé en découvrant que la lettre venait d'elle. Puis il se ressaisit. Devait-il lui dire ? Non, elle serait en danger…. Il lui jeta un rapide coup d'œil qui signifiait qu'il acceptait leur rendez-vous, résolu. Ginny lui adressa un large sourire.
Le soir venu, elle se dirigea vers la tour où ils se retrouvaient, avant. Elle attendit, puis au bout d'un quart d'heure, elle s'asseya sur une marche, les genoux ramenés sous son menton et sa tête enfuie dedans. Elle désespérait de l'attendre, d'attendre de savoir s'il allait venir ou pas, quand soudain, une voix la sortie de ses pensées :
Salut…
Elle releva la tête pour vérifier qu'il s'agissait bien de lui, et quand elle le vit, un sourire se dessina sur son visage et elle s'approcha d'un pas hésitant, et arrivée à sa hauteur, elle se précipita dans ses bras.
Tu m'as tellement manqué….
Toi aussi…
Mais pourquoi ? pourquoi ? répéta t-elle en se reculant légèrement de lui.
A cause… à cause de mon père. Je ne sais pas comment, mais il est au courant que… que je me suis beaucoup rapproché de toi. Un peu trop même, ajouta t-il pour lui-même.
Quelqu'un a dû nous voir et lui a tout raconté. Ensuite, j'ai reçu une lettre, de lui, me disant que je faisais honte à la famille en étant proche d'une Weasley. Tu sais combien mon père déteste ta famille.. presque autant que les Sang-de-bourbe ou Potter. Alors il m'a dit de ne plus jamais t'approcher…
Et tu lui as obéi ? demanda Ginny, le ton plein de reproches.
Je n'avais pas le choix ! s'écria t-il. Si je ne le faisais pas, il… il allait intervenir ! Et tu sais qu'il en a les moyens. Je voulais juste te protéger, qu'il ne te fasse pas de mal… je tiens beaucoup à toi Weasley, et si pour ça…
Mais à cet instant, elle fit une chose qu'elle n'aurait jamais cru pouvoir faire un jour. Elle s'approcha de lui, hésitante, et lui déposa un léger baiser sur les lèvres, puis se recula aussitôt. Il la regarda, surpris, puis il pris son visage entre ses mains et l'embrassa de nouveau, jouant avec ses lèvres, salées par les larmes qui coulaient le long de ses joues…
Ils restèrent ainsi, à s'embrasser, pendant un moment, avant de retourner chacun dans leur dortoir pour ne pas éveiller de soupçons.
Les semaines passèrent, et le match qui affronterait les Gryffondors aux Serpentards approchait. Toute l'équipe était très anxieuse, Ron encore plus car c'était son premier match avec l'équipe.
Ne t'inquiète pas Ron, le rassura Harry, voyant son ami refuser tous les plats qu'on lui proposait.
Tout se passera bien, j'te fais confiance.
Et puis, renchérit Hermione, même si tu laisse passer quelques buts, on t'en voudra pas, c'est normale. Et de toute façon, on est sûr de gagner vu qu'Harry attrape tout le temps le vif d'or ! ajouta –elle en souriant à Harry, ce qui les fit rougir tous les deux.
Tu as raison Hermione, lâcha Ron, qui accepta d'avaler une tranche de bacon.
Le match est cet après-midi, et on doit être prêt si on veut humilier cette fouine de Malefoy, ce qui fit sourire tout le monde, sauf Ginny qui baissa la tête, mal à l'aise.
L'après-midi, tous les élèves se réunirent dans les gradins, et regardaient le match avec attention. Gryffondors avait 30 pts d'avances, mais ça ne signifiait rien tant qu'Harry n'avait pas attrapé le vif d'or.
(…) Spinnet a le souafle, qui le passe à Bell qui se dirige vers les buts… mais un cognard fonce droit sur elle, dévié par Weasley… excellent Weasley ! Nous avons vraiment d'excellents batteurs cette année ! … Et Bell continue, et .. BUT ! Et Gryffondor mène par 60 à 20 !
Soudain, Harry aperçu le vif d'or près des buts des Serpentards. Il ne pouvait pas approcher sans que Malefoy ne s'en rende compte et le devance. Il eut alors l'idée d'essayer la feinte de Wronski, où Krum était passé maître dans l'art.
Il décida de feindre d'avoir vu le vif d'or et piqua vers les buts des Gryffondors, et Malefoy le suivit aussitôt. Il descendait toujours, Drago sur ses talons, et se rapprochait dangereusement du sol, puis au dernier moment, il dévia et reparti vers le vif d'or, mais Malefoy n'eut pas le temps de redresser assez tôt et s'écrasa sur le sol, où il resta un moment sans bouger.
NON ! ! ! ! s'écria une voix dans les tribunes des Griffondors.
Hermione se retournèrent en même temps pour voir qui avait crié, et eut juste le temps d'apercevoir Ginny, en larmes, descendre les escaliers à toutes vitesses et se précipiter sur le terrain.
Elle est folle ou quoi ? demanda une amie à Hermione, mais elle n'écoutait pas, trop absorbée à regarder Ginny se précipiter vers Drago, toujours au sol.
Drago… Drago… tu m'entends ? sanglota Ginny, ignorant tous les regards braqués sur elle.
Gi… Ginny ? murmura Drago.
Ne t'inquiète pas, ça va aller, pleurait t-elle. Tout va bien se passer, les professeurs arrivent et ils vont t'emmener à l'infirmerie…
Dépêchez-vous ! cria t-elle à l'intention des professeurs, bien trop lents à son goût.
Puis Dumbledore et Mrs Pomfresh arrivèrent en courant, pendant qu'Harry, qui se s'était pas aperçu que Drago était au sol, redescendait fièrement, le vif d'or à la main.
Pendant qu'ils emmenaient Drago à l'infirmerie, Ginny s'approcha d'Harry, les yeux rouges d'avoir pleuré.
Tu aurais pu le tuer Harry ! s'emporta t-elle.
J'te déteste ! ajouta Ginny avant de s'enfuir en courant vers l'infirmerie, laissant un Harry encore sous le choc, ne comprenant pas la situation. Hermione et Ron s'approchèrent de lui.
Je ne le savais pas ! se défendit Harry avant qu'ils n'interviennent.
On le sait Harry, le rassura Hermione en le prenant dans ses bras.
Mais Ginny… elle…
Ca, je voudrais bien savoir ce qui lui a pris ! se demanda Ron.
Non mais t'as vu Hermione ! Elle s'est mise à crier quand il est tombé au sol, et elle s'est précipité vers lui en pleurant, comme si c'était important de savoir c'qu'il avait ! Après tout, on a gagné, c'est super ! Mais apparemment, il était le seul à s'en réjouir, Harry et Hermione ayant visiblement compris la réaction de Ginny.
Tu lui dis ou j'm'en charge ? demanda Hermione avec un sourire malicieux.
Euh… je préférerais que tu t'en charge 'Mione.
Très bien. Ron, je crois… j'en suis même persuadée, que notre petite Ginny est amoureuse !
Quoi ! ? ! ? non mais t'es folle ou quoi ! Ginny… am… amoureuse de ce … de Malefoy ? Dis-moi qu'tu plaisantes là, je t'en pris !
Je suis désolée, souria Hermione, devant un Harry pliait en deux devant le comique de la situation, puis se ravisa, comprenant qu'il s'agissait tout de même de Malefoy, leur pire ennemi.
Alors là j'y crois pas ! désespéra Ron.
Elle va m'entendre celle là ! … Avec Malefoy en plus ! maugréa t-il en se dirigeant vers l'infirmerie. Non mais franchement, pourquoi lui ? Elle aurait pas pu tomber amoureuse de… je sais pas moi, mais pas de Malefoy ! … Tiens, pourquoi pas de Neville ? Il est gentil, non ?… Eh ben non, de cette sale fouine ! … Ahhh elle m'énerve ! ! ! !
Pendant ce temps, Drago avait était allongé dans un des lits, Ginny assise sur une chaise, à côté de lui, en pleurant.
Elle s'asseya sur le bord du lit pour être encore plus proche de lui, puis elle pris sa main dans la sienne, ses larmes coulant à flots le long de ses joues.
Tu m'as fait tellement peur… si tu savais… j'ai cru que tu étais…
Mais je vais bien Weasley, lui murmura t-il. Il l'appelait toujours par son nom de famille, mais d'une manière plus attendrissante qu'avant.
Et puis, il en faut plus pour abattre un Malefoy ma chère ! plaisanta t-il. Tu pourra dire à Harry que sa feinte était très réussi. Je le félicite, c'était un très beau match.
" J'en reviens pas ! Malefoy, faisant l'éloge d'Harry ? C'est pas possible, il est en train de délirer là ! " pensa Ron qui observait la scène, près de la porte. Ils ne l'avaient pas vu, et c'était mieux ainsi, il voulait attendre avant d'intervenir.
… je sais que j'ai toujours étais odieux avec vous, mais c'est pas de ma faute… mon père à toujours détesté les moldus, les Potter, et les Weasley, mais je n'ai jamais su pourquoi… peut être à cause de Tu-Sais-Qui, je sais pas. Depuis que je suis tout petit, j'ai été élevé avec toute cette méchanceté et cette haine omniprésente chez moi. J'ai été élevé comme ça, j'y suis pour rien. Machinalement, je suis devenu ce que je détestais le plus… je suis devenu un pur Malefoy.
Mais tu n'es plus comme ça, tu as changé…
Oui, j'ai changé, et en partie grâce à toi p'tite Weasley. J'ai compris que vous n'étiez pas comme mon père le prétendait, ni stupide, ni arrogant, ni… mais il ne put continuer, sa voix se perdant dans ses sanglots.
Chuuut… c'est fini maintenant… et je t'aime Drago.
Moi aussi je t'aime, murmura Drago en lui déposant un baiser sur les lèvres, pendant qu'elle se serrait contre lui, la tête posée contre son épaule non blessée.
Ron ferma la porte et fit demi-tour. Finalement, il s'était trompé. Il s'était trompé sur les sentiments de sa petite sœur, et s'était trompé sur Drago Malefoy. Il n'était pas ce petit crétin arrogant, suffisant et sûr de lui qu'il laissait paraître.
Le plus dur maintenant, c'était d'accepter. D'accepter que sa petite sœur soit amoureuse de lui, son ennemi, et d'accepter que son ennemi soit amoureux de sa petite sœur. Mais il voulait la protéger, et jamais il ne laisserait Drago Malefoy la faire souffrir.
Il se dirigea vers la salle commune, où l'attendaient Harry et Hermione, blottit l'un contre l'autre dans un fauteuil. Il interpréta ce geste comme tout les autres, comme la manifestation de leur amitié, et du fait qu'ils s'étaient énormément rapprochés depuis la rentrée. Quand ils l'aperçurent, il se relevèrent rapidement, comme gênés de sa présence.
Alors ? demanda Hermione, rompant le silence.
Alors on s'est trompé…
Ginny n'est pas amoureuse de Malefoy ? demanda Harry, visiblement surpris.
Si… ça c'est vrai, répondit Ron, un peu déçu.
Bah alors… ? hésita Hermione qui ne comprenait rien.
On s'est trompé sur… sur Malefoy.
Quoi ! ? ! s'écrièrent en chœur Hermione et Harry.
Oui… en fait, il n'est pas aussi méchant et prétentieux qu'il le paraît…. Quoique je doute qu'il soit quand même prétentieux… bref… quand je suis entré, ils ne vont pas vu, et j'ai un peu écouté leur conversation…
Tu les as espionnés ! s'indigna Hermione.
Oui, mais au début je ne le voulais pas. Je voulais simplement aller engueuler Ginny et lui demander si elle était pas tombée sur la tête, mais quand je les ai écoutés… Elle paraissait terrifiée, et Drago lui disait qu'il regrettait d'être aussi méchant avec nous, et qu'il n'avait pas le choix, à cause de son père. Il a toujours été élevé dans la sévérité, la méchanceté et la haine envers nos deux familles…
Et bien sûr, tu l'as cru ! s'écria Harry.
Harry, reprit Ron… il t'a même félicité d'avoir gagné le match et d'avoir tenté le feinte de Wronski, que tu as parfaitement réussi, même lui l'a reconnu…
Peut être… mais en tout cas, à cause de lui, Ginny me déteste maintenant, ajouta-il en partant vers son dortoir, aussitôt suivi d'Hermione, même si c'était interdit.
Harry… attends… le supplia t-elle.
Les semaines passèrent, et finalement, Harry avait accepté que Ginny soit amoureuse de Malefoy, et Ginny lui avait pardonné, accordant que c'était une très bonne idée de tenter cette feinte, et qu'après tout, il ne l'avait pas fait exprès de laisser Drago à terre.
Un matin, pendant les vacances de Noël où tout leur petit groupe était resté, Drago ne voulant pas retourner chez lui à cause de son père, Ginny voulant rester auprès de lui, Ron ne voulait pas laisser Harry tout seul, et bizarrement Hermione pretextant avoir des devoirs à faire à la bibliothèque pour rester avec Harry, ce dont il lui en fut très reconnaissant. Tout le petit groupe s'était réuni autour d'une même table, et discutait de leurs projets pour les vacances, de leurs devoirs, de quidditch, des couples…
J'ai toujours un peu de mal à croire que vous soyez… ensemble, commença Ron en parlant de Ginny et Drago. En plus, vous avez bien caché votre jeu tous les deux…
Ouais, renchérit Harry en rigolant, et vous nous l'avez caché en plus ! Vous n'avez même pas dit à vos meilleurs amis que vous étiez ensemble !
Ah parce que tu crois que vous êtes mieux tous les deux ? lança Ginny, mi-amusé mi-vexée, devant Harry et Hermione qui s'étaient soudainement arrêtés de glousser.
… Comme si personne n'avait remarqué votre petit jeu, vos mains baladeuses sous la table, vos petites virées nocturnes, et vos soi-disant exposés qui nécessitaient des heures à la bibliothèque, même quand elle était fermée….
Aussi soudainement que son assurance, Hermione et Harry devinrent très colorés, dans une teinte de rose pale pour finir rouge écarlate, et le sol étant devenu aussi soudainement très intéressant.
C'est vrai ? demanda ron, complètement abasourdi, sur qui la nouvelle avait apparemment plus d'effet que d'apprendre que Ginny sortait avec Drago, qui, voyant la tournure de la situation, déclara :
Bon, bah nous, on va vous laisser… entre vous. Tu viens Ginny ? J'ai… j'ai quelque chose à te montrer… là haut, ajouta t-il en lui montrant avec insistance le plafond. Comprenant où il voulait en venir, et surtout désolée d'être celle qui avait provoqué cette gêne, elle lui lança :
Bon, bah… euh, je vais y aller moi, à plus tard.
Puis, se tournant vers Harry et Hermione, elle murmura un vague " désolé " avant de prendre sa veste et de partir en courant rejoindre Drago.
Vous comptiez me le dire quand exactement ? leur demanda Ron, plutôt agacé.
Euh… on comptait te le dire, j'te jure Ron, commença Hermione, c'est juste que…
On savait pas comment te l'annoncer, l'aida Harry. Tu comprends, on avait peur que tu réagisse… comme tu réagis maintenant en fait. Et puis, je savais à quel point tu tenais à Hermione, pas seulement en tant qu'ami, et je ne voulais pas te faire souffrir.
Eh ben c'est raté ! leur répondu Ron avec colère, avant de sortir.
Quelques minutes plus tard, Hermione et Harry sortirent eux aussi de la salle, où ils croisèrent Ginny qui les attendait à la sortie.
C'est malin ! tu es fière de toi ! lui demanda Harry avec colère, puis il partit, sans lui laisser le temps de lui répondre
A suivre….
Voilà, ce deuxième chapitre est terminé ! j'espère qu'il vous a plus autant que le premier ! je mettrai la fin jeudi ou vendredi ! Pour vous donnez un avant-goût de la suite, voici le titre " on aurait jamais du ! " et un chtit extrait :
Hermione, la rattrapa Harry, qui se fichait d'arriver en retard en cours.
Quoi ? lui demanda t-elle, un peu exaspérée.
Qu'est ce qui t'arrive ? Je ne te reconnais plus ! Qu'est ce qui a changé chez toi ? Et surtout, pourquoi tu m'as quitté, comme ça, sans raison ? enchaîna Harry sans reprendre son souffle.
Ca ne te regarde pas ! lâcha t-elle. Je voulais arrêter avant qu'on fasse une bêtise, et qu'on aille trop loin. On a déjà été beaucoup trop loin Harry, et on aurait jamais dû !
Aller trop loin ? Je ne comprends pas du tout de quoi tu parle Hermione !
Je vois bien, répondit t-elle, cette fois complètement exaspérée, ce qui glaça Harry.
On aurait jamais dû aller si loin, et on aurait jamais dû coucher ensemble.
C'était donc ça qui la tracassait depuis ces dernières semaines. C'était qu'ils aient fait l'amour qui la dérangeait, pas ses examens. Elle regrettait ce moment si exaltant qu'ils avaient passé ensemble.
Harry baissa les yeux et refoula c'est larmes. Il relava doucement la tête et hésita…
