- Des coups de fouet, c'est minime à côté de ce que tu as déjà subi. Et puis, t'es un ami, non ?
Il me regardait maintenant avec de gros yeux. Je fixai son corps, puis le mien. On était couverts de plaies qui saignaient à flot. Je souris faiblement.
- Je vais te laisser. J'ai des trucs à faire, dis-je en me levant lentement
- Attends une minute ! s'écria-t-il
- Oui ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Mer… merci… beaucoup.
En guise de réponse, je lui souris gentiment. Il resta là, sans bouger.
***
Par chance que j'avais des pansements dans ma chambre, car sinon j'aurais vite été vidé de mon sang. Les blessures faisaient attrocements mal. J'appliquai lentement le peroxyde en sifflant des jurons. Puis, je mis les pansements. Par chance, j'en avais seulement sur les bras et sur le visage.
Après avoir tout rangé, j'ai repensé à l'incident de tout à l'heure. Plus j'y pensais, plus je trouvais que l'idée d'aller se mettre devant Tala était mauvaise. Ah, et pourquoi l'ai-je donc fait ? Parce que c'est un bon ami ? Oui, c'est sûr. Et je suppose qu'il aurait fait pareille si j'aurais été à sa place.
Mne nuzha ona…
Quelqu'un cogna à me porte, me sortant ainsi de mes pensées.
- Entrez !! criais-je
La porte s'ouvrit et Tala entra. Tiens, qu'est-ce qu'il vient faire ici lui ?
- Hey, Tala, qu'est-ce que tu fais ici ?
- J'voulais seulement venir te parler.
- D'accord. Aller, assis-toi.
Il s'assit sur une chaise qui se trouvait à côté de mon lit. Il soupira.
- Alors, qu'est-ce que tu voulais venir me dire ?
- Que l'idée de venir te mettre devant moi quand le vieux m'a fouetté était complêtement idiote. Qui sait qu'est-ce qu'il aurait pu te faire d'autre ?
- Qu'est-ce que ça change si ça aurait été moi qui aurait eu les coups ?
- Ben… c'est que c'était entre moi et lui… C'est un peu une atteinte à ma vie privée.
- J'm'en fiche un peu…
- J'te comprend.
Sur ce, il souria faiblement. Je fis de même.
- Bon, je vais te laisser, dit-il en se levant
- Okay. Bye.
Il quitta donc ma chambre. J'avais comme l'intuitions que quelque chose de mal allait arriver. Peut-être parce que je suis un peu trop parano ? Probablement. Je regardai mon cadran. Vingt-deux heures. Je suis dû à une bonne nuit de sommeil.
***
Le lendemain…
***
Je me réveillai après une bonne nuit de repos. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Il devait donc être midi. Je me levai, m'habillai et sortis. Je ne vis personne dans les couloirs.
L'idée d'aller voir Tala me vint après avoir mangé. Je me dirigeai donc vers sa chambre. À ma grande surprise, il n'y était pas. Merde. Voltaire l'a probablement emporté quelque part pour encore le tabasser.
Après quelques minutes, j'entendis des bruits venant du laboratoire. Lentement, je m'en approchai.
- Pensez-vous que ça réussira ? demanda la voix de Voltaire
Pas de réponse venant de quelqu'un. Mais je savais bien que quelqu'un d'autre y était.
- Je ne suis pas certain. L'idée de " robotiser " un corps humain n'est pas très bonne. La réussite n'est pas garantie à 100%. Vous devriez attendre.
- Mais puisque je vous dis que je veux le faire maintenant !
- C'est votre choix. Toutefois, vous risquez la vie de Tala.
- Ce n'est pas grave !
- Bon, si vous le dites ainsi. Au fait, puis-je savoir quel est le but de cette " expérience " ?
Il me regardait maintenant avec de gros yeux. Je fixai son corps, puis le mien. On était couverts de plaies qui saignaient à flot. Je souris faiblement.
- Je vais te laisser. J'ai des trucs à faire, dis-je en me levant lentement
- Attends une minute ! s'écria-t-il
- Oui ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Mer… merci… beaucoup.
En guise de réponse, je lui souris gentiment. Il resta là, sans bouger.
***
Par chance que j'avais des pansements dans ma chambre, car sinon j'aurais vite été vidé de mon sang. Les blessures faisaient attrocements mal. J'appliquai lentement le peroxyde en sifflant des jurons. Puis, je mis les pansements. Par chance, j'en avais seulement sur les bras et sur le visage.
Après avoir tout rangé, j'ai repensé à l'incident de tout à l'heure. Plus j'y pensais, plus je trouvais que l'idée d'aller se mettre devant Tala était mauvaise. Ah, et pourquoi l'ai-je donc fait ? Parce que c'est un bon ami ? Oui, c'est sûr. Et je suppose qu'il aurait fait pareille si j'aurais été à sa place.
Mne nuzha ona…
Quelqu'un cogna à me porte, me sortant ainsi de mes pensées.
- Entrez !! criais-je
La porte s'ouvrit et Tala entra. Tiens, qu'est-ce qu'il vient faire ici lui ?
- Hey, Tala, qu'est-ce que tu fais ici ?
- J'voulais seulement venir te parler.
- D'accord. Aller, assis-toi.
Il s'assit sur une chaise qui se trouvait à côté de mon lit. Il soupira.
- Alors, qu'est-ce que tu voulais venir me dire ?
- Que l'idée de venir te mettre devant moi quand le vieux m'a fouetté était complêtement idiote. Qui sait qu'est-ce qu'il aurait pu te faire d'autre ?
- Qu'est-ce que ça change si ça aurait été moi qui aurait eu les coups ?
- Ben… c'est que c'était entre moi et lui… C'est un peu une atteinte à ma vie privée.
- J'm'en fiche un peu…
- J'te comprend.
Sur ce, il souria faiblement. Je fis de même.
- Bon, je vais te laisser, dit-il en se levant
- Okay. Bye.
Il quitta donc ma chambre. J'avais comme l'intuitions que quelque chose de mal allait arriver. Peut-être parce que je suis un peu trop parano ? Probablement. Je regardai mon cadran. Vingt-deux heures. Je suis dû à une bonne nuit de sommeil.
***
Le lendemain…
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Je me réveillai après une bonne nuit de repos. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Il devait donc être midi. Je me levai, m'habillai et sortis. Je ne vis personne dans les couloirs.
L'idée d'aller voir Tala me vint après avoir mangé. Je me dirigeai donc vers sa chambre. À ma grande surprise, il n'y était pas. Merde. Voltaire l'a probablement emporté quelque part pour encore le tabasser.
Après quelques minutes, j'entendis des bruits venant du laboratoire. Lentement, je m'en approchai.
- Pensez-vous que ça réussira ? demanda la voix de Voltaire
Pas de réponse venant de quelqu'un. Mais je savais bien que quelqu'un d'autre y était.
- Je ne suis pas certain. L'idée de " robotiser " un corps humain n'est pas très bonne. La réussite n'est pas garantie à 100%. Vous devriez attendre.
- Mais puisque je vous dis que je veux le faire maintenant !
- C'est votre choix. Toutefois, vous risquez la vie de Tala.
- Ce n'est pas grave !
- Bon, si vous le dites ainsi. Au fait, puis-je savoir quel est le but de cette " expérience " ?
