Abandonné
Disclamer : L'histoire et les nouveaux persos sont à moi mais tout le reste est à JKR, d'ailleurs je ne touche pas d'argent... *Sniff*
Enfin bref, j'espère que mon histoire va vous plaire, moi je suis assez fière de moi ! Je sais ce n'est pas la modestie qui m'étouffe... Lol ! Bonne lecture !!!
Oh ! Et surtout n'oubliez pas les reviews !!! Merci !!! *Yeux de chien battu, auquel même Voldemort ne pourrait résister*
Chapitre 1 : Décision
Deux femmes étaient assises sur un canapé moelleux, l'une avait des cheveux châtains épais et court, avec de beaux yeux marron, la seconde avait de longs cheveux noirs et bouclés et de magnifiques yeux bleus, ainsi qu'une... Minuscule pair d'ailes, plié dans le dos, elles paraissaient très nerveuses, toutes deux surveillaient un enfant aux cheveux blonds qui jouait devant la cheminée avec un animal qui ressemblait vaguement à un chat mais qui visiblement n'en était pas un. L'enfant avait environ quatre ans, il se tourna vers les deux femmes et dit d'une voix fatiguée :
-Il rentre bientôt papa, ça fait longtemps qu'il est parti !
-Licinius tu veux monter avec moi dans une chambre la haut pour te reposer et on te réveillera quand ton papa arrivera. D'accord ? Demanda la femme aux cheveux noirs.
-Je pourrais avoir la lumière ? La femme acquiesça et l'enfant apparemment satisfait se leva pris sa main et s'apprêtait à la suivre quand des cris se firent entendre.
-Tu veux que j'aille le coucher pendant que tu vas calmer ton fils ? Lui demanda son amie
-Non, sa chambre est juste a coté, tu peux rester ici.
Elle quitta la pièce avec l'enfant et monta à l'étage pour arriver dans un grand couloir elle s'arrêta devant une porte, l'ouvrit, entra dans une chambre d'enfant ou le petit garçon se coucha, elle claqua des doigts et la lumière baissa mais pas jusqu'à s'éteindre. Elle se dirigea ensuite vers la chambre d'où les pleurs provenaient, c'était une nursery, un berceau était installé entre deux fenêtres, elle s'approcha et prit un enfant aux cheveux noirs et yeux noirs dans ces bras.
-Bah, alors mon chéri qu'es qui se passe ? Tu as faim ? Elle redescendit au rez-de-chaussée et tendit le petit garçon à son amie.
-Tu peux le garder, je préfère faire son biberon moi-même, c'est une des seuls choses que je fais manuellement mais on n'est jamais trop prudent.
-Tu as raison, je fais comme toi.
Elle revint cinq minutes plus tard avec un biberon, elle installa confortablement son fils sur ses genoux elle le nourrit silencieusement. L'enfant se rendormit après sa collation mais aucune ne fit un mouvement pour le remonter, enfin la mère du garçonnet qui était apparemment la plus inquiète demanda d'une voix rauque :
-Tu ne crois pas que...
-Non ! L'interrompit l'autre. Voyons, il ne peut rien leur arriver là bas. Ils devaient aller chercher les triplets, tu connais tes enfants ils ne sont jamais pressés, ils se sont peut être arrêtés au Trois balais.
-Oui tu as sûrement raison.
A ce moment un bruit de détonation retentit derrière elles les faisant sursauter, elles se retournèrent pour voir deux hommes, un grand blond aux yeux gris métallisés, l'autre homme avait des cheveux bruns qui partait dans tous les sens et des yeux vert émeraudes, une fine cicatrice en forme d'éclair était visible sur son front, il paraissait très en colère mais semblait se contenir. Trois adolescents les accompagnés, un garçon dont les cheveux bruns étaient aussi mal coiffés que ceux de son père, il avait de magnifiques yeux marron, les deux autres personnes étaient deux jeunes filles du même age que le garçon, elles lui ressemblaient énormément, l'une avait les cheveux noirs tressés et ses yeux verts lancés des éclairs, alors que la seconde les portait court aux épaules et ses yeux bleus étaient durs comme la glace. Les triplets ne prirent même pas la peine de saluer les deux femmes et montèrent à l'étage.
-Harry ! Que s'est-il passé ? J'étais si inquiète ! J'ai cru que... Mais elle ne put finir sa phrase
-Tout va bien ma chérie, je t'expliquerais plus tard. Je vais monter coucher le dormeur, dit-il avec un sourire tendre pour l'enfant endormis.
XXXAprès le départ de leurs amis, ils s'installèrent au salon avec une boisson chaude, la jeune femme vint se blottir dans les bras de son mari et se détendit en sentant le torse musclé, dut au Quiddich, sous sa robe de sorcier, celui-ci la prit tendrement par la taille.
-Harry, explique-moi maintenant que s'est-il passé ? C'était un piège du Prince des Ténèbres ? Pourquoi étais-tu si en colère ? Et pourquoi ne voulais-tu pas tout expliqué devant Kaisa ? Harry je...
-Doucement, doucement, l'interrompit-il en riant. Non ce n'était pas un piège du prince des Ténèbres ni même de Voldemort, c'était réellement une lettre de Dumbledore, j'avais demandé à Draco de m'accompagner au cas ou ça aurait été un piège, mais non, quand on est arrivé au lieux de rendez-vous, il y avait bien Dumbledore, mais il n'était pas seul, il y avait Hermione, Ron et... Et surtout... Sirius était là. Il fit une pose comme pour chasser les souvenirs qui l'envahissaient, Dumbledore m'a presque supplié de leur venir en aide, il m'a dit avoir fait une faute ! Tu te rends compte une Faute !? S'exclama-t-il avec colère
-Harry calme-toi ! Tu sais tres bien que s'ils ont fait ça c'est parce qu'ils se sentaient trahis ! Pour eux tu étais le seul espoir ! Tenta de les défendre Encelade.
-Arrête ! Dumbledore m'avait toujours défendus tout comme Sirius même quand le ministre de la magie m'avait pris pour un fou, Dumbledore m'avait crut ! Il était la personne en la quel j'avais le plus confiance ! Et il a suffit que Voldemort prétende que moi et Draco étions des Mangemorts pour qu'il me... Nous laisse tomber ! Il voulait nous envoyer à Azcaban ! Nous avons été obligés de nous cachés, Voldemort aurait put nous retrouver et nous tuer n'importe quand et nous aurions put ne pas savoir nous débrouiller sans baguettes ! S'en sont-ils inquiétés ? Non jamais ! Et aujourd'hui ils nous demandent notre aide ! Et si nous avions le même niveau quand septième année, apres tout un sorcier sans baguette n'est qu'un moldu ! Et...
-Harry, l'interrompit sa femme d'une voie douce, je sais qu'ils t'ont fait du mal, je sais que tu as souffert et que tu souffre encore de cette trahison mais... Mais ils ont raison. Il tourna des yeux furieux vers elle mais elle ne se laissa pas déstabiliser par son regard de braise elle continua calmement, tu es leur seul espoir, toi et Draco êtes bien plus puissants que Dumbledore et que Voldemort. Tu ne peux pas laisser le monde de la magie mourir pour ça, sinon Il nous trouvera, nous aussi, et il fera tout pour t'atteindre et quel est le meilleur moyen pour ça ?
-Les enfants...
-Exactement ! Alors je t'en prie met ta rancune de coté et vas les aider, tu n'es pas obligé de leur pardonnés, cela prendra du temps mais réfléchis à leur proposition, d'accord ?
Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et quitta la pièce d'un pas souple, elle fit un détour par la nursery, pour s'assurer que son fils ne manquait de rien, puis elle alla se coucher, dix minutes plus tard elle entendit Harry faire comme elle, il passa voir les triplets puis il vint se coucher, elle mit son bras en travers de son torse et il la serra contre elle.
Harry sentit Encelade s'endormir mais lui ne pouvait pas, il savait qu'elle avait raison et il ne permettrait pas que Voldemort touche à un seul cheveu de ses enfants, ni d'Encelade, mais elle ne comprenait pas à quel point ça lui faisait mal de revoir ces personnes, qu'il avait aimé et qui l'avaient laissés tomber quand il avait le plus besoins d'eux, s'en serait-il sorti sans Draco ? Non certainement pas, qu'aurait-il fait seul et sans baguette, il aurait laissé tomber et serait reparti vivre chez les moldu... Heureusement ils avaient rencontré Encelade, Kaisa et Hydiel, ils leurs avaient appris la magie sans baguette et ils étaient vite devenus puissants, tres puissants, mais cela il ne le devait pas à son mentor ni à ses amis alors qu'il aurait dut grandir avec eux. Il finit par s'endormir tout en repensant à ce que lui avait dit sa femme.
XXX Quand Harry se réveilla le lendemain matin sa décision était prise, mais il avait certaines conditions, il ne pouvait pas retourner comme ça à Poudlard en abandonnant sa famille et ses amis, c'était bien trop dangereux pour eux. Il descendit dans la salle à manger ou il trouva Encelade plongée dans un grimoire avec un café à la main.-Monsieur désire quelque chose, monsieur ? Lui demanda leur elfe de maison, Despina.
-Je prendrais un café Despina, merci. Et l'elfe parti au pas de course vers la cuisine pour satisfaire son maître. Bonjour mon amour, dit-il à sa femme en l'embrassant.
-Bonjour Harry. Elle paraissait de tres bonne humeur ce matin, ce qui l'intrigua.
-Comment se fait-il que tu sois de si bonne humeur ce matin ?
-Tu as oublié que je suis capable de lire dans les pensés quand je le veux ? Et je sais ce que tu as décidé et je trouve ça fabuleux, j'ai hâte d'y être et je pourrais vous être utile, je suis presque aussi puissante que toi et...
-Stop ! Premièrement tu avais promis de ne plus lire dans mes pensés ! Deuxièmement j'ai pris ma décision c'est vrai mais il est hors de question que tu te battes contre Voldemort et ses Mangemorts ! Tu m'as bien compris ?
-Harry Potter tu es la personne la plus arrogante que j'ai jamais rencontré ! Qu'est-ce qui te fais croire que je vais rester les bras croisés alors que tu te bats avec Voldemort ? Tu crois que je vais sagement rester dans ma chambre à m'occuper des triplets ? Non mais quel toupet ! Et elle sortit de la pièce bousculant Despina qui lâcha le café, elle passa devant Draco, qui avait sur les lèvres un sourire narquois. L'elfe se rependit en excuses, et retourna à la cuisine préparait un autre café pour lui et Draco.
-Alors ainsi tu as décidé de tous nous ramener à Poudlard, pour notre sécurité ?
-Comment sais-tu ça toi ? Ne me dis pas que tu sais lire dans les pensés parce que sinon je vais commettre un meurtre ! Son ami rit doucement.
-Non, je ne lis pas dans les pensés ! Je viens juste de voir sortir Encelade en furie et j'ai entendu qu'elle disait ainsi combattre à tes cotés alors j'en ai déduis... Et puis, je te connais par cœur ! Tu ne les aurais jamais laissés dans cette situation mais tu ne pouvais non plus tous nous abandonner.
-Tu as raison, tu me connais un peu trop bien. J'ai écrit ce matin à Dumbledore, j'attends sa réponse.
-Je vais attendre avec toi. Je suis tellement impatient de retourner à Poudlard, malgré tout ce qu'ils nous ont fait, c'était ma vraie maison.
-Je ressens la même chose, et Encelade veut que je lui fasse découvrire la chambre des secrets...
-Tu plaisante ?
-Non, je suis tres sérieux, elle ne veut pas lancer le monstre, de toute façon il est mort. Mais surtout elle prétend qu'un village des siens et établie dans la forêt interdite. Kaisa et les enfants sont avec toi ? Demanda-t-il pour changer de sujet.
-Oui, je pense que Kaisa et parti voir ce que tu avais encore fait à Encelade pour qu'elle s'énerve comme ça, et Licinius est parti voir les triplets. Kaisa n'arrive pas à comprendre comment vous pouvez vous aimer autant tout en passant votre temps à vous disputer !
-On ne passe pas notre temps à se disputer ! On à chacun un caractère fort et il se manifeste dès que l'on n'est pas d'accord. C'est tout.
-Mais bien... Il s'arrêta quand il vit un magnifique phénix se poser sur l'épaule de son ami, le phénix portait une lettre, il sentit sa gorge se serrer dans l'attente de la réponse, bien qu'il douta que Dumbledore refuse quoi que ce soit à Harry.
-Fumseck ? Demanda Harry, l'oiseau lui mordilla légèrement le doigt en signe d'approbation. Puis il lui tendit la patte ou le message était attaché, Harry la prit d'une main légèrement tremblante mais quand il la lut sa voie était ferme :
Cher Harry,
Nous acceptons tes conditions à propos de ta famille et de celle de monsieur Malefoy, nous vous attendons à Pré-au-Lard devant la Cabane Hurlante à deux heures cet apres-midi. Nous sommes tous tres heureux de te voir revenir par mis nous.
Avec mes sentiments les plus distingués, Albus Dumbledore.
PS : Ne t'inquiète pas en raison des vacances de Noël, Poudlard sera pratiquement vide, tu auras ainsi toute l'intimité que tu souhaiteras et ta présence ne sera divulguer que sur ton accord.
-Et bien, ils ont l'air pressés de te revoir ! Siffla sa femme qui était devant la porte et qui apparemment avait écouté à sa lecture.
-Oui. Répondit-il d'une voie le plus neutre possible. Qu'ils ne s'attendent pas à des retrouvailles chaleureuses, je ne ferais rien pour leur faciliter la tache. Ses enfants le regardèrent avec des yeux ronds, et n'osaient pas s'approcher.
-Papa tu ne trouve pas ça génial ? Lui demanda Adrastée.
-Non, je vous ai déjà expliqué ce qui c'était passé, ils croient qu'il suffit de me demander de revenir pour que je fasse comme si rien ne c'était passé, mais ce n'est pas aussi simple, pourrais-tu pardonner à ton frère et ta sœur s'ils t'abandonnaient alors que tu as le plus besoins d'eux ?
-On ne ferait jamais ça ! S'écria Alexane avec colère
-Et bien les gens que je considérais comme ma famille m'ont fait ça. Répliqua Harry. Mais nous n'avons pas le temps de discuter, allez faire vos valises, nous partons dans trois heures, et n'emmenez pas n'importe quoi.
-Harry, ne t'inquiète pas, tout se passera bien, lui dit Encelade en passant un doigt sur la ride qui venait de se creuser sur le front de son mari, tout se passera bien, répéta-t-elle pour elle-même.
Ils montèrent dans leur chambre faire leurs bagages, Draco et Kaisa avaient transplané pour faire de même. Harry décida d'aller voir ou en était ses enfants.
Il entra de la chambre d'Alejandro, elle était verte, sur des étagères étaient posés des tonnes de livres de potions, un mur de sa chambre avait été transformé en laboratoire et des potions fumait doucement dans leurs chaudrons. La chambre était impeccablement bien rangée, rien ne traînait par terre et le lit était fait. Alejandro était en train de rétrécir une valise quand il vit son pere.
-Pa' je peux emmener mes potions, elles sont importantes ? Il faut que je m'en occupe. Lui demanda-t-il, tout en connaissant déjà la réponse.
-Alejandro, tu referas ses potions une fois à Poudlard, se serait trop dangereux de les transporter, elles sont instables. Tu peux les geler, et quand tu reviendras, tu reprendras là où tu t'étais arrêté. D'accord ?
-Mais... Il s'interrompit en voyant le regard de son pere, d'accord pa', mais si elles perdent leurs effets se sera ta faute !
Harry sourit, puis sortit et se dirigea vers la chambre d'Alexane, elle avait dut être bleu, mais les murs étaient couverts de posters des différentes équipes de Quidditch, on ne voyait pratiquement plus un centimètre de mur. Sa fille tentait vainement de récupérer son serpent qui ne paraissait pas du tout content, il était couché par terre et essayait de se faufiler sous une énorme armoire, mais ne faisait que tordre ses ailes.
-Alexane tes ailes ! S'exclama Harry
Sa fille ressortie la tête de sous le meuble en grognant, il s'épousseta tout en jetant un regard noir à son pere.
-Quoi mes ailes ?! Lyra et sous mon armoire et refuse de revenir !
-Que lui as-tu fais encore ?
-Mais rien ! Pourquoi on croit toujours que c'est moi qui fait que tout va mal dans cette maison ? Demanda la jeune fille outrée.
Harry se mit à siffler, et un sifflement lui répondit de sous le meuble, ils échangèrent ainsi quelques sifflements puis il se tourna vers Alexane, en tentant de garder son sérieux.
-Lyra dit que tu as voulu la changer de couleur et que tu t'es servi d'elle pour retrouver tes clefs sans même la remercier, elle est vexée. Accio Lyra.
Un serpent d'environ un mètre apparut, elle ne semblait pas du tout contente d'un tel traitement. Harry, laissa Alexane finir ses valises et se dirigea vers la porte au fond du couloire, la chambre d'Adrastée, cauchemars d'Encelade, il entra, la chambre était rouge vif, des vêtements traînés sur le sol, avec des livres, des parchemins, des plumes, les draps étaient jetés en boules sur le lit et sa fille pestait en cherchant sa deuxième chaussure. Sur le bureau des dessins, des esquisses, et des photos étaient posait en tas, une psyché dans un coin de la pièce était recouverte de tellement photos que sa fille devait avoir du mal à se regarder. Adrastée tenait un balai dans les mains, elle s'approcha d'Harry.
-Pa' tu ne veux pas m'aider à retrouver ma chaussure ? Et je ne veux pas rétrécire mon balai, ça pourrait l'abîmer !
-Ta deuxième chaussure et là, il claqua des doigts et une chaussure s'éleva dans les airs. Quant à ton balai tu n'es pas obligée de le rétrécir mais c'est toi qui le porteras.
-Merci pa' ! Elle lui sauta au cou et l'embrassa.
-Aller Ad' dépêche-toi, il ne faudrait pas que l'on soit en retard. Ajouta-t-il ironiquement, ta mère me tuerait !
Et il sortit sous les rires de sa fille. Il ne pouvait plus reculer, maintenant il était obligé d'y retourner, il se prit à regretter son choix.
Et voilà un nouveau chapitre j'espère qu'il vous à plut ! Terminée ! Alors les reviews c'est à gauche... Le tout petit bouton là ! Alors surtout n'hésitez pas... Surtout continuez ! Et laissez-moi des conseils, des critiques, enfin n'importe quoi... Du moment que c'est constructif, ça ne sert à rien de m'insulter...
Questions
Réactions
Suggestions
A bientôt, je répondrais à vos reviews, encore faut-il que j'en aie... Gros Bisous à tous ceux qui me lisent, et qui me laissent des reviews, c'est pour vous que je continue à écrire !
