Chapitre 6 : Le maître du feu

Au petit déjeuné, Hermione distribua les emplois du temps. Quand les ciquièmes années virent le leur, ils ne purent réprimer un grognement -Oh non ! on a double cours de potion ce matin et.en commun avec serpentard.commença Ron -Et on a double divination cette après midi ! Je vais encore mourir vingt fois dans la même journée ! -Mauvaise après midi ?interrogea Hermione. Moi j'ai deux heures avec le professeur Vector ! Dommage qu'on est Rogue dès le début de la journée ! Sur ce, elle sortit son livre d'Arithmancie pour commencer à revoir son cour. Elle allait dire quelque chose lorsqu'un hurlement de joie l'interrompit. C'était les jumeaux Weasley. -Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Harry -On commence par DCFM ! On va pouvoir en savoir plus sur ce dont on a parler hier. -Oh, la chance.répondit Harry d'un air morose, nous on a potions !

En effet, une demi heure plus tard, il se retrouvait devant le cachos qui servait de salle de classe à Severus Rogue. Malefoy venait d'arriver en se pavanant et lorsqu'il aperçut le trio, il entama une petite joute verbal qui n'avait rien de surprenante lorsqu'on connaissait Drago. -Alors Potter, t'es content ? Ton assassin est là pour te protéger du méchant Maître des Ténèbres ? -La ferme Malefoy ! -La ferme Potter ! lança Rogue d'une voix ferme. Assis ! Tout le monde ! Il balaya la classe de son regard et alla à son bureau, sa cape voletant dans son dos comme des ailes de chauve-souris. -Bien ! Vous allez commencer la préparation du Véritasérum que nous testerons sur l'un d'entre vous pour Halloween. Continua-t-il en lançant un regard haineux à Harry. En attendant, vous allez me prendre en note tous ces ingrédient que vous devrez avoir réunit pour la fin de l'année. Au boulot ! A ces mots il claqua des doigts et un trentaine de noms s'affichèrent au tableau. Les élèves se dépéchèrent de les prendre en note et attendirent que le Maître des Potions affiche la marche à suivre pour la potion suivante dont les ingrédient étaient déjà affichés. -Granger !rugit Rogue. Je pensais qu'une préfète aurait compris qu'il faut faire la potion sans l'aide du livre où de quelque instructions qu'il soit. -Mais je pensais que. -Ne contestez pas ! laissez cela à certaines racailles qui se trouve à côté de vous. Hermione lança un regard en biais à Harry qui foudroya le professeur Rogue du regard. -Potter, mettez vous au travail ! Sachez pour votre information que je parlais de vous bien entendu. Vous êtes comme votre père, bien trop orgueilleux pour admettre que vous avez tort. Votre parrain aussi est comme ça. Il a toujours raison ! Un petit ange brun qui avait tout Poudlard à ses pieds ! Si je ne vous avait jamais vu, j'aurais pu croire que vous êtes de la même famille. -Laissez Sirius en dehors de tout ça.grommela Harry -Que dites vous Potter ? Vous me tenez tête ? Nous verrons cela plus tard, vous resterez après le cour. Harry jugea préférable de se taire, car pour l'instant il n'avait pas encore fait perdre de point à Gryffondor. Le reste du cour se passa donc le plus normalement du monde. Rogue passa son temps à retirer des points aux Gryffondor. Neville en fit perdre 20 car sa potion était trop épaisse et Hermione 5 car elle était trop réussie (Rogue avançait qu'elle avait triché car elle procédait exactement comme c'était écrit dans le livre de cour). A midi, tout le monde partit, et Harry resta seul dans la salle avec la personne qu'il détestait le plus à Poudlard (hormis peut être Drago Malefoy). -Alors Potter, on fait moins le fier sans ses camarades ? -Je ne fait pas le fier. -Oh que si. D'ailleurs, vous faites tellement le fier que vous ne vous en rendez plus compte. Je ne vais pas vous mettre en colle cette fois-ci, mais a la moindre remarque, ce ne sera pas une heure, ni deux heures mais cinq heures de colle que vous aurez ! C'est clair ? -Je peux partir ? s'impatienta le jeune homme. -Allez y, cinq points de moins à Gryffondor pour votre insolence.

-Cette année, nous allons étudier les signes du destin commença Trelawney. C'est une des formes les plus anciennes de la divination contemporaine d'avant 1592. Harry réprima un éclat de rire. La phrase de son professeur ne voulait tout bonnement rien dire. -avant de commencer, nous allons juste faire un peu d'histoire. Miss Patil, voudriez vous m'apporter le Strombinoscope qui se trouve derrière vous ? Merci. Donc, en 1592, comme vous le savez, Christophe Colomb a découvert l'Amérique.Qu'y a-t-il Monsieur Potter ? Harry venait d'éclater de rire en entendant l'absurdité de son professeur. Colomb était mort depuis longtemps en 1592 ! -Rien professeur, il me semble juste que Christophe Colomb à découvert l'Amérique en 1492. -Aucune importance. Toujours est il que pour savoir si son destin était bien ou pas, il fait appel à une diseuse de bonne aventure qui lui a predit son avenir en décryptant son visage. Et c'est ce que nous allons commencer aujourd'hui. Mettez vous deux par deux et ouvrez vos livre à la page 7. Maintenant commencer à décrypter le visage de votre partenaire.

Ron ouvrit son livre et commença à scruter le visage de Harry. -Tu à les yeux vert, ça veut dire que tu vas subir de grand malheur. Je suis désolé pour toi. Mais tu as aussi les oreilles asymétrique, donc ça veux dire que tu seras comblé. Je comprend pas, on peut être comblé et subir des malheurs ? -Oh non, regarde, j'ai deux mains et deux pieds, ça veut dire que je suis normalement constitué ! Harry et Ron partirent dans un fou rire incontrôlable. Trelawney qui les entendit prit un air affolé et dit d'un air tragique : -Oh mon pauvre petit, ne rigolez pas avec les signes du destins ! Vous avez quelque chose sur le front, là, dit-elle en pointant sa cicatrice. -Evidemment, vous savez bien que Volde. -Et sa position.Oh non.Je n'ose pas le dire.Ce serait tragique ! continua-t- elle sur un air mélodramatique. -Qu'est-ce qui sera tragique madame ? demanda Seamus d'un air amusé. -Ce pauvre garçon va mourir dans deux mois à peine.Oh mon dieu, je ne peux pas continuer. La leçon est terminée !

Dans la Salle commune, Harry et Ron se moquait encore de Trelawney. Hermione qui venait de finir son cour d'Arithmancie leur demanda pourquoi ils riaient tellement, et quand ils commencèrent à lui expliquer, elle soupira d'un air qui voulait dire « cette-vielle-chouette-elle-changera- jamais » et partit à la bibliothèque avant d'aller manger. A l'heure du dîner, les jumeaux Weasley arrivèrent avec un sourire jusqu'au oreilles. Ils félicitèrent Harry qui ne comprit pas pourquoi. -Fantastique ! Ton parrain est génial ! Il fait vraiment des super cours ! -Vous avez fait quoi ?demanda Hermione avide de connaître le programme de septième année. -Pas grand chose qui te plaira.On lui a posé des questions et on a commencer à faire une sorte de truc bizarre.Le Patronus où un truc comme ça.C'est vachement dur ! Je suis sûre que même toit tu n'y arrivera pas du premier coup Hermione. Harry réprima un sourire. Il maitrisait parfaitement le maléfice du Patronus depuis sa troisième année, et quand à Hermione elle avait déjà eu l'occasion d'en faire un le jour de l'évasion de Sirius (toujours en troisième année) et n'avait pas réussit. Il jeta un coup d'?il à son parrain, il n'avait pas encore été le voir depuis la veille. Il était assis à la place de Hagrid, à l'opposée de Rogue (il avait formellement refusé de s'asseoir à côté de ce « déchet aux cheveux gras »). Il discutait avec Lupin qui riait aux éclats. Il ne manquait que deux personnes pour parfaire ce tableau : ses parents. Ils auraient été heureux de venir à Poudlard eux aussi. Les Maraudeurs auraient été au complet. Bien qu'il n'y ait pas eu Pettigrow, mais lui il s'en moquait, tout comme Sirius. Rémus était déçu en ce qui concernait son ancien ami. Il l'avait toujours encouragé à se battre, mais pas contre ses amis.

Le reste de la semaine se passa très lentement. Harry était tellement pressé d'avoir cour avec Sirius qu'il aurait pu compter les centièmes de secondes qui s'écoulaient tellement le temps semblait s'être ralenti. Les cours le séparant de celui de DCFM était intéressant mais survolait l'esprit de Harry. Il travaillait sans trop d'attention, et il ne fit même pas attention au professeur McGonagall qui leur demandait de commencer à réviser pour leurs B.U.S.E.S à la fin de l'année. Le mercredi matin, il se leva plus tôt que d'habitude pour s'entraîner à sa transformation Animagus. Il n'avait pas trop avancé, mais il pensait qu'il pouvait maîtriser quelques éléments de sa transformation. Avant d'aller manger, il courut à la volière, griffonna un mot à l'adresse de son parrain, et au lieu de signer de son prénom il signa d'une patte de félin assez imposante. Il se dépêcha de revenir à la salle commune pour s'habiller, et descendit finalement prendre son petit déjeuner, u sourire malicieux au coin des lèvres. -Qu'est-ce qu'il y a ? s'impatienta Hermione, Tu vas nous dire pourquoi tu souris comme ça depuis ce matin ? -Tu le sauras bien assez tôt. Ron et Hermione semblaient déboussolé. D'habitude, Harry leur disait tout où presque, mais là. Quelques minutes plus tard, la Grande Salle, qui arborait ce jour la un plafond d'un bleu éclatant parsemé de nuage blanc comme la neige, se remplit de centaines de hiboux. Harry aperçut Hedwige, sa chouette, qui se dirigea vers Sirius, lâcha une lettre devant celui-ci et revint se poser près de Harry. Sirius détacha la lettre, la lut rapidement, la montra à Remus et sourit. Harry lui sourit en retour et Ron s'énerva : -Bon qu'est-ce qu'il y à la fin ! Ca devient lourd ton petit jeu, là ! Pourquoi tu souris comme ça ? On a avancer ton anniversaire ? -Bien sûr que non, Ron ! Dépêchez vous de manger, faut que je vous montre quelque chose. Le trio engloutit son petit déjeuner et quitta rapidement la table. Harry se dirigea vers la salle de DCFM qui était ouverte, et attira Ron et Hermione dans un coin. -Regardez !chuchota-t-il et sur ce, il se concentra un instant, ferma les yeux, serra la main droite et, un moment plus tard, rouvrit les yeux et tendit son bras droit en avant. -Voilà pourquoi je suis content ! Le spectacle auquel assistait Hermione et Ron était quelque peu insolite : il se tenait devant un Harry tout ce qu'il y avait de plus normal sauf qu'a la place de sa main droite on pouvait voir une patte de lion un peu plus grosse que la normale. -Harry !Mais comment ? s'étonna Hermione d'une voix pointu -C'est une blague des jumeaux expliqua Ron d'un air sérieux. Il m'avait dit qu'il voulait faire un truc comme ça. Pas vrai Harry ? -Ben non.C'est.euh.naturel !répondit Harry en souriant et en prenant un air mystérieux. A ce moment là, Ron toujours perplexe, ne comprit pas pourquoi Hermione sauta au cou de Harry en disant « oh harry ! c'est fantastique ! bravo !» -Je suis en train de devenir animagus ! expliqua Harry à Ron. Celui-ci acquiesça. Il avait un air renfrognait comme si quelque chose le dérangeait. Harry pensa que la dernière fois qu'il l'avait vu faire cette tête là, c'était quand Hermione avait été au bal de Noël avec Viktor Krum, l'année précédente. Il profita de ce qu'Hermione rejoigne le couloir pour aller attendre sagement le début du cours pour attraper Ron par le bras et lui glisser à l'oreille. -Il n'y a rien entre Hermione et moi, tu le sais très bien. Dès ce moment là, il redevint plus chaleureux avec ses amis. Lorsque Sirius fit son arrivée, il arborait le même sourire qu'au petit déjeuner. Il fit entrer les élèves dans la classe et commença : -Salut tout le monde ! Bienvenue en DCFM ! Inutile de sortir vos livres, vous n'en aurez pas beaucoup besoin cette année, je vous dirai quand les apporter. Pour commencer et pour que les choses soient bien claires entre nous, vous êtes autorisés à me poser toutes les questions que vous voulez, les plus bêtes et les plus osées, dans tout les domaines que vous voudrez ! A ces mots, Hermione eut un air effaré ! On pouvait lui poser des questions osées ! Mais on était en cours, on était la pour travailler pas pour parler de. . Ron avait l'air amusé car il venait de comprendre pourquoi les jumeaux avaient dit que Sirius était un prof génial, et quand à Harry, il souriait car il pensait que son parrain était en train de redevenir l'adolescent qu'il était à quinze ans, avec quelques rides en plus et un passé tragique derrière lui. Voyant que personne ne posait de questions, Sirius reprit : -Bien ! Dumbledore m'a demander d'adapter le programme aux temps qui courent, donc nous allons commencer par étudier le moyen de se défendre contre des sorts ou des créatures que pourrait utiliser Voldemort pour nous attaquer. A l'entente du nom de Voldemort, toute la classe sauf Harry frémit et Sirius continua : -La peur d'un nom ne fait que renforcer la peur de la chose elle même, jeunes gens. Essayez de prononcer son nom de temps en temps. Mais ce n'est pas la leçon d'aujourd'hui. Je suppose que vous vous souvenez de ce qu'il s'est passé deux ans auparavant ? Des détraqueurs avaient été amenés pour protéger Poudlard. Ce qui était complètement idiot car je ne voulais tuer aucun d'entre vous ! Enfin bref, il faut que vous sachiez que les détraqueurs sont des anciens alliés de Voldemort. Et à votre avis, que risquent-ils de faire ? Harry, Ron et Hermione levèrent la main. Ils avaient entendu Dumbledore le dire à Fudge après la triste troisième tache du tournois des trois sorciers. -Ils risquent de rejoindre Vvv.Vol.Vous Savez Qui. répondit Hermione -Tout à fait ! cinq point pour Gryffondor pour ta réponse et cinq autre pour avoir essayer de prononcer le nom de Voldemort. Et c'est donc pour cela que nous allons apprendre à nous défendre contre eux. Qui peut me dire comment on peut faire ? Cette fois ci, seule Hermione et Harry levèrent la main. Comme Hermione avait déjà répondu, il jeta son dévolu sur Harry. -Le sortilège du Patronus. -Cinq point de plus à Gryffondor. Le sortilège du Patronus. Il est très difficile à réaliser. Je ne m'attends pas à ce que beaucoup d'entre vous parvienne à le faire. Mais il faut quand même essayer. C'est un sortilège qui consiste en la création d'un concentré de joie qui attaque le Détraqueur. Pour le réaliser, il faut se concentrer sur un événement très joyeux et prononcer la formule spero patronum. Répétez après moi :Spero patronum -Spero Patronum ! Ensuite les élèves se concentrèrent sur un événement particulièrement heureux. Harry décida de prendre le moment où Cornélius Fudge avait déclarer que Sirius était innocent. Cela ne lui prit pas très longtemps, et il put alors s'amuser à regarder la tête que faisait les autres élèves. Certains, comme Neville paraissaient désemparés et ne savait pas quoi choisir. Dix minutes plus tard, Sirius déclara qu'il allait les appeler un a un pour qu'ils essayent de lancer le sortilège. -Hermione ! La jeune fille s'avança et prononça la formule. A l'étonnement de tout le monde, sauf de Harry, la jeune fille ne parvint à produire qu'une étincelle d'argent qui la vida de ses forces. -Attendez, coupa Sirius, est-ce que certains d'entre vous savent à quoi ressemble un patronus ?.C'est tout ? Juste Harry ? Bon, et bien je vais vous en montrer un ! Spero Patronum ! Un homme qui être un peu plus petit que Sirius sortit de la baguette. Il était impossible de deviner de quelle couleur étaient ses yeux ou ses vêtements, mais en voyant ses cheveux en bataille, Harry comprit très bien de qui il s'agissait : son père. Il sourit à Sirius et se demanda pourquoi cette même personne n'apparaissait pas sous sa forme humaine quand Harry faisait appel au sortilège du Patronus. Le cour continua et les élèves se succédait un à un, sans arriver à produire plus qu'une gerbe d'étincelles. -Harry ! s'exclama Sirius. Harry avança au milieu de la classe, sourit à son parrain dit d'un ton determiné: -Spero Patronum ! Un cerf argenté sortit de sa baguette et fit face à Harry. Il lui donna une petite caresse sur l'encolure et le fit disparaître. -20 points à Gryffondor ! lança Sirius. Harry, tu resteras me voir après le cour s'il te plait. Tout le reste se passa très vite. C'était la deuxième fois depuis le début de la semaine qu'il restait après un cour. Quand ils furent seul (ils ne savaient pas que Ron et Hermione écoutaient derrière la porte) Sirius lui dit : -bon, tout d'abord, on dirait que ton travail à bien avancé, n'est-ce pas ? -mon travail ? -ta transfomartion. -oh ça.Oui ben j'essaie de m'entrainer un peu tout les jours. Ce matin j'ai réussi un peu, regarde. Et a nouveau, sa main se transforma en patte de félin. -Magnifique. tu te transforme en Lion ? -Non. -en tigre ? -Non plus -En puma ? en jaguar ? en panthère ? -non. -Mais quel autre félin ça peut être ? -Ben je connais pas son nom.C'est un félin c'est sûr.mais je sais pas comment il s'appelle. -T'as qu'a aller faire un tour chez Mme Pince ! tu me diras ce que c'est quand t'arriveras a te transformer. -Pas de problème. -Sinon, qui t'as apprit à faire le Patronus ? -Tu le sais pas ? Réfléchis, c'était en troisième année. C'est comme ça que je nous est sauver la vie le jour où on s'est rencontré. -Rémus ? -Ouais.Les Détraqueurs m'avaient fait tomber de mon balai pendant un match (d'ailleurs tu y étais toi aussi) et après j'ai demander à Rémus de m'apprendre à me défendre contre eux. -Oh je vois. Bon vas-y, je crois que McGonagall voulait te parler après le cour. -D'accord. Et au fait Sirius ? -Oui. -Comment ça ce fait que mon patronus ait la forme de Cornedrue et le tien celui de mon père ? -Les patronus sont uniques Harry. Il est assez rare que deux personnes aient le même. Sauf quand il s'agit de couple de Sorcier. Comme j'ai connu James avant toi, j'ai eu la forme humaine et comme tu l'as « connu » après et que tu lui ressemble beaucoup, tu as eu la forme de l'animagus. Ca aurait été un peu orgueilleux d'avoir son propre reflet comme Patronus, non ? -Oui, en effet.Je vais y aller. Je pense que McGonagall n'apréciera pas mon retard, mais elle commence à avoir l'habitude je pense.

A ces mots, Harry partit en courant en direction de l'étage inférieur où se trouvait le bureau de la sous-directrice. Une fois devant la porte, il frappa trois coups et la professeur l'invita à entrer. -Je crois que vous m'avez demander de venir. -Oui, c'est au sujet des sélections de l'équipe de Quidditch. Elle auront lieu dans trois jours. J'espère que vous avez une idée pour trouver un nouveau gardien. -Oui professeur. Je pensais organiser une sorte de tournois où on jugerai les prétendant au poste sur trois points qui seraient l'aisance au vol, l'arrêt sans cognard et l'arrêt avec des cognards. Il me faudrait aussi un jury avec vous si vous pouvez être présente et je compte contacter Dubois s'il est libre. -Très bien. Je serais là, ne vous en faites pas. Et je vais me charger de contacter Dubois. Les sélections auront lieu samedi à 15heures précises. D'accord ? -Pas de problème professeur. Je vais demander aux autres Gryffondor de s'inscrire s'ils veulent être dans l'équipe. Au revoir. Sur ce, il partit. L'après midi se passa très rapidement. Il réfléchissait à son discours pour l'ouverture des sélections pendant le cour d'Histoire de la magie. Une fois celui-ci terminé, il se laissa aller à un état de somnolence dans lequel tous les élèves à part Hermione étaient plongés.

bonjour. On se connaît n'est-ce pas ? Je m'appelle Terry Hapo. Ca peut te paraître bizarre, mais je suis le lien. Regarde : « Mon Dieu que faites vous dans cette époque ? demanda Dumbledore. Je pense savoir de qui vous êtes le fils.Il vaut mieux que je change votre apparence. Désormais vous êtes Terry Hapo. » « -C'est bizarre chuchota James Potter. Tu vois le nouveau là-bas. Je sais pas pourquoi, mais je sens qu'il a un bon fond. Je suis sûr qu'il va aller à Gryffondor. » « Tu trouves pas que Terry est bizarre ?demanda Lily Evans à sa meilleur amie Jessica Kensiton. -Si un peu. Pourquoi ? -J'ai l'impression qu'il cache quelque chose. Il est ici depuis trois jours et il ne s'est pas perdu une seule fois dans les couloirs. Et il a toujours cet air nostalgique quand il est avec ces crétins de Maraudeurs. » Alors tu vois.Je te re-contacterais, mais tu comprendra. Je suis le lien, Harry. Le lien.

«T'endors pas ! » C'était la voix d'Hermione. Il lui fallut du temps avant de réaliser qu'il se trouvait en cours d'Histoire de la Magie. Il venait d'avoir une étrange série de flash. A en juger par les gens qu'il avait vu, ça s'était passé en 1975 ou par là. Une chose est sûr, c'est que pour la première fois de sa vie, il avait vu comment étaient ses parents à son age. Harry jugea préférable de ne rien dire à propos de ses visions. Après tout, il ne risquais pas grand chose, ce n'était qu'un rêve. Et comme tout les rêves les détails lui échappait petit à petit, mais il y en avait qu'il revoyait clairement : son père et sa mère. Et aussi cette voix, celle de Terry Hapo qui disais qu'il était le lien. Mais quel lien ? Le reste de la journée se passa très vite. Harry réfléchis au sens de son rêve, et avant de monter se coucher, il fit une annonce dans la salle commune. « S'il vous plaît. en tant que Capitaine de l'Equipe de Quidditch, je voudrais informer les postulants à la place de gardien de bien vouloir s'inscrire. Les sélections auront lieu samedi à quinze heures précises, mais je vous conseille d'arriver un peu avant au terrain de Quidditch. Vous serez jugés sur trois épreuves, mais je vous expliquerais tout ça plus tard. Je vais laisser la liste ici, vous n'aurez qu'a y inscrire votre nom. Et encore une chose : les premières années ne sont pas autorisés à concourir.Merci. » Toutes les personnes présentes dans la salle (c'est à dire quasiment tous les Gryffondor) applaudir. Prétextant qu'il était fatigué, ce qui n'était pas totalement faux, Harry monta dans son dortoir et à peine en pyjama, s'endormi.

Les flammes.Un cercle incandescent produisant une intense lumière jaune orangée. Lui, en face. Ses mains squelettiques telles des pattes d'araignées blafardes, ses narines et ses yeux de serpents, son rire. Un rire froid, sans joie, reconnaissable entre mille : le rire de Lord Voldemort. « Tiens, tiens, tiens. Voila mon adversaire préféré. Attends ? Ai-je dis adversaire ? Je voulais plutôt dire ma chiffe-molle préférée.Comment vas-tu Potter ? L'endroit vous plait-il ? Il ne fait pas trop chaud ? -Qu'est-ce que vous me voulez ? vous allez encore essayer de me tuer ? Ca devient lassant à la fin. -On s'habitue à la douleur, mon petit ? Je suis juste venu pour te prévenir : rends toi où meurt. Tu choisis. C'est mon jour de bonté Potter. -Je ne vous rejoindrais jamais ! Pour tout l'or du monde je ne le ferais pas. Qu'est-ce que j'aurais à y gagné ? Le droit du tuer mes amis ? La déchéance ? La déceptions de ceux pour qui je compte ? -Non,non,non Potter. Décidément tu ne comprends jamais rien. Ca doit être de famille. Ton crétin de père n'a pas voulu comprendre, lui aussi. D'ailleurs aucun de ceux qu'il comptait parmi ses amis n'a voulu le faire. Sauf Queudver. C'était le plus sensés de ces quatre crétins. -Ne me comparez pas à Queudver ! -Si ça te fait plaisir. En tout cas, je n'ai pas que ça à faire, nous nous reverrons plus tard, Potter. Souviens-toi, ce n'est qu'un avertissement, juste un avertissement : Endoloris ! »