Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JRK ou Silverfox, sauf la traduction.

Alors y'en a beaucoup qui participe à la PAMT, j'espère. Sinon Dod va venir vous tirer les oreilles.

Dod : et vous botter le derrière. D'ailleurs, Dod a toujours son dictionnaire mode 10 000 pages à porté de main. On vous aura prévenu, ne venez pas portez plaine par la suite pour maltraitance envers povres-lecteurs-qui-n'ont-pas-laissé-de-reviews. Les vilains pas bo qui ne sont pas gentils. BOOOUUUUUUUU.

J'ai même pas un dico de 10000 pages (il en fait qu'un peu plus de 2000 au grand max) il doit faire très mal (j'ai bien une quinzaine d'encyclopédies...)

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Chapitre 17 : Une grande décision

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Severus fixait avec colère sa grenouille. L'animal refusait simplement de se transformer en rose et il n'y avait plus que deux mois restant avant les OWLs.

McGonagall était passée à côté de lui déjà plusieurs fois, mais n'avait pas commenté sa grenouille inchangée. Il se demandait à quoi elle pensait.

Le seul côté positif était que la grenouille n'était pas encore devenue verte. Mais elle était déjà verte au commencement donc peut-être qu'elle était devenue verte mais que le changement n'était pas visible.

« Allez, essayes ! » l'encouragea Draco. « Les roses sont aussi vivantes que des grenouilles. Tu ne vas pas la tuer. »

« Les roses ne me semblent pas très vivantes. Je parie qu'il aime mieux être une grenouille. Au moins il peut sauter et il ne pourrit pas sur le sol. »

Draco soupira. Severus et la métamorphose n'allaient jamais fonctionner. Même Professeur McGonagall semble l'avoir abandonné.

Severus tapa gentiment la grenouille avec sa baguette.

« Quack ! » cria la grenouille en réponse.

« Est-ce que tu veux être une rose ? »

« Quack ! »

« Tu vois ! Il aime être une grenouille. »

« Severus, cette grenouille n'a aucune idée de ce dont tu viens de parler. Il ne parle pas l'anglais. »

Soudainement il y eut un coup sur la porte et Albus Dumbledore entra radiant de bonheur d'une façon dont même Severus avait rarement vu auparavant.

« Est-ce que Voldemort est mort ? » se demanda-t-il. « Qu'est ce qui pourrait le rendre si heureux ? »

« Peut être que Mary Sue vient de lui dire qu'elle partait. » Suggéra Draco plein d'espoir.

« Il ne serait pas heureux à ça. Il n'aurait toujours pas de remplaçant. »

Draco ne répondit pas. Remplacer Mary Sue était un sujet délicat puisque Lucius avait pratiquement accepté le travail. Cela avait été sa propre lettre à propos d'Hermione qui avait enclenché ça. Lucius avait été si choqué par la pensée que son fils soit amoureux d'une mudblood qu'il avait considéré le humble job d'enseignant pour garder un œil sur lui. Par chance les nouvelles de Draco embrassant Ginny étaient arrivées à temps et il avait décidé que ce n'était pas pire qu'une humiliation de travailler là après tout.

« Severus, peux-tu venir à mon bureau pendant un moment ? Nous avons besoin de parler. » dit Dumbledore toujours rayonnant.

Maintenant Severus était vraiment confus. Qu'est-ce que cela avait avoir avec lui ? Qu'est-ce qui était assez important pour que Dumbledore vienne le chercher pendant une leçon de métamorphose. 

Il se leva, prit son sac et ses livres et suivit le directeur.

« Albus ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal cette fois ? » demanda-t-il prudemment. « Je ne me rappelle pas d'une mauvaise farce en particulier que j'ai faite cette semaine. Et bien, il y en a une, mais je suis sûr que Mary Sue n'a pas idée que cela provenait de moi. »

« Tu n'as rien fait de mal, Severus. » sourit Dumbledore. « J'ai quelques nouvelles pour toi. De bonnes nouvelles. »

« Mary Sue s'est suicidée ? »

« Non, de meilleurs nouvelles que ça. »

« Qu'est-ce qui peux être mieux que ça ? »

« J'ai reçu une lettre de Durmstrang. Une lettre très compliquée et détaillée que je ne comprends pas dans sa totalité, mais je suis sûr que tu vas la trouver des plus fascinante. »

« Vous voulez que je vous explique une lettre ? » demanda Severus confus alors qu'ils entraient dans le bureau de Severus.

« Oh, non, je suis très satisfait sur la partie que j'ai comprise et avec le paquet qui est venu avec. » sourit Dumbledore.

« Paquet ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui est dans le paquet ? »

« Ton antidote. Ils m'ont assuré qu'il était sans danger, malgré qu'il ne soit pas vraiment sûr de la dose exacte qui doit être administrée comme nous n'avons aucun moyen de savoir comment la potion de Neville était concentrée. Tu pourrais être plus jeune que tu ne l'étais avant, mais cela ne fera pas beaucoup de différence. »

Severus fixa Dumbledore. C'était supposé le rendre heureux. C'était ce qu'il avait toujours voulu. Il avait été si près du désespoir lorsqu'il avait abandonné ses propres expériences, parce qu'il avait été incapable de mettre la main sur les ingrédients nécessaires.

Mais tout ce qu'il ressentait était du choc et de la confusion. Severus s'assit dans la chaise opposée au bureau d'Albus essayant de trouver une pensée cohérente.

« Severus ? » demanda Dumbledore gentiment.

Il ne s'était visiblement pas attendu à ce type de réaction. Severus cependant n'avait eut aucun temps pour gérer ce que Albus espérait de lui. Il devait définir ses propres pensées et sentiments.

« Severus ? » demanda à nouveau Dumbledore semblant un peu inquiet.

« Comment ont-ils fait ça ? Vous disiez que c'était impossible et ce que j'ai trouvé ne semblait pas bon. »

Il avait besoin de temps pour digérer ça. Peut-être que des informations techniques l'aideraient.

« C'est cette partie de la lettre que je ne comprends pas. » confessa le directeur. « Tiens, lis par toi-même. »

Severus relut la lettre plusieurs fois. Albus le regarda avec inquiétude.

« Si je prends cette potion je vais redevenir exactement comme j'étais avant ? »

« Et bien, comme je l'ai dit avant, et tu l'as également lu dans cette lettre, nos amis de Durmstrang ne sont pas sûr de la concentration requise. Ils nous assurent cependant que ça ne peut pas te faire plus vieux que tu le devrais. » dit Albus se demandant encore quel était le problème.

Severus fixa la potion pendant un moment. Il ne l'avait toujours pas touchée comme s'il avait peur qu'elle puisse le blesser.

« Et la marque des ténèbres ? » demanda-t-il soudainement.

« La marque des ténèbres ? »

« Est-ce que la marque reviendra ? Parce que si elle le fait je ne suis pas sûr de vouloir ça. »

Etait-ce la vérité ? Oui, il ne voulait pas retrouver la marque des ténèbres et il n'était pas sûr non plus de vouloir prendre cette potion. Mais ses sentiments étaient-ils connectés ? Qu'est-ce que c'était qu'il ne voulait pas ? Severus avait besoin de plus de temps pour comprendre ça.

« Severus, cette marque est seulement une image. Elle est très laide, mais ce n'est pas une raison pour abandonner ta vie. Tu as la chance de revenir là où tu devrais être. Prends-la. »

« Ce n'est pas une simple image, Albus. Cela représente le mal, et les pires choses que j'ai faites durant ma vie. Elle est un rappel constant d'erreurs terribles que j'ai faites. J'ai toujours voulu m'en débarrasser et maintenant mon souhait a été exaucé. Je ne peux pas le balancer comme ça. »

« Mais cela marche aussi dans l'autre sens, vois-tu ? Cela représente également notre combat contre ces choses. Cela représente tout ce que tu as fait contre Voldemort et ses mignons. Et elle est aussi supposée te rappeler où tu appartiens vraiment. Un rappel de ces choses que tu as surmonté. Tu étais plus fort avec ça. Vois-le comme ça et cela devient une marque d'honneur. Tout ce que cela représente est simplement la façon dont tu la vois. Comme tous les symboles, cela prend la signification de nos esprits. »

« Donnez-moi un peu de temps pour y penser. J'ai besoin de parler à Draco. »

C'était ça ! Draco. Il ne pouvait pas simplement l'abandonner, mais ils avaient été également d'accord sur le fait qu'il devait revenir pour se débarrasser de Mary Sue.

« Je vous le dirais plus tard, Albus. Ce n'est pas un choix facile. »

Dumbledore acquiesça. Peut-être que Severus avait été un garçon pendant trop longtemps. Il s'était trop adapté à son autre vie, avait fait des projets et s'était fait des amis. Albus comprenait qu'il n'était pas facile d'abandonner tout ça. Il espérait simplement que Severus comprendrait où il appartenait vraiment.

Severus quitta le bureau du directeur, mais ne revint pas en classe. Il alla dans son dortoir et s'assit sur son lit fixant quelques dessins que lui et Draco avait accroché aux murs au dégoût de Blaise.

Ce n'était pas simplement un choix entre être un professeur adulte et être un élève. C'était un choix entre être avec son vieil ami, ou son nouvel ami.

Albus, il avait du l'admettre, ne pouvait pas se reposer sur le garçon comme il le pouvait avec l'adulte. Il n'était pas sûr de comment traiter Severus et son ami lui manquait. Le directeur aimait beaucoup être autour d'enfants mais il avait aussi besoin d'amis adultes dont leurs forces pouvaient l'aidé,  Dumbledore aimait le Severus garçon mais il ne pouvait pas se reposer sur lui et il se sentait exclu de sa vie. Et il avait besoin de son aide pour combattre Voldemort.

Draco respectait Snape en tant qu'enseignant mais il ne se confierait pas comme il l'avait fait avec son ami Severus. Un ami était ce dont Draco avait le plus besoin dans sa vie. Il avait vu combien cela avait déjà changé le garçon. Si Draco, contrairement à Severus, grandissait avec un vrai ami sur qui il pouvait compter, quelqu'un vers qui il pourrait se tourner et confesser ses vrais sentiments, il ne deviendrait pas un Death-Eater. Draco avait aussi besoin de Severus pour combattre Voldemort. Simplement d'une façon différente.

Qu'est-ce qui est le plus important ? D'aider à sauver le monde entier ou de sauver une seule âme ? Ce n'était pas un problème mathématique. Les problèmes de mathématique pouvaient être facilement résolus.

Lequel de ses amis avait le plus besoin de lui ?

Tous les deux et il ne pouvait laisser tomber aucun d'eux, mais Albus avait besoin d'un adulte, Draco comme un garçon.

Severus se leva et alla chercher Greenie. Le hérisson leva ses petits yeux verts sombres vers lui.

« Sniff ? »

Severus le souleva avec les deux mains pour lui faire face.

« Qu'est-ce que je dois faire Greenie ? » demanda-t-il au petit animal. « Qui dois-je choisir lorsque je ne peux pas du tout choisir ? »

« Sniff ! » dit Greenie. 'Lorsque j'ai le choix entre une patate et un cafard, je mange les deux.'

Severus revint vers son lit avec le hérisson dans les bras. Il installa Greenie sur son lit à côté de lui qui renifla les alentours sur la couverture cherchant de la nourriture qui n'était pas là.

Greenie n'était définitivement pas la bonne personne à demander des conseils. Qu'est-ce que le hérisson savait à propos d'amitié humaine et de seigneur des ténèbres ? Comment Greenie pouvait-il comprendre ? Et comment Greenie pouvait-il lui donner une réponse ? Tout ce qu'il pouvait dire était 'Sniff'.

Mais vers qui d'autres pouvait-il se tourner ? Qui l'écouterait et lui donnerait des conseils ?

Normalement, il se tournerait vers Albus, mais cette fois il savait ce qu'Albus voulait et il ne prendrait certainement pas les besoins de Draco en considération.

Il avait besoin d'un adulte qui n'avait rien à perdre ou à gagner par sa décision. Quelqu'un qui le comprendrait et qui se ficherait de sa décision.

Où pouvait-il trouver quelqu'un qui était suffisamment ami pour lui prêter l'oreille et qui serait de bon conseil pour se reposer sur sa décision.

Severus sauta et attrapa le hérisson.

« Allez Greenie. Nous allons voir Remus. »

« Sniff ? » Greenie n'était pas habitué à être posé et soulevé aussi rapidement.

Severus ne s'occupa pas de la confusion du hérisson cependant. Il avait des problèmes plus importants en tête.

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Remus avait fini ses classes de la matinée et était sur le point d'aller dans la grande salle pour le déjeuner lorsque Severus apparut dans son bureau.

« Salut, partenaire ! » l'accueillit-il avec bonheur.

« Hi » murmura Severus.

Severus regarda le garçon de plus près. Il semblait très malheureux.

« Qu'est-ce qui ne va pas ? J'ai entendu des rumeurs comme quoi on avait trouvé un moyen de te retransformer. Ce n'est pas vrai ? »

« Oh si, elles le sont. »

« Alors quel est le problème ? »

« Remus, Je… Je ne suis pas sûr de le vouloir. »

« Vouloir quoi ? Etre retransformé ? »

Severus hocha la tête abattue serrant toujours Greenie. De la façon dont il tenait le petit hérisson, cela devait faire mal.

« D'abord, rentres et assieds-toi. » ordonna Remus décidant que le déjeuner attendrait. 'Peut-être jusqu'au dîner ?'

Severus entra en traînant les pieds et s'assit tenant encore fermement son hérisson serré contre son torse.

« Pourquoi ne poses-tu pas Greenie sur mon bureau. » suggéra Remus. « J'ai un livre sur les vampires qu'il n'a pas encore goûté. Il aimerait peut-être le ronger un petit peu. »

A nouveau Severus obéit sans un mot. Greenie le renifla encore un peu confus, et se mit à explorer son nouvel environnement. Il avait déjà été là avant. Il se souvenait de l'endroit. Beaucoup d'objets avec une senteur intéressante, mais pas beaucoup de nourriture. Greenie avait faim. N'était-ce pas le déjeuner ? Quand Severus planifiait-il de le nourrir ?

« Sniff ! » 'Je veux mes patates !'

Cependant Severus et Remus ignorèrent tous deux le hérisson.

« Alors quel est le problème ? » demanda Remus. « Tu aimes être un enfant à nouveau ? Je pensais que tu avais détesté ça la première fois. »

« Je sais, mais cette fois c'est différent. J'ai Draco. Nous avons eut du temps de fun ensemble. Je déteste l'idée de le quitter. »

« Mais tu ne vas nulle part, n'est-ce pas ? Tu seras encore là ? »

« Oui mais pas de la façon dont je le suis maintenant. Draco a besoin de moi, Remus. Il est aussi seul que je l'étais avant. Et tu sais où cela m'a mené. Je ne veux pas que Draco finisse par faire les mêmes erreurs que moi. Il a assez souffert à cause de son père. Je pense que je pourrais l'aider si je suis simplement là pour lui. »

« Donc tu veux rester un garçon. Alors pourquoi ne vas-tu pas le dire à Albus ? Je suis sûr qu'il comprendra. Personne ne veut te forcer à redevenir un adulte. On pensait tous que c'était ce que tu voulais, et nous voulions essayer de t'aider. Si tu es sûr que ce n'est pas ce que tu veux, ne le fais pas, c'est ton choix. »

« Je ne suis pas sûr de ce que je veux. Je veux être l'ami de Draco, mais je veux aussi être celui d'Albus. »

« Albus ? Qu'est-ce que l'amitié d'Albus a à voir avec ton âge ? »

« Tout. Nous ne nous entendons pas très bien depuis que je suis à nouveau un garçon. Il ne semble pas savoir comment maîtriser la situation. Je sais qu'il me veut comme j'étais, de cette façon il me comprenait. Et il a aussi besoin de moi, Remus. Il a besoin de moi et il me donne une chance de réparer mes erreurs. Je lui dois tant. »

Remus fixa le garçon plongé, dans ses pensées.

« Tu sais, tu me dis ce que Draco veut et ce que Albus veut, mais qu'est ce que tu veux Severus ? Tous les autres ont un souhait. Qu'est-ce que tu voudrais si c'était simplement pour toi ? De quoi as-tu vraiment besoin ? »

Severus y pensa. Ce n'était pas vraiment difficile de répondre à la question, mais il ne voulait pas vraiment admettre cette réponse en face de quelqu'un. Spécialement pas à Remus. C'était personnel. Mais, il est venu ici pour résoudre un problème personnel. Remus ne pouvait pas l'aider avec ça s'il ne répondait pas à des questions personnelles. Severus fixa le sol.

« Des amis. » souffla-t-il.

« Quoi ? »

« Ce dont j'ai vraiment besoin sont mes amis. Et je ne peux pas choisir entre eux. J'ai besoin des deux. Albus me donne de la force. Il me fait me sentir sauf et protégé. Draco me fait rire. Il me fait sentir compris et accepté. J'ai besoin d'eux, Remus. J'ai besoin d'eux deux. »

Remus soupira. Ce n'était pas ce à quoi il s'attendait. Severus ne choisissait pas entre sa vieille vie et sa chance de prendre un nouveau départ. Il essayait de choisir entre son mentor à qui il devait la vie et le garçon dont la vie avait une chance d'être sauvé.

« On ne peut pas choisir entre des amis, Severus. Ce n'est pas bien. Moralement je veux dire. Tu dois trouver quelle vie tu veux vivre. Ne prends pas en compte les sentiments des autres pour ce choix. »

Severus continua de fixer le sol. Quelle vie voulait-il vivre ? Il ne savait pas. L'une offrait une chance d'être libéré de la marque des ténèbres, l'autre de l'utiliser pour sauver les autres d'elle.

Une chance de vivre son entière vie différemment et une chance de se débarrasser de Mary Sue.

« Il n'est pas si facile de ne pas penser à eux. Ils sont très importants pour moi. »

« Je sais. Prends ton temps pour y penser cependant. Je suis sur que tu trouveras un moyen. »

Severus soupira et quitta le bureau de Remus. Cela ne l'avait pas beaucoup aidé. 'Penses-y.' C'était ce qu'il avait fait avant.

Maintenant où devait-il aller ? C'était l'heure du déjeuner, mais il n'avait pas vraiment faim. S'il allait dans la grande salle et qu'il rencontrait Draco là, il devrait lui dire à propos de l'antidote. Draco voudrait connaître sa décision ainsi qu'Albus. Et il ne pouvait pas encore leur dire.

Non, parler à Draco devrait attendre. Il ferait mieux de rester hors de vue jusqu'à ce que les classes recommencent. Mais où trouverait-il un lieu que Draco ne chercherait pas ?

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Severus frappa sur la porte du bureau de Filch.

Pas de réaction. Bien sur que non. Il se souvint finalement que le gardien prenait son déjeuner dans la grande salle avec tous les autres.

Maintenant quoi ? Partir ? Non.

« Alohomora. »

La porte s'ouvrit facilement et Severus entra. Corvus leva les yeux et pencha sa tête vers lui. Il était en train de jouer avec des objets confisqués qu'il avait trouvés dans le tiroir qui pour une certaine raison avait été laissé ouvert et abandonna avec regret son jeu.

Severus marcha vers lui et offrit son bras à l'oiseau. Corvus sauta sur son épaule et commença à jouer avec ses cheveux montrant son affection.

Severus sourit. Cela devrait être tout le temps ça. Le corbeau sur un bras, le hérisson sur l'autre.

Corvus n'avait pas su quoi faire en premier de Greenie, mais il découvrit vite que les hérissons n'étaient pas mangeables. Greenie s'était simplement recroquevillé en une boule épineuse à chaque fois qu'il essayait. Un bec de corbeau n'était peut être pas sensible aux épines des hérissons mais ses pieds l'étaient. Corvus avait vite abandonné l'idée de jouer avec Greenie et l'ignorait en général sauf pour quelques habituels regards de jalousie. Pourquoi un hérisson pouvait-il être avec Severus alors que lui devait rester dans le bureau de Filch tout le temps ?

Filch arriva avec Mrs Norris sur ses talons pour découvrir la porte de son bureau ouverte et Severus jouant à l'intérieur avec son oiseau.

Mrs Norris donna un râle de colère à cette vue et se retourna pour sortir la queue haute.

« Oh, allons ma chérie. » essaya de la convaincre Filch. « Severus ne va pas te blesser. »

Mrs Norris l'ignora et partit. Comme si c'était à propos de ça. Severus envahissait sa maison. Le bureau de Filch lui appartenait après tout. Pourquoi Severus et son ami blond ne pouvaient-ils pas s'en souvenir proprement ?

Filch était habitué à l'humeur de son chat maintenant. Il la regarda partir en secouant sa tête puis ferma la porte derrière lui et reporta son attention sur Severus.

« Tu n'étais pas au déjeuner. » dit-il prétendant que cela ne l'affectait pas.

« Je ne le voulais pas. »

« Oh ? » Filch marcha vers l'une des tables et souleva un dossier au hasard.

« Albus a l'antidote. »

Filch s'assit à son bureau et ouvrit le dossier. Il le lit pendant un moment.

« Alors pourquoi es-tu encore un enfant ? N'as-tu pas de meilleures choses à faire ? »

« Je ne suis pas sûr. »

Filch tourna une autre page.

« Pas sûr sur quel propos ? »

« Je ne suis pas sûr si je dois être un garçon ou un adulte. »

« Un adulte, bien sûr. C'est mieux ainsi. Tu fais peur à tous ces petits gamins et tu n'as pas à être au lit à 10 h. Pas de OWLs non plus. » ajouta-t-il.

Severus se renfrogna. S'était-il plaint autant à propos des OWLs ?

« Mais je devrais laisser Draco. Il est mon ami et il serait seul sans moi. »

Filch repoussa le dossier pour avoir une position plus confortable sur son bureau.

« Pourquoi ? Est-ce que tu comptes aller quelque part ? Je pensais que tu travaillais là et que le garçon vivait là. Donc de quelle façon tu le quitterais ? »

« Je ne serai plus de son âge. Il a besoin de se confier à quelqu'un. Sinon il finira en un Death-Eater comme son père. »

Filch tourna une autre page.

« Pourquoi ne se confirait-il pas à un adulte ? Cela me semble plus sensible. »

« Les enfants ne sont pas sensibles. Ils ont besoin que leurs amis soient de leur âge. »

« Vraiment ? »

Severus soupira. Est-ce que des amis doivent être du même âge ? La question n'avait aucun sens… Ou bien ?

Filch leva finalement les yeux de son dossier.

« Severus, un adulte est ce que tu es supposé être. C'est là où tu appartiens. Tout ça fut un accident qui n'aurait jamais du arriver et maintenant il est temps de corriger l'erreur. »

Severus soupira encore et retira gentiment Corvus de son épaule.

« J'y penserai. » promit-il.

« Parle à Draco. Dis-lui que tu dois redevenir ce que tu es vraiment. Je pense qu'il comprendra. » lui conseilla Filch, retournant à son dossier.

« Très bien, je le ferai. » promit Severus.

Filch ne répondit pas et Severus quitta silencieusement le bureau du gardien et rechercha son ami.

Une fois que la porte fut fermée, Filch prit son dossier et le regarda de plus près. 'Les jumeaux Weasley. J'aurai du le savoir' Après tout la moitié des dossiers de son bureau étaient sur les jumeaux Weasley.

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Le déjeuner était terminé et il n'y avait plus que quelques traînards restant dans la grande salle. Draco n'était pas parmi eux. 

Severus décida d'aller voir dans la salle commune des Slytherins, puis dans leur dortoir, il vérifia même la salle de bain. Pas de Draco.

« Où peut-il être ? » demanda-t-il à Greenie.

« Sniff ? » répondit le hérisson. 'Qu'est-ce que nous cherchons ? Je n'ai eut aucun déjeuner.'

Severus décida que Greenie n'était pas la meilleure personne à qui demander et se tourna vers Vincent et Grégory lorsqu'il sortit. Ils étaient en train de jouer aux échecs dans la salle commune. Une tâche difficile. Vincent était l'un des pires joueurs que Severus avait rencontré, mais contre Grégory, il gagnait les mains dans les poches.

« Est-ce que vous avez une idée d'où est Draco, les gars ? »

Vincent bougea un pied exactement à la mauvaise place et leva les yeux.

« Il te cherche. »

Grégory était désespérément perplexe par rapport au plateau. Il aurait du prendre le pion. Vincent venait de bouger, mais visiblement cela ne lui était pas venu à l'esprit.

« Des idées d'où je pourrai chercher ? »

« Je pense qu'il a murmuré quelque chose à propos de McGonagall. » dit Vincent. « Allez Grégory, fais ton mouvement. »

Grégory cependant n'avait pas décidé ce qu'il devait faire. Severus quitta la salle commune en secouant la tête. Qu'est-ce qui les avaient possédé pour que ces deux-là jouent aux échecs parmi tout le reste ? Et bien, peut-être qu'ils avaient beaucoup de temps libre et rien à faire. Ce jeu leur prendrait certainement énormément de temps.

Lorsqu'il atteignit le bureau de McGonagall, il le trouva fermé. Minerva n'était visiblement pas là. Il considéra d'attendre son retour, mais il n'était pas là pour la voir et Draco serait probablement parti chercher ailleurs.

Severus décida d'essayer la bibliothèque. Il y passait habituellement beaucoup de temps après tout et c'était peut-être là que Draco était allé.

Il se détourna et marcha dans le couloir amenant à la librairie. En tournant le coin suivant, il rentra dans McGonagall qui le regarda de surprise.

« Severus ? Qu'est-ce que tu fais encore là ? Je pensais qu'Albus avait finalement trouvé l'antidote. »

« Non, Albus n'a rien TROUVE, mais oui, il a l'antidote. »

« Alors pourquoi es-tu encore là ? »

« Je recherche Draco. Tu ne l'aurais pas vu ? »

« Non, mais ce n'est pas ce que je veux dire. Pourquoi es-tu encore un garçon ? »

« Parce que j'ai besoin de parler à Draco et parce que je ne suis pas sur de vouloir le revenir. »

« Pourquoi pas ? Je pensais que tu détestais être un enfant. »

« Je ne sais pas. » Severus haussa les épaules. « Je ne peux pas marcher vers Draco comme ça, je suppose. Et ce n'est pas si mal. J'avais beaucoup de fun. C'était bien mieux que la première fois en tout cas. »

Minerva soupira alors qu'elle réalisait le problème de Severus.

« A cause de Draco ? » demanda-t-elle gentiment. « Parce que cette fois tu as un ami ? »

Severus acquiesça ne la regardant pas dans les yeux. Il était difficile de confesser ça, mais elle avait raison bien sûr. Avoir un ami a tout changé.

« Et maintenant tu penses que tu abandonnes ton ami en redevenant un adulte. »

Severus hocha à nouveau la tête. Comment Minerva savait-elle toutes ces choses ? Comment pouvait-elle lui dire les choses aussi clairement qu'il ne pouvait pas exprimer en mots ?

« Severus, Draco n'a pas besoin de toi. Il est un garçon très populaire. Il a beaucoup d'amis. Bien sûr tu lui manqueras, mais tu ne le laisseras pas seul. »

« Il n'en a pas. » Severus secoua sa tête. « Il n'a jamais eut de véritables amis et il s'est séparé de ses faux amis à cause de moi. »

« Ses faux amis ? Crabbe et Goyle… »

« Crabbe et Goyle ont besoin de quelqu'un avec un petit peu de cerveau pour les diriger, de cette façon il n'ont pas besoin de faire leurs propres choix. Et une alliance avec les Malfoy peut-être très profitable.

« Mais ils veulent toujours ça, n'est-ce pas ? »

« Grégory peut-être, mais Crabbe a découvert son propre cerveau et Grégory va probablement continuer à le suivre. Ils ne se battront peut-être pas avec Draco, mais ils ne le suivront pas de la même façon qu'avant. »

« Mais il a quand même d'autres amis. »

« Et je répète. Pas de vrais. »

Minerva secoua sa tête en souriant.

« Severus, je pense que tu surestimes ton importance envers Mr Malfoy. Je sais que tu as besoin de lui et c'est surprenant de voir combien vous allez bien ensemble, mais il allait très bien sans toi avant. Et il continuera. »

« Mais… »

« Tu projettes tes propres sentiments pour Draco vers lui. Tu étais si seul et désespérément dans le besoin d'un ami. Maintenant tu penses à comment tu te sentiras si tu perds cet ami à nouveau, mais tu n'as plus du tout besoin de lui une fois que tu seras à nouveau adulte. Tu récupéreras tes vieux amis. Tout redeviendra normal… Et tu n'auras pas à repasser tes OWLs. »

Severus se renfrogna. Qu'est-ce qui lui faisait penser qu'elle pouvait prévoir le futur ? Avoir ses vieux amis ? Quels amis ? Et bien, Albus, qui d'autres ? Il n'y avait personne d'autre. Et bien, peut-être Remus et Filch, mais ils étaient devenus proches que depuis qu'il était devenu un enfant. Peut-être qu'ils le prenaient juste en pitié et voulaient qu'il redevienne un adulte.

Retour à la normale. Le normal n'avait pas été super pour lui. Il avait été toujours malheureux avec sa vie. Peut-être qu'il serait plus heureux maintenant. Il n'était pas sûr.

« J'ai toujours besoin de parler à Draco. Une idée d'où il pourrait être ? »

« Dans la salle commune ? » suggéra McGonagall.

« Non, j'ai déjà regardé là. »

« Le terrain de Quidditch ? »

C'était une possibilité. Severus devait d'abord vérifier la bibliothèque en premier, mais Draco n'y fut pas. Alors il sortit et se dirigea vers le terrain de Quidditch comme Minerva l'avait suggéré, et trouva en effet Draco dans le local à balais.

« Severus ! Tu es là. Je t'ai chercher pendant toute la pause déjeuner. Où étais-tu pendant tout ce temps ? » L'accueillit Draco.

« Et bien, Albus m'a appelé à son bureau. »

« Mais tu ne peux pas avoir parler à Dumbledore pendant tout ce temps. Il était au déjeuner, tu sais. Et je ne pense pas qu'il ait réussi à maîtriser l'art d'être à deux endroits en même temps. »

« Je ne dirai pas qu'il n'en serait pas capable. »

Draco regarda Severus avec doute.

« Tu n'as aucune idée de combien Albus est puissant, Draco. Il y a une raison pour que Voldemort le craigne. »

« Mais mon père dit qu'être à deux endroits en même temps est absolument impossible. Même avec la plus forte des magies. »

« Ton père ne sait pas tout, Draco. Il est très puissant, mais il n'atteint pas Albus. Personne ne l'atteint. »

« Alors… Alors il est possible d'être à deux endroits en même temps ? » demanda Draco excité.

« Pour autant que je le sais, ça ne l'est pas, mais Albus penserait à ça différemment. »

Draco réfléchit à ça pendant un moment et arriva à une conclusion.

« Tu n'étais pas tout le temps avec Dumbledore. »

« Non. »

« Alors où étais tu ? » insista Draco.

Il était un peu inquiet. Severus avait visiblement évité de répondre à sa question et cela ne pouvait pas être bon. Il disait habituellement tout à Draco. Même les farces les plus osées.

« Et bien, je lui ai parlé en premier, puis je suis revenu au dortoir pour prendre Greenie. » dit Severus en caressant le petit hérisson.

« Sniff ! » confirma Greenie.

« Puis je suis aller parler avec Remus, et je suis aller voir Corvus et après ça j'ai commencer à te chercher, mais j'ai rencontré McGonagall à la place. »

Draco pensa à cette réponse pendant un moment. Il semblait que Severus répondait en effet à sa question mais il sentait qu'il laissait de côté quelque chose. Mais qu'est ce que c'était ? Qu'est ce que Severus ne lui disait pas ?

« Tu es allé voir Corvus sans moi ? » Il fit la moue pour gagner un peu de temps pour penser.

« Désolé, Polisson. » sourit Severus. « Mais tu étais au déjeuner et je n'avais pas envie de manger. »

C'est alors que Draco réalisa ce que Severus ne lui avait pas dit.

« Pourquoi ? Qu'est-ce que Dumbledore voulait ? »

« Il… Il m'a dit… qu'ils avaient trouvé un antidote. »

Draco se tint sans bouger fixant Severus pendant au moins une minute essayant de comprendre complètement ce que son ami venait de dire.

« Donc tu es venu me dire au revoir ? » dit-il, dépourvu de ton. « Tu me manqueras. »

« Draco… Je… Je ne suis pas sûr de vouloir le faire. Je ne veux pas te quitter. Tu es le meilleur ami que j'ai jamais eut et nous avons eut de supers moments ensemble. Je ne veux pas te blesser. »

« Mais c'est ce que tu voulais pendant tout ce temps. Nous avons essayé de trouver cet antidote et c'est le seul moyen de se débarrasser de Mary Sue. Tu sauveras tout le monde avec ça. Je parie même que les autres professeurs te seraient reconnaissant si tu les délivrais de sa présence. »

« Donc tu veux que je le fasse ? »

« Veux ? Non je ne le veux pas, mais c'est la bonne chose à faire, je suppose. Mais tu me manqueras. Je serai terriblement seul sans toi. Tu auras tous tes vieux amis de retour, mais je ne peux pas recommencer à prétendre être quelqu'un d'autre. Ils ne le croiront plus et même s'ils le faisaient, je sais maintenant comment c'est d'avoir de véritables amis. Je ne serai plus jamais bien avec eux à nouveau. Pas que je l'ai déjà été. »

« Mes vieux amis ? Le seul ami que j'ai eut avant toi est Albus. Il me manque, mais si je prends cet antidote, tu vas me manquer également. Je ne sais pas comment choisir, Draco. Je vous veux tout les deux, mais il semble que je ne peux pas avoir ça. »

« Tu te souviendras de moi ? Comme d'un ami d'enfance ? » demanda Draco avec espoir. « Et peut-être qu'un jour, lorsque j'aurai grandis… »

« Je ne pourrai jamais t'oublier et je n'ai pas encore pris ma décision. Mais quoi que soit ma décision, je serai toujours là pour toi. Je l'ai toujours fait et je le ferai toujours. Même si je décide d'être à nouveau un enseignant. »

« Tu dois être un adulte pour prendre ta revanche contre mon père. » dit Draco soudainement. « Tu dois redevenir ce que tu étais. »

« Peut-être que tu es mieux qu'une revanche. Voldemort et Lucius penseront que tu leur appartiendras comme ils m'ont possédé. Si je peux te sauver d'eux peut-être que ce sera mieux qu'une revanche que je pourrais avoir sur Lucius. »

« Mais pour le faire tu dois être un adulte. » murmura Draco malheureux.

« Vraiment ? » demanda Severus surpris.

Il n'avait jamais vraiment considéré avoir une chance de sauver Draco lorsqu'il serait adulte. Que Draco ait vu ça du point de vue opposé était un doux choc.

« Bien sûr. Comment un garçon peut me protéger de mon père ? De n'importe quelles façons dont tu vois ça, tu dois redevenir un adulte. »

Severus y réfléchit. D'un point de vue logique tout était clair, mais son cœur lui disait de rester un garçon, rester avec Draco.

« Je dois parler à Albus. Peut-être qu'il peut m'aider. De toute façon il a l'antidote. Je suppose que je dois écouter ses arguments et décider. »

Severus se tourna pour partir vers le château.

« Non attends ! » cria Draco soudainement. « Attends un moment. Il y a quelque chose que je veux que tu ais, avant que tu partes. »

Draco fonça vers l'école renversant quelques troisièmes années sur leur chemin vers la  hutte de Hagrid pour leur leçon de soin aux créatures magiques. Il courut vers les donjons et passa la salle commune et ses camarades de classe qui se préparaient pour leurs prochaines leçons.

« Draco ! Nous pensions que tu serais en retard. » dit Gregory alors qu'il courut dans les dortoirs vers sa malle.

« Je le serai. » répondit Draco en l'ouvrant.

« Quoi ? Pourquoi ? »

« Severus va nous quitter. Je vais lui dire au revoir. » dit Draco en creusant à travers le contenu de sa malle.

« Quitter ? Qu'est-ce que tu veux dire ? Où est-ce qu'il va ? » demanda Vincent, mais Draco ne semblait pas l'avoir entendu.

Il trouva finalement ce qu'il cherchait. Le dessin du dragon barde et sa ballade. C'était son meilleur travail et la seule chose qu'il n'avait jamais montrée à Severus. Il avait fait celui-là par lui-même et il en était très fier.

Sans aucun autre mot Draco se retourna et sortit. Lorsqu'il revint là où Severus l'attendait, il respirait si difficilement qu'il dut s'asseoir sur l'herbe incapable de parler pour rattraper son souffle.

Il tendit simplement son parchemin à son ami. Severus le regarda perplexe.

« Pour… que … tu te souviennes de moi. » articula Draco.

Severus s'assit lentement à ses côtés.

« Merci, mais je ne suis pas sûr de partir. »

« Je… Je voulais que tu… l'ais …de toute façon. »

Severus hocha la tête silencieusement. Ils s'assirent pendant un moment jusqu'à ce que Draco récupère son souffle. Puis Severus se leva finalement pour aller parler à Dumbledore et faire son choix.

Draco resta derrière. Il savait qu'il devait aller en classe, mais il n'en avait pas envie. Il marcha vers le lac et s'assit sur un rocher fixant l'eau, attendant.

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A/N : Et voilà plus que deux. Je pense que je finirai cette histoire aujourd'hui comme le dernier chapitre est assez court par rapport à tout les autres

Katarina : Merci de participer au P.A.M.T instauré par Dod, c'est très gentil et je te pardonne pour ton absence. Et si Dumbledore l'a fait !!!!

Dod : Ouais, venez combattre avec nous. Luttons tous ensemble, formons un front uni contre ceux qui ne laissent pas de reviews. Rejoignez-nous.

Mme Creed : Ta réponse sera dans le prochain chapitre, mais moi je le trouve super mimi à 15 ans.

Dod : C'est sur. Miam miam.

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A venir : Que va être la décision de Severus ? Draco et un groupe de Gryffindors ont une surprise pour Severus et une autre farce.

Dod : Quelles sont-elles ? Mystère et boule de gomme. A vous les studios ? COUPEZ