FFXI : GUERRE FROIDE
ÉPISODE 3 : Le message de Lilas
Et voilà, je suis chez moi. Notre voyage aurait pu être plus calme, mais l'important est que je sois de retour. Je dois sauver mon peuple.
Je m'appelle Evana et je suis une Mithra. La fille de la reine Mithra, pour être exacte. Depuis quelques jours, ma mère agissais de façon étrange. Elle ne se préoccupait plus du tout de son peuple et avait déclaré la guerre aux TaruTarus, le clan vivant en harmonie avec nous. Je partis donc vers l'autre continent à la recherche de gens qui voudraient bien m'aider.
Et je les ai trouvés : Deux elfes, deux humains et un Galka!! Ils acceptèrent d'abord pour la façon que j'avais de les payer! Mais rapidement, ils prirent parti pour ma cause sans même que j'aie à. Disons le franchement, à les baiser! Pas plus d'une seule fois en tout cas.
Quelques minutes à peine après être arrivés à Windurst, je vis une messagère sur un chocobo * venir vers nous. Elle s'arrêta près de moi et me remis une lettre avant de repartir aussitôt.
- Qu'est-ce que c'est? me demanda l'un de mes camarades.
J'ouvris la lettre et y découvris ce message :
« Chère Evana
Comme convenue, je suis restée à Windurst pour tenter de découvrir ce qui s'y passait. Et j'ai obtenue des informations particulièrement intéressantes! Il faut absolument que tu saches se dont ils s'agit.
Mais je ne veux rien dire dans cette lettre. Vient me voir : tu sais où j'habite! J'espère que tu as trouvé des gens prêts à nous aider, mais pendant ton voyage, tu m'as beaucoup manquée. Viens me voir chez moi, on parlera de notre cause et d'autres choses aussi!
XxX
Ton amie, Lilas »
- Alors, c'est quoi?
- Une lettre d'une amie. Elle dit avoir des infos sur ce qui se passe ici et elle veut que j'aille la voir.
- On y va alors?
- Moi oui, vous non! Je ne crois pas qu'elle veuille votre présence. Elle et moi, on est amie depuis longtemps et j'imagine qu'elle voudrait que l'on parle seule à seule : Ça fait un bon bout de temps qu'on ne s'est pas vue.
Ils comprirent et me dirent qu'ils attendraient à l'auberge de la ville. De mon côté, je me rendis chez Lilas, en espérant que ses informations nous seraient utiles pour se débarrasser de nos problèmes. Je dois sauver mon peuple.
Je cognai à sa porte et, quelques secondes plus tard, Lilas m'ouvrit. En me voyant, ses yeux s'éclaircirent et un grand sourire pendait à ses lèvres! Elle me sauta au cou et me serra si fort que j'en failli étouffer!
- Evana! Evana! Je suis vraiment très heureuse de te revoir!
- Moi aussi, déclarai-je difficilement, mais. Tu m'étrangles!
Elle me relâcha en s'excusant et m'invita à entrer. J'acceptai et elle ferma la porte derrière moi.
Lilas était belle. Ses yeux étaient d'un noir perçant, et sa chevelure étaient longue et argentée. Elle pendait jusqu'à ses fesses. Elle avait une belle peau, blanche, mais claire et pure!! Mais je ne m'attardai peu à sa beauté. J'avais quelque chose à faire ici.
- Alors. Qu'as-tu découvert?
- Attends, répondit-elle. Je ne veux pas parler de ça, pas tout de suite. Viens près de moi, s'il te plaît. Caresse-moi.
Ça vous étonne qu'elle agisse comme ça? Ne le soyez pas : Chez nous, les Mithras, il n'y a pratiquement plus trace d'hommes. Nous ne sommes pratiquement que des filles, alors on a pas le choix : les moments de plaisirs, on les vit entre nous. Mais il est vrai que là, tout de suite, ce n'était pas vraiment le moment. Je le lui fit remarquer.
- Lilas, on ne peut pas! Tu sais qu'on n'a pas le temps pour ce genre de choses!
- Je sais mais. Tu m'as beaucoup manquée et, avec le petit travail que tu m'as confié, je n'ai pas eu le temps de trouver ce plaisir, même par moi- même. Alors.
- On ne peux pas, répétais-je! Je suis venue pour les informations que tu as! Quand tout sera fini, O.K., mais d'ici là.
Elle posa un doigt sur mes lèvres, pour me faire taire. Puis, elle me fit une proposition que je fus quelques peu forcée d'accepter :
- Très bien, alors tu me fais plaisir, et tu sauras ce que j'ai appris. Ça te va?
Cette proposition m'eut beaucoup surpris! Ce n'était pas la Lilas à laquelle j'était habituée : Elle était normalement plus raisonnable que ça. Mais, après tout, c'était peut-être moi qui faisait l'erreur en la privant, ainsi qu'à moi-même, de ce petit plaisir. Je mourrais demain, je regretterais de ne pas avoir accepté.
- Très bien, dis-je après ces quelques instants de réflexion.
Je m'approchai d'elle, de ses lèvres. Je la pris par la taille, la collai vers moi et l'embrassai lentement. Nos lèvres se touchèrent, nos deux langues se caressèrent langoureusement. Mes mains glissèrent jusqu'à ses fesses, et les siennes jusqu'aux miennes, et la douceur de nos mains sur nos corps nous procurait une intense chaleur.
Je me penchai sur son sein, doux et désirable, que j'embrassai lentement. Je posai mon regard sur elle : Elle avait fermé les yeux et sa tête était penchée par en arrière. Je percevis de temps en temps quelques soupirs de plaisir. J'amenai ma main à son autre sein, que je massai avec plaisir. Mes doigts pinçait son mamelon durci et les cris de mon amie étaient de plus en plus perceptibles.
Elle s'assied sur le divan, et je me penchai lentement sur son sexe. Il était humide, chaud et rempli de désirs! Je me penchai en avant et y mis ma langue. Je donnai de longs coups de langue sur son sexe, avant d'y entrer. Ma langue cherchais son clitoris, il voulait faire plaisir à Lilas, et c'est ce que je voulais moi aussi. J'entrai deux doigts dans son sexe et je la masturbai lentement. Mon regard croisa le sien : Elle semblait rougir de plaisir!
Elle me prit la tête et caressa lentement ma chevelure rousse. Sa main caressante me faisait le plus grand bien. Puis, sans prévenir, elle me poussa le tête, me forçant presque à la faire jouir encore plus! Ma langue entrait agilement en elle, et ses soupirs étaient de plus en plus audibles. Ma langue tournait dans sa chatte humide, et j'écartai ses belles cuisses fermes pour mieux lui offrir mon plaisir!
Je la voyais, les bras sur le côté, et la tête penchée vers l'arrière! Son plaisir semblait décupler! Je voulais lui en offrir encore plus! Je donnai de long coups de langue le long de sa belle chatte qui devenait de plus en plus humide, et à chaque coup, elle criait plus fort, jusqu'à ce qu'elle hurle complètement son bonheur! Ses ongles étaient entrés dans le divan, sa chevelure descendait sur son corps si beau, et sa bouche était grande ouverte et poussait des miaulements de plaisir si intenses que le voisinage l'entendait probablement!
Mais ce n'était pas important pour elle. Elle avait joui, c'était tout ce qui lui importait. Je me relevai et m'approchai de ses lèvres. Je ne pus me retenir de lui donner un long et magnifique baiser. Ses lèvres étaient douces et pures, comme de la soie. Elles me donnaient qu'une seule envie : Avoir à mon tour ce plaisir éternel!!!
Apparemment, elle le comprit. Elle me poussa sur le côté sans quitter mes lèvres et se colla sur moi. De cette façon, je pouvais sentir ses seins contre les miens. Ses seins si doux, qui se frottaient contre les miens, cette sensation d'extase.! Je profitais de chaque moment en cet instant présent! Parfois, je pouvais sentir ses mamelons durcis effleurer les miens, les titiller d'une certaine façon, et cela me faisait le plus grand bien!
Elle quitta lentement mes lèvres et descendit jusqu'à mon cou. Je fermai les yeux pour profiter pleinement de cet instant. Ses lèvres descendaient plus bas et effleurèrent lentement mes seins. Elle y donna quelques baisers de ses douces lèvres. Mes seins étaient très sensibles aux sensations que me procuraient mon amie. Je sentais déjà un tendre plaisir m'envahir!
Ses bisous ne s'arrêtèrent pas tout de suite. Elle aimait m'embrasser les seins. Je sentais parfois ses dents mordre tendrement l'un de mes mamelons, et le titiller doucement. Je poussais à chaque fois de long gémissements de bonheur.
Elle continua lentement de descendre, sa langue formant un chemin sinueux sur mon corps. Elle s'arrêta à mon sexe qu'elle embrassa tout doucement. Je pouvais sentir sa langue qui me caressait de l'intérieur. Mon plaisir augmentait, et j'en voulais toujours plus!!
Ses coups de langues se faisaient de plus en plus langoureux. Je sentais ce plaisir charnel qui m'envahissait le corps tout entier! Pour en avoir plus, j'amenai une main vers mon sexe humide et je commençai à me doigter. L'union de la langue de Lilas avec ma propre main m'offrait un bonheur des plus rares! Je poussais de profonds cris de jouissance, tout en continuant d'apprécier les généreux coups de langue de mon amie!
Mais bientôt, je ne pus plus résister au plaisir qui m'envahissait! Mes ongles étaient entrés dans le divan et chaque coups de langue agiles me faisait hurler de plaisir! Je poussais de long hurlement en espérant que cela ne cesse jamais!! Mais ça s'arrêta, et, en cette journée, je reçus plus de plaisir que je croyais qu'il en était possible.
Elle monta sur moi, et je pus encore une fois sentir la douceur de son corps sur le mien. Elle s'approcha, tout doucement, et nos lèvres s'effleurèrent. Je l'embrassai langoureusement et pouvais sentir sa langue qui massait la mienne. Elle avait encore le goût de ma chatte sur sa langue, mais cela ne me déplaisait pas du tout! Bien au contraire, c'était un goût tendre, désirable, que me donnait envie de recommencer, de subir encore une fois le supplice du plaisir charnel! Mais mon regard croisa celui de Lilas et nous savions tous les deux que nous avions eu suffisamment de plaisir en cet instant!
Je me relevai et la remerciai pour ce moment d'intense bonheur qu'elle venait de m'offrir. Je m'apprêtai à sortir lorsqu'elle m'interpella :
- Dis, tu n'avais pas quelque chose à me demander, toi?
Je la regardai, perplexe. Puis, tout m'était revenu à l'esprit : Elle avait des informations à me donner concernant ce qui se passait à Windurst! Avec tout le plaisir que je venais d'avoir, ça m'était complètement sorti de la tête. Pourtant, c'est quelque chose de particulièrement important à mes yeux. Je dois sauver mon peuple.
- Désolé, Lilas. Alors, qu'as-tu découvert?
- Et bien, il y a un homme derrière tout ça, il s'appelle Blacvert, et c'est un Maîtres des Bêtes ** . Il contrôle, entre autres, votre mère, la reine, et la pousse à la guerre contre les TaruTarus.
- C'est probablement lui aussi qui contrôle le roi des humains. Tu sais pourquoi il agit ainsi?
- Non. Par contre, je sais où tu pourrais le trouver! Je l'ai suivi jusqu'à sa cachette. Attends, je vais te montrer!
Elle se leva et alla chercher un parchemin dans un tiroir. Lorsqu'elle revint, je vis qu'il s'agissait d'une carte de la région, sur laquelle se trouvait la Fédération de Windurst, ainsi qu'un X rouge!
- C'est là qu'il est, me dit-elle. Mais je ne sais pas ce que tu y trouveras, je n'ai pas osé y entrer.
- Merci beaucoup, Lilas! Je suis très reconnaissante!
Je l'embrassai pour lui montrer cette reconnaissance et me dirigeai vers la sortie. Avant de sortir, cependant, je me tournai vers elle une dernière fois :
- Ça te dirais de venir avec nous? Je pourrai t'offrir tout le plaisir que tu as envies!
Ses yeux brillèrent d'un éclat étonnant, comme lorsqu'elle me vit arriver tout à l'heure! Cependant, sa réponse fut négative :
- Je suis désolée, mais je ne serais qu'un boulet dans votre quête. Je n'ai aucun talent de combattante, tu le sais.
- Tu es sûre?
- Oui, ne t'inquiètes pas pour moi. Si tu n'as pas de missions à me confier, je me doigterai jusqu'à ton retour! J'en aurai le temps cette fois!
Nous nous regardâmes et rîmes de cette petite plaisanterie. Je la saluai en lui promettant de revenir dès que notre quête serait terminée. Puis je retournai voir les autres à l'auberge.
- Alors? Qu'est-ce qu'elle t'a dit?
Je leur parlai alors du Maître des Bêtes, Blacvert, ainsi que de sa cachette.
- C'est tout? Pourtant, vous avez parlé beaucoup plus longtemps que ça!?
- C'est vrai, rétorquais-je. Nous avons aussi parlé de la pluie et du beau temps. Entres amies, vous comprenez.
Ils ne semblèrent pas me croire, mais tant pis! Je leur proposai de partir immédiatement, mais ils me dirent qu'ils avaient réservé des chambres pour cette nuit et qu'il serait plus sage de les utiliser pour être en pleine forme demain matin. J'approuvai cette décision et nous montâmes tous nous coucher.
Le lendemain, l'un d'entre nous avait disparu. C'était Idrin, l'elfe blonde. Sur son lit se trouvait ce mot :
« Blacvert, Maîtres des Bêtes, pour vous causer le plus grand des torts. »
FIN DU CHAPITRE 3
* Pour ceux qui ne connaissent pas l'univers de Final Fantasy, les chocobos sont d'énormes oiseaux jaunes, semblables à des autruches, servant de montures pour les humains.
** Le Maître des Bêtes (ou BeastMaster) est une classe du jeu. Son plus grand pouvoir consiste à manipuler un adversaire pour s'en servir contre ses ennemis. Ici, son pouvoir est accentué pour être utilisé sur les humains et les humanoïdes.
ÉPISODE 3 : Le message de Lilas
Et voilà, je suis chez moi. Notre voyage aurait pu être plus calme, mais l'important est que je sois de retour. Je dois sauver mon peuple.
Je m'appelle Evana et je suis une Mithra. La fille de la reine Mithra, pour être exacte. Depuis quelques jours, ma mère agissais de façon étrange. Elle ne se préoccupait plus du tout de son peuple et avait déclaré la guerre aux TaruTarus, le clan vivant en harmonie avec nous. Je partis donc vers l'autre continent à la recherche de gens qui voudraient bien m'aider.
Et je les ai trouvés : Deux elfes, deux humains et un Galka!! Ils acceptèrent d'abord pour la façon que j'avais de les payer! Mais rapidement, ils prirent parti pour ma cause sans même que j'aie à. Disons le franchement, à les baiser! Pas plus d'une seule fois en tout cas.
Quelques minutes à peine après être arrivés à Windurst, je vis une messagère sur un chocobo * venir vers nous. Elle s'arrêta près de moi et me remis une lettre avant de repartir aussitôt.
- Qu'est-ce que c'est? me demanda l'un de mes camarades.
J'ouvris la lettre et y découvris ce message :
« Chère Evana
Comme convenue, je suis restée à Windurst pour tenter de découvrir ce qui s'y passait. Et j'ai obtenue des informations particulièrement intéressantes! Il faut absolument que tu saches se dont ils s'agit.
Mais je ne veux rien dire dans cette lettre. Vient me voir : tu sais où j'habite! J'espère que tu as trouvé des gens prêts à nous aider, mais pendant ton voyage, tu m'as beaucoup manquée. Viens me voir chez moi, on parlera de notre cause et d'autres choses aussi!
XxX
Ton amie, Lilas »
- Alors, c'est quoi?
- Une lettre d'une amie. Elle dit avoir des infos sur ce qui se passe ici et elle veut que j'aille la voir.
- On y va alors?
- Moi oui, vous non! Je ne crois pas qu'elle veuille votre présence. Elle et moi, on est amie depuis longtemps et j'imagine qu'elle voudrait que l'on parle seule à seule : Ça fait un bon bout de temps qu'on ne s'est pas vue.
Ils comprirent et me dirent qu'ils attendraient à l'auberge de la ville. De mon côté, je me rendis chez Lilas, en espérant que ses informations nous seraient utiles pour se débarrasser de nos problèmes. Je dois sauver mon peuple.
Je cognai à sa porte et, quelques secondes plus tard, Lilas m'ouvrit. En me voyant, ses yeux s'éclaircirent et un grand sourire pendait à ses lèvres! Elle me sauta au cou et me serra si fort que j'en failli étouffer!
- Evana! Evana! Je suis vraiment très heureuse de te revoir!
- Moi aussi, déclarai-je difficilement, mais. Tu m'étrangles!
Elle me relâcha en s'excusant et m'invita à entrer. J'acceptai et elle ferma la porte derrière moi.
Lilas était belle. Ses yeux étaient d'un noir perçant, et sa chevelure étaient longue et argentée. Elle pendait jusqu'à ses fesses. Elle avait une belle peau, blanche, mais claire et pure!! Mais je ne m'attardai peu à sa beauté. J'avais quelque chose à faire ici.
- Alors. Qu'as-tu découvert?
- Attends, répondit-elle. Je ne veux pas parler de ça, pas tout de suite. Viens près de moi, s'il te plaît. Caresse-moi.
Ça vous étonne qu'elle agisse comme ça? Ne le soyez pas : Chez nous, les Mithras, il n'y a pratiquement plus trace d'hommes. Nous ne sommes pratiquement que des filles, alors on a pas le choix : les moments de plaisirs, on les vit entre nous. Mais il est vrai que là, tout de suite, ce n'était pas vraiment le moment. Je le lui fit remarquer.
- Lilas, on ne peut pas! Tu sais qu'on n'a pas le temps pour ce genre de choses!
- Je sais mais. Tu m'as beaucoup manquée et, avec le petit travail que tu m'as confié, je n'ai pas eu le temps de trouver ce plaisir, même par moi- même. Alors.
- On ne peux pas, répétais-je! Je suis venue pour les informations que tu as! Quand tout sera fini, O.K., mais d'ici là.
Elle posa un doigt sur mes lèvres, pour me faire taire. Puis, elle me fit une proposition que je fus quelques peu forcée d'accepter :
- Très bien, alors tu me fais plaisir, et tu sauras ce que j'ai appris. Ça te va?
Cette proposition m'eut beaucoup surpris! Ce n'était pas la Lilas à laquelle j'était habituée : Elle était normalement plus raisonnable que ça. Mais, après tout, c'était peut-être moi qui faisait l'erreur en la privant, ainsi qu'à moi-même, de ce petit plaisir. Je mourrais demain, je regretterais de ne pas avoir accepté.
- Très bien, dis-je après ces quelques instants de réflexion.
Je m'approchai d'elle, de ses lèvres. Je la pris par la taille, la collai vers moi et l'embrassai lentement. Nos lèvres se touchèrent, nos deux langues se caressèrent langoureusement. Mes mains glissèrent jusqu'à ses fesses, et les siennes jusqu'aux miennes, et la douceur de nos mains sur nos corps nous procurait une intense chaleur.
Je me penchai sur son sein, doux et désirable, que j'embrassai lentement. Je posai mon regard sur elle : Elle avait fermé les yeux et sa tête était penchée par en arrière. Je percevis de temps en temps quelques soupirs de plaisir. J'amenai ma main à son autre sein, que je massai avec plaisir. Mes doigts pinçait son mamelon durci et les cris de mon amie étaient de plus en plus perceptibles.
Elle s'assied sur le divan, et je me penchai lentement sur son sexe. Il était humide, chaud et rempli de désirs! Je me penchai en avant et y mis ma langue. Je donnai de longs coups de langue sur son sexe, avant d'y entrer. Ma langue cherchais son clitoris, il voulait faire plaisir à Lilas, et c'est ce que je voulais moi aussi. J'entrai deux doigts dans son sexe et je la masturbai lentement. Mon regard croisa le sien : Elle semblait rougir de plaisir!
Elle me prit la tête et caressa lentement ma chevelure rousse. Sa main caressante me faisait le plus grand bien. Puis, sans prévenir, elle me poussa le tête, me forçant presque à la faire jouir encore plus! Ma langue entrait agilement en elle, et ses soupirs étaient de plus en plus audibles. Ma langue tournait dans sa chatte humide, et j'écartai ses belles cuisses fermes pour mieux lui offrir mon plaisir!
Je la voyais, les bras sur le côté, et la tête penchée vers l'arrière! Son plaisir semblait décupler! Je voulais lui en offrir encore plus! Je donnai de long coups de langue le long de sa belle chatte qui devenait de plus en plus humide, et à chaque coup, elle criait plus fort, jusqu'à ce qu'elle hurle complètement son bonheur! Ses ongles étaient entrés dans le divan, sa chevelure descendait sur son corps si beau, et sa bouche était grande ouverte et poussait des miaulements de plaisir si intenses que le voisinage l'entendait probablement!
Mais ce n'était pas important pour elle. Elle avait joui, c'était tout ce qui lui importait. Je me relevai et m'approchai de ses lèvres. Je ne pus me retenir de lui donner un long et magnifique baiser. Ses lèvres étaient douces et pures, comme de la soie. Elles me donnaient qu'une seule envie : Avoir à mon tour ce plaisir éternel!!!
Apparemment, elle le comprit. Elle me poussa sur le côté sans quitter mes lèvres et se colla sur moi. De cette façon, je pouvais sentir ses seins contre les miens. Ses seins si doux, qui se frottaient contre les miens, cette sensation d'extase.! Je profitais de chaque moment en cet instant présent! Parfois, je pouvais sentir ses mamelons durcis effleurer les miens, les titiller d'une certaine façon, et cela me faisait le plus grand bien!
Elle quitta lentement mes lèvres et descendit jusqu'à mon cou. Je fermai les yeux pour profiter pleinement de cet instant. Ses lèvres descendaient plus bas et effleurèrent lentement mes seins. Elle y donna quelques baisers de ses douces lèvres. Mes seins étaient très sensibles aux sensations que me procuraient mon amie. Je sentais déjà un tendre plaisir m'envahir!
Ses bisous ne s'arrêtèrent pas tout de suite. Elle aimait m'embrasser les seins. Je sentais parfois ses dents mordre tendrement l'un de mes mamelons, et le titiller doucement. Je poussais à chaque fois de long gémissements de bonheur.
Elle continua lentement de descendre, sa langue formant un chemin sinueux sur mon corps. Elle s'arrêta à mon sexe qu'elle embrassa tout doucement. Je pouvais sentir sa langue qui me caressait de l'intérieur. Mon plaisir augmentait, et j'en voulais toujours plus!!
Ses coups de langues se faisaient de plus en plus langoureux. Je sentais ce plaisir charnel qui m'envahissait le corps tout entier! Pour en avoir plus, j'amenai une main vers mon sexe humide et je commençai à me doigter. L'union de la langue de Lilas avec ma propre main m'offrait un bonheur des plus rares! Je poussais de profonds cris de jouissance, tout en continuant d'apprécier les généreux coups de langue de mon amie!
Mais bientôt, je ne pus plus résister au plaisir qui m'envahissait! Mes ongles étaient entrés dans le divan et chaque coups de langue agiles me faisait hurler de plaisir! Je poussais de long hurlement en espérant que cela ne cesse jamais!! Mais ça s'arrêta, et, en cette journée, je reçus plus de plaisir que je croyais qu'il en était possible.
Elle monta sur moi, et je pus encore une fois sentir la douceur de son corps sur le mien. Elle s'approcha, tout doucement, et nos lèvres s'effleurèrent. Je l'embrassai langoureusement et pouvais sentir sa langue qui massait la mienne. Elle avait encore le goût de ma chatte sur sa langue, mais cela ne me déplaisait pas du tout! Bien au contraire, c'était un goût tendre, désirable, que me donnait envie de recommencer, de subir encore une fois le supplice du plaisir charnel! Mais mon regard croisa celui de Lilas et nous savions tous les deux que nous avions eu suffisamment de plaisir en cet instant!
Je me relevai et la remerciai pour ce moment d'intense bonheur qu'elle venait de m'offrir. Je m'apprêtai à sortir lorsqu'elle m'interpella :
- Dis, tu n'avais pas quelque chose à me demander, toi?
Je la regardai, perplexe. Puis, tout m'était revenu à l'esprit : Elle avait des informations à me donner concernant ce qui se passait à Windurst! Avec tout le plaisir que je venais d'avoir, ça m'était complètement sorti de la tête. Pourtant, c'est quelque chose de particulièrement important à mes yeux. Je dois sauver mon peuple.
- Désolé, Lilas. Alors, qu'as-tu découvert?
- Et bien, il y a un homme derrière tout ça, il s'appelle Blacvert, et c'est un Maîtres des Bêtes ** . Il contrôle, entre autres, votre mère, la reine, et la pousse à la guerre contre les TaruTarus.
- C'est probablement lui aussi qui contrôle le roi des humains. Tu sais pourquoi il agit ainsi?
- Non. Par contre, je sais où tu pourrais le trouver! Je l'ai suivi jusqu'à sa cachette. Attends, je vais te montrer!
Elle se leva et alla chercher un parchemin dans un tiroir. Lorsqu'elle revint, je vis qu'il s'agissait d'une carte de la région, sur laquelle se trouvait la Fédération de Windurst, ainsi qu'un X rouge!
- C'est là qu'il est, me dit-elle. Mais je ne sais pas ce que tu y trouveras, je n'ai pas osé y entrer.
- Merci beaucoup, Lilas! Je suis très reconnaissante!
Je l'embrassai pour lui montrer cette reconnaissance et me dirigeai vers la sortie. Avant de sortir, cependant, je me tournai vers elle une dernière fois :
- Ça te dirais de venir avec nous? Je pourrai t'offrir tout le plaisir que tu as envies!
Ses yeux brillèrent d'un éclat étonnant, comme lorsqu'elle me vit arriver tout à l'heure! Cependant, sa réponse fut négative :
- Je suis désolée, mais je ne serais qu'un boulet dans votre quête. Je n'ai aucun talent de combattante, tu le sais.
- Tu es sûre?
- Oui, ne t'inquiètes pas pour moi. Si tu n'as pas de missions à me confier, je me doigterai jusqu'à ton retour! J'en aurai le temps cette fois!
Nous nous regardâmes et rîmes de cette petite plaisanterie. Je la saluai en lui promettant de revenir dès que notre quête serait terminée. Puis je retournai voir les autres à l'auberge.
- Alors? Qu'est-ce qu'elle t'a dit?
Je leur parlai alors du Maître des Bêtes, Blacvert, ainsi que de sa cachette.
- C'est tout? Pourtant, vous avez parlé beaucoup plus longtemps que ça!?
- C'est vrai, rétorquais-je. Nous avons aussi parlé de la pluie et du beau temps. Entres amies, vous comprenez.
Ils ne semblèrent pas me croire, mais tant pis! Je leur proposai de partir immédiatement, mais ils me dirent qu'ils avaient réservé des chambres pour cette nuit et qu'il serait plus sage de les utiliser pour être en pleine forme demain matin. J'approuvai cette décision et nous montâmes tous nous coucher.
Le lendemain, l'un d'entre nous avait disparu. C'était Idrin, l'elfe blonde. Sur son lit se trouvait ce mot :
« Blacvert, Maîtres des Bêtes, pour vous causer le plus grand des torts. »
FIN DU CHAPITRE 3
* Pour ceux qui ne connaissent pas l'univers de Final Fantasy, les chocobos sont d'énormes oiseaux jaunes, semblables à des autruches, servant de montures pour les humains.
** Le Maître des Bêtes (ou BeastMaster) est une classe du jeu. Son plus grand pouvoir consiste à manipuler un adversaire pour s'en servir contre ses ennemis. Ici, son pouvoir est accentué pour être utilisé sur les humains et les humanoïdes.
