Coucou me revoilà ! J'ai été vraiment étonné de voir que seulement deux
personnes avaient reviewé pour mon dernier chapitre, mais je crois en
connaître la cause, je l'avais posté en début d'après midi, alor que
d'habitude je les poste le soir, et donc elle n'est pa parue le matin,
alors que tout le monde peut lire l'histoire. Enfin bon, je dis tout de
même un grand merci aux deux reviewers(euses) qui m'ont vraiment fait très
plaisir en voyant qu'ils suivaient mon histoire... Je continue donc cette
fic pour le moment en attendant que les cours reprennent, et j'ai vraiment
peur de ne pouvoir que très peu poster de nouveaux chapitres durant cette
nouvelle année. Je rentre en 1ere S et je suis déjà passé de justesse donc
je vais essayer de mettre le paquet. J'essaierai de poster au moins un
chapitre par semaine, mais ne vous attendez pas à ce qu'il soit très gros,
je n'aurai que très peu de temps à consacrer à notre très cher Harry.
J'informe aussi ceux qui ne me connaissent pas que j'écris aussi une autre
fic, mais que j'upload moins souvent en ce moment(je me consacre surtout
sur celle-ci en ce,moment) vous pourrez trouver cette autre fic en clikan
sur mon nom, je pense, et n'hésitez pas à reviewer !! Merci à ceux qui me
lisent, ça me fait vraiment plaisir. ( et ça me ferait encore plus plaisir
si plus de monde reviewait... ^^ :) ) Voilà Enjoy reading and review, what
more can i say, this is just about a question of time if i can't write more
chapters.... I hope you will review ( yé je me la pete en anglais :p
hihihi halala enfin bon tout ça pour vous dire de REVIEW !!! POUR qUE JE
SACHE SI CA VOUS A PLU OU pas, pask bon ehin ^^ . Allé tcho^^. ThTomeWriter
Chapitre 3 - Retour à Hogwarts
Quand Albus Dumbledore revint à Ste-Mangouste, Harry sut que l'heure de partir était venue. Il se leva donc pour dire bonjour à son directeur, puis quand celui-ci dit au jeune homme de se préparer, il ne se le fit pas dire deux fois. Il rassembla toutes ses affaires dans un temps record, sous l'oeil amusé du vieil homme. Le directeur tenait à la main une bottine raccornie, qui devait sûrement être un Portkey, selon Harry. Le directeur, quand il vit la lueur de crainte dans les yeux de son élève s'empressa de le rassurer en lui disant que c'était lui-même qui l'avait créée. Harry s'appaisa quelque peu, et s'approcha d'un pas assuré vers son directeur. Ce dernier sortit sa baguette de sa poche et tapota le Portkey en murmurant quelque chose qu'Harry ne comprit pas. Le directeur lui dit alors qu'il venait juste d'ensorceler le Portkey, pour que celui-ci les mène à Hogsmeade. Harry posa alors son doigt sur l'objet, et ressentit la même chose que ce fameux soir, à la fin de la 3ème tâche, où un portkey l'avait amené jusqu'à Voldemort. Harry eut l'énorme soulagement de voir qu'il était arrivé devant chez Zonko, le magasin de farces et attrapes qui se trouvait à Hogsmeade. Il avait pendant un instant eu peur que son directeur ne soit pas le bon, et qu'il ait été sous l'emprise de la potion Polynectar. Le directeur et son élève prirent donc la direction du château en passant par le chemin extérieur. Harry ne doutait pas que Dumbledore ne connaisse pas chaque passage secret, mais il était mieux de passer par l'extérieur, pour ne pas éveiller la curiosité de personnes indésirables. Ils furent bientôt arrivés dans le parc qui, contrairement à d'habitude, en temps de classes, était vide. Il semblait que même Hagrid était absent, ce qui parut bizarre à Harry, qui avait repris l'habitude de revoir son Grand Ami. Il pensa alors qu'il était probable qu'il ait été voir son frère dans la forêt interdite, espérant pouvoir, avec un peu de chance, le rendre quelque peu plus sociable. "Fat chance" pensa Harry... Il continua donc sa marche aux côtés de Dumbledore, qui avait remarqué qu'Harry regardait la hutte du Garde des Clés de Hogwarts d'un air absent. Son directeur était très silencieux, c'était à vrai dire la première fois que Harry le voyait sans qu'il parle ou donne son avis sur quelque chose. Il pensa alors que, tout comme l'année précédente alors qu'il était avec les membres de l'Ordre, il ne voulait pas qu'un oreille indiscrète ébruite la conversation qu'ils allaient avoir.
Comme d'habitude, les portes du Hall étaient fermées, et Dumbledore les ouvrit d'un coup de baguette magique, pour éviter de faire souffrir ses vieux os. Le directeur prit alors la direction de son bureau, toujours suivi de son élève, qui semblait on ne peut plus heureux de revenir à Hogwarts plus tôt que prévu. C'était en effet une occasion unique pour lui de passer les vacances à l'écart de tout, et plus particulièrement des Dursley, tout comme de ses amis. Il éprouvait le besoin de rester seul, et de penser à ce qu'il allait faire pour contrer Voldemort, sans pour autant risquer la vie des personnes qui lui étaient proches par la même occasion. La perte de Sirius était toujours aussi présente dans la tête de Harry, c'était le seul, avec Hermione, qui l'avait toujours soutenu quoi qu'il fasse, et quelles que soient les conséquences de ses actes. Certes, il voulait qu'Harry survive, et c'était pour cela qu'il était mort, en signe d'un dernier geste de bravoure et pour faire honneur à ses deux meilleurs amis, qui étaient morts à cause de lui. Mais maintenant, pensait Harry, Sirius est mort à cause de moi, pour me protéger, et la seule chose que je puisse faire est de tuer Voldemort ainsi que ses fidèles, pour venger l'honneur souillé par le Ministère et les Mangemorts de son parrain. Il voulait avant tout tuer Voldemort, pour que tous ces carnages s'arrêtent, mais aussi pour venger ses parents, qui étaient morts pour lui. Ce fut sur ces pensées que le jeune homme arriva dans le bureau de son directeur, où someillait Fumseck, sur son perchoir. L'oiseau était toujours aussi beau, et son plumage était magnifique et inaltéré, sauf à un endroit, où l'on pouvait voir que deux plumes avaient été enlevées.... Celle qui avait servi pour fabriquer la baguette d'Harry, et celle qui avait servi pour celle de Voldemort... Les baguettes jumelles, ayant servi l'une contre l'autre, dans le Priori Incantatem, à la fin de la derniere tâche, avant qu'Harry ne s'échappe.
Le directeur s'assit à son bureau et regarda Harry avec un air très sérieux, que l'on ne voyait apparaître sur le visage du vieux directeur que dans de très rares occasions. Il avait certainement quelque chose de très important à lui demander, où quelque chose de très important à lui annoncer. Harry s'assit donc en face du bureau directoral et regarda un instant son directeur, avant que celui-ci ne prenne la parole:
"-Harry, si tu es ici, à Hogwarts, c'est à cause de Lily et James Potter, tes parents, et de Sirius Black. En effet, chacun d'entre eux m'avait légalement désigné comme tuteur légal en cas de décès de l'un où l'autre, et ceci serait valable même au cas où ce seraient les Dursley qui étaient morts. Tu es donc sous ma tutelle désormais. C'est peut-être difficile à croire, mais c'est ainsi. Durant ces vacances, tu vas aller étudier, avec moi bien entendu, dans une salle spéciale qui se trouve dans Poudlard. Dans cette salle, le temps qui s'écoule est ralenti, en y passant 15 jours, c'est comme si tu passais 1 an à l'extérieur, et je compte sur le fait que nous allons y passer 2 ans tous les deux, pour que je puisse t'apprendre tout ce que je sais, pour que tu puisses enfin utiliser tes pouvoirs, immenses, je dois le dire... Pour tout t'avouer, tes pouvoirs sont largement aussi puissants que les miens, voire même plus, mais pour le moment, ceci est difficile à déterminer. Nous allons rentrer dans cette salle dès demain. Il ne te restera que 2 semaines de vacances après notre entraînement spécial. Vu ton jeune âge, il se peut que nous finissions de t'entraîner un peu avant le terme de ces deux ans. Vas à ton dortoir maintenant, il faut que tu sois en forme pour rentrer dans la salle, l'atmosphère y est très différente de ce que nous connaissons ici... Tu devras d'abord te débrouiller pendant 6 mois tout seul, puis ensuite, et seulement ensuite, je m'occuperai de toi. Vas maintenant, et si tu as des questions, tu me les poseras dans 6 mois, quand tu seras finalement prêt. Je sais que tu n'aimes pas entendre cela, Harry, dit le directeur en voyant que l'adolescent s'apprêtait à dire quelque chose tout en fronçant les sourcils. Mais tu verras que ce sera pour le mieux, tu comprendras alors quelle était ma position. Vas maintenant, le mot de passe de ta salle commune est "Griffo". "
Le jeune homme se leva, salua son directeur et partit en direction de la tour des Gryffondors... Ainsi les Dursley étaient morts... Cela ne lui faisait ni chaud ni froid, il n'était pas ravi de savoir qu'ils étaient morts, mais cela ne l'atteignait pas plus que ça... Après tout, ils avaient toujours tout fait pour rendre la vie du jeune homme invivable... Il n'aurait plus jamais à y retourner, et cela, il en était content. Il arriva rapidement devant la grosse dame, la salua, et lui donna le mot de passe que lui avait communiqué son directeur auparavant. Sa tête bouillonnait de questions qu'il aurait voulu poser au vieil homme, mais il allait devoir attendre six mois pour enfin pouvoir les poser. Il monta rapidement au dortoir des sixième année, qui, à sa grande surprise, était vraiment beaucoup plus grand que tous ceux qu'il avait pu avoir jusqu'ici. Il se dirigea vers sa malle, en sortit des parchemins et commença à écrire les questions qu'il voulait poser à son directeur, au cas où il ne s'en souviendrait pas dans les 6 mois à venir. Une fois qu'il eut fini cela, quelque chose piqua sa curiosité : comment étaient faits les dortoirs des filles?? Harry s'était souvent posé la question auparavant, mais n'avait jamais pu vérifier par lui-même, les dortoirs étant toujours pleins de filles prêtes à le lyncher si jamais il avait osé faire ne serait-ce qu'un pas dans le couloir et l'escalier qui leur était destiné. Harry partit donc, avec l'idée d'aller voir, mais, sa grande surprise, au moment où il allait monter dans les dortoirs, une grande cloison de pierre s'abattit devant ses yeux. Pestant, Harry chercha un moyen de dissiper cet obstacle innatendu mais n'y parvint pas. Il remonta donc dans son dortoir, en colère de ne pas avoir pu résoudre ce mystère... " Un jour je le saurai " se promit-il. Ce fut sur cette promesse faite à lui-même que le jeune homme s'endormit, quelque peu impatient d'aller dans cette fameuse salle, où il serait coupé du reste du monde pendant 6 mois... Que du bonheur en perspective! Il allait enfin pouvoir faire ce qui lui semblait bon sans avoir d'arrières pensées.
Quand Harry se réveilla ce matin là, il était très excité, il s'habilla donc très vite et se hâta de prendre toutes les affaires qui lui tenaient à coeur avant de les mettre dans un sac qu'il fit rapetisser grace à un sort. ("reducto!"). Il avait mis dans ce sac, sa cape d'invisibilité, tous ses derniers manuels scolaires, son balai, ainsi qu'un chaudron, au cas où il aurait à faire une potion contre un empoisonnement où une blessure quelconque. Il mit donc ce sac miniaturisé dans sa poche et se dépêcha d'aller vers la grande Salle, où le directeur l'attendait certainement. En effet, le vieil homme l'attendait, assis seul, à la table des professeurs. Tous les autres enseignants avaient dû rentrer chez eux et Rogue devait se terrer quelque part pour éviter de se faire découvrir par les Mangemorts ayant, maintenant que leur maître était revenu au pouvoir, repris leurs sombres activités en terrorisant et massacrant de pauvres gens innocents, des gens qui s'opposaient à leur maître, où encore des sorciers considérés comme impurs et ayant du sang de Muggle. Enfin bref, tout était redevenu comme avant qu'Harry ait renvoyé Voldemort se cacher la première fois, un royaume de terreur, où plus personne ne se faisait confiance, ce qui entraînait souvent des duels, entre personnes qui n'avaient rien à voir avec des Mangemorts, mais la suspicion était bien souvent celle qui l'emportait par rapport à la raison. Harry était heureux de pouvoir échapper à tout cela pendant 2 ans, cela allait lui faire du bien et il allait enfin pouvoir s'entraîner sérieusement pour pouvoir se battre éfficacement contre son ennemi juré, et exterminer ses Mangemorts. Le vieil homme, dès que son élève fut assis, claqua des doigts, et, aussitôt, de nombreux plats apparurent sur la table, permettant aux deux hommes de manger à leur faim. Une fois qu'ils eurent fini leur copieux repas, le vieil homme conduisit Harry devant une grande porte, fermée par un immense cadenas immunisé à toutes sortes de magies, et que seul Dumbledore pouvait ouvrir en touchant de son plein gré la serrure. Le système d'ouverture de cette porte était connu de chaque directeur de Hogwarts depuis la création du collège, un peu plus de 1000 ans auparavant. Quand la porte fut ouverte, le directeur se poussa, et invita Harry à rentrer dans la pièce. Ce dernier ne se fit pas prier, et eut juste le temps de se retourner et d'entendre un vague " à dans six mois" avant que la porte ne se referme et ne se revérouille magiquement. Quand Harry vit où il avait atterri, il eut un léger sourire. Une sorte de désert s'étendait devant lui, à sa droite se trouvait une immense jungle, a sa gauche se trouvait une montagne très haute, avec de la neige et des parois très abruptes. Quand il se retourna à nouveau, la porte avait disparu pour laisser la place à une grande plage de sable fin sur laquelle venaient s'écraser des vagues d'eau douce. Il était face au plus grand lac qu'il lui ait jamais été donné de voir. Celui-ci devait mesurer en superficie 3 à 4 fois plus que celui de Poudlard. Harry était toujours impressionné de voir tout ce qu'on pouvait faire avec de la Magie. Il choisir donc d'aller, pour le moment, vers la jungle , qui lui paraissait assez proche mais qui pourrait aussi lui fournir un abri substantiel en cas de pluie. En pensant à la pluie, Harry leva les yeux vers le ciel et ce qu'il vit le stupéfia: c'était un vrai ciel. Une fois qu'il fut arrivé à la lisière de la jungle, qui s'annonçait plus épaisse et peut-être aussi plus dangereuse que ce qu'il avait put immagineR. Il n'avait cependant pas l'intention de rebrousser chemin, et, tout en sortant sa baguette magique, il s'avança prudemment dans la végétation. Il
Il ne savait pas vraiment où aller et se décida à trouver, en premier lieu, un endroit pour établir son campement, un campement dont il aurait certainement besoin pour se reposer et entreposer ses objets. Il marcha ainsi pendant deux heures environ, sursautant à chaque craquement de brindilles. Il avait put s'apercevoir quelques minutes après s'être introduit dans la forêt que cette dernière était habitée de toutes sortes d'animaux. Il avait pu voir des insectes, des oiseaux, ainsi qu'une ombre furtive qu'Harry avait identifié comme une panthère. Il avait aisément pu identifier cet animal, car il avait toujours fasciné le jeune garçon, même alors qu'il était inconscient du fait qu'il était un sorcier. Sans qu'il ait jamais pu expliquer pourquoi, le jeune homme s'était toujours senti attiré par ce magnifique animal, qui disposait d'une souplesse et d'une puissance assez rare, même chez les animaux. Il avait même été tenté d'approcher le félin, mais s'était rendu compte que si la bête l'attaquait, il ne saurait pas vraiment comment réagir. C'était donc à contre-coeur qu'il avait repris, silencieusement, son chemin, en quête d'une sorte de petite clairière. Il en avait jusqu'ici vu plusieurs, mais qui étaient trop grandes, il aurait pu faire une cible facile en étant trop exposé. Ce fut sur ces réflexions, et au bord de l'épuisement, que Harry arriva sur une clairière qui illustrait parfaitement ce qu'il cherchait. Les arbres autour lui conféraient de l'ombre, tout en laissant passer, par-ci par-là, quelques rayons de soleil. Il se positionna donc au milieu de la clairière, et sortit le sac miniaturisé de sa poche. Il agita légèrement sa baguette en direction du récipient où il avait déposé ses affaires, alors que celui- ci s'agrandissait, pour prendre rapidement la taille qu'il avait à l'origine. Pendant un instant, Harry s'attendit à recevoir un hibou de la part du Service des Usages Abusifs de la Magie, qui ne le raterait pas, surtout après l'audience dont il avait écopé l'année précédente, pour s'être défendu contre des Dementors, que son "cher" professeur de DCFM, Mrs.Umbridge, travaillant au Ministère, lui avait gentiment envoyé "pour faire bouger les choses". Harry s'en était tiré à bon compte grâce à Dumbledore, qui était devenu son avocat le temps de l'audience. Une fois que ses affaires eurent toutes retrouvé leur taille normale, Harry leva sa baguette, et fit apparaître de fines cordelettes à ses pieds. Il leva à nouveau sa baguette, vers les arbres environnant cette fois-ci, en faisant décoller plusieurs. Harry les posa doucement par terre, et les coupa à l'aide du sort que Ron avait utilisé deux ans auparavant pour essayer de se débarasser des dentelles ornant sa "magnifique" robe de soirée. Une fois que les planches furent découpées au goût de Harry, ce dernier en mit certaines à la verticale, dressant un mur, et d'autres à l'horizontale, formant le futur plancher de la maison du jeune homme. Harry répéta plusieurs fois cette opération, et finit par obtenir une petite cabane à l'air accueuillant. Il découpa dans la maison plusieurs ouvertures, l'une pour la porte, et les autres pour les fenêtres. Il fit apparaître, d'un coup de baguette magique, des charnières, l'une sur la porte, et l'autre sur l'un des murs de la maison. Il prit les cordelettes qu'il avait fait apparaître auparavant et attacha ainsi la porte au mur. Certes, l'angle d'ouverture n'était pas parfait, mais ce n'était pas si mal pour voir qu'Harry avait fait cela rapidement. Il répéta l'opération sur les fenêtres, puis d'un geste de baguette magique, fit apparaître, au terme de longs efforts, une chaise pour qu'il puisse s'asseoir comme une personne qu'il estimait civilisée.
Il resta là pendant quelques minutes, cherchant à retrouver son souffle, et permettant à son esprit de tourner à toute vitesse... Il avait maintenant un abri, c'était bien, et il en était fier, mais comment allait- il faire pour savoir, parmis toutes les baies qu'il avait vu en cherchant sa clairière, lesquelles étaient commestibles?? Ce ne fut qu'au terme d'une longue réflexion qu'Harry se souvint qu'il était un sorcier, et que par conséquent, il pouvait faire apparaître diverses choses, et en ce cas là, de la nourritute. Harry se maudit de ne pas y avoir pensé avant, et sans plus attendre, il se mit à l'oeuvre. Faire apparaître des objets nécessitait, lorsqu'on y était pas encore habitué, une grande concentration... Peu de puissance magique suffisait pour faire apparaître des objets, mais la concentration était primordiale. Harry savait comment faire pour l'avoir lu, l'année précédente, en recherchant, à l'un de ses rares moments perdus de l'année, de nouvelles techniques à apprendre à ses membres du DA. Il était tombé sur cela par hasard, et, par curiosité, avait fini par lire toute la rubrique traitant de ce sujet. Hermione avait d'ailleurs été très fière de lui lorsqu'elle l'avait vu ainsi penché sur des livres, en train d'étudier. Il réussit bientôt à faire apparaître un sandwich devant lui, qu'il mangea à belles dents. Une fois qu'il fut un peu requinqué, il se concentra à nouveau pour faire apparaître, cette fois-ci, un lit, pour qu'il puisse se reposer, après la journée qu'il estimait comme plutôt dure. Heureusement qu'il était un sorcier, sinon, dieu seul sait ce qu'il aurait put advenir de lui dans un monde tel que celui-ci. Avant d'aller se coucher, toutefois, il fit apparaître des étagères de diverses formes, sur lesquelles il rangea toutes ses affaires, et plus particulièrement les manuels scolaires qu'il avait apporté avec lui. Il fit apparaître aussi à côte de son lit une table de chevet, pour qu'il puisse poser ses lunettes et ses livres. Il fit apparaître des bougies, flottant à mi-hauteur, pour éclairer un peu la pièce, maintenant qu'il avait fermé tout les volets et la porte à l'aider d'un sortilège. Sa maison était maintenant tout à fait inviolable, sauf pour un sorcier. Harry se coucha donc seulement une heure et demie après qu'il ait fait apparaître son lit, ses réserves magiques et physiques en ayant prit un sérieux coup après cette longue journée.
Et voilà, terminé le chapitre 3, je l'ai fait encore un peu plus long que le dernier, c'est donc le plus long que j'aie jamais écrit !! Ca se fête !! Garçon !! Champagne pour tout le monde !! Non alors blague à part, dites-moi ce que vous en pensez, que je sache si ça vaut vraiment la peine que je continue à écrire. C'est que pour vous, ça prend 5-10 minutes à lire, mais pour moi, ça fait une heure et quart à martyriser le clavier de mon pauvre ordinateur (enfin pour un chapitre de cette longueur, pour les chapitres que je poste pour mon autre fic, je mets beaucoup moins de temps pour écrire) enfin bon voilà , une review, ça ne met pas longtemps à écrire, et ça fait très plaisir à l'auteur, donc SVP appuyez sur le petit bouton en bas à gauche de votre écran !!! Merci ! Tcho^^ et à bientôt pour un nouveau chapitre.
Chapitre 3 - Retour à Hogwarts
Quand Albus Dumbledore revint à Ste-Mangouste, Harry sut que l'heure de partir était venue. Il se leva donc pour dire bonjour à son directeur, puis quand celui-ci dit au jeune homme de se préparer, il ne se le fit pas dire deux fois. Il rassembla toutes ses affaires dans un temps record, sous l'oeil amusé du vieil homme. Le directeur tenait à la main une bottine raccornie, qui devait sûrement être un Portkey, selon Harry. Le directeur, quand il vit la lueur de crainte dans les yeux de son élève s'empressa de le rassurer en lui disant que c'était lui-même qui l'avait créée. Harry s'appaisa quelque peu, et s'approcha d'un pas assuré vers son directeur. Ce dernier sortit sa baguette de sa poche et tapota le Portkey en murmurant quelque chose qu'Harry ne comprit pas. Le directeur lui dit alors qu'il venait juste d'ensorceler le Portkey, pour que celui-ci les mène à Hogsmeade. Harry posa alors son doigt sur l'objet, et ressentit la même chose que ce fameux soir, à la fin de la 3ème tâche, où un portkey l'avait amené jusqu'à Voldemort. Harry eut l'énorme soulagement de voir qu'il était arrivé devant chez Zonko, le magasin de farces et attrapes qui se trouvait à Hogsmeade. Il avait pendant un instant eu peur que son directeur ne soit pas le bon, et qu'il ait été sous l'emprise de la potion Polynectar. Le directeur et son élève prirent donc la direction du château en passant par le chemin extérieur. Harry ne doutait pas que Dumbledore ne connaisse pas chaque passage secret, mais il était mieux de passer par l'extérieur, pour ne pas éveiller la curiosité de personnes indésirables. Ils furent bientôt arrivés dans le parc qui, contrairement à d'habitude, en temps de classes, était vide. Il semblait que même Hagrid était absent, ce qui parut bizarre à Harry, qui avait repris l'habitude de revoir son Grand Ami. Il pensa alors qu'il était probable qu'il ait été voir son frère dans la forêt interdite, espérant pouvoir, avec un peu de chance, le rendre quelque peu plus sociable. "Fat chance" pensa Harry... Il continua donc sa marche aux côtés de Dumbledore, qui avait remarqué qu'Harry regardait la hutte du Garde des Clés de Hogwarts d'un air absent. Son directeur était très silencieux, c'était à vrai dire la première fois que Harry le voyait sans qu'il parle ou donne son avis sur quelque chose. Il pensa alors que, tout comme l'année précédente alors qu'il était avec les membres de l'Ordre, il ne voulait pas qu'un oreille indiscrète ébruite la conversation qu'ils allaient avoir.
Comme d'habitude, les portes du Hall étaient fermées, et Dumbledore les ouvrit d'un coup de baguette magique, pour éviter de faire souffrir ses vieux os. Le directeur prit alors la direction de son bureau, toujours suivi de son élève, qui semblait on ne peut plus heureux de revenir à Hogwarts plus tôt que prévu. C'était en effet une occasion unique pour lui de passer les vacances à l'écart de tout, et plus particulièrement des Dursley, tout comme de ses amis. Il éprouvait le besoin de rester seul, et de penser à ce qu'il allait faire pour contrer Voldemort, sans pour autant risquer la vie des personnes qui lui étaient proches par la même occasion. La perte de Sirius était toujours aussi présente dans la tête de Harry, c'était le seul, avec Hermione, qui l'avait toujours soutenu quoi qu'il fasse, et quelles que soient les conséquences de ses actes. Certes, il voulait qu'Harry survive, et c'était pour cela qu'il était mort, en signe d'un dernier geste de bravoure et pour faire honneur à ses deux meilleurs amis, qui étaient morts à cause de lui. Mais maintenant, pensait Harry, Sirius est mort à cause de moi, pour me protéger, et la seule chose que je puisse faire est de tuer Voldemort ainsi que ses fidèles, pour venger l'honneur souillé par le Ministère et les Mangemorts de son parrain. Il voulait avant tout tuer Voldemort, pour que tous ces carnages s'arrêtent, mais aussi pour venger ses parents, qui étaient morts pour lui. Ce fut sur ces pensées que le jeune homme arriva dans le bureau de son directeur, où someillait Fumseck, sur son perchoir. L'oiseau était toujours aussi beau, et son plumage était magnifique et inaltéré, sauf à un endroit, où l'on pouvait voir que deux plumes avaient été enlevées.... Celle qui avait servi pour fabriquer la baguette d'Harry, et celle qui avait servi pour celle de Voldemort... Les baguettes jumelles, ayant servi l'une contre l'autre, dans le Priori Incantatem, à la fin de la derniere tâche, avant qu'Harry ne s'échappe.
Le directeur s'assit à son bureau et regarda Harry avec un air très sérieux, que l'on ne voyait apparaître sur le visage du vieux directeur que dans de très rares occasions. Il avait certainement quelque chose de très important à lui demander, où quelque chose de très important à lui annoncer. Harry s'assit donc en face du bureau directoral et regarda un instant son directeur, avant que celui-ci ne prenne la parole:
"-Harry, si tu es ici, à Hogwarts, c'est à cause de Lily et James Potter, tes parents, et de Sirius Black. En effet, chacun d'entre eux m'avait légalement désigné comme tuteur légal en cas de décès de l'un où l'autre, et ceci serait valable même au cas où ce seraient les Dursley qui étaient morts. Tu es donc sous ma tutelle désormais. C'est peut-être difficile à croire, mais c'est ainsi. Durant ces vacances, tu vas aller étudier, avec moi bien entendu, dans une salle spéciale qui se trouve dans Poudlard. Dans cette salle, le temps qui s'écoule est ralenti, en y passant 15 jours, c'est comme si tu passais 1 an à l'extérieur, et je compte sur le fait que nous allons y passer 2 ans tous les deux, pour que je puisse t'apprendre tout ce que je sais, pour que tu puisses enfin utiliser tes pouvoirs, immenses, je dois le dire... Pour tout t'avouer, tes pouvoirs sont largement aussi puissants que les miens, voire même plus, mais pour le moment, ceci est difficile à déterminer. Nous allons rentrer dans cette salle dès demain. Il ne te restera que 2 semaines de vacances après notre entraînement spécial. Vu ton jeune âge, il se peut que nous finissions de t'entraîner un peu avant le terme de ces deux ans. Vas à ton dortoir maintenant, il faut que tu sois en forme pour rentrer dans la salle, l'atmosphère y est très différente de ce que nous connaissons ici... Tu devras d'abord te débrouiller pendant 6 mois tout seul, puis ensuite, et seulement ensuite, je m'occuperai de toi. Vas maintenant, et si tu as des questions, tu me les poseras dans 6 mois, quand tu seras finalement prêt. Je sais que tu n'aimes pas entendre cela, Harry, dit le directeur en voyant que l'adolescent s'apprêtait à dire quelque chose tout en fronçant les sourcils. Mais tu verras que ce sera pour le mieux, tu comprendras alors quelle était ma position. Vas maintenant, le mot de passe de ta salle commune est "Griffo". "
Le jeune homme se leva, salua son directeur et partit en direction de la tour des Gryffondors... Ainsi les Dursley étaient morts... Cela ne lui faisait ni chaud ni froid, il n'était pas ravi de savoir qu'ils étaient morts, mais cela ne l'atteignait pas plus que ça... Après tout, ils avaient toujours tout fait pour rendre la vie du jeune homme invivable... Il n'aurait plus jamais à y retourner, et cela, il en était content. Il arriva rapidement devant la grosse dame, la salua, et lui donna le mot de passe que lui avait communiqué son directeur auparavant. Sa tête bouillonnait de questions qu'il aurait voulu poser au vieil homme, mais il allait devoir attendre six mois pour enfin pouvoir les poser. Il monta rapidement au dortoir des sixième année, qui, à sa grande surprise, était vraiment beaucoup plus grand que tous ceux qu'il avait pu avoir jusqu'ici. Il se dirigea vers sa malle, en sortit des parchemins et commença à écrire les questions qu'il voulait poser à son directeur, au cas où il ne s'en souviendrait pas dans les 6 mois à venir. Une fois qu'il eut fini cela, quelque chose piqua sa curiosité : comment étaient faits les dortoirs des filles?? Harry s'était souvent posé la question auparavant, mais n'avait jamais pu vérifier par lui-même, les dortoirs étant toujours pleins de filles prêtes à le lyncher si jamais il avait osé faire ne serait-ce qu'un pas dans le couloir et l'escalier qui leur était destiné. Harry partit donc, avec l'idée d'aller voir, mais, sa grande surprise, au moment où il allait monter dans les dortoirs, une grande cloison de pierre s'abattit devant ses yeux. Pestant, Harry chercha un moyen de dissiper cet obstacle innatendu mais n'y parvint pas. Il remonta donc dans son dortoir, en colère de ne pas avoir pu résoudre ce mystère... " Un jour je le saurai " se promit-il. Ce fut sur cette promesse faite à lui-même que le jeune homme s'endormit, quelque peu impatient d'aller dans cette fameuse salle, où il serait coupé du reste du monde pendant 6 mois... Que du bonheur en perspective! Il allait enfin pouvoir faire ce qui lui semblait bon sans avoir d'arrières pensées.
Quand Harry se réveilla ce matin là, il était très excité, il s'habilla donc très vite et se hâta de prendre toutes les affaires qui lui tenaient à coeur avant de les mettre dans un sac qu'il fit rapetisser grace à un sort. ("reducto!"). Il avait mis dans ce sac, sa cape d'invisibilité, tous ses derniers manuels scolaires, son balai, ainsi qu'un chaudron, au cas où il aurait à faire une potion contre un empoisonnement où une blessure quelconque. Il mit donc ce sac miniaturisé dans sa poche et se dépêcha d'aller vers la grande Salle, où le directeur l'attendait certainement. En effet, le vieil homme l'attendait, assis seul, à la table des professeurs. Tous les autres enseignants avaient dû rentrer chez eux et Rogue devait se terrer quelque part pour éviter de se faire découvrir par les Mangemorts ayant, maintenant que leur maître était revenu au pouvoir, repris leurs sombres activités en terrorisant et massacrant de pauvres gens innocents, des gens qui s'opposaient à leur maître, où encore des sorciers considérés comme impurs et ayant du sang de Muggle. Enfin bref, tout était redevenu comme avant qu'Harry ait renvoyé Voldemort se cacher la première fois, un royaume de terreur, où plus personne ne se faisait confiance, ce qui entraînait souvent des duels, entre personnes qui n'avaient rien à voir avec des Mangemorts, mais la suspicion était bien souvent celle qui l'emportait par rapport à la raison. Harry était heureux de pouvoir échapper à tout cela pendant 2 ans, cela allait lui faire du bien et il allait enfin pouvoir s'entraîner sérieusement pour pouvoir se battre éfficacement contre son ennemi juré, et exterminer ses Mangemorts. Le vieil homme, dès que son élève fut assis, claqua des doigts, et, aussitôt, de nombreux plats apparurent sur la table, permettant aux deux hommes de manger à leur faim. Une fois qu'ils eurent fini leur copieux repas, le vieil homme conduisit Harry devant une grande porte, fermée par un immense cadenas immunisé à toutes sortes de magies, et que seul Dumbledore pouvait ouvrir en touchant de son plein gré la serrure. Le système d'ouverture de cette porte était connu de chaque directeur de Hogwarts depuis la création du collège, un peu plus de 1000 ans auparavant. Quand la porte fut ouverte, le directeur se poussa, et invita Harry à rentrer dans la pièce. Ce dernier ne se fit pas prier, et eut juste le temps de se retourner et d'entendre un vague " à dans six mois" avant que la porte ne se referme et ne se revérouille magiquement. Quand Harry vit où il avait atterri, il eut un léger sourire. Une sorte de désert s'étendait devant lui, à sa droite se trouvait une immense jungle, a sa gauche se trouvait une montagne très haute, avec de la neige et des parois très abruptes. Quand il se retourna à nouveau, la porte avait disparu pour laisser la place à une grande plage de sable fin sur laquelle venaient s'écraser des vagues d'eau douce. Il était face au plus grand lac qu'il lui ait jamais été donné de voir. Celui-ci devait mesurer en superficie 3 à 4 fois plus que celui de Poudlard. Harry était toujours impressionné de voir tout ce qu'on pouvait faire avec de la Magie. Il choisir donc d'aller, pour le moment, vers la jungle , qui lui paraissait assez proche mais qui pourrait aussi lui fournir un abri substantiel en cas de pluie. En pensant à la pluie, Harry leva les yeux vers le ciel et ce qu'il vit le stupéfia: c'était un vrai ciel. Une fois qu'il fut arrivé à la lisière de la jungle, qui s'annonçait plus épaisse et peut-être aussi plus dangereuse que ce qu'il avait put immagineR. Il n'avait cependant pas l'intention de rebrousser chemin, et, tout en sortant sa baguette magique, il s'avança prudemment dans la végétation. Il
Il ne savait pas vraiment où aller et se décida à trouver, en premier lieu, un endroit pour établir son campement, un campement dont il aurait certainement besoin pour se reposer et entreposer ses objets. Il marcha ainsi pendant deux heures environ, sursautant à chaque craquement de brindilles. Il avait put s'apercevoir quelques minutes après s'être introduit dans la forêt que cette dernière était habitée de toutes sortes d'animaux. Il avait pu voir des insectes, des oiseaux, ainsi qu'une ombre furtive qu'Harry avait identifié comme une panthère. Il avait aisément pu identifier cet animal, car il avait toujours fasciné le jeune garçon, même alors qu'il était inconscient du fait qu'il était un sorcier. Sans qu'il ait jamais pu expliquer pourquoi, le jeune homme s'était toujours senti attiré par ce magnifique animal, qui disposait d'une souplesse et d'une puissance assez rare, même chez les animaux. Il avait même été tenté d'approcher le félin, mais s'était rendu compte que si la bête l'attaquait, il ne saurait pas vraiment comment réagir. C'était donc à contre-coeur qu'il avait repris, silencieusement, son chemin, en quête d'une sorte de petite clairière. Il en avait jusqu'ici vu plusieurs, mais qui étaient trop grandes, il aurait pu faire une cible facile en étant trop exposé. Ce fut sur ces réflexions, et au bord de l'épuisement, que Harry arriva sur une clairière qui illustrait parfaitement ce qu'il cherchait. Les arbres autour lui conféraient de l'ombre, tout en laissant passer, par-ci par-là, quelques rayons de soleil. Il se positionna donc au milieu de la clairière, et sortit le sac miniaturisé de sa poche. Il agita légèrement sa baguette en direction du récipient où il avait déposé ses affaires, alors que celui- ci s'agrandissait, pour prendre rapidement la taille qu'il avait à l'origine. Pendant un instant, Harry s'attendit à recevoir un hibou de la part du Service des Usages Abusifs de la Magie, qui ne le raterait pas, surtout après l'audience dont il avait écopé l'année précédente, pour s'être défendu contre des Dementors, que son "cher" professeur de DCFM, Mrs.Umbridge, travaillant au Ministère, lui avait gentiment envoyé "pour faire bouger les choses". Harry s'en était tiré à bon compte grâce à Dumbledore, qui était devenu son avocat le temps de l'audience. Une fois que ses affaires eurent toutes retrouvé leur taille normale, Harry leva sa baguette, et fit apparaître de fines cordelettes à ses pieds. Il leva à nouveau sa baguette, vers les arbres environnant cette fois-ci, en faisant décoller plusieurs. Harry les posa doucement par terre, et les coupa à l'aide du sort que Ron avait utilisé deux ans auparavant pour essayer de se débarasser des dentelles ornant sa "magnifique" robe de soirée. Une fois que les planches furent découpées au goût de Harry, ce dernier en mit certaines à la verticale, dressant un mur, et d'autres à l'horizontale, formant le futur plancher de la maison du jeune homme. Harry répéta plusieurs fois cette opération, et finit par obtenir une petite cabane à l'air accueuillant. Il découpa dans la maison plusieurs ouvertures, l'une pour la porte, et les autres pour les fenêtres. Il fit apparaître, d'un coup de baguette magique, des charnières, l'une sur la porte, et l'autre sur l'un des murs de la maison. Il prit les cordelettes qu'il avait fait apparaître auparavant et attacha ainsi la porte au mur. Certes, l'angle d'ouverture n'était pas parfait, mais ce n'était pas si mal pour voir qu'Harry avait fait cela rapidement. Il répéta l'opération sur les fenêtres, puis d'un geste de baguette magique, fit apparaître, au terme de longs efforts, une chaise pour qu'il puisse s'asseoir comme une personne qu'il estimait civilisée.
Il resta là pendant quelques minutes, cherchant à retrouver son souffle, et permettant à son esprit de tourner à toute vitesse... Il avait maintenant un abri, c'était bien, et il en était fier, mais comment allait- il faire pour savoir, parmis toutes les baies qu'il avait vu en cherchant sa clairière, lesquelles étaient commestibles?? Ce ne fut qu'au terme d'une longue réflexion qu'Harry se souvint qu'il était un sorcier, et que par conséquent, il pouvait faire apparaître diverses choses, et en ce cas là, de la nourritute. Harry se maudit de ne pas y avoir pensé avant, et sans plus attendre, il se mit à l'oeuvre. Faire apparaître des objets nécessitait, lorsqu'on y était pas encore habitué, une grande concentration... Peu de puissance magique suffisait pour faire apparaître des objets, mais la concentration était primordiale. Harry savait comment faire pour l'avoir lu, l'année précédente, en recherchant, à l'un de ses rares moments perdus de l'année, de nouvelles techniques à apprendre à ses membres du DA. Il était tombé sur cela par hasard, et, par curiosité, avait fini par lire toute la rubrique traitant de ce sujet. Hermione avait d'ailleurs été très fière de lui lorsqu'elle l'avait vu ainsi penché sur des livres, en train d'étudier. Il réussit bientôt à faire apparaître un sandwich devant lui, qu'il mangea à belles dents. Une fois qu'il fut un peu requinqué, il se concentra à nouveau pour faire apparaître, cette fois-ci, un lit, pour qu'il puisse se reposer, après la journée qu'il estimait comme plutôt dure. Heureusement qu'il était un sorcier, sinon, dieu seul sait ce qu'il aurait put advenir de lui dans un monde tel que celui-ci. Avant d'aller se coucher, toutefois, il fit apparaître des étagères de diverses formes, sur lesquelles il rangea toutes ses affaires, et plus particulièrement les manuels scolaires qu'il avait apporté avec lui. Il fit apparaître aussi à côte de son lit une table de chevet, pour qu'il puisse poser ses lunettes et ses livres. Il fit apparaître des bougies, flottant à mi-hauteur, pour éclairer un peu la pièce, maintenant qu'il avait fermé tout les volets et la porte à l'aider d'un sortilège. Sa maison était maintenant tout à fait inviolable, sauf pour un sorcier. Harry se coucha donc seulement une heure et demie après qu'il ait fait apparaître son lit, ses réserves magiques et physiques en ayant prit un sérieux coup après cette longue journée.
Et voilà, terminé le chapitre 3, je l'ai fait encore un peu plus long que le dernier, c'est donc le plus long que j'aie jamais écrit !! Ca se fête !! Garçon !! Champagne pour tout le monde !! Non alors blague à part, dites-moi ce que vous en pensez, que je sache si ça vaut vraiment la peine que je continue à écrire. C'est que pour vous, ça prend 5-10 minutes à lire, mais pour moi, ça fait une heure et quart à martyriser le clavier de mon pauvre ordinateur (enfin pour un chapitre de cette longueur, pour les chapitres que je poste pour mon autre fic, je mets beaucoup moins de temps pour écrire) enfin bon voilà , une review, ça ne met pas longtemps à écrire, et ça fait très plaisir à l'auteur, donc SVP appuyez sur le petit bouton en bas à gauche de votre écran !!! Merci ! Tcho^^ et à bientôt pour un nouveau chapitre.