Chapitre 11 : Le destin peut parfois s'acharner.

-Séverus ? Mais qu'est-ce que tu fais ici ? -Je n'allais tout de même pas te laisser prendre le risque de te faire tuer ! -Tu es venu nous aider ? -Erreur, je suis venu T'aider.

Constance l'embrassa fougueusement, le faisant défaillir un instant.

-Où sont les autres ? Demanda-t-il en restant accroupi à ses côtés. -Ils doivent être à leurs postes. Trois à l'intérieur, trois à l'extérieur, et les autres en train de se préparer à les empêcher d'entrer. -Et toi ? -Moi et toi, par la même occasion, nous devons faire comme si nous agissions avec nos chers petits copains les Mangemorts et aller avec eux quand ils seront arrivés. Nous sortirons ensuite du rang pour aller avec les autres. Et nous leur lançons ce petit objet magique qui leur empêche de transplaner ! Lui dit-elle en lui montrant une sorte de boule de pâte jaune. Tu aurais pu me dire que tu viendrais ! Ca aurait tout simplifié ! -Je préférais te faire l'effet de surprise. -Pour une surprise s'en est une ! Mais tu ne vas pas être content, mon frère est là ! -Je tâcherais de ne pas le croiser en route.

Constance regarda sa montre et se leva.

-Il est temps d'y aller mon amour. on a une petite bataille à livrer ! Lui dit-elle en le regardant.

Elle passa sa cape sur elle. Elle avait revêtu un pantalon comme elle l'avait dit et on aurait crû avoir à faire à un homme, cachée sous sa cape et sa cagoule. Séverus se leva à son tour et revêtit le même uniforme qu'elle. Ils virent bientôt plusieurs personnages identiques à eux se faufiler derrière des bâtiments et faire des signes discrets à ceux qui leur étaient proches. Ils se regroupèrent ensuite et avancèrent en direction du Ministère. Les sorciers et passants qui se trouvaient devant le bâtiment se mirent à hurler et à se sauver en voyant la douzaine d'hommes en noir avancer. Constance et Séverus restaient en arrière, la jeune femme regardant sous sa capuche les sorciers qui se tenaient prêts sur le côté. Elle leur fit un signe de la main discrètement et à ce moment- là, les membres de la Communauté de l'Ombre se débusquèrent et se rapprochèrent les Mangemorts. Constance fit signe à Séverus de la suivre et ils quittèrent le rang de leurs semblables pour se changer. Constance, à l'aide de sa baguette, transforma le costume de Séverus en un autre de couleur vert sombre. Elle se changea également et ils repartirent se joindre aux autres qui étaient en train de lancer des sortilèges contre les Mangemorts. Ceux qui étaient à l'intérieur du Ministère se joignirent à leurs compagnons et repoussèrent les Mangemorts qui étaient à présent encerclés. Tous jetèrent sur les Mangemorts des morceaux de pâte jaune sur les Mangemorts qui ne purent transplaner.

-Nous avons été trahis ! Il y a des traîtres parmi nous ! Lança l'un des Mangemorts.

Constance et Séverus encerclaient les Mangemorts eux aussi et lançaient des sortilèges alors que les serviteurs du Seigneur des Ténèbres se protégeaient à l'aide de sortilèges de protection. Séverus ne se priva pas pour tuer deux des Mangemorts qui lui faisaient dos. Mais ces derniers ne se firent pas prendre deux fois au jeu.

-Mangemorts, repoussez-les ! Lança le chef de la troupe que Constance et Séverus reconnurent sans peine. -Macnair. se dirent-ils.

Un sortilège vint frapper Constance sans qu'elle le voie arriver vers elle.

-Constance. lança Séverus en allant s'agenouiller à ses côtés. -Traîtres ! Mangemorts ! Les traîtres ! Tuez les Rogues !

Séverus regarda derrière lui et vit les Mangemorts qui regardaient dans leur direction, se prenant des sortilèges par moment. Il se tourna vers les membres de l'organisation et vit que l'un d'entre eux se rapprochait.

-Constance, est-ce que ça va ? -Je peux m'occuper de ma femme Eddy. va donc aider les autres. -Ecoute Séverus, c'est aussi ma s?ur et je dois en prendre soin. -Mais elle est ma femme et c'est à moi de m'en occuper ! -Arrêtez de vous battre tous les deux ! Je peux prendre soin de moi-même ! Lança Constance qui revenait à elle en se tenant la tête. -Tu vas bien ? Lui demanda Séverus. -Il faut tuer Macnair et les autres, ils savent qui nous sommes. -Les autres s'en occupent. lui dit Eddy. -Eddy, retourne avec eux. Séverus aussi. Je vais mieux. je vous assure ! -Tu es sûre ? -Oui. allez !

Séverus et Eddy se levèrent et la regardèrent un moment avant de repartir éliminer les derniers Mangemorts qui se recevaient des sortilèges de toute part. Constance se releva et partit rejoindre les autres. Elle tomba nez à nez avec l'un de ses faux confrères.

-Tu as trahis notre Maître ! Tu le paieras ! Lui dit celui-ci. -Pour le moment, c'est toi qui vas le payer !

Constance se baissa et le Mangemort se fit toucher par le sortilège mortel et s'écroula sur le sol à ses côtés. Le membre de la Communauté de l'Ombre s'approcha d'elle et lui parla.

-Il n'en reste plus que deux et je crois que ton mari et ton frère s'amusent avec eux. -Merci pour celui-là Drago. -Dommage que mon père ne soit pas là aujourd'hui ! -Tu veux le tuer ? Lui demanda Constance, choquée.

Elle-même ne voudrait pas tuer son père, bien qu'ils soient d'un côté opposé.

-Il ne se gênerait pas. -Ils ont terminé. Lui dit-elle en lui faisant signe de la tête.

Ils virent les deux derniers Mangemorts tomber à terre. Le sol était jonché des corps des dix Mangemorts qui avaient été tenus prisonniers de l'endroit où ils étaient à cause de la pâte ingénieusement inventée par les jumeaux Weasleys et qui leur vaudrait certainement un prix de la part du Ministère. Constance s'avança au milieu et alla rejoindre son époux qui se tenait devant le dernier Mangemort qu'il avait tué. Il souleva la capuche et découvrit Macnair.

-Il a bien failli nous faire prendre cet idiot ! Lui dit Constance en l'enlaçant par la taille. -Nous avons réussi ! Nous les avons tous tués ! Lança Eddy en accourant vers eux.

Les autres membres de la communauté s'approchèrent d'eux, sous les regards des sorciers qui ressortaient de leurs cachettes, le regard ébahi.

-Séverus, il faut qu'on aille voir Voldemort pour lui dire ce qu'il s'est passé. -Je sais. Il va trouver cela étrange qu'on soit tous les deux mais. -Justement, il dit tout le temps qu'on est ses meilleurs sujets. -Vous devriez y aller. Leur dit un des sorciers à leurs côtés.

Séverus et Constance acquiescèrent et se changèrent pour remettre leurs costumes noirs. Ils transplanèrent avant de se faire voir par les sorciers alentour. Ils arrivèrent non loin du repère de Voldemort et se regardèrent, sachant quoi faire pour la suite.

-Vas-y doucement quand même ! Lui dit Constance. -Je ne te ferais jamais de mal ma douce.

Il pointa sa baguette sur elle et lui lança un sortilège qui fit apparaître des plaies sur son visage et quelques parties de son corps.

-Aïe ! Tu m'as dit que tu ne me ferais pas mal ! -Tu es douillette ! Mais venges-toi sur moi, je t'en prie !

Constance le regarda et lui sourit avant de lui lancer le même genre de sortilège.

-Tu peux parler ! Lui dit-il en appuyant sur une plaie particulièrement douloureuse au niveau de l'épaule. -Il manque quelque chose.

Elle s'approcha de lui et lui arracha plusieurs parties de ses vêtements.

-Tu veux jouer à ça ?

Il fit de même avec elle et ils se retrouvèrent bientôt avec des costumes pratiquement déchirés et ensanglantés. Cela paraissait assez étrange comme comportement, mais c'était le seul moyen qu'ils avaient pour être assez convaincants avec Voldemort.

-On y va. lui dit-elle.

Ils se dirigèrent vers le repère de Voldemort et entrèrent. Arrivés devant la double porte, les gardes qui les virent dans cet état ne se firent pas prier pour leur ouvrir.

-Maître ! Maître ! Nous avons été trahis ! Lança Séverus en arrivant devant Voldemort.

Le Seigneur des Ténèbres se leva de son siège, et se dirigea vers eux.

-Que s'est-il passé ? Leur demanda-t-il, hors de lui. -Il y a eu une embuscade. les autres sont morts. nous avons réussi à leur échapper. Lui dit Constance en prenant une voix tremblante.

Un Mangemort fit son apparition derrière Voldemort et regarda Constance.

-Père ! Lança Constance en le reconnaissant. -Ma fille. qui t'as fait ça ?

Constance ne répondit pas et se contenta de baisser la tête.

-Eddy ! Il n'a quand même pas osé te faire ça ! Lui dit-il, énervé.

Elle ne répondit pas mais garda la tête baissée. Séverus comprit lorsque Voldemort disait qu'elle était douée dans son rôle d'espion. En tout cas, elle l'était pour la comédie.

-Ton fils a encore causé la mort de mes Serviteurs Erwing ! Tu vas me faire le plaisir de le trouver et de m'en débarrasser ! -Oui Maître. lui dit Erwing en baissant la tête.

Il s'approcha de Constance et posa sa main sur son épaule avant de quitter la pièce.

-Je suis vraiment fier de vous. Vous avez largement dépassé mes attentes et vous rachetez la déception que vous m'aviez faite il y a peu. Nous avons connu une perte importante aujourd'hui mais nous réussirons à nous débarrasser de cette bande de sorciers amateurs ! Rentrez chez vous et soignez ces plaies qui sont le symbole de votre loyauté envers votre Maître ! Vous serez récompensé très prochainement ! Nous nous revoyons le mois prochain, en espérant que vous m'apporterez ce que je souhaite ! -Tu n'as pas idée ! Se dit Constance en souriant intérieurement.

Constance et Séverus sortirent de la salle et gagnèrent l'extérieur. Ils préférèrent ne rien dire avant d'avoir transplané. Une fois qu'ils furent hors de danger, devant l'enceinte de Poudlard, Séverus l'enlaça fortement et l'embrassa.

-Tu es vraiment insouciante. Lui dit-il alors qu'ils reprenaient leur souffle après ce baiser fougueux. -Je sais. mais je ne peux pas faire autrement. Aouh ! Attention, tu appuies sur une plaie ! -Désolé. viens, allons nettoyer tout ça. -Tu as encore de ta potion qui cicatrise ? -Oui. et j'ai même autre chose qui va t'aider à récupérer. -Ah ? Lui dit-elle en le regardant d'un ?il malicieux.

Il la regarda à son tour et lui sourit. Ils rentrèrent à Poudlard, prenant garde de ne pas croiser d'élèves ou de professeurs.

Le mois passa rapidement pour eux, n'ayant pas de nouveaux contact avec l'une ou l'autre organisation. Constance était allé voir Harry, Ron et Hermoine devant leur salle commune pour les féliciter. Ils avaient été brillants sur ce coup-ci. Seules quelques égratignures étaient visibles sur leurs visages. Elle avait ensuite été voir Drago dans la salle commune des Serpentards, ayant eu le mot de passe par Séverus. C'était la première fois qu'elle y entrait sans son mari et les élèves furent étonnés de la voir là. Drago vint à sa rencontre et ils se dirigèrent vers un endroit isolé.

-C'était vraiment bien. lui dit-elle. -Je croyais que le professeur Rogue ne venait pas ? -Il l'a décidé à la dernière minute. -En tout cas, on aura la paix pendant un moment. Voldemort doit avoir la rage d'avoir perdu autant de ses membres. -Il n'avait pas l'air de se préoccuper de ça, plus du fait que l'on se soit fait trahir ! Il va même nous donner une récompense pour avoir réussi à nous en, sortir et avoir essayé de défendre notre camp ! -Il est vraiment aveuglé par son pouvoir ! -Oui. je ne sais pas quand aura lieue la prochaine attaque de Mangemort mais si cela marche aussi bien que celle-là, on a toutes les chances de réduire l'empire de Voldemort à néant. Je te laisse. j'ai des choses à faire. -Bonne journée. -Toi aussi.

Elle le quitta et alla retrouver Séverus dans son bureau. Elle le trouva tourné vers la fenêtre, l'ai pensif. Elle se glissa derrière lui et passa ses bras autour de sa taille.

-A quoi penses-tu ? Lui demanda-t-elle. -A la suite des événements. A ce qui va se passer pour nous. Lui dit-il en se retournant.

Il la regarda intensément et l'enlaça à son tour. Constance passa sa main sur sa joue et lui sourit.

-Ne t'inquiètes pas. je suis sûre que tout finira par s'arranger. Nous aurons bientôt quitté le côté de Voldemort et on pourra même le remercier. -Le remercier ? Pourquoi ? -De nous avoir fait nous rencontrer ! Après tout, son mariage forcé nous a plutôt rapprochés et sans savoir que nous agissions tous les deux pour la bonne cause ! -Tu as raison. -Dis-moi. Ca faisait longtemps que tu étais amoureux de moi ? -Comment ça ? -Je veux dire. tu étais amoureux de moi depuis longtemps ? -Je ne savais pas que c'était de l'amour au début, j'agissais plus en tant que protecteur avec toi. Mais depuis que tu m'avais embrassé le soir où. -Une minute ! Je ne t'ai jamais embrassé avant le soir où on a réellement compris ce qu'on ressentait. -Si, tu ne le sais pas mais quand tu étais ivre, tu m'as embrassée. Bien que ce ne soit pas un vrai baiser, mais j'ai commencé à ressentir réellement quelque chose pour toi à partir de ce moment là. Ca peut paraître idiot quand on sait que ce n'était pas un vrai baiser ! -Depuis ce temps ! Et moi qui croyais que je n'avais été que barboter dans le lac ! Qu'est-ce que j'ai fais d'autre ? -Rien à part vouloir aller voir les animaux dangereux dans la forêt, danser une valse et. dormir avec moi. -Dormir avec toi ? On le fait depuis le début. je ne vois pas ce qu'il y avait d'anormal ! -Sauf que là, tu étais pressée de dormir AVEC moi. Lui dit-il dans un sourire. -Ah ? Etonnant que je ne m'en souviennes pas ! -Il valait peut-être mieux que tu ne le saches pas. On ne serait peut-être pas ensemble aujourd'hui si je t'avais dis tout ça. le destin est parfois trop ancré pour qu'on le détourne. -Tu penses que c'est le destin qui a fait tout ce qu'on a vécu et qui nous a rapproché de la sorte ? -Le destin est capricieux mais je ne me plains pas de ce qu'il m'a apporté. -En espérant que ton destin, comme tu dis continue de nous être bénéfique ! -Je suis certain qu'il le sera.

Séverus se pencha vers elle et ils s'embrassèrent. Ils restèrent dans le bureau pendant un petit moment avant que Séverus ne parte pour sa prochaine heure de cours. Constance avait eu droit à une journée de repos offerte gracieusement par Adis qui revoyait l'implantation de la boutique. Elle passa donc sa journée à se reposer, se sentant plus fatiguée en ce moment sans raison apparente. Séverus la trouva même endormie sur le fauteuil de leur chambre quand il rentra de ses cours.

-Constance. Lui dit-il pour la réveiller.

La jeune femme se réveilla et le regarda.

-Je me suis assoupie deux minutes. -Deux minutes ? Depuis quelle heure ? -Je ne sais pas, il doit être quatre heures. -Il est six heures ma douce. -Je ne me suis pas rendu compte que j'avais dormi si longtemps. -Tu ne vas plus dormir ce soir si tu continues. -Et ça te poses un problème que je ne dorme pas ce soir ? Lui dit-elle dans un regard malicieux. -Moi oui, j'ai cours à la première heure demain ! -Mais moi aussi je travaille ! Ca n'empêche que si je ne suis pas fatiguée, je ne vais pas passer mon temps à faire des mots croisés.

Séverus leva les yeux au ciel et l'aida à se lever. Constance passa sa soirée à bailler, sous le regard étonné de Séverus.

-Tu vois que tu devrais dormir le soir ! -Le soir, je n'ai pas sommeil. c'est seulement dans la journée. -Et bien tu vas faire en sorte de dormir ce soir.

Constance se coucha et se butta à attendre Séverus quand il viendrait la rejoindre. Il resta toute la soirée dans son laboratoire, sachant qu'elle l'attendait. Mais sa fatigue risquait de lui poser des problèmes par la suite si elle se mettait à somnoler pendant son travail par exemple. Lorsqu'il se décida à aller la rejoindre, il la vit profondément endormie, calée contre l'oreiller de son époux, en position f?tale. Il se coucha à ses côtés et l'enlaça, celle-ci ne réveillant pas et se collant encore plus à lui. Il ne savait comment l'expliquer mais il avait un mauvais pressentiment. A quel sujet, il ne le savait pas mais il sentait que quelque chose se passait, quelque chose qui allait certainement apporter son lot de bouleversements autour de lui.

Le jour du 20 décembre, Constance et Séverus se rendirent au repère de Voldemort, comme promis. La jeune femme ne se sentait pas en forme comme depuis quelques jours, toujours autant fatiguée. Pomfresh lui avait donné une cure de vitamines qui n'avaient pas l'air de l'aider plus. Séverus la regardait, toujours aussi peu encline à la vivacité, repensant au pressentiment qui le gagnait de plus en plus. Pourtant c'était impossible, elle ne pouvait pas. Il avait ôter l'unique façon qu'ils avaient de pouvoir donner à Voldemort ce qu'il attendait d'eux.

-Bien, j'espère que cette fois-ci vous n'allez pas me décevoir ! Lança Voldemort aux époux lorsqu'ils furent devant lui. Je suis peut-être fier que vous ayez réussi à vous battre jusqu'au bout lors de cette embuscade de la part de cette organisation de pacotille, mais je ne vais pas rester patient bien longtemps concernant notre petite affaire. Constance, je te prie d'aller avec Mme Ierva. -Oui Maître. Lui dit Constance en s'inclinant.

Constance sortit dans la petite salle en compagnie de l'infirmière et Séverus se retrouva seul avec Voldemort.

-Séverus, j'ose espérer que tu as dis à ta charmante épouse de ne plus approcher son traître de frère ! -Absolument Maître. -Il vaut mieux pour elle, car si j'apprends qu'elle le contacte à nouveaux, je n'hésiterais pas à la garder près de moi. surtout si elle porte enfin ce que je désire. Il n 'est pas question que je la tue alors qu'elle est la seule qui puisse être la mère de mon descendant ! -Pardonnez-moi Maître, mais pourquoi ne demandez-vous pas à une autre femme de se joindre à nous ? -Pourquoi voudrais-je m'embarrasser d'un autre membre féminin alors que j'ai ici une personne qui peut assurer ce rôle ? Et Constance est la SEULE à pouvoir perpétrer la lignée de lord Voldemort. -Que voulez-vous dire ? -Cela ne te regarde pas. Dis-moi, lors de cette attaque qui a échouée, as- tu reconnu les membres de cette organisation -Non Maître, ils étaient masqués. Nous n'avons pas vu leurs visages. -Mais tu as bien une idée de ceux qui pouvaient en faire partie ? -A part le frère de Constance, je ne sais pas qui les composent. -Je suis certain que ce Potter les a rejoint. Il va falloir que tu l'espionne à Poudlard. Notter tous ses moindres faits et gestes, ses sorties imprévues. Tout ce que tu peux m'apporter à son sujet. Ce petit prétentieux s'imagine qu'il va réussir à m'anéantir, il se trompe. Ah ! Mais voilà Cosntance. Alors Ierva, j'espère que les nouvelles sont bonnes.

L'infirmière et Constance s'avancèrent vers Voldemort, cette dernière allant aux côtés de Séverus et lui lançant un regard qui signifiait qu'elle ne savait rien de plus. L'infirmière donna son résultat à l'oreille de Voldemort qui acquiesça. Il fit soudain un large rictus de satisfaction et Séverus sentit son c?ur se serrer.

-Et bien, je vois que vous avez enfin fait ce que j'attendais de vous ! Vois-tu Séverus, je me serrais douté que tu ferais quelque chose qui t'empêcherais d'avoir ta descendance, mais on ne trompe pas si facilement Lord Voldemort. Tu aurais dû écouter ta propre conscience en ne mangeant pas ces chocolats ! -Mais. qu'est-ce que ça veut dire ? Demanda Constance qui regardait Séverus et Voldemort tour à tour. -Simplement que tu portes le futur Seigneur des Ténèbres en toi ma chère Constance !

Merci beaucoup pour vos reviews, même si je n'ai pas répondu rapidement ! En fait je réponds dans les reviews, donc vous pouvez avoir quelques réponses à vos questions en lisant les reviews ! Et si je vais aussi vite c'est que j'en suis déjà au 16ème chapitre ! Je vais également mettre le début d'une autre histoire avec Sev -étant donné que c'est mon perso. Préféré ! et qui va être une fic R (pas la peine de se demander de quel genre de fic il s'agit !lol)