Chapitre 16 : Protection de l'enfant.
Merci encore pour les reviews ! N'est-ce pas qu'ils sont mimi tout plein notre nouvelle famille ? lol ! je m'égare là ! Oui il faut le dire, cela risque de se gâter rapidement pour eux, Voldi n'apprécie pas forcément qu'on se moque de lui ! Mais en attendant, je mets le chapitre 16, le 17 n'est pas encore terminé ! Donc, patience et bonne lecture ! Merci Will Snape pour tes nombreux mail ! Je te promet de faire vite pour la suite !
Séverus s'était entretenu avec Dumbledore concernant sa protection. Le vieil homme avait été rassurant.
- Je vous assure que la barrière autour de Poudlard empêche à toute personne mal intentionnée de franchir les grilles ou l'enceinte de l'école.
- Mais nous ne pourrons jamais sortir de l'école. Si nous la sortons d'ici, elle sera à la merci de Voldemort. Pour le moment, ce n'est pas grave et en espérant qu'il ne lui arrive rien durant plusieurs années, mais quand elle aura atteint l'âge où elle veut voir à quoi ressemble l'extérieur, nous ne pourrons pas toujours avoir un ?il sur elle. - Séverus, pour le moment, il faut faire en sorte de savoir où en est Voldemort. Eddy et Sirius parcourent le pays pour retrouver sa trace. Nous avons plusieurs éclaireurs qui nous contactent pour nous signaler tout signe de la part du Seigneur des Ténèbres. - Mais jusqu'à quand ? Je suis certain que Voldemort se cache quelque part, prêt à mettre la suite de son plan à exécution. Bien que ça ne soit pas un garçon, cela lui sera autant bénéfique puisqu'il pourra assurer la descendance de son clan. et il ne se privera pas pour lui faire prendre la potion maintenant. - Séverus, calmez-vous ! Je sais que vous voulez protéger votre fille, mais ce n'est pas en vous énervant que vous pourrez faire quelque chose. Je vous l'ai dit, nous continuons de rechercher Voldemort. Pour le moment, faites en sorte d'apporter à votre nouvelle famille ce dont elle a besoin et ne sombrez pas dans la paranoïa, ce n'est jamais bon pour un nouveau-né et votre jeune femme. Reprenez confiance en vous et profitez un peu de ce que vous venez de découvrir. Je vous contacterais quand j'aurais des nouvelles, ce n'est pas la peine de venir prendre des nouvelles tous les jours.
Dumbledore lui lança un regard amusé et le laissa sortir. Séverus sortit du bureau pour aller rejoindre sa femme. En chemin, il croisa Harry et Hermione qui ressortaient du couloir de l'infirmerie.
- Félicitations professeur. lui dirent-ils en continuant leur route.
Il balbutia un rapide merci et poursuivit son chemin. Il trouva Constance qui se préparait à prendre son repas alitée et sa fille encore et toujours dans ses bras. Séverus secoua la tête en souriant. Il la rejoignit et la regarda.
- Tu as l'intention de passer la nuit avec elle dans les bras ? - Elle avait envie de rester avec moi, elle n'a pas sommeil ! - C'est elle qui te l'as dit ? Et comment veux-tu qu'elle aie sommeil si tu la gardes dans les bras ? Donne la moi. - Je rêve ? Tu réclames ta fille ? - Qu'est-ce que ça veut dire ? - Juste que je ne te savais pas aussi attentionné aux bébés ! - C'est ma fille non ? Alors je m'en occupe ! Donne la moi.
Séverus lui prit l'enfant des bras et s'assit sur le siège à côté du lit. Constance entama son repas, Séverus lui racontant ce que Dumbledore lui avait dit. Constance était aussi inquiète que lui pour leur fille et se demandait ce qu'il adviendrait par la suite. Une fois son repas terminé, Constance reprit sa fille pour que Séverus puisse aller prendre son dîner à son tour.
Une semaine passa après la venue de Lisa dans le monde des sorciers. Constance était revenue dans les appartements qu'elle occupaient avec Séverus et leur fille était leur principale occupation lorsqu'ils étaient réunis tous les trois, bien que Constance l'avait avec elle toute la journée. Un soir où Séverus rentrait de ses cours, il ne trouva pas Constance dans la chambre, comme à leur habitude.
- Constance ? - Je suis dans la salle de bain.
Il alla donc dans la salle d'eau et la trouva en train de baigner Lisa. Séverus s'approcha de son épouse et l'embrassa.
- Comment s'est passé ta journée ? Lui demanda-t-elle. - Comme d'habitude. Et toi ? - Comme d'habitude ! Lui dit-elle en lui souriant. Regarde comme elle aime bien le bain. tu veux t'en occuper ? - Je ne. - Tu te débrouilleras très bien. Tiens, mets ton bras sous sa tête.
Constance lui montra l'art et la manière pour donner le bain à leur fille, car Séverus ne l'avait pas encore fait. Il ne s'occupait pas des soins corporels et encore moins du bain, n'étant pas très rassuré pour assurer cette tâche. Pourtant, il se révéla très habile dans son nouveau rôle de père et fut rassuré de voir qu'il le faisait convenablement, comme le lui disait Constance.
- Tu vois ! Je te l'avais dit que je t'apprendrais ton rôle de père ! Tu t'en sors très bien ! Tu peux la sortir, elle va attraper froid sinon. Lui dit-elle.
Séverus commença à partir de ce soir-là à prendre pleinement conscience de ce qu'était son véritable rôle, pas seulement celui de protecteur envers sa famille, mais également prendre soin de sa fille. Il s'était écoulé tellement de temps depuis la dernière fois où ils avaient été face à face avec Voldemort que tous les deux semblaient rabaisser leurs gardes. Pourtant, un soir, alors qu'ils se couchaient, Séverus et Constance la sentirent à nouveau. La Marque les brûlaient. Constance se releva rapidement du torse de Séverus et le regarda, affolée.
- Il nous appelle ! Séverus, il va venir chercher Lisa ! Lui dit-elle affolée. - Constance, calme-toi ! Il ne pourra pas entrer dans Poudlard, Dumbledore a renforcé les protections !
Constance se leva pourtant et alla vers le berceau où dormait paisiblement Lisa. Séverus se leva à son tour et alla à ses côtés avant qu'elle ne la lève de son lit.
- Constance ! Calme toi ! Je t'ai dit qu'il n'y a aucun danger ! Laisse Lisa dormir. Lui dit-il en la serrant contre lui alors qu'elle ne savait plus quoi penser. - Quand est-ce que tout ça sera terminé ? J'en ai assez ! Lui dit-elle en pleurant contre lui. - Je sais que c'est dur mais pense à une chose, si la Marque ne nous brûle que maintenant, cela signifie que Voldemort est revenu dans les parages et qu'il sera plus facile à repérer. Sirius et ton frère en sauront certainement plus maintenant. - Mais justement, s'il est revenu, il va chercher pas tous les moyens d'enlever Lisa. - Ne t'inquiètes pas. il ne la touchera pas, je te le promet. Lui dit-il en posant sa tête sur le sommet de son crâne.
Il la ramena avec lui dans le lit et se coucha avec elle. Il attendit qu'elle se soit endormie pour aller faire un tour dans les couloirs, pour s'aérer l'esprit. Avec un peu de chance, Dumbledore serait encore debout. Par chance, le vieux directeur était en train de boire son thé et l'invita par la même occasion.
- Elle nous a brûlé Albus. La Marque, elle nous a brûlé. Il est de retour dans le pays. Et il prépare certainement son plan pour s'emparer de Lisa. - Calmez-vous Séverus. Nous allons trouver une solution. Je suis sûr que Sirius et Eddy vont finir par revenir avec d'importantes nouvelles.
Séverus se laissa tomber sur l'un des fauteuils devant le bureau de Dumbledore et plaça sa tête entre ses mains. Le directeur s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule.
- J'ai peur Albus. je n'ai jamais eu aussi peur. Je me sens impuissant. Nous savons ce qu'il va se passer et nous ne pouvons rien faire. - Je sais Séverus. Il faut que vous retourniez auprès de Constance et Lisa. Elles ont besoin de vous. Cela ne sert à rien de vous morfondre. Je suis sûr que Sirius sera ici avec des nouvelles dès demain. Tâchez de vous reposer cette nuit.
Séverus passa une main sur son visage et se releva.
- Vous avez raison. Je passerai à la première heure. Bonne nuit Albus. - Bonne nuit Séverus.
Séverus sortit du bureau et repartit pour sa chambre. Il entendit les pleurs de Lisa et pressa le pas. Il trouva Constance en train d'essayer de la calmer, visiblement paniquée.
- Qu'est-ce qu'elle a ? Lui demanda-t-il en arrivant à ses côtés. - Elle s'est mise à pleurer. je ne t'ai pas vu. - Donne-la moi. Je vais essayer de la calmer. Retourne te coucher. - Tu dois te reposer aussi. - Je vais l'emmener avec moi, ça la calmera peut-être.
Constance le regarda un instant avant de lui tendre le bébé qui braillait toujours. Séverus embrassa sa femme avant qu'elle n'aille se coucher et sortit de la chambre, les pleurs de la petite fille retentissant toujours. Il la berça en avançant dans les couloirs et entra dans son bureau. Réveillé pour réveillé, autant s'occuper de sa fille sans empêcher sa mère de dormir. Il s'installa donc à son bureau et changea Lisa de bras. Elle pleurnichait à présent et Séverus en profita pour continuer de la bercer tout en feuilletant un grimoire de potions. Il savait qu'il y avait un moyen pour empêcher Voldemort de continuer son plan de la façon dont il l'entendait, mais cela était trop dangereux pour un bébé de cet âge. Elle ne supporterait pas la potion. La même potion que sa mère avait prise quand elle était enceinte et qui annulait également les effets de la potion d'accélération. Elle fonctionnait aussi comme "antipoison". Mais elle était trop puissante pour les enfants et encore plus pour les nouveaux nés. Séverus se sentait pris dans un étau et se sentait inutile. Il tenait sa fille contre lui mais pour combien de temps encore ? Tout était entre les mains de ses deux pires ennemis qui devraient lui dire où Voldemort se trouvait.
Il referma le grimoire, épuisé et regarda Lisa. Elle ne pleurait plus mais avait les yeux ouverts. Elle avait du mal à regarder droit devant elle à cause de la lumière qui l'aveuglait. Séverus la changea de place et plaça son visage au dessus du sien, afin qu'il soit dans son champ de vision.
- Dumbledore a raison, tu es aussi gracieuse que ta maman. et tu ne devrais pas être ici. mais je ne pourrais jamais te laisser entre les mains de ce monstre, tu n'es pas sa fille, c'est moi ton père et je promets que personne ne mettra la main sur toi.
La petite fille semblait boire les paroles de son père car elle fixait droit devant elle et gardait la bouche ouverte. Un petit rictus apparut à la commissure de ses lèvres, comme le début d'un sourire. Puis lentement, elle ferma les yeux et s'endormit dans les bras de son père. Séverus la cala confortablement et sortit de son bureau afin d'aller se coucher à son tour.
Le lendemain, Séverus se pressa d'aller trouver Dumbledore. Il sauta presque sur Sirius lorsqu'il le vit. (presque ? ^_^)
- Où est-il ? Lui demanda-t-il en l'attrapant par le col de sa cape. - Wow ! Du calme papa Rogue ! Ironisa Sirius en le repoussant. - Voyons Séverus ! Continua Dumbledore.
Séverus se recula et regarda Sirius d'un air impatient.
- Alors ? Demanda-t-il. - Eddy et moi, on a vu un groupe de Mangemorts qui.
La porte s'ouvrit et Constance entra, sa fille dans les bras.
- Constance. Je t'ai dit que je te dirais ce qu'il se passe. Lui dit Séverus en levant les yeux au ciel. - Tu m'excuses, mais c'est aussi de ma fille qu'il s'agit, j'ai le droit de savoir ce qu'il se passe. Alors Sirius, où en est-on ?
Sirius regardait la jeune femme et le bébé qu'elle tenait serré contre elle.
- Et bien, on ne peut pas dire qu'elle te ressemble beaucoup Rogue ! Ironisa-t-il.
Séverus se tourna rapidement vers lui et le dévisagea.
- Avise-toi de nous dire ce que tu as vu au lieu de raconter des débilités dont tu es le spécialiste ! - Mais je ne fais que constater. - Messieurs ! Il suffit ! Les coupa Dumbledore.
Sirius et Séverus se dévisagèrent un instant puis Sirius commença son rcit.
- Donc comme je le disais avant que cette charmante Constance ne nous interrompe.
Séverus respira bruyamment, ce qui ne gêna pas le moins du monde Sirius.
- Eddy et moi avons vu des Mangemorts qui faisaient quelques allées et venues du côté du repère de Voldemort. Mais lui n'était pas là en tout cas. Bref, Eddy les a suivi quand ils sont repartis et il m'a dit ce qu'il a vu. Apparemment, Voldemort se serrait caché dans un château du comté de Winchester. - Il doit bien se douter que nous surveillons ses faits et gestes. lui dit Constance. - Je m'en doute mais ses serviteurs n'avaient pas l'air de s'en soucier. - Il faut tout de même rester prudents. - J'irais là-bas. Annonça Séverus.
Tous se tournèrent vers lui, l'air surpris.
- Quoi ? Lui demanda Constance. - Je vais faire en sorte que Voldemort ne touche pas à Lisa. - Tu n'es pas sérieux ! Comment veux-tu éliminer Voldemort seul ? Il faut qu'on y aille avec la Communauté ! Lui dit Constance. - Si nous n'agissons pas rapidement, il va entrer de force dans Poudlard. - Séverus, Poudlard est protégé contre les attaques extérieures. Ne vous inquiétez pas. - Vous savez qu'il n'attendra pas que Lisa ait grandi pour l'atteindre ! - Écoute, je vais contacter Eddy pour que nous tentions de nous introduire dans le domaine et que l'on fasse une embuscade à Voldemort. Lui dit Constance. - Pas la peine, Ed' est resté là-bas. Je vais lui dire que nous allons nous réunir. Lui dit Sirius.
A peine avait-il dit cela qu'un corbeau entra par la fenêtre restée ouverte dans le bureau. L'oiseau se métamorphosa alors en homme.
- Eddy ! Lança Constance.
Eddy était blessé et s'écroula sur le sol. La jeune femme se précipita à ses côtés, donnant sa fille à Séverus et s'agenouilla à côté de son frère pour le retourner.
- Eddy ! Réveille-toi ! Lui dit-elle en le secouant.
Sirius s'approcha d'elle et tâta le pouls d'Eddy.
- Il vit encore, mais il faut l'emmener à l'infirmerie.
Soudain, Lisa se mit à pleurer, en même temps que Constance et Séverus ressentaient les effets de la Marque sur leur bras.
- Voldemort approche ! Lança Constance.
Dumbledore se rua hors du bureau, tendis que Sirius emportait Eddy jusqu'à l'infirmerie. Séverus se rapprocha de Constance, sa fille hurlant dans ses bras, et l'emmena hors du bureau.
- Viens. nous allons dans les cachots. - Séverus, il va nous trouver ! Commença à paniquer Constance. - Ne panique pas ! S'énerva Séverus. Allons en bas, je te dis que nous allons nous cacher.
Ils sortirent du bureau, Séverus tentant de calmer sa fille qui braillait de plus en plus à cause de la Marque qui devait certainement la brûler et l'état de panique dans lequel étaient ses parents.
En arrivant en bas, ils virent des élèves en train de courir et de se précipiter vers le hall d'entrée.
- Viens ! Lui dit Séverus en lui tendant la main.
Ils descendirent à leur tour et arrivèrent dans le hall où tous les élèves étaient réunis.
- Du calme ! Reprenez vos esprits ! Nous allons agir avec le plus grand calme ! Cela ne sert ç rien de paniquer ! Lança la voix de McGonagall qui se tenait devant la double porte de la grande salle.
Les élèves virent le professeur de potions avec sa fille dans les bras et qui pleurait, sa femme les suivant.
- Séverus ! Lança McGonagall.
Séverus et Constance se dirigèrent vers elle et virent que tous les professeurs étaient réunis là.
- Il faut aller dans les sous-terrain, mettre les élèves en sécurité. Les Mangemorts et leur Maître sont aux portes de l'école. et ils ont trouvé une faille dans le système de protection. le professeur Dumbledore est en train de veiller à les empêcher d'entrer avec Potter et ses amis. - Ils sont partis là-bas ! S'emporta Constance, inquiète. - Du calme ! Ils sont protégés par Dumbledore. Mais il faut que vous alliez avec les élèves. votre petite fille ne doit pas tomber dans les mains de Voldemort. Leur dit McGonagall.
Séverus tendis Lisa à Constance et la regarda.
- Va avec eux, je vais aller avec les autres pour repousser les Mangemorts.
- Non Séverus ! N'y va pas ! Lui dit Constance en serrant sa fille contre elle. - Tout se passera bien ! Il faut que tu gardes Lisa cachée et qu'elle ne tombe surtout pas entre les mains de Voldemort ! - Mais. - Je t'en prie. va avec les élèves et protège Lisa. Je te promets que tout ira bien ! Et tout sera vite fini.
Constance n'arrivait pas à bouger et le regardait avec appréhension. Séverus l'enlaça et l'embrassa. Il lui caressa la joue et lui sourit.
- Je te promet que je reviendrais. il faut que te y ailles. - Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose. - Il ne m'arrivera rien.
Une violente explosion les interrompit, faisant ressortir des cris de la part des élèves. Sirius descendit les marches, effrayant les élèves qui n'étaient pas au courant qu'il était ici, et se dirigea vers la sortie en regardant Séverus au passage.
- Rogue, il faut qu'on y aille !
Séverus regarda une dernière fois Constance et l'embrassa, déposa un rapide baiser sur le front de sa fille et sortit.
- Séverus ! Appela Constance, maintenant prise de sanglots. - Venez, nous allons vous mettre à l'abri avec les élèves. Lui dit McGonagall en la prenant par les épaules. - Non ! Prenez Lisa, il faut que j'aille les aider ! Lui dit Constance en lui tendant le bébé. - Quoi ? Mais. mais. vous . - S'il vous plaît ! Gardez-la bien cachée. je dois y aller ! Maman reviendra te chercher mon amour. Dit Constance à sa fille en l'embrassant sur la tête. (bah oui, elle allait pas dire ça à McGonagall on s'en doute ! ;P)
McGonagall se retrouva donc avec la fille de son collègue dans les bras et ne su quoi faire. Constance s'éloigna et sortit. Dehors, elle eut une vision cauchemardesque : tous les Mangemorts et leur Maître se tenaient devant l'enceinte de l'école, retenus par la barrière magique. Mais celle- ci semblait perdre de la puissance et elle ne continuerait pas son rôle de protection bien longtemps.
Merci encore pour les reviews ! N'est-ce pas qu'ils sont mimi tout plein notre nouvelle famille ? lol ! je m'égare là ! Oui il faut le dire, cela risque de se gâter rapidement pour eux, Voldi n'apprécie pas forcément qu'on se moque de lui ! Mais en attendant, je mets le chapitre 16, le 17 n'est pas encore terminé ! Donc, patience et bonne lecture ! Merci Will Snape pour tes nombreux mail ! Je te promet de faire vite pour la suite !
Séverus s'était entretenu avec Dumbledore concernant sa protection. Le vieil homme avait été rassurant.
- Je vous assure que la barrière autour de Poudlard empêche à toute personne mal intentionnée de franchir les grilles ou l'enceinte de l'école.
- Mais nous ne pourrons jamais sortir de l'école. Si nous la sortons d'ici, elle sera à la merci de Voldemort. Pour le moment, ce n'est pas grave et en espérant qu'il ne lui arrive rien durant plusieurs années, mais quand elle aura atteint l'âge où elle veut voir à quoi ressemble l'extérieur, nous ne pourrons pas toujours avoir un ?il sur elle. - Séverus, pour le moment, il faut faire en sorte de savoir où en est Voldemort. Eddy et Sirius parcourent le pays pour retrouver sa trace. Nous avons plusieurs éclaireurs qui nous contactent pour nous signaler tout signe de la part du Seigneur des Ténèbres. - Mais jusqu'à quand ? Je suis certain que Voldemort se cache quelque part, prêt à mettre la suite de son plan à exécution. Bien que ça ne soit pas un garçon, cela lui sera autant bénéfique puisqu'il pourra assurer la descendance de son clan. et il ne se privera pas pour lui faire prendre la potion maintenant. - Séverus, calmez-vous ! Je sais que vous voulez protéger votre fille, mais ce n'est pas en vous énervant que vous pourrez faire quelque chose. Je vous l'ai dit, nous continuons de rechercher Voldemort. Pour le moment, faites en sorte d'apporter à votre nouvelle famille ce dont elle a besoin et ne sombrez pas dans la paranoïa, ce n'est jamais bon pour un nouveau-né et votre jeune femme. Reprenez confiance en vous et profitez un peu de ce que vous venez de découvrir. Je vous contacterais quand j'aurais des nouvelles, ce n'est pas la peine de venir prendre des nouvelles tous les jours.
Dumbledore lui lança un regard amusé et le laissa sortir. Séverus sortit du bureau pour aller rejoindre sa femme. En chemin, il croisa Harry et Hermione qui ressortaient du couloir de l'infirmerie.
- Félicitations professeur. lui dirent-ils en continuant leur route.
Il balbutia un rapide merci et poursuivit son chemin. Il trouva Constance qui se préparait à prendre son repas alitée et sa fille encore et toujours dans ses bras. Séverus secoua la tête en souriant. Il la rejoignit et la regarda.
- Tu as l'intention de passer la nuit avec elle dans les bras ? - Elle avait envie de rester avec moi, elle n'a pas sommeil ! - C'est elle qui te l'as dit ? Et comment veux-tu qu'elle aie sommeil si tu la gardes dans les bras ? Donne la moi. - Je rêve ? Tu réclames ta fille ? - Qu'est-ce que ça veut dire ? - Juste que je ne te savais pas aussi attentionné aux bébés ! - C'est ma fille non ? Alors je m'en occupe ! Donne la moi.
Séverus lui prit l'enfant des bras et s'assit sur le siège à côté du lit. Constance entama son repas, Séverus lui racontant ce que Dumbledore lui avait dit. Constance était aussi inquiète que lui pour leur fille et se demandait ce qu'il adviendrait par la suite. Une fois son repas terminé, Constance reprit sa fille pour que Séverus puisse aller prendre son dîner à son tour.
Une semaine passa après la venue de Lisa dans le monde des sorciers. Constance était revenue dans les appartements qu'elle occupaient avec Séverus et leur fille était leur principale occupation lorsqu'ils étaient réunis tous les trois, bien que Constance l'avait avec elle toute la journée. Un soir où Séverus rentrait de ses cours, il ne trouva pas Constance dans la chambre, comme à leur habitude.
- Constance ? - Je suis dans la salle de bain.
Il alla donc dans la salle d'eau et la trouva en train de baigner Lisa. Séverus s'approcha de son épouse et l'embrassa.
- Comment s'est passé ta journée ? Lui demanda-t-elle. - Comme d'habitude. Et toi ? - Comme d'habitude ! Lui dit-elle en lui souriant. Regarde comme elle aime bien le bain. tu veux t'en occuper ? - Je ne. - Tu te débrouilleras très bien. Tiens, mets ton bras sous sa tête.
Constance lui montra l'art et la manière pour donner le bain à leur fille, car Séverus ne l'avait pas encore fait. Il ne s'occupait pas des soins corporels et encore moins du bain, n'étant pas très rassuré pour assurer cette tâche. Pourtant, il se révéla très habile dans son nouveau rôle de père et fut rassuré de voir qu'il le faisait convenablement, comme le lui disait Constance.
- Tu vois ! Je te l'avais dit que je t'apprendrais ton rôle de père ! Tu t'en sors très bien ! Tu peux la sortir, elle va attraper froid sinon. Lui dit-elle.
Séverus commença à partir de ce soir-là à prendre pleinement conscience de ce qu'était son véritable rôle, pas seulement celui de protecteur envers sa famille, mais également prendre soin de sa fille. Il s'était écoulé tellement de temps depuis la dernière fois où ils avaient été face à face avec Voldemort que tous les deux semblaient rabaisser leurs gardes. Pourtant, un soir, alors qu'ils se couchaient, Séverus et Constance la sentirent à nouveau. La Marque les brûlaient. Constance se releva rapidement du torse de Séverus et le regarda, affolée.
- Il nous appelle ! Séverus, il va venir chercher Lisa ! Lui dit-elle affolée. - Constance, calme-toi ! Il ne pourra pas entrer dans Poudlard, Dumbledore a renforcé les protections !
Constance se leva pourtant et alla vers le berceau où dormait paisiblement Lisa. Séverus se leva à son tour et alla à ses côtés avant qu'elle ne la lève de son lit.
- Constance ! Calme toi ! Je t'ai dit qu'il n'y a aucun danger ! Laisse Lisa dormir. Lui dit-il en la serrant contre lui alors qu'elle ne savait plus quoi penser. - Quand est-ce que tout ça sera terminé ? J'en ai assez ! Lui dit-elle en pleurant contre lui. - Je sais que c'est dur mais pense à une chose, si la Marque ne nous brûle que maintenant, cela signifie que Voldemort est revenu dans les parages et qu'il sera plus facile à repérer. Sirius et ton frère en sauront certainement plus maintenant. - Mais justement, s'il est revenu, il va chercher pas tous les moyens d'enlever Lisa. - Ne t'inquiètes pas. il ne la touchera pas, je te le promet. Lui dit-il en posant sa tête sur le sommet de son crâne.
Il la ramena avec lui dans le lit et se coucha avec elle. Il attendit qu'elle se soit endormie pour aller faire un tour dans les couloirs, pour s'aérer l'esprit. Avec un peu de chance, Dumbledore serait encore debout. Par chance, le vieux directeur était en train de boire son thé et l'invita par la même occasion.
- Elle nous a brûlé Albus. La Marque, elle nous a brûlé. Il est de retour dans le pays. Et il prépare certainement son plan pour s'emparer de Lisa. - Calmez-vous Séverus. Nous allons trouver une solution. Je suis sûr que Sirius et Eddy vont finir par revenir avec d'importantes nouvelles.
Séverus se laissa tomber sur l'un des fauteuils devant le bureau de Dumbledore et plaça sa tête entre ses mains. Le directeur s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule.
- J'ai peur Albus. je n'ai jamais eu aussi peur. Je me sens impuissant. Nous savons ce qu'il va se passer et nous ne pouvons rien faire. - Je sais Séverus. Il faut que vous retourniez auprès de Constance et Lisa. Elles ont besoin de vous. Cela ne sert à rien de vous morfondre. Je suis sûr que Sirius sera ici avec des nouvelles dès demain. Tâchez de vous reposer cette nuit.
Séverus passa une main sur son visage et se releva.
- Vous avez raison. Je passerai à la première heure. Bonne nuit Albus. - Bonne nuit Séverus.
Séverus sortit du bureau et repartit pour sa chambre. Il entendit les pleurs de Lisa et pressa le pas. Il trouva Constance en train d'essayer de la calmer, visiblement paniquée.
- Qu'est-ce qu'elle a ? Lui demanda-t-il en arrivant à ses côtés. - Elle s'est mise à pleurer. je ne t'ai pas vu. - Donne-la moi. Je vais essayer de la calmer. Retourne te coucher. - Tu dois te reposer aussi. - Je vais l'emmener avec moi, ça la calmera peut-être.
Constance le regarda un instant avant de lui tendre le bébé qui braillait toujours. Séverus embrassa sa femme avant qu'elle n'aille se coucher et sortit de la chambre, les pleurs de la petite fille retentissant toujours. Il la berça en avançant dans les couloirs et entra dans son bureau. Réveillé pour réveillé, autant s'occuper de sa fille sans empêcher sa mère de dormir. Il s'installa donc à son bureau et changea Lisa de bras. Elle pleurnichait à présent et Séverus en profita pour continuer de la bercer tout en feuilletant un grimoire de potions. Il savait qu'il y avait un moyen pour empêcher Voldemort de continuer son plan de la façon dont il l'entendait, mais cela était trop dangereux pour un bébé de cet âge. Elle ne supporterait pas la potion. La même potion que sa mère avait prise quand elle était enceinte et qui annulait également les effets de la potion d'accélération. Elle fonctionnait aussi comme "antipoison". Mais elle était trop puissante pour les enfants et encore plus pour les nouveaux nés. Séverus se sentait pris dans un étau et se sentait inutile. Il tenait sa fille contre lui mais pour combien de temps encore ? Tout était entre les mains de ses deux pires ennemis qui devraient lui dire où Voldemort se trouvait.
Il referma le grimoire, épuisé et regarda Lisa. Elle ne pleurait plus mais avait les yeux ouverts. Elle avait du mal à regarder droit devant elle à cause de la lumière qui l'aveuglait. Séverus la changea de place et plaça son visage au dessus du sien, afin qu'il soit dans son champ de vision.
- Dumbledore a raison, tu es aussi gracieuse que ta maman. et tu ne devrais pas être ici. mais je ne pourrais jamais te laisser entre les mains de ce monstre, tu n'es pas sa fille, c'est moi ton père et je promets que personne ne mettra la main sur toi.
La petite fille semblait boire les paroles de son père car elle fixait droit devant elle et gardait la bouche ouverte. Un petit rictus apparut à la commissure de ses lèvres, comme le début d'un sourire. Puis lentement, elle ferma les yeux et s'endormit dans les bras de son père. Séverus la cala confortablement et sortit de son bureau afin d'aller se coucher à son tour.
Le lendemain, Séverus se pressa d'aller trouver Dumbledore. Il sauta presque sur Sirius lorsqu'il le vit. (presque ? ^_^)
- Où est-il ? Lui demanda-t-il en l'attrapant par le col de sa cape. - Wow ! Du calme papa Rogue ! Ironisa Sirius en le repoussant. - Voyons Séverus ! Continua Dumbledore.
Séverus se recula et regarda Sirius d'un air impatient.
- Alors ? Demanda-t-il. - Eddy et moi, on a vu un groupe de Mangemorts qui.
La porte s'ouvrit et Constance entra, sa fille dans les bras.
- Constance. Je t'ai dit que je te dirais ce qu'il se passe. Lui dit Séverus en levant les yeux au ciel. - Tu m'excuses, mais c'est aussi de ma fille qu'il s'agit, j'ai le droit de savoir ce qu'il se passe. Alors Sirius, où en est-on ?
Sirius regardait la jeune femme et le bébé qu'elle tenait serré contre elle.
- Et bien, on ne peut pas dire qu'elle te ressemble beaucoup Rogue ! Ironisa-t-il.
Séverus se tourna rapidement vers lui et le dévisagea.
- Avise-toi de nous dire ce que tu as vu au lieu de raconter des débilités dont tu es le spécialiste ! - Mais je ne fais que constater. - Messieurs ! Il suffit ! Les coupa Dumbledore.
Sirius et Séverus se dévisagèrent un instant puis Sirius commença son rcit.
- Donc comme je le disais avant que cette charmante Constance ne nous interrompe.
Séverus respira bruyamment, ce qui ne gêna pas le moins du monde Sirius.
- Eddy et moi avons vu des Mangemorts qui faisaient quelques allées et venues du côté du repère de Voldemort. Mais lui n'était pas là en tout cas. Bref, Eddy les a suivi quand ils sont repartis et il m'a dit ce qu'il a vu. Apparemment, Voldemort se serrait caché dans un château du comté de Winchester. - Il doit bien se douter que nous surveillons ses faits et gestes. lui dit Constance. - Je m'en doute mais ses serviteurs n'avaient pas l'air de s'en soucier. - Il faut tout de même rester prudents. - J'irais là-bas. Annonça Séverus.
Tous se tournèrent vers lui, l'air surpris.
- Quoi ? Lui demanda Constance. - Je vais faire en sorte que Voldemort ne touche pas à Lisa. - Tu n'es pas sérieux ! Comment veux-tu éliminer Voldemort seul ? Il faut qu'on y aille avec la Communauté ! Lui dit Constance. - Si nous n'agissons pas rapidement, il va entrer de force dans Poudlard. - Séverus, Poudlard est protégé contre les attaques extérieures. Ne vous inquiétez pas. - Vous savez qu'il n'attendra pas que Lisa ait grandi pour l'atteindre ! - Écoute, je vais contacter Eddy pour que nous tentions de nous introduire dans le domaine et que l'on fasse une embuscade à Voldemort. Lui dit Constance. - Pas la peine, Ed' est resté là-bas. Je vais lui dire que nous allons nous réunir. Lui dit Sirius.
A peine avait-il dit cela qu'un corbeau entra par la fenêtre restée ouverte dans le bureau. L'oiseau se métamorphosa alors en homme.
- Eddy ! Lança Constance.
Eddy était blessé et s'écroula sur le sol. La jeune femme se précipita à ses côtés, donnant sa fille à Séverus et s'agenouilla à côté de son frère pour le retourner.
- Eddy ! Réveille-toi ! Lui dit-elle en le secouant.
Sirius s'approcha d'elle et tâta le pouls d'Eddy.
- Il vit encore, mais il faut l'emmener à l'infirmerie.
Soudain, Lisa se mit à pleurer, en même temps que Constance et Séverus ressentaient les effets de la Marque sur leur bras.
- Voldemort approche ! Lança Constance.
Dumbledore se rua hors du bureau, tendis que Sirius emportait Eddy jusqu'à l'infirmerie. Séverus se rapprocha de Constance, sa fille hurlant dans ses bras, et l'emmena hors du bureau.
- Viens. nous allons dans les cachots. - Séverus, il va nous trouver ! Commença à paniquer Constance. - Ne panique pas ! S'énerva Séverus. Allons en bas, je te dis que nous allons nous cacher.
Ils sortirent du bureau, Séverus tentant de calmer sa fille qui braillait de plus en plus à cause de la Marque qui devait certainement la brûler et l'état de panique dans lequel étaient ses parents.
En arrivant en bas, ils virent des élèves en train de courir et de se précipiter vers le hall d'entrée.
- Viens ! Lui dit Séverus en lui tendant la main.
Ils descendirent à leur tour et arrivèrent dans le hall où tous les élèves étaient réunis.
- Du calme ! Reprenez vos esprits ! Nous allons agir avec le plus grand calme ! Cela ne sert ç rien de paniquer ! Lança la voix de McGonagall qui se tenait devant la double porte de la grande salle.
Les élèves virent le professeur de potions avec sa fille dans les bras et qui pleurait, sa femme les suivant.
- Séverus ! Lança McGonagall.
Séverus et Constance se dirigèrent vers elle et virent que tous les professeurs étaient réunis là.
- Il faut aller dans les sous-terrain, mettre les élèves en sécurité. Les Mangemorts et leur Maître sont aux portes de l'école. et ils ont trouvé une faille dans le système de protection. le professeur Dumbledore est en train de veiller à les empêcher d'entrer avec Potter et ses amis. - Ils sont partis là-bas ! S'emporta Constance, inquiète. - Du calme ! Ils sont protégés par Dumbledore. Mais il faut que vous alliez avec les élèves. votre petite fille ne doit pas tomber dans les mains de Voldemort. Leur dit McGonagall.
Séverus tendis Lisa à Constance et la regarda.
- Va avec eux, je vais aller avec les autres pour repousser les Mangemorts.
- Non Séverus ! N'y va pas ! Lui dit Constance en serrant sa fille contre elle. - Tout se passera bien ! Il faut que tu gardes Lisa cachée et qu'elle ne tombe surtout pas entre les mains de Voldemort ! - Mais. - Je t'en prie. va avec les élèves et protège Lisa. Je te promets que tout ira bien ! Et tout sera vite fini.
Constance n'arrivait pas à bouger et le regardait avec appréhension. Séverus l'enlaça et l'embrassa. Il lui caressa la joue et lui sourit.
- Je te promet que je reviendrais. il faut que te y ailles. - Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose. - Il ne m'arrivera rien.
Une violente explosion les interrompit, faisant ressortir des cris de la part des élèves. Sirius descendit les marches, effrayant les élèves qui n'étaient pas au courant qu'il était ici, et se dirigea vers la sortie en regardant Séverus au passage.
- Rogue, il faut qu'on y aille !
Séverus regarda une dernière fois Constance et l'embrassa, déposa un rapide baiser sur le front de sa fille et sortit.
- Séverus ! Appela Constance, maintenant prise de sanglots. - Venez, nous allons vous mettre à l'abri avec les élèves. Lui dit McGonagall en la prenant par les épaules. - Non ! Prenez Lisa, il faut que j'aille les aider ! Lui dit Constance en lui tendant le bébé. - Quoi ? Mais. mais. vous . - S'il vous plaît ! Gardez-la bien cachée. je dois y aller ! Maman reviendra te chercher mon amour. Dit Constance à sa fille en l'embrassant sur la tête. (bah oui, elle allait pas dire ça à McGonagall on s'en doute ! ;P)
McGonagall se retrouva donc avec la fille de son collègue dans les bras et ne su quoi faire. Constance s'éloigna et sortit. Dehors, elle eut une vision cauchemardesque : tous les Mangemorts et leur Maître se tenaient devant l'enceinte de l'école, retenus par la barrière magique. Mais celle- ci semblait perdre de la puissance et elle ne continuerait pas son rôle de protection bien longtemps.
