Bonjour ! Voici le 14e chapitre, celui que vous attendiez. j'vous avertis,
c'est mon meilleur chapitre d'apres moi jusqu'à maintenant ! Continuez de
reviewer, c'est tres apprécié !
Chapitre 14
La fuite
Voldemort était en face lui, il le regardait en souriant et leva sa baguette dans les airs. Harry retenait Hermione derrière lui et ne voulait pas qu'elle fasse un geste, c'était trop dangereux. Harry vit un corps par terre devant eux, il n'arrivait pas à reconnaître qui était là, il voyait une robe noire et du roux dans les cheveux. Il se réveilla en sursaut, il se tenait le front mais à sa grande surprise il n'avait pas mal. Lorsqu'il se regarda les mains, il vit du sang et compris que sa cicatrice l'avertissait d'un danger encore plus grand. Il regarda par la fenêtre et vit au loin Hedwige, sa chouette qui tenait une lettre dans son bec. Elle vint la déposer dans les mains d'Harry et il lui donna des biscuits. Il regarda rapidement et reconnu l'écriture de son parrain.
Cher Harry,
Il y a des choses étranges qui se passent, il n'y a plus personne en
sécurité. Hier une vingtaine de moldus ont été tués par une explosion
provoquée par des mangemorts avec un sort de destruction, ce matin une
sorcière qui écrit dans la Gazette des Sorciers a été trouvée morte, elle
était à quelques kilomètres de Poudlard. Tu dois quitter l'école Harry,
vient me retrouver dans Pré-au-lard, tout le monde est en danger mais
peut-être Voldemort va lâcher l'école si tu te trouves ailleurs. Il peut
sentir où tu es. Donnes moi de tes nouvelles bientôt, le temps est
compté.
Sirius
Harry tremblait en relisant le mot de son parrain, décidément Voldemort avait décidé de passer rapidement à l'acte et le temps était donc venu. Il se laissa tomber lourdement sur son lit, il ne savait pas quoi faire. Il était impensable de rester ici et de risquer la mort des élèves mais il était encore plus impensable de quitter ce lieu, sa « maison », ses professeurs, ses amis, Ron, Hermione ! Il se frappa la tête et pensait à Hermione, elle était en danger, encore plus que le restant des élèves dans cette école, car elle était son amour. Il n'avait jamais pu lui déclarer tout cela car il pensait à toutes sortes de choses, ils avaient failli s'embrasser une fois mais Harry ne savait plus ce qu'il fallait faire : entraîner Hermione avec lui en lui disant qu'il l'aime ou se taire à jamais et la laisser vivre une vie paisible ? C'était trop difficile, il aurait voulu avoir Voldemort devant lui et pouvoir le tuer à l'instant mais il savait qu'il était beaucoup plus faible que lui.
Harry descendit dans la Grande Salle et ne parlait pas beaucoup, il regardait ses amis comme si c'était la dernière fois qu'il les voyait. Hermione ne le lâchait pas du regard, elle avait compris que quelque chose se passait mais elle ne savait pas quoi faire. Le reste de la journée fut horrible, Harry écoutait à peine dans ses cours et il regardait sans cesse autour de lui au lieu de suivre dans ses livres et d'écouter ce que les professeurs avaient à dire.
Hermione se rendit directement dans son dortoir à la fin de la journée, elle regardait par la fenêtre et elle maudissait contre la forêt interdite. Elle savait que Voldemort y était et qu'il voudrait sans doute attaquer, que Harry était en danger plus que jamais. Elle aurait voulu le prendre dans ses bras, le serrer fort contre elle, l'embrasser, lui parler. Elle s'assied dans son lit et prit le collier avec un c?ur doré qu'Harry lui avait donné avant le bal de Noël. Elle l'approcha et l'embrassa, elle le serrait fort contre son c?ur et des larmes coulaient sur ses joues. Elle prit la photo qui était sur sa table de chevet avec Harry et elle enlacés dessus lors du bal de Noël et son sourire lui faisait mal. Elle pleurait et dit tout haut :
Oh Harry, si seulement tu savais.
Savoir quoi, répondit une voix derrière elle. Quelqu'un lui avait mis la main sur l'épaule. Elle se retourna vivement et le vit devant elle.
Il portait une robe de sorcier, la même qu'il avait mis au bal de Noël
et il avait une valise dans ses mains. Il avait emporté son balais et
semblait découragé. Elle lui sourit et se leva pour mieux le regarder.
Oh Harry ne me fais plus jamais peur comme ça, lui dit-elle.
Ne t'en fais pas, répondit-il avec de la douleur dans sa voix déchirée. Je suis venue te dire au revoir. pour toujours.
Hermione le regarda l'air incrédule, elle n'avait pas bien compris le sens de ses mots, elle ne le croyait pas. « Ne t'en va pas, pensa-t-elle, j'ai besoin de toi, nous allons y arriver. Harry, ne me quittes pas ». Des larmes lui coulaient à nouveau sur les joues. Harry s'approcha d'elle et lui essuya les yeux.
Je m'en vais. Poudlard n'est plus un lieu sur, je ne dois pas vous mettre encore plus en danger que vous ne l'êtes.
Harry, Hermione tremblait, ne t'en va pas, s'il te plaît.
Je n'ai pas le choix Hermione, tous les gens que j'aime autour de moi vont y passer et je ne veux pas que tout cela arrive, encore moins à toi.
Oh Harry, Hermione lui prit le bras, c'est dangereux d'être loin de moi, nous devons être ensemble.
Il s'approcha d'elle et se pencha légèrement et lui donna des baisers dans le cou. Elle ferma les yeux, elle savait que bientôt Harry allait être loin, loin d'elle.
Hermione je dois savoir ce que tu ressens pour moi, dit Harry. C'est important.
Elle ne bougeait pas mais elle savait que c'était le bon moment, elle n'avait plus le choix.
Oh Harry, dit-elle, tu ne t'en est jamais douté ?
Non, dit Harry en se grattant le derrière de sa tête, tu as toujours fui, on n'a jamais pu en parler, je n'ai jamais vraiment pu savoir.
Hermione pleurait de plus belle, elle le regardait droit dans les yeux. Elle s'accrochait à son regard pour ne pas rêver, pour ne pas douter de lui.
Es-tu aveugle ? Sourd ? Je t'aime depuis la première seconde où je t'ai vu, dit Hermione en rougissant. J'ai tenté plusieurs fois de te le dire mais il y a toujours quelque chose qui arrivait pour m'en empêcher.
Harry ne dit pas un mot, il pencha la tête et l'embrassa lentement. Il se releva et la regarda dans les yeux. Il lui souriait et elle faisait de même. Elle l'approcha à nouveau et lui rendit son baiser, plus long et plus passionné.
Je t'aime aussi, dit Harry en reprenant son souffle. C'est tellement difficile d'avoir à partir, de te laisser seule ici derrière moi mais c'est mieux comme ça.
Ne pars pas, dit Hermione en le retenant. J'ai besoin de toi Harry. Rien ne nous arrivera ici.
Je n'ai pas le choix, dit Harry en lui caressant les joues et en l'embrassant timidement.
Tu as toujours le choix. reste !
Harry était déchiré, il avait plus le désir de rester que la volonté de partir. Il tenait Hermione dans ses bras, il était incapable de la laisser. Il aurait voulu que tout se termine ici, que tout cela n'était qu'un cauchemar.
Reste au moins pour la nuit, disait Hermione qui l'étreignait encore plus fort.
Non, dit Harry, les secondes sont comptées, désolé. Il était essoufflé, il pleurait, je ne voulais pas venir ici et te donner plein d'espoir.
C'est trop tard, répondit Hermione en se laissant tomber à genoux.
Harry se sépara d'elle, la quitter lui faisait l'effet d'une douche froide il aurait voulu pour rien au monde lui faire de la peine. Il prit ses affaires et monta sur son balais, il avait presque enjambé la fenêtre et pouvait entendre Hermione qui pleurait encore plus fort et criait son nom. Elle s'était étendue sur son lit et frappait son oreiller. Il fronça les sourcils et se retourna, lança ses affaires dans le coin de la pièce et couru vers elle. Il l'enlaça tendrement et l'embrassa furtivement.
Ok, dit-il, je vais passer la nuit, ensuite je verrai.
Merci, dit Hermione en lui souriant et essuyant ses larmes.
Cela aurait été tellement plus facile si Voldemort n'avait pas existé, si mes parents étaient toujours vivant ! Je n'aime pas ma vie, dit Harry en se frappant le front.
Si tu avais été quelqu'un d'autre, si tes parents n'étaient pas mort, je ne t'aimerais pas Harry Potter, dit Hermione en le serrant.
Il la regarda tendrement, elle avait une manche qui était descendue de son épaule et montrait une partie de son corps. Harry la trouvait plus belle que jamais, il replaça sa robe de chambre et lui caressait le cou en l'embrassant. Hermione aurait voulu rester ainsi toute sa vie, elle avait réussi à lui dire qu'elle l'aimait et surtout, il l'aimait elle aussi. Hermione se pencha sur son épaule, lui prit la main et s'endormit en souriant.
À son réveil , elle était seule, Harry était parti au loin. Elle se demandait si elle n'avait pas rêvé mais le mot sur sa table de chevet lui confirmait que non. Elle était triste, encore plus que la veille et ses yeux déjà rouges se remirent à verser des larmes. Elle prit le papier et l'ouvrit en tremblant, voulant que chaque mot reste gravé dans son c?ur.
Hermione,
Je suis désolé, j'ai du partir. Je ne pouvais pas me permettre de te
mettre encore plus en danger. Avant de partir, je t'ai regardé de la
fenêtre, telle un ange qui souriait. Je t'aime, ne l'oublie jamais.
Harry
Elle lança son oreiller vers la fenêtre qui était fermée et elle ne pouvait s'empêcher d'avoir peur. Son amour était loin d'elle et il risquait sa vie à tout moment. Elle se releva et ouvrit la fenêtre en demandant ouvertement :
Est-ce que je vais te revoir Harry ? Mon c?ur le désire plus que tout au monde.
Elle se laissa tomber à nouveau sur son lit, épuisée et déchirée.
Chapitre 14
La fuite
Voldemort était en face lui, il le regardait en souriant et leva sa baguette dans les airs. Harry retenait Hermione derrière lui et ne voulait pas qu'elle fasse un geste, c'était trop dangereux. Harry vit un corps par terre devant eux, il n'arrivait pas à reconnaître qui était là, il voyait une robe noire et du roux dans les cheveux. Il se réveilla en sursaut, il se tenait le front mais à sa grande surprise il n'avait pas mal. Lorsqu'il se regarda les mains, il vit du sang et compris que sa cicatrice l'avertissait d'un danger encore plus grand. Il regarda par la fenêtre et vit au loin Hedwige, sa chouette qui tenait une lettre dans son bec. Elle vint la déposer dans les mains d'Harry et il lui donna des biscuits. Il regarda rapidement et reconnu l'écriture de son parrain.
Cher Harry,
Il y a des choses étranges qui se passent, il n'y a plus personne en
sécurité. Hier une vingtaine de moldus ont été tués par une explosion
provoquée par des mangemorts avec un sort de destruction, ce matin une
sorcière qui écrit dans la Gazette des Sorciers a été trouvée morte, elle
était à quelques kilomètres de Poudlard. Tu dois quitter l'école Harry,
vient me retrouver dans Pré-au-lard, tout le monde est en danger mais
peut-être Voldemort va lâcher l'école si tu te trouves ailleurs. Il peut
sentir où tu es. Donnes moi de tes nouvelles bientôt, le temps est
compté.
Sirius
Harry tremblait en relisant le mot de son parrain, décidément Voldemort avait décidé de passer rapidement à l'acte et le temps était donc venu. Il se laissa tomber lourdement sur son lit, il ne savait pas quoi faire. Il était impensable de rester ici et de risquer la mort des élèves mais il était encore plus impensable de quitter ce lieu, sa « maison », ses professeurs, ses amis, Ron, Hermione ! Il se frappa la tête et pensait à Hermione, elle était en danger, encore plus que le restant des élèves dans cette école, car elle était son amour. Il n'avait jamais pu lui déclarer tout cela car il pensait à toutes sortes de choses, ils avaient failli s'embrasser une fois mais Harry ne savait plus ce qu'il fallait faire : entraîner Hermione avec lui en lui disant qu'il l'aime ou se taire à jamais et la laisser vivre une vie paisible ? C'était trop difficile, il aurait voulu avoir Voldemort devant lui et pouvoir le tuer à l'instant mais il savait qu'il était beaucoup plus faible que lui.
Harry descendit dans la Grande Salle et ne parlait pas beaucoup, il regardait ses amis comme si c'était la dernière fois qu'il les voyait. Hermione ne le lâchait pas du regard, elle avait compris que quelque chose se passait mais elle ne savait pas quoi faire. Le reste de la journée fut horrible, Harry écoutait à peine dans ses cours et il regardait sans cesse autour de lui au lieu de suivre dans ses livres et d'écouter ce que les professeurs avaient à dire.
Hermione se rendit directement dans son dortoir à la fin de la journée, elle regardait par la fenêtre et elle maudissait contre la forêt interdite. Elle savait que Voldemort y était et qu'il voudrait sans doute attaquer, que Harry était en danger plus que jamais. Elle aurait voulu le prendre dans ses bras, le serrer fort contre elle, l'embrasser, lui parler. Elle s'assied dans son lit et prit le collier avec un c?ur doré qu'Harry lui avait donné avant le bal de Noël. Elle l'approcha et l'embrassa, elle le serrait fort contre son c?ur et des larmes coulaient sur ses joues. Elle prit la photo qui était sur sa table de chevet avec Harry et elle enlacés dessus lors du bal de Noël et son sourire lui faisait mal. Elle pleurait et dit tout haut :
Oh Harry, si seulement tu savais.
Savoir quoi, répondit une voix derrière elle. Quelqu'un lui avait mis la main sur l'épaule. Elle se retourna vivement et le vit devant elle.
Il portait une robe de sorcier, la même qu'il avait mis au bal de Noël
et il avait une valise dans ses mains. Il avait emporté son balais et
semblait découragé. Elle lui sourit et se leva pour mieux le regarder.
Oh Harry ne me fais plus jamais peur comme ça, lui dit-elle.
Ne t'en fais pas, répondit-il avec de la douleur dans sa voix déchirée. Je suis venue te dire au revoir. pour toujours.
Hermione le regarda l'air incrédule, elle n'avait pas bien compris le sens de ses mots, elle ne le croyait pas. « Ne t'en va pas, pensa-t-elle, j'ai besoin de toi, nous allons y arriver. Harry, ne me quittes pas ». Des larmes lui coulaient à nouveau sur les joues. Harry s'approcha d'elle et lui essuya les yeux.
Je m'en vais. Poudlard n'est plus un lieu sur, je ne dois pas vous mettre encore plus en danger que vous ne l'êtes.
Harry, Hermione tremblait, ne t'en va pas, s'il te plaît.
Je n'ai pas le choix Hermione, tous les gens que j'aime autour de moi vont y passer et je ne veux pas que tout cela arrive, encore moins à toi.
Oh Harry, Hermione lui prit le bras, c'est dangereux d'être loin de moi, nous devons être ensemble.
Il s'approcha d'elle et se pencha légèrement et lui donna des baisers dans le cou. Elle ferma les yeux, elle savait que bientôt Harry allait être loin, loin d'elle.
Hermione je dois savoir ce que tu ressens pour moi, dit Harry. C'est important.
Elle ne bougeait pas mais elle savait que c'était le bon moment, elle n'avait plus le choix.
Oh Harry, dit-elle, tu ne t'en est jamais douté ?
Non, dit Harry en se grattant le derrière de sa tête, tu as toujours fui, on n'a jamais pu en parler, je n'ai jamais vraiment pu savoir.
Hermione pleurait de plus belle, elle le regardait droit dans les yeux. Elle s'accrochait à son regard pour ne pas rêver, pour ne pas douter de lui.
Es-tu aveugle ? Sourd ? Je t'aime depuis la première seconde où je t'ai vu, dit Hermione en rougissant. J'ai tenté plusieurs fois de te le dire mais il y a toujours quelque chose qui arrivait pour m'en empêcher.
Harry ne dit pas un mot, il pencha la tête et l'embrassa lentement. Il se releva et la regarda dans les yeux. Il lui souriait et elle faisait de même. Elle l'approcha à nouveau et lui rendit son baiser, plus long et plus passionné.
Je t'aime aussi, dit Harry en reprenant son souffle. C'est tellement difficile d'avoir à partir, de te laisser seule ici derrière moi mais c'est mieux comme ça.
Ne pars pas, dit Hermione en le retenant. J'ai besoin de toi Harry. Rien ne nous arrivera ici.
Je n'ai pas le choix, dit Harry en lui caressant les joues et en l'embrassant timidement.
Tu as toujours le choix. reste !
Harry était déchiré, il avait plus le désir de rester que la volonté de partir. Il tenait Hermione dans ses bras, il était incapable de la laisser. Il aurait voulu que tout se termine ici, que tout cela n'était qu'un cauchemar.
Reste au moins pour la nuit, disait Hermione qui l'étreignait encore plus fort.
Non, dit Harry, les secondes sont comptées, désolé. Il était essoufflé, il pleurait, je ne voulais pas venir ici et te donner plein d'espoir.
C'est trop tard, répondit Hermione en se laissant tomber à genoux.
Harry se sépara d'elle, la quitter lui faisait l'effet d'une douche froide il aurait voulu pour rien au monde lui faire de la peine. Il prit ses affaires et monta sur son balais, il avait presque enjambé la fenêtre et pouvait entendre Hermione qui pleurait encore plus fort et criait son nom. Elle s'était étendue sur son lit et frappait son oreiller. Il fronça les sourcils et se retourna, lança ses affaires dans le coin de la pièce et couru vers elle. Il l'enlaça tendrement et l'embrassa furtivement.
Ok, dit-il, je vais passer la nuit, ensuite je verrai.
Merci, dit Hermione en lui souriant et essuyant ses larmes.
Cela aurait été tellement plus facile si Voldemort n'avait pas existé, si mes parents étaient toujours vivant ! Je n'aime pas ma vie, dit Harry en se frappant le front.
Si tu avais été quelqu'un d'autre, si tes parents n'étaient pas mort, je ne t'aimerais pas Harry Potter, dit Hermione en le serrant.
Il la regarda tendrement, elle avait une manche qui était descendue de son épaule et montrait une partie de son corps. Harry la trouvait plus belle que jamais, il replaça sa robe de chambre et lui caressait le cou en l'embrassant. Hermione aurait voulu rester ainsi toute sa vie, elle avait réussi à lui dire qu'elle l'aimait et surtout, il l'aimait elle aussi. Hermione se pencha sur son épaule, lui prit la main et s'endormit en souriant.
À son réveil , elle était seule, Harry était parti au loin. Elle se demandait si elle n'avait pas rêvé mais le mot sur sa table de chevet lui confirmait que non. Elle était triste, encore plus que la veille et ses yeux déjà rouges se remirent à verser des larmes. Elle prit le papier et l'ouvrit en tremblant, voulant que chaque mot reste gravé dans son c?ur.
Hermione,
Je suis désolé, j'ai du partir. Je ne pouvais pas me permettre de te
mettre encore plus en danger. Avant de partir, je t'ai regardé de la
fenêtre, telle un ange qui souriait. Je t'aime, ne l'oublie jamais.
Harry
Elle lança son oreiller vers la fenêtre qui était fermée et elle ne pouvait s'empêcher d'avoir peur. Son amour était loin d'elle et il risquait sa vie à tout moment. Elle se releva et ouvrit la fenêtre en demandant ouvertement :
Est-ce que je vais te revoir Harry ? Mon c?ur le désire plus que tout au monde.
Elle se laissa tomber à nouveau sur son lit, épuisée et déchirée.
