Bonjour ! Ceci est l'avant dernier chapitre de la fiction, je vous remercie
d'avance, je vous dis deja la date de parution du dernier chapitre, le 1er
SEPTEMBRE hehe Alors continuez de reviewer, je vous en dois une ! Sur ce,
voilà la suite !
Chapitre 19
La carte des maraudeurs
Le lendemain matin, ils n'étaient plus que quelques-uns dans l'école, les autres ayant quittés pour les vacances de Pâques. Hermione avait longtemps traîné au lit et elle souriait en regardant Ginny qui était en train de se maquiller. Poudlard allait lui manquer, du moins comme étudiante, car ses chances de revenir ici sont plus qu'excellentes et c'est un de ses rêves les plus cher. Elle se leva et décida d'aller prendre une bonne douche. Elle s'habilla de la plus belle jupe qu'elle avait dans ses bagages et elle mit un joli décolleté auquel elle ne broda pas son insigne de préfet car après tout, ce sont des vacances !
Elle s'était maquillée et lissée ses cheveux, elle se brossait la même couette pendant plus d'une dizaine de minutes en pensant à hier. Elle aurait beaucoup apprécié que Padma ne mette pas les pieds dans le dortoir, que Harry continue ce qu'il avait commencé. Maintenant, elle le désirait plus que tout au monde mais elle ne savait pas si l'occasion allait se présenter bientôt. Elle regarda son collier et sentit à nouveau une force jaillir en elle. Lily était une femme exceptionnelle et Harry devait lui ressembler beaucoup, du moins du côté de la confiance de ses proches.
Elle rejoignit les autres à la Grande Salle, presque tous des septième année et quelques-uns de sixième. Elle s'assied à côté de Ginny qui avait l'air un peu moins fâché qu'hier et vit Harry se mettre en face d'elle. Il la regardait en souriant et elle s'accrochait à son regard. Ils entendirent des pas vers l'entrée et aperçurent Ron et Kelly, bras dessus bras dessous. Harry se retourna vers Hermione en lui adressant son plus beau sourire et Ginny à côté éclata de rire. Ron vint s'asseoir près d'eux et il semblait gêné.
Ron, dit Ginny, je ne vois plus la différence entre tes cheveux et ta figure.
Tout le monde riait et Kelly se collait contre Ron qui semblait rougir encore plus. Hermione devinait ce qui le gênait, il devait sûrement ne pas savoir quoi faire. Harry lui avait raconté que Kelly était beaucoup plus déniaisée que Ron et qu'il avait peur de l'embrasser.
Non, ça va, répondit Ron en regardant Kelly.
Ils se regardèrent durant quelques minutes et Ron s'approcha d'elle, lui soulevant le menton. Il l'embrassa timidement et lorsqu'il se sépara d'elle pour reprendre son souffle, elle le regarda en le dévisageant. Harry fit un clin d'?il à Hermione et elle fondit sur place. Il la regardait d'une nouvelle manière depuis ce matin et elle savait que leur escapade de la veille y était pour quelque chose.
Tu embrasses vraiment bien, dit Kelly en s'essuyant les joues. Laisse moi te montrer maintenant c'est quoi la bonne manière.
Elle lui attrapa le collet et l'approcha d'elle. Ils s'embrassèrent longuement et lorsqu'il se décolla, il avait la tête qui tournait et il ne la quittait pas du regard. Hermione pouffa de rire en le voyant agir, elle se souvient qu'il n'y a pas si longtemps il la regardait de cette façon. Elle est maintenant contente de ne plus être l'observée mais celle qui observe.
Quand le dîner fut terminé, Hermione se leva et suivit Ginny qui s'en allait étudier un peu. Elle se fit attraper par le bras et elle se retourna vivement. Elle le regardait avec des yeux malicieux mais un sourire la trahissait. Harry s'approcha d'elle et posa délicatement sa main dans le cou d'Hermione pour la rapprocher de lui. Ils s'embrassèrent vivement, la passion était vraiment forte et lorsqu'elle se sépara de lui pour reprendre son souffle, elle vit Kelly qui les regardait.
Tu vois Ron, dit Kelly en pointant les amoureux du doigt, c'est à ça que nous devons ressembler quand tu m'embrasses.
Harry regarda Hermione et lui dit tout bas dans l'oreille qu'il l'aimait. Elle l'embrassa délicatement et suivit Ginny.
Elle entendit un cri aigu dans la Grande Salle et elle revenait rapidement sur ses pas pour voir ce qui s'était passé. Elle vit Harry assied par terre qui se tenait le front à deux mains. Elle voyait du sang couler de sa tête et pour l'espace d'un instant elle soupçonnait Ron. Lorsqu'elle s'approcha d'Harry, elle prit un mouchoir et lui épongea le visage.
Ta cicatrice saigne Harry, dit-elle en levant les yeux et essayant de désinfecter la plaie.
Je reviens tout de suite Herm, dit-il en se levant rapidement.
Hermione resta perplexe à genou en plein milieu de l'allée avec des mouchoirs remplis de sang et un regard confus.
-s-s-s-s-s-s-s-s-s-s-
Lorsque Harry eut rejoint Dumbledore dans son bureau, il vit Sirius et Lupin regarder en direction de la forêt. Il s'approcha de la fenêtre et ce qu'il vit le fit frémir d'horreur. Il y avait un feu noir qui ravageait au loin et il entendait un cri strident.
Harry, dit Dumbledore, ta cicatrice a du saigner non ?
Oui, répondit Harry qui sentit la douleur monter en lui.
Nous devons partir d'ici avec les élèves, dit Sirius, c'est trop dangereux.
Mais qu'est-ce que tu racontes, coupa Lupin, c'est encore loin, ça ne nous atteindra jamais.
Il a raison Remus, dit Dumbledore, c'est une question de minutes avant qu'il ait rejoint notre école.
Harry ne comprenait pas très bien mais il savait une chose, il devait aller voir les autres et leur expliquer qu'il fallait déserter les lieux. Il était inquiet pour Hermione surtout car il sentait que la bataille était proche : pas le temps de penser aux actes d'hier, il fallait se concentrer sur maintenant.
Dumbledore, dit Sirius, comment nous sauver ?
Il a la carte, dit Dumbledore en pointant Harry, nous pouvons nous sauver vers Pré-au-Lard et je connais une formule pour nous cacher en sécurité pour quelques jours.
Mais il n'y a plus de lumière dans ce tunnel, répondit Lupin, les mangemorts ont ravagé ce territoire.
Nous nous servirons de Fumseck pour nous rendre à destination, dit Dumbledore.
Harry sentait un frisson monter dans sa colonne : son rêve était en train de devenir réalité. La seule différence ce sont la couleur des flammes et les personnages qui y sont plus nombreux. Tous les quatre poussèrent la porte de sortie et se dirigèrent vers la salle commune. Ils conduisirent avec beaucoup de mal tous les élèves près de la sortie et Harry ne trouvait pas Hermione. Il couru à toute vitesse vers le dortoir des filles des Griffondors pour la trouver assise sur son lit, elle regardait la forêt.
Ça y est, dit-elle en le regardant. Des larmes coulaient sur ses joues. Il nous a découverts.
Viens, dit Harry en lui prenant la main, nous ne sommes plus en sécurité ici.
Il l'embrassa rapidement et dévalèrent l'escalier avant de se retrouver en face de la statue où il y a le passage secret. Il déplia la carte des maraudeurs et vit que tout le monde était à la même place, il n'y avait plus personne d'autre éparpillé dans le château. Ils le rejoignirent et il prononça une formule pour faire pivoter la statue et découvrir un passage souterrain.
Fumseck, dit Dumbledore en direction du phénix, va devant et montres-nous le chemin.
Tout le monde parlait en même temps, ils essayaient de comprendre ce qui se passait et Dumbledore tentait de ramener le silence sans succès. Hermione était blottie dans les bras d'Harry et elle tremblait. Il la serrait fort et il ne voulait pas la laisser partir. Il sentait à nouveau sa cicatrice lui faire mal, à un point tel qu'il s'arrêta de courir. Hermione s'arrêta près de lui et tentait de reprendre son souffle.
Harry, dit-elle, ça va ?
C'est très douloureux, dit-il en aspergeant de l'eau sur sa tête.
Il s'aperçut qu'ils étaient seuls dans ce tunnel noir, ils avaient perdu tous les autres qui continuaient de courir sans avoir vu qu'ils n'étaient pas avec eux.
Nous les avons perdus, dit Hermione
Attendons ici, dit Harry en la serrant près de lui. Il reviendront nous chercher quand ils se seront aperçus que nous ne sommes plus là.
Il essayait de se convaincre qu'il n'y avait rien mais la terre en dessous d'eux tremblait et il savait qu'il était près de lui. Il entendit un cri perçant et vit la rougeur flamboyante de Fumseck qui était revenu.
Guides-nous à nouveau, dit Harry en se relevant.
Hermione courrait derrière lui et Fumseck volait loin devant eux. Harry pu voir un jet de lumière au loin et il souriait car il savait qu'il était rendu. Ils s'accrochèrent à Fumseck qui les leva pour les reposer sur le sol. Harry ne vit personne autour d'eux, il ne sentait qu'une violente douleur au niveau de sa cicatrice. Il tenait la carte des Maraudeurs dans sa poche et regarda dessus pour voir qu'il apparaissait comme étant. dans la forêt interdite.
C'est impossible, dit-il en scrutant la carte.
Oh oui, dit Hermione qui se cramponnait à lui.
Il regarda Hermione qui était blanche et qui semblait ne plus pouvoir bouger. Il regarda dans la direction que ses yeux avaient pris pour voir un immense feu rouge en face d'eux, il y avait des arbres partout près d'eux et Fumseck se tenait près d'Harry.
Il se frappait la tête pour se réveiller de ce cauchemar qui revenait encore mais la douleur qu'il ressentait dans son bras était bel et bien réelle : Hermione lui retenait le bras en lui rentrant ses ongles profondément.
Chapitre 19
La carte des maraudeurs
Le lendemain matin, ils n'étaient plus que quelques-uns dans l'école, les autres ayant quittés pour les vacances de Pâques. Hermione avait longtemps traîné au lit et elle souriait en regardant Ginny qui était en train de se maquiller. Poudlard allait lui manquer, du moins comme étudiante, car ses chances de revenir ici sont plus qu'excellentes et c'est un de ses rêves les plus cher. Elle se leva et décida d'aller prendre une bonne douche. Elle s'habilla de la plus belle jupe qu'elle avait dans ses bagages et elle mit un joli décolleté auquel elle ne broda pas son insigne de préfet car après tout, ce sont des vacances !
Elle s'était maquillée et lissée ses cheveux, elle se brossait la même couette pendant plus d'une dizaine de minutes en pensant à hier. Elle aurait beaucoup apprécié que Padma ne mette pas les pieds dans le dortoir, que Harry continue ce qu'il avait commencé. Maintenant, elle le désirait plus que tout au monde mais elle ne savait pas si l'occasion allait se présenter bientôt. Elle regarda son collier et sentit à nouveau une force jaillir en elle. Lily était une femme exceptionnelle et Harry devait lui ressembler beaucoup, du moins du côté de la confiance de ses proches.
Elle rejoignit les autres à la Grande Salle, presque tous des septième année et quelques-uns de sixième. Elle s'assied à côté de Ginny qui avait l'air un peu moins fâché qu'hier et vit Harry se mettre en face d'elle. Il la regardait en souriant et elle s'accrochait à son regard. Ils entendirent des pas vers l'entrée et aperçurent Ron et Kelly, bras dessus bras dessous. Harry se retourna vers Hermione en lui adressant son plus beau sourire et Ginny à côté éclata de rire. Ron vint s'asseoir près d'eux et il semblait gêné.
Ron, dit Ginny, je ne vois plus la différence entre tes cheveux et ta figure.
Tout le monde riait et Kelly se collait contre Ron qui semblait rougir encore plus. Hermione devinait ce qui le gênait, il devait sûrement ne pas savoir quoi faire. Harry lui avait raconté que Kelly était beaucoup plus déniaisée que Ron et qu'il avait peur de l'embrasser.
Non, ça va, répondit Ron en regardant Kelly.
Ils se regardèrent durant quelques minutes et Ron s'approcha d'elle, lui soulevant le menton. Il l'embrassa timidement et lorsqu'il se sépara d'elle pour reprendre son souffle, elle le regarda en le dévisageant. Harry fit un clin d'?il à Hermione et elle fondit sur place. Il la regardait d'une nouvelle manière depuis ce matin et elle savait que leur escapade de la veille y était pour quelque chose.
Tu embrasses vraiment bien, dit Kelly en s'essuyant les joues. Laisse moi te montrer maintenant c'est quoi la bonne manière.
Elle lui attrapa le collet et l'approcha d'elle. Ils s'embrassèrent longuement et lorsqu'il se décolla, il avait la tête qui tournait et il ne la quittait pas du regard. Hermione pouffa de rire en le voyant agir, elle se souvient qu'il n'y a pas si longtemps il la regardait de cette façon. Elle est maintenant contente de ne plus être l'observée mais celle qui observe.
Quand le dîner fut terminé, Hermione se leva et suivit Ginny qui s'en allait étudier un peu. Elle se fit attraper par le bras et elle se retourna vivement. Elle le regardait avec des yeux malicieux mais un sourire la trahissait. Harry s'approcha d'elle et posa délicatement sa main dans le cou d'Hermione pour la rapprocher de lui. Ils s'embrassèrent vivement, la passion était vraiment forte et lorsqu'elle se sépara de lui pour reprendre son souffle, elle vit Kelly qui les regardait.
Tu vois Ron, dit Kelly en pointant les amoureux du doigt, c'est à ça que nous devons ressembler quand tu m'embrasses.
Harry regarda Hermione et lui dit tout bas dans l'oreille qu'il l'aimait. Elle l'embrassa délicatement et suivit Ginny.
Elle entendit un cri aigu dans la Grande Salle et elle revenait rapidement sur ses pas pour voir ce qui s'était passé. Elle vit Harry assied par terre qui se tenait le front à deux mains. Elle voyait du sang couler de sa tête et pour l'espace d'un instant elle soupçonnait Ron. Lorsqu'elle s'approcha d'Harry, elle prit un mouchoir et lui épongea le visage.
Ta cicatrice saigne Harry, dit-elle en levant les yeux et essayant de désinfecter la plaie.
Je reviens tout de suite Herm, dit-il en se levant rapidement.
Hermione resta perplexe à genou en plein milieu de l'allée avec des mouchoirs remplis de sang et un regard confus.
-s-s-s-s-s-s-s-s-s-s-
Lorsque Harry eut rejoint Dumbledore dans son bureau, il vit Sirius et Lupin regarder en direction de la forêt. Il s'approcha de la fenêtre et ce qu'il vit le fit frémir d'horreur. Il y avait un feu noir qui ravageait au loin et il entendait un cri strident.
Harry, dit Dumbledore, ta cicatrice a du saigner non ?
Oui, répondit Harry qui sentit la douleur monter en lui.
Nous devons partir d'ici avec les élèves, dit Sirius, c'est trop dangereux.
Mais qu'est-ce que tu racontes, coupa Lupin, c'est encore loin, ça ne nous atteindra jamais.
Il a raison Remus, dit Dumbledore, c'est une question de minutes avant qu'il ait rejoint notre école.
Harry ne comprenait pas très bien mais il savait une chose, il devait aller voir les autres et leur expliquer qu'il fallait déserter les lieux. Il était inquiet pour Hermione surtout car il sentait que la bataille était proche : pas le temps de penser aux actes d'hier, il fallait se concentrer sur maintenant.
Dumbledore, dit Sirius, comment nous sauver ?
Il a la carte, dit Dumbledore en pointant Harry, nous pouvons nous sauver vers Pré-au-Lard et je connais une formule pour nous cacher en sécurité pour quelques jours.
Mais il n'y a plus de lumière dans ce tunnel, répondit Lupin, les mangemorts ont ravagé ce territoire.
Nous nous servirons de Fumseck pour nous rendre à destination, dit Dumbledore.
Harry sentait un frisson monter dans sa colonne : son rêve était en train de devenir réalité. La seule différence ce sont la couleur des flammes et les personnages qui y sont plus nombreux. Tous les quatre poussèrent la porte de sortie et se dirigèrent vers la salle commune. Ils conduisirent avec beaucoup de mal tous les élèves près de la sortie et Harry ne trouvait pas Hermione. Il couru à toute vitesse vers le dortoir des filles des Griffondors pour la trouver assise sur son lit, elle regardait la forêt.
Ça y est, dit-elle en le regardant. Des larmes coulaient sur ses joues. Il nous a découverts.
Viens, dit Harry en lui prenant la main, nous ne sommes plus en sécurité ici.
Il l'embrassa rapidement et dévalèrent l'escalier avant de se retrouver en face de la statue où il y a le passage secret. Il déplia la carte des maraudeurs et vit que tout le monde était à la même place, il n'y avait plus personne d'autre éparpillé dans le château. Ils le rejoignirent et il prononça une formule pour faire pivoter la statue et découvrir un passage souterrain.
Fumseck, dit Dumbledore en direction du phénix, va devant et montres-nous le chemin.
Tout le monde parlait en même temps, ils essayaient de comprendre ce qui se passait et Dumbledore tentait de ramener le silence sans succès. Hermione était blottie dans les bras d'Harry et elle tremblait. Il la serrait fort et il ne voulait pas la laisser partir. Il sentait à nouveau sa cicatrice lui faire mal, à un point tel qu'il s'arrêta de courir. Hermione s'arrêta près de lui et tentait de reprendre son souffle.
Harry, dit-elle, ça va ?
C'est très douloureux, dit-il en aspergeant de l'eau sur sa tête.
Il s'aperçut qu'ils étaient seuls dans ce tunnel noir, ils avaient perdu tous les autres qui continuaient de courir sans avoir vu qu'ils n'étaient pas avec eux.
Nous les avons perdus, dit Hermione
Attendons ici, dit Harry en la serrant près de lui. Il reviendront nous chercher quand ils se seront aperçus que nous ne sommes plus là.
Il essayait de se convaincre qu'il n'y avait rien mais la terre en dessous d'eux tremblait et il savait qu'il était près de lui. Il entendit un cri perçant et vit la rougeur flamboyante de Fumseck qui était revenu.
Guides-nous à nouveau, dit Harry en se relevant.
Hermione courrait derrière lui et Fumseck volait loin devant eux. Harry pu voir un jet de lumière au loin et il souriait car il savait qu'il était rendu. Ils s'accrochèrent à Fumseck qui les leva pour les reposer sur le sol. Harry ne vit personne autour d'eux, il ne sentait qu'une violente douleur au niveau de sa cicatrice. Il tenait la carte des Maraudeurs dans sa poche et regarda dessus pour voir qu'il apparaissait comme étant. dans la forêt interdite.
C'est impossible, dit-il en scrutant la carte.
Oh oui, dit Hermione qui se cramponnait à lui.
Il regarda Hermione qui était blanche et qui semblait ne plus pouvoir bouger. Il regarda dans la direction que ses yeux avaient pris pour voir un immense feu rouge en face d'eux, il y avait des arbres partout près d'eux et Fumseck se tenait près d'Harry.
Il se frappait la tête pour se réveiller de ce cauchemar qui revenait encore mais la douleur qu'il ressentait dans son bras était bel et bien réelle : Hermione lui retenait le bras en lui rentrant ses ongles profondément.