Disclaimer : Bon tous les persos sont à JK, sauf Obys, Bliniks, Niviqmi, Bezmiv, Tmivvi et Peyvirx.
Et maintenant la fic, bonne lecture.
L'énigme de la Prophétie.
Chapitre 14
Le lendemain matin, juste avant le petit déjeuner, Dumbledore annonça aux élèves qu'ils allaient tous rentrer chez eux par le Poudlard Express, qui serait en service vingt quatre heures plus tard. A cette nouvelle, de nombreuse rumeurs parcoururent La grande salle ou était réunis tous les professeurs et les élèves. Harry leva une main pour demander la parole, et sur un signe de tête de Dumbledore il se leva et demanda :
- Professeur, pourquoi le Poudlard Express ne part pas aujourd'hui. Si nous sommes réellement en danger, ne vaut-il mieux pas que tous les élèves quittent Poudlard au plus vite?
- Effectivement, répondit Dumbledore, voici une question très intelligente et je n'en attendait pas moins de toi. En fait j'aurais aimé que le Poudlard Express parte aujourd'hui même mais il était rangé depuis le mois de septembre, et ne devait pas servir avant les vacances de Noël. Le temps d'obtenir l'autorisation du ministère et de le mettre en état de marche. Ah, et aussi, les cours ont été annulés, et vous devez TOUS sans aucune exception (il jeta un regard presque sévère en direction d'Harry Ron et Hermione) rester dans vos salles communes respectives. Vous serez sous la surveillance des directeurs de vos maisons. Bien, sur ce, bon appétit et bonne journée.
Le directeur se rassit et commença à manger le bol de porridge qui venait d'apparaître devant lui.
***
La journée se passa rapidement. Les élèves rangèrent leurs affaires avec regrets et tristesse pour la plupart. Dumbledore, lors du dîner, s'aperçut que les élèves étaient angoissés, inquiets à propos de leur école. Il s'apprêtait à se lever pour prononcer des paroles rassurantes quand les portes de la grande salle s'ouvrir sur un adulte en cape noire, le visage caché par une capuche. Ce n'était aucun des professeurs. Plusieurs regards se tournèrent vers lui. Il avança jusqu'à la table des professeurs, puis se retourna pour faire face aux élèves.
- Élèves de Poudlard, s'écria-t-il d'une voix forte. Messieurs, Mesdames et Mesdemoiselles les professeurs, Monsieur le concierge, finit-il en voyant Rusard entrer dans la grande salle. Bonsoir.
Tous les regards étaient maintenant tournés vers lui. Sa voix puissante emplissait la salle comme celle d'un commentateur de Quidditch (il avait sûrement du conjurer un sort Sonorus sur lui même).
- Tous le monde est ici, c'est magnifique, que de personnalités ici. Dumbledore, le plus grand sorcier de tous les temps, ordre de Merlin première classe, Eldyn Obys, ex-Auror et ordre de Merlin, deuxième classe, et tant d'autres excellents sorciers... magnifique.
Le professeur Mc Gonagall se leva et dit.
- Et vous, peut on vous demander qui vous êtes et ce que vous venez faire ici. Vous êtes, dois-je vous le rappeler dans une école interdite au public. Dumbledore posa sa main sur le bras de Mc Gonagall pour la faire se rasseoir.
- Bien sur, quel malpoli je suis, j'ai oublié de me présenter. On me donne beaucoup de nom, mais je suis le plus souvent connu sous celui de Jonathan Bliniks.
A ces mots il enleva la capuche qui couvrait son visage, et sa mèche blanche devint visible pour tout le monde. Eldyn obys se leva, sa baguette pointée sur l'intrus. Aussitôt Bliniks leva les mains en signe de paix.
- Calme, calme... Eldyn, tu ne vas quand même pas me lancer un sot, après tout ce que l'on a vécu ensemble.
- Tu veux dire après que tu ai profité de ma gentillesse avant de me trahir et de me laisser aux mains de l'ennemi, répliqua froidement le professeur de défenses contre les forces du mal sans baisser sa baguette.
Un léger sourire passa sur le visage de Bliniks.
- C'est une façon de voir les chose... Mais tu ne veux pas écouter ce que j'ai à dire?
- Tu t'es rendus coupable de plus d'une vingtaine d'actions différentes condamnées par le ministère de la magie. Ta place est à Azkaban. Quand tu seras à nouveaux derrière les barreaux, et que les Détraqueurs s'occuperons de faire te border tous les soirs, alors on pourra discuter.
- Voyons, voyons, pourquoi tant de haine... Je t'ai pourtant apporté un cadeau en gage de mon repentir. Tu ne veux pas voir se que c'est?
Eldyn Obys fronça les sourcils. Bliniks profita de se moment d'inattention pour plonger sa main sous sa cape et sortir une sphère bleuté. Aussitôt tous les occupants de la pièce grimacèrent, chacun sentants ses entrailles se nouer, et une sensation de malaise les envahir. Hermione et Ron se prirent la main, essayant de se réconforter l'un l'autre. Dans toute la salle on entendait des gémissements de douleurs, venant de chaque table.
- Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles, reprit Bliniks avec sa voix de présentateur de Quidditch. Laisser moi vous présenter la Sphère de Lindam, un objet de légende. Cet objet a de bien étranges pouvoirs. Vous sentez ce malaise vous envahir, cette sensation qui s'installe dans tous votre corps, vos forces qui diminuent peu à peu. Regarde toi, Eldyn, tu n'arrive plus à tenir debout.
En effet le professeur était assis, appuyé sur la table, et il avait lâché sa baguette.
- Cette Sphère a été l'objet d'une prophétie, faite par Sir Lindam lui même, une prophétie qui parle du fléau que pourrait amener la sphère, si elle était correctement utilisée. Mais cette prophétie parle également d'une personne qui pourrait empêcher ce fléau. Et c'est cette personne que je cherche en venant ici. J'ai beaucoup de projet en tête, maintenant que j'ai la sphère, mais tout d'abord il me faut supprimer cette personne, sans quoi c'est elle qui me supprimera.
Il fit une pause et son regard balaya la grande salle, visiblement à la recherche de quelqu'un.
- Vous savez que cette sphère peux tuer, mieux que n'importe quel sortilège, mieux même qu'un Avada Kedavra. Cette sphère une douleur plus puissante qu'un millier de sorts Doloris lancés en même temps. De plus, maintenant elle m'offre une protection supplémentaire, vu que je peux créer une sorte de... comment dire, un bouclier tout autour de moi, que ne peuvent pas franchir les sortilèges lancés par une baguette. Pour me tuer, il faut s'approcher de moi, et vous vous en douter, en s'approchant de moi vous vous approchez de la sphère et la douleur que vous ressentez est décuplée. Le plus étrange est que je ne ressent pas moi même cette douleur. Mais c'est plus pratique, non? Il me serait difficile d'utiliser la sphère si j'en ressentais les effets.
Soudain son regard se fixa sur la table des Gryffondor, où un jeune homme aux cheveux noirs se tordaient de douleur.
- Celui que je cherchais... Monsieur Harry Potter, un si célèbre sorcier qui n'est même pas encore un adulte... Et regarder le, celui qui a survécu... Il a fier allure, non, tordu dans tous les sens comme un ver qui sent sa fin venir.
Tout en parlant il marcha en direction de Harry.
- En même temps c'est amusant de voir que grâce à moi vous êtes tous à égalité maintenant. Les jeunes (il pointa son doigt vers une jeune fille de première année à la table de Pouffsoufle))et les les vieux (il pointa son doigt vers Dumbledore), les hommes et les femmes, les Gryffondors, Pouffsoufle, Serdaigles et Serpenteras, les Fils de Moldus et les descendant de grandes lignées de sorciers... Tous égaux devant la mort. Vous êtes tous pareils, des vers de terres...
Il s'arrêta, le regard dans le vide. Harry parvint, au prix d'un grand effort, à se redresser, et il dit :
- Qu'est-ce que vous me voulez sale Mangemort!
- Mangemort? répéta Bliniks, visiblement surpris. Mangemort? Non, tu n'y es pas Harry. Je n'ai jamais rien eu à voir avec Voldemort.
En prononçant le nom du seigneur des ténèbres, il frissonna, comme tous les autres sorciers de la pièces. Mais contrairement aux autres, à la façon qu'il avait eu de dire ce nom, on sentait que ce n'était pas un frisson de peur, mais de dégout.
- Non, Voldemort n'était qu'un imbécile raciste et incompétent, un idiot aux utopies démodées et démesurées. Je préférerais me porter volontaire pour arbitrer le prochain match entre les Thunderers et les Warriors que d'être associer à cet être infâme. Un Mangemort, moi...
Il soupira bruyamment.
- Non, je n'ai rien contre les Moldus. Je les méprise certes, leur étroitesse d'esprit est suffisante pour les mépriser. Mais vouloir tous les tuer, et faire la sélection entre les soit-disant "Sang Purs" et les "Sang de Bourbe", quelle idiotie. Il aurait pu faire bien mieux... Enfin bon, puisque sa chute m'a été profitable je ne vais pas lui en vouloir.
Il regarda Harry un instant, puis ajouta.
- D'ailleurs c'est un peu grâce à toi que je suis ici, et je devrais t'en remercier. Mais, je l'ai dit, il me faut trouver l'Ange (il émit une sorte de rire en disant cela) dont parle la prophétie. Je dois le trouver, et le supprimer. C'est dommage, je n'aime pas l'idée de te tuer mais bon. Adieu Harry.
Il tendit la sphère vers le jeune Gryffondor et commença à prononcer une incantation à voix basse quand sept personnes se levèrent en même temps, luttant contre la douleur que leur infligeait la sphère, et crièrent d'une seule voix.
- Non!
Un large sourire se dessina sur le visage d'Eldyn Obys. Harry leva les yeux pour observer ceux qui prenaient sa défense. Il vit Dumbledore et Eldyn Obys, debout, leur baguette à la main, essayant tant bien que mal de se tenir debout. Et à la table de Gryffondor, il y avait Ron et Hermione qui s'étaient également levé, se tenant toujours la main, il y avait également Ginny, qui le regardait, le regard brillant d'inquiétude et de douleur. Du coin de l'oeil il aperçut Orla, à la table de Serdaigle, qui s'était également levé. il se demanda à qui appartenait la septième voix, et il se retourna, pour voir, derrière lui, à la table de Serpentard, Malefoy, debout, le regard déterminer.
Ce dernier ajouta, avec toute l'assurance dont il était capable :
- Vous ne toucherez pas un cheveux d'Harry!
Bliniks commença à rire, en disant :
- Très bien, maintenant je sais qui je dois tuer.
***
Gnarrkk.... je sais ce chapitre est pas long, mais je voulais absolument qu'il s'arrête à ce moment. Des le prochain chapitre vous aurez les réponses à toutes vos questions... et notamment vous saurez qui est l'ange de la victoire.
A l'époque du bien retrouvé, quand le bonheur de la victoire sera perdu,
Lorsque la mort, ayant quitté sa tombe, y retournera,
Elle fera de nouveau entendre sa voix.
Et quand la flamme froide l'éclairera de sa pale lueur
La douleur se répandra sur la Terre, et nul autre que l'ange de la victoire,
Celui qui de la mort garda le souvenir, ne pourra arrêter le Fléau
En attendant, si jamais vous avez des critiques ou des compliments à faire (j'accepte les deux) une petite review, ça prends deux minutes et ça fait tellement plaisir.
@+
Et maintenant la fic, bonne lecture.
L'énigme de la Prophétie.
Chapitre 14
Le lendemain matin, juste avant le petit déjeuner, Dumbledore annonça aux élèves qu'ils allaient tous rentrer chez eux par le Poudlard Express, qui serait en service vingt quatre heures plus tard. A cette nouvelle, de nombreuse rumeurs parcoururent La grande salle ou était réunis tous les professeurs et les élèves. Harry leva une main pour demander la parole, et sur un signe de tête de Dumbledore il se leva et demanda :
- Professeur, pourquoi le Poudlard Express ne part pas aujourd'hui. Si nous sommes réellement en danger, ne vaut-il mieux pas que tous les élèves quittent Poudlard au plus vite?
- Effectivement, répondit Dumbledore, voici une question très intelligente et je n'en attendait pas moins de toi. En fait j'aurais aimé que le Poudlard Express parte aujourd'hui même mais il était rangé depuis le mois de septembre, et ne devait pas servir avant les vacances de Noël. Le temps d'obtenir l'autorisation du ministère et de le mettre en état de marche. Ah, et aussi, les cours ont été annulés, et vous devez TOUS sans aucune exception (il jeta un regard presque sévère en direction d'Harry Ron et Hermione) rester dans vos salles communes respectives. Vous serez sous la surveillance des directeurs de vos maisons. Bien, sur ce, bon appétit et bonne journée.
Le directeur se rassit et commença à manger le bol de porridge qui venait d'apparaître devant lui.
***
La journée se passa rapidement. Les élèves rangèrent leurs affaires avec regrets et tristesse pour la plupart. Dumbledore, lors du dîner, s'aperçut que les élèves étaient angoissés, inquiets à propos de leur école. Il s'apprêtait à se lever pour prononcer des paroles rassurantes quand les portes de la grande salle s'ouvrir sur un adulte en cape noire, le visage caché par une capuche. Ce n'était aucun des professeurs. Plusieurs regards se tournèrent vers lui. Il avança jusqu'à la table des professeurs, puis se retourna pour faire face aux élèves.
- Élèves de Poudlard, s'écria-t-il d'une voix forte. Messieurs, Mesdames et Mesdemoiselles les professeurs, Monsieur le concierge, finit-il en voyant Rusard entrer dans la grande salle. Bonsoir.
Tous les regards étaient maintenant tournés vers lui. Sa voix puissante emplissait la salle comme celle d'un commentateur de Quidditch (il avait sûrement du conjurer un sort Sonorus sur lui même).
- Tous le monde est ici, c'est magnifique, que de personnalités ici. Dumbledore, le plus grand sorcier de tous les temps, ordre de Merlin première classe, Eldyn Obys, ex-Auror et ordre de Merlin, deuxième classe, et tant d'autres excellents sorciers... magnifique.
Le professeur Mc Gonagall se leva et dit.
- Et vous, peut on vous demander qui vous êtes et ce que vous venez faire ici. Vous êtes, dois-je vous le rappeler dans une école interdite au public. Dumbledore posa sa main sur le bras de Mc Gonagall pour la faire se rasseoir.
- Bien sur, quel malpoli je suis, j'ai oublié de me présenter. On me donne beaucoup de nom, mais je suis le plus souvent connu sous celui de Jonathan Bliniks.
A ces mots il enleva la capuche qui couvrait son visage, et sa mèche blanche devint visible pour tout le monde. Eldyn obys se leva, sa baguette pointée sur l'intrus. Aussitôt Bliniks leva les mains en signe de paix.
- Calme, calme... Eldyn, tu ne vas quand même pas me lancer un sot, après tout ce que l'on a vécu ensemble.
- Tu veux dire après que tu ai profité de ma gentillesse avant de me trahir et de me laisser aux mains de l'ennemi, répliqua froidement le professeur de défenses contre les forces du mal sans baisser sa baguette.
Un léger sourire passa sur le visage de Bliniks.
- C'est une façon de voir les chose... Mais tu ne veux pas écouter ce que j'ai à dire?
- Tu t'es rendus coupable de plus d'une vingtaine d'actions différentes condamnées par le ministère de la magie. Ta place est à Azkaban. Quand tu seras à nouveaux derrière les barreaux, et que les Détraqueurs s'occuperons de faire te border tous les soirs, alors on pourra discuter.
- Voyons, voyons, pourquoi tant de haine... Je t'ai pourtant apporté un cadeau en gage de mon repentir. Tu ne veux pas voir se que c'est?
Eldyn Obys fronça les sourcils. Bliniks profita de se moment d'inattention pour plonger sa main sous sa cape et sortir une sphère bleuté. Aussitôt tous les occupants de la pièce grimacèrent, chacun sentants ses entrailles se nouer, et une sensation de malaise les envahir. Hermione et Ron se prirent la main, essayant de se réconforter l'un l'autre. Dans toute la salle on entendait des gémissements de douleurs, venant de chaque table.
- Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles, reprit Bliniks avec sa voix de présentateur de Quidditch. Laisser moi vous présenter la Sphère de Lindam, un objet de légende. Cet objet a de bien étranges pouvoirs. Vous sentez ce malaise vous envahir, cette sensation qui s'installe dans tous votre corps, vos forces qui diminuent peu à peu. Regarde toi, Eldyn, tu n'arrive plus à tenir debout.
En effet le professeur était assis, appuyé sur la table, et il avait lâché sa baguette.
- Cette Sphère a été l'objet d'une prophétie, faite par Sir Lindam lui même, une prophétie qui parle du fléau que pourrait amener la sphère, si elle était correctement utilisée. Mais cette prophétie parle également d'une personne qui pourrait empêcher ce fléau. Et c'est cette personne que je cherche en venant ici. J'ai beaucoup de projet en tête, maintenant que j'ai la sphère, mais tout d'abord il me faut supprimer cette personne, sans quoi c'est elle qui me supprimera.
Il fit une pause et son regard balaya la grande salle, visiblement à la recherche de quelqu'un.
- Vous savez que cette sphère peux tuer, mieux que n'importe quel sortilège, mieux même qu'un Avada Kedavra. Cette sphère une douleur plus puissante qu'un millier de sorts Doloris lancés en même temps. De plus, maintenant elle m'offre une protection supplémentaire, vu que je peux créer une sorte de... comment dire, un bouclier tout autour de moi, que ne peuvent pas franchir les sortilèges lancés par une baguette. Pour me tuer, il faut s'approcher de moi, et vous vous en douter, en s'approchant de moi vous vous approchez de la sphère et la douleur que vous ressentez est décuplée. Le plus étrange est que je ne ressent pas moi même cette douleur. Mais c'est plus pratique, non? Il me serait difficile d'utiliser la sphère si j'en ressentais les effets.
Soudain son regard se fixa sur la table des Gryffondor, où un jeune homme aux cheveux noirs se tordaient de douleur.
- Celui que je cherchais... Monsieur Harry Potter, un si célèbre sorcier qui n'est même pas encore un adulte... Et regarder le, celui qui a survécu... Il a fier allure, non, tordu dans tous les sens comme un ver qui sent sa fin venir.
Tout en parlant il marcha en direction de Harry.
- En même temps c'est amusant de voir que grâce à moi vous êtes tous à égalité maintenant. Les jeunes (il pointa son doigt vers une jeune fille de première année à la table de Pouffsoufle))et les les vieux (il pointa son doigt vers Dumbledore), les hommes et les femmes, les Gryffondors, Pouffsoufle, Serdaigles et Serpenteras, les Fils de Moldus et les descendant de grandes lignées de sorciers... Tous égaux devant la mort. Vous êtes tous pareils, des vers de terres...
Il s'arrêta, le regard dans le vide. Harry parvint, au prix d'un grand effort, à se redresser, et il dit :
- Qu'est-ce que vous me voulez sale Mangemort!
- Mangemort? répéta Bliniks, visiblement surpris. Mangemort? Non, tu n'y es pas Harry. Je n'ai jamais rien eu à voir avec Voldemort.
En prononçant le nom du seigneur des ténèbres, il frissonna, comme tous les autres sorciers de la pièces. Mais contrairement aux autres, à la façon qu'il avait eu de dire ce nom, on sentait que ce n'était pas un frisson de peur, mais de dégout.
- Non, Voldemort n'était qu'un imbécile raciste et incompétent, un idiot aux utopies démodées et démesurées. Je préférerais me porter volontaire pour arbitrer le prochain match entre les Thunderers et les Warriors que d'être associer à cet être infâme. Un Mangemort, moi...
Il soupira bruyamment.
- Non, je n'ai rien contre les Moldus. Je les méprise certes, leur étroitesse d'esprit est suffisante pour les mépriser. Mais vouloir tous les tuer, et faire la sélection entre les soit-disant "Sang Purs" et les "Sang de Bourbe", quelle idiotie. Il aurait pu faire bien mieux... Enfin bon, puisque sa chute m'a été profitable je ne vais pas lui en vouloir.
Il regarda Harry un instant, puis ajouta.
- D'ailleurs c'est un peu grâce à toi que je suis ici, et je devrais t'en remercier. Mais, je l'ai dit, il me faut trouver l'Ange (il émit une sorte de rire en disant cela) dont parle la prophétie. Je dois le trouver, et le supprimer. C'est dommage, je n'aime pas l'idée de te tuer mais bon. Adieu Harry.
Il tendit la sphère vers le jeune Gryffondor et commença à prononcer une incantation à voix basse quand sept personnes se levèrent en même temps, luttant contre la douleur que leur infligeait la sphère, et crièrent d'une seule voix.
- Non!
Un large sourire se dessina sur le visage d'Eldyn Obys. Harry leva les yeux pour observer ceux qui prenaient sa défense. Il vit Dumbledore et Eldyn Obys, debout, leur baguette à la main, essayant tant bien que mal de se tenir debout. Et à la table de Gryffondor, il y avait Ron et Hermione qui s'étaient également levé, se tenant toujours la main, il y avait également Ginny, qui le regardait, le regard brillant d'inquiétude et de douleur. Du coin de l'oeil il aperçut Orla, à la table de Serdaigle, qui s'était également levé. il se demanda à qui appartenait la septième voix, et il se retourna, pour voir, derrière lui, à la table de Serpentard, Malefoy, debout, le regard déterminer.
Ce dernier ajouta, avec toute l'assurance dont il était capable :
- Vous ne toucherez pas un cheveux d'Harry!
Bliniks commença à rire, en disant :
- Très bien, maintenant je sais qui je dois tuer.
***
Gnarrkk.... je sais ce chapitre est pas long, mais je voulais absolument qu'il s'arrête à ce moment. Des le prochain chapitre vous aurez les réponses à toutes vos questions... et notamment vous saurez qui est l'ange de la victoire.
A l'époque du bien retrouvé, quand le bonheur de la victoire sera perdu,
Lorsque la mort, ayant quitté sa tombe, y retournera,
Elle fera de nouveau entendre sa voix.
Et quand la flamme froide l'éclairera de sa pale lueur
La douleur se répandra sur la Terre, et nul autre que l'ange de la victoire,
Celui qui de la mort garda le souvenir, ne pourra arrêter le Fléau
En attendant, si jamais vous avez des critiques ou des compliments à faire (j'accepte les deux) une petite review, ça prends deux minutes et ça fait tellement plaisir.
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