Disclaimer : Bon tous les persos sont à JK, sauf Obys, Bliniks, Niviqmi, Bezmiv, Tmivvi et Peyvirx.
Et maintenant la fic, bonne lecture.
L'énigme de la Prophétie.
Chapitre 15
- Très bien, maintenant je sais qui je dois tuer.
La voix de Bliniks jeta un froid dans la grande salle. Plus personne ne bougea, attendant ce qui allait suivre.
Bliniks se tourna vers la table des professeurs.
- Ne vous inquiétez pas, Dumbledore, rasseyez vous. Et toi aussi Eldyn. Je ne ferais rien à votre petit protégé... S'il se tient tranquille du moins.
Puis il se tourna vers Malefoy.
- Vous aussi, Malefoy. Asseyez vous. Je sais que Monsieur Potter compte beaucoup pour vous, mais asseyez vous. Je n'oublierais pas.
Puis il revint vers Harry, la sphère bleue luisant toujours dans sa main.
- Voyons voir qui nous avons ici, dit-il pensif. Mr Weasley, le meilleur ami du survivant, et Mlle Granger. il me semble avoir lu un article sur vous il y a trois ans, je me trompe. Et... une Weasley aussi. Évidemment, la famille d'adoption de notre orphelin préféré... Bien sur, ce qui laisse...
En un éclair, il se tourna vers Orla qui n'avait toujours pas bougé. Il tendit la main devant lui et murmura :
- Nex Animus!
Aussitôt un éclair traversa la jeune attrapeuse, qui tomba au sol, inanimée.
- Non, hurla Harry. Qu'est ce que vous lui avez fait?
- Moi, oh pas grand chose, répondit Bliniks d'un ton badin. Je l'ai juste tué.
Plusieurs élèves commencèrent à gémirent, tandis que d'autres pleurèrent de peur et de douleur.
- Pourquoi, cria Harry. Pourquoi l'avoir tué. Elle n'avait rien fait!
- Voyons, Harry... Tu ne comprends toujours pas. Laisse moi t'expliquer. Il y a un peu plus de mille ans, Sir Lindam a fait une prédiction. Cette prédiction a été faite en stellangue, la langue des étoiles. Une langue ancienne que nos ancêtres utilisaient pour parler aux étoiles, une forme de divination primitive. Encore que la divination n'est toujours pas une science exacte. En disant cela il fit un clin d'oeil en direction du professeur Trelawney. Si ça vous intéresse je vais vous donner la version originelle de cette prophétie en Stellangue.
Ades benestance gaaignee, cor beneurté vainctor adame
Cor mortes adossera sa lose, et errera cilec
Facera audicere jublement.
Et cor brason betee luminaret pale lun,
Haire aombrer tot a un porceint, et ul delaier angele de vainctor,
Baatel de mortes memoria, poeira defait ahurter.
Bien je suppose que personne n'a compris ici... ce qui est d'ailleurs normal. Dans notre langue cela donne à peu près cela :
A l'époque du bien retrouvé, quand le bonheur de la victoire sera perdu,
Lorsque la mort, ayant quitté sa tombe, y retournera,
Elle fera de nouveau entendre sa voix.
Et quand la flamme froide l'éclairera de sa pale lueur
La douleur se répandra sur la Terre, et nul autre que l'ange de la victoire,
Celui qui de la mort garda le souvenir, ne pourra arrêter le Fléau.
Il se tut et le silence emplit la pièce.
- Bien sur, reprit-il après quelques secondes, cette traduction est mal faite, et n'est pas tout à fait exacte. En fait c'est une traduction mot à mot, et ça n'a rien a voir avec la version originelle. Mais bon. si j'ai tué cette jeune fille, c'est parce qu'elle était l'Ange, et donc elle aurait pu m'empêcher d'arriver à mes fins.
- Elle... était l'ange de la victoire...
- Bien sur.
- Mais comment... comment saviez vous que c'était elle.
- Et bien, la prophétie a été mal traduite, comme je l'ai déjà dit. Il ne fallait pas lire victoire mais vainqueur. Ce n'est pas l'ange de la victoire mais l'ange du vainqueur. Et le vainqueur, c'est toi. En te menaçant, je cherchais à faire réagir ceux qui tiennent à toi. Tes meilleurs amis, tes professeur, ta famille... Et l'ange... L'ange était forcément quelqu'un que tu connaissais, et vu tes antécédents familiaux, il ne m'a pas fallu longtemps pour deviner qu'il serait à Poudlard. En te menaçant j'étais sur de le trouver. Et c'est elle. Simple, non. Et dire que des centaines de sorciers se sont rendus fous toutes leur vie en essayant de déchiffrer cette prophétie.
- Et si jamais vous vous êtes trompé? Si ce n'étais pas l'ange.
Le sourire de Bliniks disparut.
- Qu'est ce que tu veux dire.
- Je ne sais pas. Mais si c'était juste une fille qui s'inquiète pour moi. Qui sait. Peut-être que l'ange est quelqu'un d'autre et que vous n'êtes pas en sécurité.
Bliniks fixa le jeune homme, les sourcils froncé, réfléchissant à ce qu'il venait de dire. Et si c'était vrai. Et s'il n'avait pas tué la bonne personne. Il ne dit rien pendant quelques secondes, ne sachant que répondre à cela. Finalement il fit un geste de la main, comme pour écarter cette éventualité, et annonça plein d'assurance.
- Il y a très peu de chance que je me sois trompé. Et de toute façon, je ne vois pas comment cet ange de la victoire pourrait réussir à me battre, tant que j'ai cela dans la main.
En disant ces mots il leva sa main droite dans laquelle il tenait toujours la sphère de Lindam. Les élèves les plus proches frissonnèrent, et un sourire satisfait passa sur le visage du mage noir. Il se retourna vers la table et commença à se diriger vers Dumbledore, visiblement empli de mauvaise intention. Lentement il dirigea la sphère vers le directeur de Poudlard, et soudain, trébucha. Une seconde plus tard il était allongé au sol. la sphère lui échappa quelques mètres plus loin. Il se retourna et vit, allongé au sol derrière lui, lui tenant une jambe, Harry Potter. Il se dégagea rapidement et se remit debout, regardant le jeune Gryffondor avec dédain. Il sortit sa baguette de nulle part et la pointa sur Harry.
- Je t'avais pourtant demandé de te tenir tranquille.
En s'appuyant sur le banc de la table des Serdaigles, Harry réussit à se remettre debout et regardant Bliniks dans les yeux, répondit:
- C'en est fini de vous Bliniks.
- Qu'est-ce que tu raconte. Tu ne comprends vraiment rien. C'est toi qui as perdu. Endoloris
Aussitôt le sortilège impardonnable frappa Harry de plein fouet et celui ci se tordit de douleur, une douleur qu'il connaissait trop bien. Mais la douleur s'arrêta quelques instants plus tard quand une voix se fit entendre derrière le sorcier.
- Laissez le tranquille.
Harry leva difficilement la tête pour voir Ginny, debout, une main derrière le dos, faisant face à Bliniks.
- Et pourquoi je ferais ça, demanda calmement Bliniks. Est-ce qu'une petite idiot va m'empêcher de faire selon mon bon plaisir?
Ginny commença à rougir, mais réussit a trouver le courage de lui répondre.
- Vous avez perdu quelque chose. Elle sortit alors sa main de derrière son dos et révéla la sphère bleue.
- Que... comment as tu...
Il se retourna vers Potter, puis de nouveau vers la jeune Weasley. Il se souvint alors que son arme lui avait échappé des mains lorsqu'il était tombé.
- Rends moi ça. Rends moi ça immédiatement.
- Non, fut tout ce que dit Ginny.
Les yeux de la jeune rouquine brillaient d'une étrange lueur et sur son visage se lisait une détermination qui contrastait avec l'habituel rougissement qui caractérisait la cadette Weasley. Ginny tendit sa baguette vers Bliniks et cria de toute ses forces :
- Expelliarmus.
La baguette de Bliniks sauta dans la main de la jeune fille et le mage noir fut projeté à travers la grande salle. Tous les occupants de la grande salle, Ginny comprise, furent étonnée de la puissance du sort lancée par la Gryffondor. La jeune fille baissa alors les yeux sur la sphère qui était toujours dans sa main. Elle se tourna alors vers la table des Serdaigle, vers le corps sans vie d'Orla. Alors elle serra dans sa main la sphère de Lindam, sera son poing de plus en plus fort, ignorant la douleur qu'elle ressentais, qui s'insinuait dans son corps.
Tous les regards étaient fixés sur la jeune fille dont le visage reflétait une souffrance trop importante. Et tous sentaient la douleur et le malaise causé par la sphère les quitter. Soudain, à bout de force, Ginny s'écroula. Dans la main qui tenait, quelques secondes plus tôt, la sphère bleue, il n'y avait plus qu'une fine poussière aux reflets violacés.
Harry fut le premier à se précipiter vers le corps de la jeune Weasley.
- Ginny! Ginny réponds moi!
***
Fini pour l'instant... Bon inutile de le nier maintenant c'était Ginny l'Ange de la victoire... Mais il reste encore certaine choses a expliquer... A suivre...
En attendant, si jamais vous avez des critiques ou des compliments à faire (j'accepte les deux) une petite review, ça prends deux minutes et ça fait tellement plaisir.
@+
Et maintenant la fic, bonne lecture.
L'énigme de la Prophétie.
Chapitre 15
- Très bien, maintenant je sais qui je dois tuer.
La voix de Bliniks jeta un froid dans la grande salle. Plus personne ne bougea, attendant ce qui allait suivre.
Bliniks se tourna vers la table des professeurs.
- Ne vous inquiétez pas, Dumbledore, rasseyez vous. Et toi aussi Eldyn. Je ne ferais rien à votre petit protégé... S'il se tient tranquille du moins.
Puis il se tourna vers Malefoy.
- Vous aussi, Malefoy. Asseyez vous. Je sais que Monsieur Potter compte beaucoup pour vous, mais asseyez vous. Je n'oublierais pas.
Puis il revint vers Harry, la sphère bleue luisant toujours dans sa main.
- Voyons voir qui nous avons ici, dit-il pensif. Mr Weasley, le meilleur ami du survivant, et Mlle Granger. il me semble avoir lu un article sur vous il y a trois ans, je me trompe. Et... une Weasley aussi. Évidemment, la famille d'adoption de notre orphelin préféré... Bien sur, ce qui laisse...
En un éclair, il se tourna vers Orla qui n'avait toujours pas bougé. Il tendit la main devant lui et murmura :
- Nex Animus!
Aussitôt un éclair traversa la jeune attrapeuse, qui tomba au sol, inanimée.
- Non, hurla Harry. Qu'est ce que vous lui avez fait?
- Moi, oh pas grand chose, répondit Bliniks d'un ton badin. Je l'ai juste tué.
Plusieurs élèves commencèrent à gémirent, tandis que d'autres pleurèrent de peur et de douleur.
- Pourquoi, cria Harry. Pourquoi l'avoir tué. Elle n'avait rien fait!
- Voyons, Harry... Tu ne comprends toujours pas. Laisse moi t'expliquer. Il y a un peu plus de mille ans, Sir Lindam a fait une prédiction. Cette prédiction a été faite en stellangue, la langue des étoiles. Une langue ancienne que nos ancêtres utilisaient pour parler aux étoiles, une forme de divination primitive. Encore que la divination n'est toujours pas une science exacte. En disant cela il fit un clin d'oeil en direction du professeur Trelawney. Si ça vous intéresse je vais vous donner la version originelle de cette prophétie en Stellangue.
Ades benestance gaaignee, cor beneurté vainctor adame
Cor mortes adossera sa lose, et errera cilec
Facera audicere jublement.
Et cor brason betee luminaret pale lun,
Haire aombrer tot a un porceint, et ul delaier angele de vainctor,
Baatel de mortes memoria, poeira defait ahurter.
Bien je suppose que personne n'a compris ici... ce qui est d'ailleurs normal. Dans notre langue cela donne à peu près cela :
A l'époque du bien retrouvé, quand le bonheur de la victoire sera perdu,
Lorsque la mort, ayant quitté sa tombe, y retournera,
Elle fera de nouveau entendre sa voix.
Et quand la flamme froide l'éclairera de sa pale lueur
La douleur se répandra sur la Terre, et nul autre que l'ange de la victoire,
Celui qui de la mort garda le souvenir, ne pourra arrêter le Fléau.
Il se tut et le silence emplit la pièce.
- Bien sur, reprit-il après quelques secondes, cette traduction est mal faite, et n'est pas tout à fait exacte. En fait c'est une traduction mot à mot, et ça n'a rien a voir avec la version originelle. Mais bon. si j'ai tué cette jeune fille, c'est parce qu'elle était l'Ange, et donc elle aurait pu m'empêcher d'arriver à mes fins.
- Elle... était l'ange de la victoire...
- Bien sur.
- Mais comment... comment saviez vous que c'était elle.
- Et bien, la prophétie a été mal traduite, comme je l'ai déjà dit. Il ne fallait pas lire victoire mais vainqueur. Ce n'est pas l'ange de la victoire mais l'ange du vainqueur. Et le vainqueur, c'est toi. En te menaçant, je cherchais à faire réagir ceux qui tiennent à toi. Tes meilleurs amis, tes professeur, ta famille... Et l'ange... L'ange était forcément quelqu'un que tu connaissais, et vu tes antécédents familiaux, il ne m'a pas fallu longtemps pour deviner qu'il serait à Poudlard. En te menaçant j'étais sur de le trouver. Et c'est elle. Simple, non. Et dire que des centaines de sorciers se sont rendus fous toutes leur vie en essayant de déchiffrer cette prophétie.
- Et si jamais vous vous êtes trompé? Si ce n'étais pas l'ange.
Le sourire de Bliniks disparut.
- Qu'est ce que tu veux dire.
- Je ne sais pas. Mais si c'était juste une fille qui s'inquiète pour moi. Qui sait. Peut-être que l'ange est quelqu'un d'autre et que vous n'êtes pas en sécurité.
Bliniks fixa le jeune homme, les sourcils froncé, réfléchissant à ce qu'il venait de dire. Et si c'était vrai. Et s'il n'avait pas tué la bonne personne. Il ne dit rien pendant quelques secondes, ne sachant que répondre à cela. Finalement il fit un geste de la main, comme pour écarter cette éventualité, et annonça plein d'assurance.
- Il y a très peu de chance que je me sois trompé. Et de toute façon, je ne vois pas comment cet ange de la victoire pourrait réussir à me battre, tant que j'ai cela dans la main.
En disant ces mots il leva sa main droite dans laquelle il tenait toujours la sphère de Lindam. Les élèves les plus proches frissonnèrent, et un sourire satisfait passa sur le visage du mage noir. Il se retourna vers la table et commença à se diriger vers Dumbledore, visiblement empli de mauvaise intention. Lentement il dirigea la sphère vers le directeur de Poudlard, et soudain, trébucha. Une seconde plus tard il était allongé au sol. la sphère lui échappa quelques mètres plus loin. Il se retourna et vit, allongé au sol derrière lui, lui tenant une jambe, Harry Potter. Il se dégagea rapidement et se remit debout, regardant le jeune Gryffondor avec dédain. Il sortit sa baguette de nulle part et la pointa sur Harry.
- Je t'avais pourtant demandé de te tenir tranquille.
En s'appuyant sur le banc de la table des Serdaigles, Harry réussit à se remettre debout et regardant Bliniks dans les yeux, répondit:
- C'en est fini de vous Bliniks.
- Qu'est-ce que tu raconte. Tu ne comprends vraiment rien. C'est toi qui as perdu. Endoloris
Aussitôt le sortilège impardonnable frappa Harry de plein fouet et celui ci se tordit de douleur, une douleur qu'il connaissait trop bien. Mais la douleur s'arrêta quelques instants plus tard quand une voix se fit entendre derrière le sorcier.
- Laissez le tranquille.
Harry leva difficilement la tête pour voir Ginny, debout, une main derrière le dos, faisant face à Bliniks.
- Et pourquoi je ferais ça, demanda calmement Bliniks. Est-ce qu'une petite idiot va m'empêcher de faire selon mon bon plaisir?
Ginny commença à rougir, mais réussit a trouver le courage de lui répondre.
- Vous avez perdu quelque chose. Elle sortit alors sa main de derrière son dos et révéla la sphère bleue.
- Que... comment as tu...
Il se retourna vers Potter, puis de nouveau vers la jeune Weasley. Il se souvint alors que son arme lui avait échappé des mains lorsqu'il était tombé.
- Rends moi ça. Rends moi ça immédiatement.
- Non, fut tout ce que dit Ginny.
Les yeux de la jeune rouquine brillaient d'une étrange lueur et sur son visage se lisait une détermination qui contrastait avec l'habituel rougissement qui caractérisait la cadette Weasley. Ginny tendit sa baguette vers Bliniks et cria de toute ses forces :
- Expelliarmus.
La baguette de Bliniks sauta dans la main de la jeune fille et le mage noir fut projeté à travers la grande salle. Tous les occupants de la grande salle, Ginny comprise, furent étonnée de la puissance du sort lancée par la Gryffondor. La jeune fille baissa alors les yeux sur la sphère qui était toujours dans sa main. Elle se tourna alors vers la table des Serdaigle, vers le corps sans vie d'Orla. Alors elle serra dans sa main la sphère de Lindam, sera son poing de plus en plus fort, ignorant la douleur qu'elle ressentais, qui s'insinuait dans son corps.
Tous les regards étaient fixés sur la jeune fille dont le visage reflétait une souffrance trop importante. Et tous sentaient la douleur et le malaise causé par la sphère les quitter. Soudain, à bout de force, Ginny s'écroula. Dans la main qui tenait, quelques secondes plus tôt, la sphère bleue, il n'y avait plus qu'une fine poussière aux reflets violacés.
Harry fut le premier à se précipiter vers le corps de la jeune Weasley.
- Ginny! Ginny réponds moi!
***
Fini pour l'instant... Bon inutile de le nier maintenant c'était Ginny l'Ange de la victoire... Mais il reste encore certaine choses a expliquer... A suivre...
En attendant, si jamais vous avez des critiques ou des compliments à faire (j'accepte les deux) une petite review, ça prends deux minutes et ça fait tellement plaisir.
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